LA CAVALE. ( nouvelle n 21 )

mirage au dessus des nuages sage n 1











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LA CAVALE

            Il arrive qu'a un certain 
moment de la vie, des inductions te 
guident vers la poursuite d'une nouvelle 
route. Là, tu trouves des sentiments 
qui vont te provoquer une liberté 
différente.
   Dans notre entourage, la surpopulation 
dépasse le nombre d'habitations, l'on ne 
peu y vivre avec aisance. Suite a cela, 
naît des inconsciences qui provoquent 
des actes de jalousie. 

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  Naît des agressions irréductible de 
tout support raisonnable. Ils se 
vénèrent par une incompréhension 
primaire. Une total insécurité plane , et, 
chaque imprudence, ou faiblesse, laisse 
décrire une agressivité sur une personne 
frêle. 
   Dans notre famille le chahut devient 
la témérité de la folie. Un véritable 
traquenard prend place dans nos 
pensées avec des cauchemars 
inducteur. 
    Le manque d'ambition se charge 
de la plus part d'entre nous. Le repas 
lui aussi laisse des lacunes et la rareté 
de satisfaction infériorise nos personnes. 
    Je me sent réduit et plongé dans un 
espace où l'air vivable devient 
contradictoire a mon caractère. Je 
me laisse entraîner tendancieusement, 
avec mon amie Soulie, vers une évasion 

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digne de notre ras le bol.
   Soulie est jolie, par son charme, et la 
marque de ses yeux noir brillant et sa 
démarche gracieuse. La couleur de son 
corps, émoulue d'un bruissement  léger, 
éclaire mes sentiments amoureusement. 
    Elle m'accorde un attachement 
indéfectible. Même que les intentions 
contradictoires, que lui proposent les 
loubards responsable de la déstabilisation 
de notre communauté, ne lui font mire.
   L'attitude rude que nous entreprenons 
consiste de nous dispenser des réactions 
sentimental sur l'adieu à nos familles 
respective. Personne ne sera tenu au 
courant le jour ou l'on s'engage.  Nous 
entreprenons notre fugue la nuit ou la 
pleine lune dispose d'une clarté 
indispensable pour l'aventure qui nous 
guette.

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      L'hiver a sonné son glas et le 
printemps nous honore d'un bon choix. 
Comme deux intrus, l'on se laisse 
glisser en silence le long de l'ombre 
des grands rochers. 
   Une sorte d'incertitude se meut 
dans notre comportement que germe 
l'instinct révélateur. Nous percevons 
des frémissements hérissant nos poiles 
au moindre bruit inconnu a nos 
habitudes. 
   Cette paradoxe de méfiance nous 
oblige de faire des marques sur des 
pierres dure pour le cas où l'on 
voudrais retourner sur nos pas. 
    La poursuite inlassable de notre 
exploration nous entraîne avec une 
prudence primordiale. Soulie se laisse 
guider par mes pas avec une confiance 
digne de sentiments vénérables. 

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   J'apprécie cela comme une louange 
de bonheur qui revalorise mes forces 
et mes intentions. Je ne rencontre la 
moindre hésitation car sa confiance 
est telle que même les yeux fermé 
elle n'hésiterait par me suivre.
   Cela fait un bon moment que l'on 
parcours des obstacles qui nous cachent 
des embûches dangereuses. Notre 
sagesse de jeunesse risque a mainte 
reprise de se laisser prendre par ces 
énorme monstres sur leurs quatre 
pattes qui se déplacent rapidement 
dans l'intention de nous pourchasser 
et nous manger. La fluidité de notre 
déplacement nous évite chacune de 
ces bêtes ingrate et mangeur de viande 
fraîche. 
   Une immense ouverture se présente, 
l'on glisse vers un passage qui nous 

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entraîne dans une caverne faramineuse.
   Il y rayonne une odeur envoûtante ; 
un fin gourmet pourrait se gaver 
jusqu'à ce que son estomac soit blindé. 
L'on y rencontre une chaleur confortable 
qui nous rappelle, nos pensées de 
jeunesse et un soulagement maternelle. 
   Dans cette caverne l'on y trouve des 
réserves de victuailles incalculable. Des 
grands monstre sur deux pieds, y stock 
leur besoins. Ils ont une telle négligence 
qu'une grande partie de manger traîne 
éparpillé au sol. Ils y a de quoi faire 
vivre une grande partie de nos 
semblables.
   Cette découverte fait appel a notre 
patriotisme qui, après avoir passé 
quelques jours dans cet emplacement, 
décide de rapporter a notre famille la 
découverte de ce stock.

