DANS LA CHAUMIÈRE ( nouvelle 61 )



Mirage  au dessus des nuages  sage n 1









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DANS LA CHAUMIÈRE


       Le levant marque sa présence, 
accompagné des premiers rayons du soleil 
que sacralisent les feuilles des arbres en 
leur accordant comme miroir une timide 
surface d'humidité. Ce reflets de nacre se 
répercute sur la rosée qui macule les 
herbes alentour. Un signe de dignité 
qu'eut marqué de son prestige, la nuit 
passé.

2

La naissance de ce nouveau jour, apparaît 
comme l'écrin d'un éternelle amour, par 
des pas timides. Notre vie , avec la 
bénédiction de Dieu, se charme de 
programmer notre avenir. Comme il fait 
très tôt, mes paupières dénoncent une 
peine pour rester ouverte. Mes yeux 
deviennent les victimes de cette jeune 
et éblouissante luminosité ; la clarté de 
ce renouveau me flache comme les 
flammes d'un incendies. 
   Mes muscles restent endolories de ma 
nuit de sommeil, ébréché, par ce qui eut 
tracé dans mes pensées , cette rencontre 
désagréable durant la précédente journée. 
Je dénonce des lueurs noirs qui sont les 
responsables de ma fatigue. Mes pensées 
naviguent sur des ondes alourdies ,cela 
m'étourdie et freine chaque mouvements. 
  Je me dirige vers le récipient en terre cuite

3

 qui occupe le rebord de la petite lucarne de 
notre grande pièce familiale. J'y puise de 
l'eau froide, puisé la veille, avec le creux de 
ma main et de mes doigts replie. J'asperge 
ma figure pour tenter de troubler mon état 
de somnolence . Je me déplace avec lenteur 
vers la table faite en châtaigne. Elle occupe 
le centre de cette pièce principale de notre 
chaumière où une odeur profonde de 
transpiration humaine et animal domine, 
malgré que ma mère a sortit les poules, les 
chèvres et les oies . 
  Une autre senteur m'attire, c'est celle de 
mon bols en terre cuite ébréché d'où s'évade 
une odeur de lait de brebis encore tiède. 
Une faim réveille mon instinct d’être humain. 
Ma curiosité découvre, sur la grande table, 
deux grosses tranches de pain tartiné avec 
du saindoux. 
  Je me retourne pour contempler la

somptueuse et volumineuse miche de pain 
d'orée ; elle se trouve sur le coté droit du four 
a pain en pierre . Personne n'a le droit de la 
déplacer, seul le grand père y est autorisé. 
La confiance familiale me permet un univers 
de liberté qui me privilégie. Toutes les 
personnes de ma famille ont rejoint leur 
lieux de besognes. La régularité de notre 
engrenage ne provoque le moindre refrain 
d'hésitation. 
  Une grande partie des jeunes femmes du 
village, doivent servir les besoins du 
seigneur au château. Les hommes  et les 
autres femmes, ratissent la foret pour 
ramasser du bois mort qu'ils rassemblent 
sur des monticules pour en faire du charbon 
de bois. 
  C'est mon grand père qui possède le droit 
de diriger cette corvée la. Ce privilège il la 
acquit suite aux services qu'il a rendu durant

les grandes guerres de la région. 
   Notre Seigneurs du château lui avait 
rédigé un parchemin lui donnant ce droit 
devant un honorable représentant de l'église 
et le bailli. Ce parchemin mérite une 
attention particulière, de ce fait il est placé 
dans le fond de coffre en bois de chêne dans 
notre chaumière.  
     Ma mère m'a préparé deux pommes, 
deux noix, un oignon ,ainsi que deux feuilles 
de choux que j'ai placé dans ma musette en 
toile de chanvre. J'y ajoute ma flûte en bois 
de rose, une autre fait dans de la corne, mon 
béret et un morceau de toile de chute qui me 
sert d’assise sur les rochets humide de la 
prairie. Il ne faut pas oublier mon jeux de 
petits osselets car, c'est lui qui me sert de 
méthode pour le calcul.
   Ma musette est prête, mais , je réfléchit, 
ai je tous emporté ?

