A LA RECHERCHE D'UNE MAISON SECONDAIRE (nouvelle 74 )

Mirage au dessus des nuages sage n 1.





















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A LA RECHERCHE D'UNE MAISON 
                SECONDAIRE


    Le soleil devient notre première référence, pour 
cette remarque nous tentons de trouver une 
ancienne bâtisse dans le sud de la France, la où 
le soleil montre sa référence comme signe 
indubitable. 
     L'on se tourne vers les annonces de journaux 
qui priment la vente de cette sorte de maison. 
Notre chance trouve ce donc nous cherchons, aussi 
bien dans la région qui nous attire. 
    Le prix évoque une valeur équitable a notre 
revenu, cela mérite que nous nous attardons . Je 
laisse fuir toute mon indulgence vers cette belle 
région de France. 

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   Notre curiosité cultive une tournure sans pareille 
car, sans perdre de temps, nous prenons contacte 
avec la personne qui s’occupe de  cet engagement. 
Elle nous fait part par écrit de la surface et de la 
description de chaque habitation disponible, aussi 
que tu prix demandé par les propriétaires.
   Au terme de se laisser hypnotiser par des mots 
de convergence, nous voila sur des propos digne 
d'une ritournelle d'importance qui mérite qu'un 
départ sois programmé pour voir en réalité et 
toucher cette pierre que l'on veut acquérir. Il 
faut voir cette habitation car son prix éblouit toute 
transaction. 
   L'ignorance épouse une faiblesse, celle qui 
réveille une imagination détournent la réalité. 
Notre méfiance cultive un facteur qui nous 
entraîne vers une aventure ternit de mépris 
englobant l’âme de notre naïveté. 
   La route devient interminable, le paysage 
autoroutier engloutit la somme de 273 francs au 

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total pour un allé et un plein de gaz oïl pour une 
distance de 850 kilomètres. 
   Enfin, nous voila auprès de ce village tant 
pavoisé où la tranquillité signe une marque de 
silence sur la place du village où nous prenons 
assise sur un des bancs. 
   Les platanes sont élingué hardiment car il ne 
reste plus que des grosses branches sans une 
seul feuille. Le soleil prête sa parure avec 
bienfaisance, que nos corps emmagasine avec  
appréciation. 
   Notre mirage de liberté nous dévoile une chaîne 
de maisons engouffré l'une près de l'autre. Cette 
conception d'habitation en escargot, ne nous donne 
aucune valeur attractive aux regards que prête 
notre estime ! 
   Ne perdons pas notre nord et laissons nous bercer 
par des promesses du Sud que cette annonce nous 
a glorifié. Notre rêverie tient sur un bon fil solide,
pas de doute cela correspond. 

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    Une cabine téléphonique a carte , nous permet 
de contacter la personne pour la prévenir de notre 
arrivé. Il est 11 heures, et la réponse que nous 
enregistrons consiste de leur accorder une petite 
patience de 25 minutes jusqu'à leur arrivé.
    La route demandait de la patience mais cette 
attende de 25 minutes grave dans notre estime 
une impatience houleuse. On se gave de la beauté 
des vielles pierres de maisons qui nous entourent, 
elles nous ébahissent avec philosophie. Plusieurs 
petits commerces , rustique, entourent cette place . 
Au milieu, dans le fond de la place, un grand 
bâtiment avec des lettres dorée sur la façade 
dénonce comme étant la maison communal.  
Aucun sifflement d'oiseaux ne vient interrompre 
ce doux silence du midi de la France. 
Cela harmonise avec louange une part de notre 
repos mérité que nous prenons sur cette place de 
ce village.
  Enfin, notre tuteur de guide, d'une cinquantaine

d'année, coupe cette translucidité avec résonance. 
Elle vient a notre rencontre pour nous saluer 
dans la marge d'une félicité. Elle nous présente 
son mari  ainsi que son fils. Ils nous accueillent 
avec un sourire et un hommage commerciale. 
Nous suivons ce trio qui nous sert de guide dans 
cette belle contrée inconnu pour notre 
élucubration. 
   La première des habitations que nous visitons 
se trouve pas loin de cette place. Ils nous guident 
dans une petite ruelle qui longe la place de la 
maison communal. Dans ce passage pas bien 
grand, nous nous arrêtons près d'une maison 
qui fait angle. Cette bâtisse difforme fait de 
pierre de taille, attire nos trois guide qui  ouvre 
la porte d'entrée pour nous la faire visiter. 
  Sur le moment notre surprise nous laisse pensif 
car notre savoir émeut toutes nos imaginations. 
L'on est surpris, ma femme et moi, de cette 
brusque mise a l'épreuve. Nous gardons une 