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   Notre retour ne rencontre aucune 
clameur. Nous leur décrivons la 
caverne, personne ne se laisse 
endoctriner par notre franchisse de 
partage de la découverte. Même les 
plus valeureux n'ont l'esprit voyageur 
car ils nous ont fait comprendre que 
notre disparition n'eut fait qu'améliorer 
leur situation. 
  Leur hésitation se base sur ces 
monstres a quatre pattes ou deux 
pieds qui désaccordent leur inspiration
Personne ne veux nous suivre. 
   Sans tarder, nous décidons un 
prochain départ. Elle n'a duré qu'une 
journée notre visite dans notre 
communauté.
   Quant la nuit approche, notre 
volonté se  remplit de remord quant , 
un petit groupe se joint a nous.

   Nous sommes maintenant un nombre 
de trois compagnes et de trois 
compagnons prêt pour le départ. 
   Un couple est composé de Soumie 
et de Souti. Soumie possède la 
jeunesse a fleur de peau et la 
tendresse dans le regard de ses yeux 
d'ébène poli ; pour Souti, il rime avec 
l'âme d'un farfelu qui tente de braver 
l'impossible sans en connaître les 
dangers.
   Le deuxième couple est composé 
de Roulie et de Sousi ; Roulie est ronde 
par la forme que lui donne sa future 
progéniture qu'elle porte avec fierté, 
elle est entreprenante et organisé dans 
l'ensemble de ses pensées. Cela lui 
donne un air révélateur que domine 
des yeux charbon. Sousi n'a pas cette 
même expression, il complote un air

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apache vide de tout éducation. Son 
air farfadet met souvent un pas la 
ou il ne faut pas.
  Sur notre couple je ne fait d'éloge, 
on se tarde d'entreprendre cette 
nouvelle expédition.

   Le silence retrouve son importance 
comme notre courage qui tente de se 
regrouper en une ligne préalablement 
cossu. En comptant mon équipe je 
remarque qu'un de nos semblable est 
manquant. 
   Pas de doute, Sousi a disparu. Ce 
manque crée en nous une forte 
tentions, il faut que nous devons 
raisonnons consciencieusement. Le 
danger ne vient pas uniquement de 
notre entourage la terre, il vient aussi 
du ciel ? A cette possibilité je n'y avais

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pas songé , ce nouveau point noir 
mérite de doubler notre attention.
Nous continuons notre avancé et 
arrivons au point de la caverne que 
nous avons expliqué.
   A la vue de cette richesse en denrée
alimentaire, nos camarades n'en 
reviennent pas. Une véritable 
satisfaction nous encourage tous, 
elle devient l'aliénation du bien être. 
L'on ne se préoccupe pour le repas, 
tous se trouve là, quelle joie. 
   Roulie fait naître sa progéniture 
dans une profonde couche douillette 
qu'elle eut faite avec le plus grand soin. 
   Les nouveaux née sont au nombre de 
six. Nous l'honorons tous avec un 
enthousiasme harmoniques qui se 
traduit par des jeux marquants. Cette 
allégresse ne nous fait part de la 

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moindre attention, on a un chez nous 
et tous ce que nous entreprenons nous 
appartient..
  Notre fraternité forme le moule d'un 
pavé parfait. Les accouplements 
prolifère; la population augmente. Les 
six petits de Roulie ont l'esprit follet, 
comme leur père. Cette oisiveté leur 
joue des tours. Ils font leurs premier 
pas vers les alentour . Au retour l'un 
d'entre eux est porté disparu ? 
   Sur le moment notre présomption 
ne rencontre de charge qui pourrait 
préoccuper notre société. Nous 
attribuons cette disparition au 
manque de savoir. La vie poursuit son 
chemin comme une routine qui fait son 
tapin.
  Les cinq petits ne se préoccupent 
de la moindre objection, ils se privent 