6

   La journée s’annonce belle, dans le ciel 
aucun nuage signe une présence. Je rejoins 
l'étable pour emmener nos cochons dans les 
pâturages qui se situent au dessus des 
arpents de vignes , entre la foret de 
châtaignes et les douves du château fort 
du Seigneur. La aussi nous pouvons 
disposer d'un certain droit moyennant une 
redevance sur le cheptel. J'active une vive 
attention car je suis responsable de cette 
action comme un redoutable et véritable 
capitaine de vaisseau. 
  Il fut dit , dans les écrits, que le dernier 
fils de la famille possède le droit 
d'exploitation de ce pâturage ; comme je 
suis celui qui ferme la marche  je m'occupe 
de cette tache. Mon âge , c'est un ensemble 
d'une mains rempli d'osselets. ( 15 ans )
   Mes cochons sot très docile, ils me suivent 
avec une véritable conspiration. Je les guide

du son de ma flûte en bois de rose et , ci le 
cœur me dit, je leur raconte des poésies. 
Ils gardent un ordre de marche méthodique, 
en ligne droite. Les villageois en ont fait 
une légende qui traverse monts et pâturages.
Même notre Bailli eut pris écoute de la 
valeur de ma flûte et pas plus tard que hier, 
vint me faire comprendre,
- Gabriel, tes cochons sont très docile, ils 
   obéissent  comme de véritable chiens de 
   chasse a cour, comment as tu fais pour 
   leur imposer cette obéissance ?
- Je leur joue une lire avec ma flûte pendant 
   le temps où je les conduis dans les 
   pâturages. Ils entrent dans une litanie où 
   aucune source contradictoire vient troubler 
  l'ordre que je leur ai donné.
- Donc ta flûte que tu possède est magique , 
   tu me dois dans ce cas un honoraire 
   supplémentaire que je figurerais sur ton

   parchemin a moins que tu me fait part de 
   ta flûte. J'ai intention de jouer de ta flûte 
   pour que les serfs me payent le du de ce 
   qu'ils me doivent sans poser de question.
- Votre proposition me parait juste monsieur 
   le Bailli, je vous fais par de ma flûte 
   magique demain car je dois prendre 
   conseille auprès de mon grand père c'est 
   lui qui m'a sculpté cette instrument.

   Sur mon chemin je me suis mis a réfléchir, 
avec une attention particulière sur ce 
nouveau du que vient de nous impose le 
bailli. Son jeu de mots m'intriguent avec 
enchâssement car sa proposition devient 
scandaleuse ; ci je lui fait par de ma flûte 
magique, je lui cède une grande partie de 
mon autorité pour qu'il balise mes 
semblables. Ils ne pourrons que rendre 
compte de leur bien qu'ils engagent pour 

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acheter leur liberté. Je suis entrain de les 
trahir tous  sans qu'ils savent d'où vient 
cette obligation ?
   Je pris mes osselets en main pour 
calculer l’impôt supplémentaire a devoir 
payer dans le cas de cette nouvelle 
conjonction. Il faut que nous pouvons 
garder le pâturage qui entoure les murailles 
du château coté sud car c'est la qu'il y a le 
plus d'ensoleillement. Calcule fait, je détient 
un jeux ( trois ) d'osselets qui représente 
un doigt , un jeux de doigts ( cinq ) 
comporte mon cheptel ( 15 ) cochons. Je 
dois lui donner un jeux d’osselets ( trois ) 
en porcelets toutes les pleines lune au bailli. 
Ce qui présente la valeur suivante, avec un 
jeux de doigt d'osselet, ( trois ) chaque 
pleine lune durant les feux de l'été, nous 
ne posséderons plus un seul cochon venu la 
fin de saison. L'hiver risque de nous traîner

vers la famine. 
  Je conclu, avec réserve, de donner au 
bailli ma flûte fait dans de la corne. Il ne sait 
pas avec laquelle je joue car elles se 
ressemble. 
  Je ne souffle un seul mot a mon grand 
Père durant tout le long de chemin et 
garde ma réflexion pour le soir.
  Notre arrivé dans la chaumière réveille des 
habitudes centenaire chaque personne suit 
un travail ordonné. Je nourrie les oies et les 
poules puis rentre les œufs, traie les brebis . 
Ma mère et ma grand mère prépare le repas 
du soir dans une énorme marmite de fonte 
qui cuit dans la cheminée sous les braises 
du charbon de bois . 
   Pour puiser de l'eau l'on possède un sceau 
en bois de chêne. C'est avec cette eau que 
l'on fait notre soupe de choux. Rien que de 
sentir cette odeur enivre mon estomac.