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certaine inadvertance sur notre comportement 
pour connaître une suite sans bouleversement.  
La façade n'est pas plus large que deux mètres 
cinquante ! La porte d'entrée en chêne massif de 
quatre vingt dix centimètre proprement verni a 
un aspect de neuf, en son milieu une grande vitre 
fenêtre permet  que la clarté pénètre  dans le 
couloir. On nous fais comprendre que cette 
maison a une importance primordiale. 
      Après avoir fouillé dans un sac en plastique 
de supermarché, la Dame, de grand âge, tente de 
trouver la bonne clé de cette porte d'entrée. Le 
bruit métallique d'une multitude d'autres clé 
provoquent une ritournelle de frottement. Elle 
nous ouvre cette porte de chêne, puis, une odeur 
de renfermé et de moisissure s’échappe de l'entrée. 
Nous pénétrons dans une grande pièce biscornu, 
carrelé et propre a notre regard. Des meubles sont 
éparpillé et un petit désordre fait en sorte que 
notre attention se laisse détourner de notre 

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objectif primordial. De nombreuses pièces suivent 
dans un ordre bien confuse. 
  Le prix devient un facteur ombragé par sa 
lumière bien trot élevé, 220 000 francs pour une 
masure sans fenêtre.
     Dans une autre rue du village, nous visitons 
une autre conspiration faite d'une ritournelle de 
petites chambres superposés. 
  Sur le fait notre attention se laisse impressionné 
par le non de la bâtisse qui nacre sa valeur ; je le 
retient avec félicité, ( La maison des Anglets ). 
Quant a son prix, 210 000 francs fait valser notre 
attention. La maison possède une petite terrasse 
au premier, d'une grandeur de deux mètres sur 
deux, avec un sol carrelé de briques flambées 
rouge et dans une niche dans la façade de la 
maison voisine, une bouteille de vin rouge y est 
emmuré a moitie. Son étiquette nous dévoile 
l'année de la mise en bouteille, 1963, un millésime 
certainement ? 

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  Ce petit recoin entouré de haut murs, ne laisse 
passer que peu de regard et de liberté vers cette 
belle région du Roussillon.
    Il est midi, dans le Sud de la France plus 
personne ne s'aventure dans les ruelles que nous 
empruntons.  
    Nous visitons une habitation où il reste l’âme 
vivante d'un couple que l'on doit déranger pendant 
leur repas. De l'entrée, nous récoltons l'odeur 
appétissante d'omelette et de pommes de terre 
grillé. Nos estomacs crie famine. Nous entrons 
dans cette habitation par la cave au niveau de 
la ruelle, elle est grande et haute, le sol est fait en 
terre battu. Sur des étagères en pierre , sont 
rangé des pommes de toute sorte qui dégagent 
un agréable parfum .
  Sans aucun gène, nos trois vendeurs nous font 
visiter  cette grande maison . Au dessus de la cave 
il y a trois pièces très grande de 8 mètres sur quatre 
et de belles fenêtres qui donnent de la valeur . A 

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chaque extrémité des portes fenêtres permettent de 
sortir de la pièce sur une terrasse de trois mètres 
de large sur toute la longueur de la maison qui 
doit , je pense avoir ses  dix mètres. On peut ainsi 
se placer au sud, ou a l'est de l'habitation. Comme 
l'habitation principale est situé au sommet, notre 
vue se promène par dessus les toitures de ce vieux 
village Catalan. Cette habitation retient notre 
attention, je questionne la marchante de bien sur 
le prix de cette maison. Il était convenu que nous 
disposons d'une valeur de 270 000 francs, que la 
banque nous met a disposition par un prêt. 
  Sur l’instant nous ne recevions de réponse, puis 
au bout de quelques minutes la marchante nous dit 
que se sont 330 000 Francs la mis a prix mais 
que nous devions contacter le notaire pour définir 
le juste prix il peut certainement le diminuer ?
    Nous prenons la route sinueuse qui va nous 
faire connaître un autre village dans le Minervois. 
Le paysage que nous côtoyons résume d'une 