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de rien n'y même d'aventure qui les 
conduit dans des endroits inconnu a
nous même. 
  Je ne trouve pas de reproche a leur 
faire et ma tolérance, vue la richesse 
de notre entourage, ne cherche par 
les dissuader.
  Les mauvaises nouvelle ne tarde pas 
un soir les cinq petits de Roulie sont 
porté disparu ? 
   Cela provoque un véritable remue 
ménage et la méfiance enchaîne 
l'ensemble de la communauté. Nous 
établissons un plan pour leur recherche. 
   Aucun indice nous guide et durant 
toute la nuit on cherche sans espoir. 
   Cette impuissance nous tire jusqu'au 
petit matin. La fatigue nous rassemble 
dans nos lits où l'on peu remarquer la 
trace des petits de Roulie.

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   La pauvre ne retrouve de sommeille 
et sa peine se prononce durant de longue
nuits. Durant le jour, elle les recherche. 
Rien n'y fait la déception décourage 
Roulie. Elle ne mange plus un grain, 
ne prononce plus un soupir et ne se 
laisse charmer par la naissance des 
petits de Soumie . 
   Pour nous autre c'est la fête mais 
pour Roulie une lame de fond qui 
traverse son âme. De regret en 
déception elle disparaît un jour sans 
avoir avisé l'un d'entre nous.
  Son gît reste vide et les jeunes de la 
famille Souti ne tardent par le 
dépareiller. Soulie me gratifie 
d'une porté de quatre petits qui ne 
tarde a faire valeur leur comportement 
actionnaire. Je suis fière d'eux et ne 
me prive de les regarder évoluer dans 

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leur vie cela partage ma joie. 
  Les jeunes de la famille Souti ont 
évolué rapidement et une nouvelle 
progéniture ne tarde par faire son 
apparition. 
  Mes petits restent encore sous notre 
tutelle et aucun signe de vagabondage 
ne vient troubler leur esprit. 
   Je me garde de les orienter dans une 
direction favorable. Pour le moment 
nous imposons certaines règles qui 
consistent par ne sortir que la nuit, car 
le rapprochement de toutes ces 
disparitions doit certainement avoir un 
rapport concordant. 
   Notre règlement se comble d'une 
remarque gagnante car jusqu'à 
maintenant personne n'est manquant. 
Les jeunes de la famille Souti, se 
dirigent régulièrement dans une cavité 

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où je n'est jamais mis les pieds. 
D'après leur renseignement ils y 
trouvent des graines bien mure et très 
appétissante. Leurs parents les suivent 
sans nulle crainte et se régalent avec 
satisfaction. 
   Pour le moment , nous gardons notre 
source de victuailles qui suffit largement 
pour nous six. 
   Dans le périple des journées qui 
s'écoulent, des amertumes se hissent 
à notre attention. Petit a petit la famille 
Souti s'efface de notre entourage, cela 
commence par un épuisement, puis, ils 
restent figé stèle comme des statues ? 
Je ne me préoccupe pas de cette 
coïncidence mais, trouve cela très 
étrange ?
   Mes enfants sont grand et je leur 

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laisse faire ce que bon leur semble. 
  La nouvelle progéniture se comporte 
de quatre brillant garçons. Cela me 
réjouis mais pour que cette nouvelle 
famille puisse vivre, je fais part a mes
enfants de construire une famille.
   Je les guide vers la sortie de notre 
royaume et sur la piste qui conduit a 
nos parents. Au retour , je me laisse 
attirer par le charme appétissant 
d'un petit tas de graines très odorant. 
Je gonfle ma bouche de ces graines 
mure pour pouvoir les distribuer au 
restant de ma famille. 
   Soulie se doute de cette man 
appétissante et me fait rappeler la 
mésaventure qui a frappé de tous 
les autres. 
    Je reste sur mes gardes et place 
mes victuailles dans un recoin de 