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  Avant de prendre le repas, nous restons 
debout devant la grande table et attendons 
le signe de la main du grand père pour 
baisser la tête le temps qu'il fait une prière. 
Il ouvre la bible pour y lire un verset a 
haute voix. Il ne rencontre d'hésitation et 
la cite comme une récitation. Tout le monde 
occupe sa  place a la fin de la lecture. Je suis
placé a coté de mon grand père sur sa droite. 
  Ma mère nous apporte la grande miche 
d'orée, elle émeut ma gourmandise par le 
souvenir de sa cuisson. Elle  la pose prés 
du patriarche qui sort un grand couteau 
de son fuseau ; il fait un signe de croix 
avec la pointe de la lame. Il coupe alors a 
chacun un morceau de pain et seulement 
quant chaque personne a son pain, le 
repas commence.
   Le silence suit une règle, il prime notre 
bien être ; pas un sel souffle ne tente de 

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dépasser le bruit que provoque les cuillère 
en bois cognant sur les récipients de terre 
cuite. Seul le bruit du bourdonnement des 
mouches qui tournent autour de nous 
reste le  bruit ne respectant notre silence. 
Personne ne prête attention sur autrui. La 
valeur du repas signe notre joie. Je me 
dépêche de manger car je quête le grand 
père, très discrètement, c'est lui qui donne 
l’arrêt du repas a partir du moment où il 
referme son couteau.
    Tout le monde s’arrête de manger son 
repas de soupe de choux épaisse. Les 
femmes se lèvent pour ranger la table. 
Le restant de la soupe est distribué aux 
bêtes. Le grand père se rapproche de la 
cheminé et mon père joue de la cornemuse. 
   Les femmes viennent broder. La nuit 
montre son ombre, il est nécessaire que l'on 
allume la lampe a huile placé au milieu de 

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la table. Je me suis rapproché de mon grand 
père pour lui souffler, timidement mes 
soucies dans ses oreilles,
- Grand père, j'ai reçu la visite du bailli qui 
   m'a demandé de lui payer plus d’impôt 
   si je ne lui fait part de ma flûte magique. 
   Ci je lui donne ma flûte magique, il me 
   laissera durant une année libre de cette 
   charge. Autrement il me compte un jeux 
   d'osselets ( trois )  en cochons a chaque 
   pleine lune durant les feux de l'été. Au 
   bout de ce sigle, il ne nous restera plus 
   un seul cochon nos truies ne portent plus
   correctement. Je pense lui donner la flûte 
   magique cela nous soulagera de ses 
   obligations.
- Ton cœur et ton attention font un bon 
   calcul, il vaut mieux que tu lui donne la 
   flûte en corne pour que notre avoir a tous 
   ne puise se choir car se malin veut nous

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   ruiner tous. Je vais te tailler jusqu'à 
   demain matin une réplique en corne 
   pour que se misérable pense qu'il 
   possède la flûte de l'oracle.
- Ta sagesse mérite une redevance, je 
   suivrai ton ordonnance avec une vive 
   indulgence. 
   Je part ce matin gonflé d'une joie profonde 
en pensant que je vais lui remettre la 
réplique de ma flûte ; mais je reste troublé 
par ce bailli tant incrédule qui va, certain, 
me retrouver ce matin. 
   Je me dirige vers la prairie qui arpente 
les murailles du château et cela avec 
obligation. Je tire de ma musette la flûte 
en corne reproduit dans la nuit par mon 
grand père. Tous mon cheptel me suit 
sagement. 
  Mon harmonie se répète jusqu'aux gardes 
perchés sur les hautes tours. Arrivé a 