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particularité propre a cette magnifique contré 
où de nombreuses vignes, très basse, poussent sur 
une terre fertile en cailloux blanc que sur poudre 
une fine terre brune. Les cépages y sont nombreux.
  Il sonne 14 heures lorsque nous entrons dans ce 
village perché, la vendeuses de bien nous propose 
d'accepter de prendre un repas dans un typique 
petit restaurant du village. La sympathie de 
ces occupants nous encadre avec révérence que 
j'apprécie. La pièce du café restaurant n'est pas 
bien grande, il n'y a que quatre tables, un 
comptoir que trois chaises haute entourent. 
  Je prend place a la fin pour laisser endoctriner 
mon regard sur la présentation d'une belle carte 
de couleur que l'on nous eut proposé. Sur elle 
de nombreuses variétés de petits repas 
gastronomique nous accaparent avec envie. 
   La patience laisse s'évader le germe d'une 
multitude d'attentions . Des remarques que 
nous portons les un envers les autre, donnent 

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une sorte de psychologie qui analyse notre 
comportement. Notre guide donne une 
marque de politesse aux assiettes et aux 
couverts qui se trouvent sur la table,
 - Elle sont jolie vos assiettes madame, c'est la 
   première fois que j'en voie de cette sorte ! 
   Je prête mon attention a la particularité des 
assiettes et trouve des rayures profonde sur 
l'ensemble de leur surface. Ce ne sont que de 
simple assiette commune que l'on rencontre 
dans les marchés de France. De la manière 
qu'elle eut parlé, nous met a ce demander ci 
c'est la première fois qu'elle vient manger dans 
cette établissement ?
 - C'est bien la première fois que nous mangeons 
   dans cette établissement, j'aime ce décor 
   agrémenté. 
   Elle le précise avec une finesse peu commune.
 D'après la carte l'on se décide de prendre le même 
repas pour tout le monde, une manière de gagner

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du temps car d'autres maisons nous attendent. 
L'on se met en commun accord pour boire de la 
bière Allemande en canette, il n'y a pas de bière 
en pression. 
   Nos paroles dévoilent une reconnaissance sur 
la valeur et la qualité de cette bière. Nous 
discutons de ceci et de cela avec sympathie, puis 
notre vendeuse de bien nous demande,
 - Voulez vous une autre bière ? 
   Je ne refuse pas et la commande suit son pas. 
La serveuse revient avec une apostrophe qui 
signe l'excuse d'un embarras ? Il n'y a plus de 
canette de bière dans leur réserve ? 
  Je rencontre dans cette explication une 
douteuse sorte de préméditation qui définit le 
frein pour la dépense. Par la suite Ils nous 
servent de la salade verte, du poisson grillé et 
quelque pommes de terre cuite a l'eau. Puis la 
dame nous propose du café je ne refuse point 
pour ne pas la vexer ! 

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  Pour demander l’addition, notre guide 
demande une facture pour régler l'ensemble 
des repas. Elle lui donne un billet de 200 francs . 
  La discutions suit son cour et dans le tumulte de 
nos hésitations la serveuse rapporte la monnaie 
de la facture dans une petite assiette ébréché. 
Notre guide reprend cette monnaie en contrôlant 
la facture. Elle fait un signe a la serveuse pour 
lui dire a haute voix qu'elle vient de lui rendre de 
trots sur la somme correspondant. Cette attention 
lyrique me fait comprendre le jeux psychologique 
qu'elle tente de nous endoctriner par cette 
référence honnête.
    La suite de notre journée de visite nous entraîne 
vers une autre maison de ce bourg. Notre déception 
mérite des explications car, cette habitation est en 
pleine transformation. Rien ne répond aux normes 
de la bonne conjonction et je remarque que ce 
bricolage mérite une vérification profonde dans 
toutes les conceptions allant de la maçonnerie au 

