LA FORET ( nouvelle 76 )

Mirage au dessus des nuages sage n 1



















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LA FORET


         Mon atterrissage fut parfais et mon espoir se
remplit de satisfactions par ce que mon regard 
entrevoit . Je suis fasciné par cette volumineuse 
foret, que charme une richesse sauvage. Il y 
règne nul trace de déséquilibre tout sonne le 
parfais.

    La nature y couve un univers fondamentale. La 
densité et la diversité  de cette foret homogène  
développe un air humide et parfumé. Les diverses
senteurs narguent mes narines. 
   Les enchevêtrements des racines forment des 
obstacles profonde. Je suis certain que mon avenir 
trouvera une âme sœur dans ce labyrinthe. 
   Mes ambitions fertilisent mon caractère, je dois 
rencontrer cette féminité pour  parfaire une union  
et de suivre les signes de la proliférations pour 
que le renom de notre race reste en éveille.
   Je tourne et retourne sans trouver ce que mes 
intentions eurent espéré. J'ai beau me hasarder 
et chercher, rien n'y fait, pas de vie autre que la 
mienne ne s'aventure dans cet univers dessert 
en vie . 
     Je deviens le seul maître de cette richesse et 
cherche la suite de mon entrain. Nul rencontre 
ne croise mon chemin. Je suis l'arbitre de rien, 
aucune âme maternelle ne signe sa présence. 

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   Maintenant, que je ne croise personne, je me 
lasse de cette découverte et ma conscience 
signe un pacte pour un renouveau. 
   Il faut impérativement quitter cet endroit. De 
repas, j'y trouve de tous, je peux plonger ma 
trompe sans que je rencontre de contradiction. 
Je prend du poids avec traça. Je me dis que 
l’embarra du chois devient le responsable de 
ma déstabilisation. 
  Aucune rencontre, ce qui déstabilise l'enjeux 
de mon avenir. Il faut que je quitte cet endroits 
pour trouver autre part la femelle de mon choix.  
   J'abandonne cette foret pour une autre 
destination. Pour cela, je me hisse sur l'arbre le 
plus haut et guette au loin, avec intelligence une 
nouvelle foret.
    Mon envole, porté par le vent,  n'a rien de 
particulier, quant a mon atterrissage, il se fait 
dans une clairière.  La luminosité devient  
gênante et contradictoire mais la visibilité 

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parfaite et rayonnante . Je n'aurais pas de 
difficulté pour rencontrer une âme sœur ?
  Rien ni fait, je reste sur une étendu aride et 
imparfait. Dire que mon instinct sentimental 
guide mon comportement. Ma déception 
cumule des insatisfactions. Soudais, une 
violente tempête d'eau m'oblige d’utiliser ma 
trompe pour m’agripper.  Toutes mes forces 
entrent en mouvement pour s'enfoncer 
profondément entre les troncs des arbres. 
  Une profonde maladie englobe ma personne. 
Je perd de mon énergie et ma santé. Je dois 
impérativement quitter cet endroit. 

   La faiblesse de mon corps accumule des 
lacunes. Je suis privé de mon savoir. Quel 
mal devient responsable de ma destruction ? 
     Mon avenir vitale dépend de cet entourage, je 
dois quitter rapidement  ce lieu sans tarder. 
    Être docteur de sa personne c'est décider ce
qui fait du bien et éviter le contour qui te fait 

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du mal. 
  Je  prend mon envole puis me retrouve sur 
une planète où mon idéologie  peut trouver de 
l' espoir. Mon atterrissage instable aggrave 
ma santé par une chute éraflant tout mon corps. 
   Tous devient instable et incertain, des odeurs  
inhabituelle deviennent responsable de mon 
affaiblissement. Mon avenir engendre un 
étourdissement mentale. Je devient bête ou 
et enivré ? 
   Je me déplace pour chercher une sortie de 
secours ; rien ni fait cette odeurs me suit dans 
les moindre recoins. Une masse gluante bloque 
mes réactions. Je suis collé, enlacé dans cette 
mélasse, comme un vers de terre accroché 
dans un hameçon.  
  Cette mésaventure m’entraîne dans des 
tourbillons noir qui m’enliassent . Je plonge par ici, 
par la, en devenant l'objet de ; a cette instant où 
je vous écrit, une volumineuse masse brutalise 

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les arbres qui m'entourent. Sa violence, au delà 
de ma force, me traîne pardessus les monts.  
Je tente de m’agripper avec ardeur , rien a faire, 
je suis a la merci de cette complication. Ces 
grosses machines qui broient tous sur leur 
passage.


           Attendre devient une leçon de sage, 
chercher devient une chanson de raison. La 
puce n'eut plus jamais faim car ce fut sa fin
avec la foret environnante.




JJM

Auteur Jean Jacques Mutz, écrivain amateur.
La nouvelle est en cour de construction des 
changements peuvent suivre.
écrit le 6 juillet 2011 lecteurs, remis a jour le 14 11 2019
A ce jour, 06 07 2011, 1821 lecteurs .
A ce jour, 31 10 2018, 105 992 lecteurs. 
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