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destination, mes cochons lézardent entre 
les fleurs de marguerite et les hautes 
herbes grasse. Je pris assise sous l'ombre 
d'un châtaigne et joue une lire qui résonne 
a travers mont et bois. 
  Je suis étonné de la qualité du son qui en 
sort et la préfère a l’ancienne. 
   Ma stupéfaction n'est pas des moindre 
en apercevant des sangliers qui sortent de 
la foret pour manger a coté de mes cochons. 
D'autres visites se font remarquer  par le 
bruit de leur sabots ferré , ce sont les 
chevaux de la garde qui effraient les 
sangliers qui disparaissent dans le bois. 
Je les distingue au loin et remarque que 
notre seigneur accompagne sa fille et le 
bailli. Un homme de garde, a l'allure guerrier, 
suit le mouvement. Je me soulève de mon 
assise et range ma toile de chute dans la 
musette. Je m'incline devant ces personnes

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honorable puis dis d'une voix respectueuse,
- Votre présence m'honore, elle me rapporte 
   des compliments vis a vis de mes 
   compagnons , je vous salue avec grâce et 
   dignité.
- Très bien mon serf, ton grand père t'as bien 
   éduqué. Par ce qu'on dit dans la région, , tu 
   possèdes une flûte magique qui étourdit 
   tous les animaux, la preuve, tous les 
   sangliers qui viennent de s’enfuir.
- Oui mon seigneur ma flûte hypnotise et 
   guide tous ceux qui doivent me suivre.
- As-tu réfléchi sur la proposition que monsieur 
   le bailli a fait hier après midi ?
- Oui mon seigneur, je vous laisse ma flûte 
   en contrepartie de la non imposition durant 
   tout le feux de l'été.
- C'est bien mon serf, tu ne me dois plus une 
   paille jusqu'à l'année prochaine. 
   Le bailli sourit avec un terme de flibustier 

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car sur son visage se dessinent des petits 
rires orgueilleux. Dans mon cœur naît une 
profonde tristesse , celle de savoir que ce 
personnage tiendra entre sa volonté les 
animaux et mes compagnons serfs de notre 
contrée. 
   Je tend la flûte en corne au seigneur qui 
me fait un signe pour que je donne la flûte a 
sa fille assise en amazone sur un étalon a la 
robe blanche. Ses vêtements sont d'une 
couleur printanier ils ressorte comme une 
étendu de pâquerettes sur de l’immaculé. 
Son regard croise ma vision , il sens suit 
un sourire de conspiration ; sons âge 
répond a ma personne j'en suis tout ébloui . 
Mes visiteurs s'éloignent avec un riche 
gain de satisfaction.
   Le silence se mut, je sort ma flûte en 
bois de rose et joue des lires sans faire de 
pose, le métamorphosent reste le même, 

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les cochons les sangliers et les oiseaux se 
rencontrent sans un remue ménage, les 
biches se rapprochent de moi pour brouter 
sans peur la mente sauvage. Cette année 
deviendra fructueuse, nous pourrons 
acheter notre liberté .
   Deux journées se sont écoulé et le bailli 
revient me consulter pour me faire 
comprendre,
- Ta flûte n'a rien de spéciale car, aucun 
   cheval n'a voulu me suivre pour paître 
   dans la contré, j'ai eu beau jouer une lire 
   avec ta flûte enchanté rien n'a suivi pas 
   même les autres bêtes qui venaient du 
   dut de mes autres serfs. Je te demande 
   pour me prouver la valeur de cette flûte 
   car je sens que tu m'as donné un simple

   instrument sans enchantement 
 Je prend la flûte que je lui ai donné et 
commence a souffler ; Le bailli prête sont

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 attention a la lire que je siffle avec une
 douce modération et son cheval ainsi que
 celui de son garde se mettent par suivre
 mon pas comme deux paisibles oies. Le 
bailli n'en revient pas, il essai a son tour
 sans trouver cette man qui donne sa
 coordination.
- Comme tu peux le constater Gabriel,
 c'est ta flûte qui guide les animaux, tu m'as
 donné la mauvaise. Donnes moi celle que tu
as et je suis certain que les animaux me
suivrons.
 - Je bien vous donnez ma flûte en  bois de
 rose, mais il faut comprendre que sans
 une juste raison la flûte n'a pas d'action, la
 magie ne servira a rien. Je l'ai obtenu d'un
 moine de passage qui me l'a donné en
remerciement du couvert qu'on lui a partagé;
Il ma fait comprendre qu'une  jouvencelle au
 nombre égale de printemps que moi même