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conduit d'eau , du courant électrique au manque de 
chauffage. Une nouvelle déception garnie notre 
journée.
    Nous partons dans un autre village placé sur le 
sommet d'une petite colline. L’enchevêtrement des 
maisons est si rapproché qu'il est difficile de passer 
dans la ruelle avec notre voiture . Nous devons la 
garer au centre du village. 
   La porte d'entré métallique vitré, en bon état,  se 
trouve dans la façade de la maison voisine. La 
maison est peinte en rose vieilli par la poussière et 
les sali  des cheminées et aération environnante. 
Je prête attention sur une coulée claire qui marque
la façade, elle provient  de la toiture. Cette traînée 
verbalise certaines réflexion. L'entrée est une vaste 
pièce biscornu, de 7 mètres sur 10, ou se trouve la 
cuisine, les toilettes et elle fait aussi guise de salon . 
Un escalier métallique, adossé au mur du fond, 
pas bien large, permet une accession a l'étage 
suivant. La même étendu en surface départagé 

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en deux, comporte deux chambres où il n'y a 
qu'une des pièces avec lumière naturelle. 
  Un autre escalier en métal pas bien large permet 
d'accéder au deuxième étage. La , une grande 
cuisine qui fait en même temps salle a manger. 
Un autre escalier nous permet d’accéder sur la 
terrasse et la une petite pièce , couverte de tuiles 
romane, nous fait découvrir la machine a laver . 
Un mur entoure cette terrasse, il est recouvert de 
tuiles romane.  Le carrelage de la terrasse est 
fendu a plusieurs endroits. Pas de doute que les 
murs intérieure germe une moisissure . 
  L'étanchéité laisse a désirer. La vue de cette 
terrasse donne sur les toitures du village  le 
soleil nous dévoile son espace de bien être, pas 
de verdure, pas de mer, seul le bleu du ciel nous 
convoite. 
  Nos remarques ne sont pas preneur. Il est 16 
heures 30 et le temps passe avec embarras. 
La journée se charge de déceptions.

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  Nous quittons cette colline pour visiter une 
autre bâtisse  qui se trouve a quelques pas de la. 
La façade est triste, gris, et s'écaille. Aucune 
couleur ne vient nous égailler seul la grisaille et 
la poussière verbalisent nos pensées. C'est avec 
peine que nous parvenons a ouvrir la porte 
d'entrée, le bois très vétuste, est déformé. Les 
pièces sont grande et vaste mais modeste  par 
la malpropreté qui y règne. L' humidité nous 
repousse avec mépris. 
   Ma femme vient d'appuyer sa main contre le 
mur de la cuisine, sa main pénètre dans le plâtre. 
Des traces de minuscule champignons tapissent 
les murs et une sensation de démangeaison se 
fait ressentir.
     De déception en compromission, nous voilons 
notre face par un ensemble de confrontations. 
C'est la dernière des maisons que nous venons 
de visiter dans notre programme. Aucune perle 
rare n'égaille notre curiosité. Qui sais, par 

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coutume, pourquoi ne demande on pas la 
valeur de cette habitation ? 
   La réponse véhicule une forte secousse , 
220 000 francs pour une aussi grande maison, 
ce n'est qu'une bagatelle nous fait elle comprendre.
   Sacré journée que de chercher pour augmenter 
notre patrimoine dans de la pierre de misère. 
  Le petit dessin d'une copieuse maison de 
campagne ne correspond a notre imagination. 
Nos salutations se font avec respect dans le doute 
d'une réflexion sur un éventuelle achat ? 
  Dans nos cœur reste gravé notre déception 
amère .
   Je garde de cette journée de découverte une 
déception pas très concrète sur l' honnêteté de ces 
vendeurs de biens. Ils se basent sur notre 
ignorance et sur leur publicité malhonnête.


  
JJM 

Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
La nouvelle est en cour de construction des 
changements peuvent suivre.
écrit le 10 04 2011, remis a jour le 09 10 2019.
A ce jour, 10 04 2011, 1603 lecteurs .
A ce jour, 30 10 2018, 105 977 lecteurs .
A ce jour, 09 10 2019, 116 200 lecteurs.
A ce jour, 30 05 2020, 122 354 lecteurs.

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