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notre habitation. Mon estomac crie 
famine et cela malgré que je trouve 
a manger autant que je désire 
autour de moi. 
  C'est de la gourmandise, me dis je 
une sorte de volonté qui ne se prive 
de rien. 
   Dans notre débâcle  aucune 
contradiction ne trouve attention et 
toutes les graines que j'eus apporté 
se son consommer. Notre estomac ne 
rencontre qu'une faim sans fin ; on se 
gave de chose qui jusqu'à présent ne 
nous ont jamais prêté attention.
  La santé de mes quatre petits 
s'aggrave a tel point que tous perdent 
leur force et leur vivacité. Soulie et 
moi nous rencontrons une profonde 
peine qui n'arrive a interférer la raison 
pour laquelle leur santé vient de flapie.

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  La situation nous gave d'une nouvelle 
impulsion sentimentale. Soulie résume 
cela par l'adduction de l'inaltérable qui 
permet la fécondation de la vie ; Je 
suis fière de cette réussite et me 
permet d'oublier le triste passé.
  Depuis qu'elle porte, on reste l'un 
prêt de l'autre. Chaque déplacement 
reste une histoire commune; une sorte 
de jeux qui envoûte nos débâcles.
   La faim crie famine, nous n'égarons 
notre temps que pour le ravitaillement. 
Il n'y a plus de jeux. 
   Cela doit provenir de la poussé de 
cette futur progéniture ? Je me réjouis 
et laisse fuir toutes inductions qui 
peuvent nous désemparer de notre 
avenir. La joie est un périple digne 
d'une réussite certaine, nous devenons 
un couple qui gère bien le future.

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   A ce moment, l'on se trouve dans 
une cavité, d'où émet une odeur 
entraînante ; on se laisse bercer par 
ce parfum volatile et attirant. Un 
morceau importante de viande fumé 
étourdie notre gourmandise. Sens
aucune hésitation et préoccupation 
nous tentons d' en prendre possession.  
   Je contourne avec curiosité cette 
masse attirante et, je tente de trouver 
l'éventuelle faille qui peut cacher la 
source d'un piège ? 
    Soulie fait de même et résulte, 
après de long moment, pour plonger 
ses dents dans cette chair ici présent. 
Son hésitation, de courte duré, la prive 
de toute liberté car, un claquement 
fracassant provoque le rabattement 
d'un élément métallique, inconnu a 
notre mémoire, sur son corps ? 

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    Ses quarte pattes tendent de se 
dégager de cette entrave métallique 
qui la retient par les vertèbres de son 
cou. 
    Une petite marque de sang s'y 
forme et ses forces  l'abandonnent. 
Je tente de la dégager avec les forces 
de mes pattes et celui de mes dents. 
Mon acharnement ne sert a pas grand 
chose car son corps se raidit et la vie 
s'égare vers la grandeur de l'infinie.
  Ce malheur me rend impuissant 
maintenant, je suis seul dans ce qui fut 
l'ambition de la création de notre 
communauté. 
   Je ne prête nulle attention a mon 
entourage et me laisse attirer par un 
autre morceau de viande fumé. Le 
tourbillon de mon désespoir me guide 
sans victoire vers ce qui est la fin de 
mon histoire.

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      Dans le germe de cette histoire 
je viens de raconter le périple d'une
famille de souris qui eut tenté de 
survivre avec les restes que répandent 
les humains. 
     Elle eut trouvé son anéantissement 
dut a la pureté simple que produit  la 
cruauté humaine.
      
JJM

la nouvelle est en cour de construction
des modifications peuvent suivre. Auteur
Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
écrit le 19 05 2010, remis a jour le 24 09 2019.
A ce jour, 24 09 2019, 115 557 lecteurs.
A ce jour, 03 11 2021, 160 054 lecteurs.
A ce jour, 25 03 2023, 174 005 lecteurs.











                                            JJM 

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