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 pourra faire vivre la lire qui enchante la flûte.
   Le bailli en est tout surpris car, il rejoint le
 château avec un suivi de jalousie. Il devra
 répéter cela au seigneur avec un mépris qui
 n'est pas permis car ce serf lui fait des
 propositions qui risquent un compromis.
 Rendez vous compte, il faut qu'une
 personne du même nombre de printemps
 que Gabriel joue une lire pour que la magie
 suit;Dans le château personne d'autre que
 Gabriel a cette âge la , il n'y a que la jeune
 princesse qui puisse égale le nombre de
 printemps ?
   Devant le seigneur, le bailli se trouve tout
rabougri sur ce qu'il jubile ,
- Mon seigneur, le serf Gabriel ma fait
comprendre la raison de l'incapacité de notre
 flûte en corne, je lui ai demandé de me
 donner celle en bois de rose et la aussi la
 magie n'a pas sa valeur. Quant il a joué

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 avec les instruments nos chevaux l'on
 suivi docilement comme par enchantement.
 J'ai aussi appris que la provenance de cette
 flûte magique est l'oracle d'un moine de
 passage pour qui le partage de leur soupe
 lui a fait un grand hommage. C'est pour
 les remercier qu'il leur fit don de cette flûte
 magique. 
- Ci je comprend ton histoire bailli, c'est
 que dans cette magie il y a outrage pour
 celui qui l'utilise sans le consentement de
ce moine de passage ?
- Pas forcement mon seigneur, car il est
 prédit dans les vertus de l'enchantement
 de cette flûte une close dit qu'une
 jouvencelle de l'âge du serf Gabriel peut
 jouer une lire qui enchante les animaux
 et les guide dans sa direction.
 - Quelle jouvencelle pourrait faire vivre
 cette magie la bailli ?

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 - Seigneur il n'y a qu'une personne dans
 le château,  qui a le même nombres de
printemps que le serf Gabriel, c'est la jeune
 princesse !
 - Ma fille peut donc utiliser les vertus de
 cette flûte magique ?
 - Cela va de sois mon seigneur.
 - Qu'on appelle la princesse pour que je
 lui face par de ses vertus sur la flûte
 magique.  
  Le bailli est ravie de pouvoir donner des
 explications a la princesse belle et désirable.
Pourquoi, ne tenterait il pas une demande de
mariage ? C'est lui qui eut découvert cette
 flûte magique et qui peut étourdir les
 animaux , une petite arrière pensé peut
 permettre en tant  de conflit de déstabiliser
 les chevaux ça c'est une valeur en temps
 d’affront.
  Avec vive explications, la princesse suit

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 les indications du bailli en tentant de jouer
 de cette flûte en corne ou encore celle de
bois de rose. Aucune action virtuelle ne fait
 suivre un seul animal au contraire, les
 chiens hurlent un aboiement lugubre.
La princesse tente  de jouer une lire, rien
 ne filtre une parodie de compromission.
 Bref, de la magie il n'y en a pas, Gabriel
 n'a fait que de les détourner de la bonne
 fois. Le seigneur ne comprend la raison
 de cette incapacité et demande ,
- Cher bailli, vos raisonnement ne sont
 fertile  en rien, comment pouvez vous
 prétendre d'aussi vulgaire contes de fée ? 
- Je l'ai bien remarqué mon seigneur
 qu'aucune des flûtes n'a une magique, il
 doit y avoir une raison que seul le serf
 Gabriel peut résoudre, une lire précise
 que la princesse doit jouer. Allons le trouver!
   La nuit épouse son ombre et la lune son

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 caractère a demie éclairé. Dans le petit
 village l'on écoute de la musique de
cornemuses, de tambourins et de flûtes.
 Les sabots des chevaux de la garde font
 vibrer le sol et les chiens aboient avec
 ténacité. Lorsque cette petite troupe
 tente de pénétrer dans la ruelle, où habite
 la famille de Gabriel les épaules des
 cavaliers touchent les toits des chaumières
 en chanvre. Ce fâcheux handicap oblige
 les cavaliers de mettre pied a terre et de
 guider les chevaux. Au bout de la venelle
 se découvre la chaumière de Gabriel. Une
 odeur de soupe épaisse ,  enivre le nez des
 visiteurs. Il n'y a plus de place pour circuler
 avec aisance. C'est pour économise que la
 surface est réduite, en été c'est la fraîcheur
 qui y règne et en hiver c'est le froid qui s'y
engouffre avec attention. 
- haut la, es tu la serf Gabriel ?

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- Oui bailli, quel bon vent vous amène ? 
- C'est le seigneur et nos soldats qui sont la ,
- Je viens de suite mon seigneur, venez entrez .
  Dans cette chaumière basse et avec peu
 d’espace, tout le monde ne peut suivre la
 trace du seigneur et de la princesse ainsi
 que le bailli, le grand père les invite a manger
 de l'épaisse soupe qui hume une odeur
 réconfortante et qui se trouve encore sur la
 table car nous n'avons pas terminé notre
 repas. Le bailli refuse ce pieux repas et le
 seigneur accepte une écuelle de bois de
 soupe pour la goûter. La princesse ne dit
 pas non et mange a mes cotés. Le bailli
montre sa mauvaise humeur en me scrutant
 comme un voleur. Malheur de boniment,
 mais, que me veulent ces braves
 personnes ? Je ne dis que ça doit être
 ma pauvre flûte en bois de rose ou de
 corne qui attisent la volonté de posséder la

25

 lire magique ? Le bailli féconde une source
 de mauvais sentiment, d'un air
 d’insatisfaction il me dit,
 - Serf Gabriel, la flûte de bois de rose ne
 provoque pas grand chose comme la flûte
 de corne qui pourtant résonne ? On a
 suivi vos indications et la princesse
 répond a votre âge , sa façon de jouer
 une lire ne rapporte la moindre magie.
 Gabriel refait nous une démonstration
 pour que le seigneur se rend compte que
 les flûtes sont magique. 
 - Je veux bien vous donnez la preuve de
 sa valeur, mais, il faut comprendre que
vos intentions doivent être sincère car le
 moine qui ma léguer son savoir avec une
 lire a pouvoirs .
   Gabriel prend la flûte en bois de rose entre
 ses doigts et sort dans la petite ruelle sans
 issu où les chevaux des soldats et des

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 visiteurs sont bloqué car ils n'arrivent a
 reculer. Il souffle une lire avec la flûte en
 bois de rose , et comme par enchantement 
 les chevaux font une marche arrière. La
 princesse tente d'en faire autant mais, des
 fausses notes sortent comme par
 enchantement.
La princesse lui dit,
 - Gabriel, ta flûte magique n'a rien de
 surprenant, c'est ta lire qui possède l'oracle
 de la magie. J'aimerai que tu m'apprennes
 cette mélodie pour que je puisse guider
 les animaux de la prairie et de la foret, car
 j'aime les regarder avec philosophie
 comme par magie pour comprendre
 leur liberté.
 - Je suis a votre service princesse et cela
 durant toute la journée devant les murailles
 du château coté sud. La , si le cœur vous dit
 je vous apprendrai la lire de la magie.

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   Les journées ne devenaient plus triste
 pour Gabriel qui, avec la princesse jouent
 une lire pleine de tendresse et d’allégresse.
 Les animaux  de la foret viennent se
 regrouper autour de la princesse et de
 Gabriel. La joie rayonne dans leur yeux
une magie qui les rend heureux comme
 celui de la liberté des animaux sauvage
 qui partagent . Lorsque l'âge de la fécondité
 résonna, il se marièrent et apprenaient a
 leurs enfants de jouer de la flûte de
 toute sorte. 












  La musique adouci le mœurs quant nous
 le chantons par cœur.


JJM


Auteur amateur Jean Jacques Mutz
écrit le 01 02 2011.


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