SALLE COMMUNE ( nouvelle 66 )

Mirage au dessus des nuages sage n 1.















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SALLE COMMUNE


             Notre partie de chasse se termine sur 
un tableau de tire bien garnie. L'on peut y 
compter deux chevreuils, trois sangliers, vingt 
lièvres et quinze volatiles donc trois faisans et 
douze perdreaux. 
  Pour une chasse bien garnie, notre
 satisfaction récolte l'atout d'une bonne foi.
Cette journée d'automne, humide et claire, 
s’achève sous le signe de notre victoire. 
  Je véhicule une profonde sensation de joie 
dans ma présence d’esprit qui m'incombe d'une 
allégresse sans pareille ; elle me déferre de mes 
soucies journaliers. 

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   Est elle volatile cette monté astérisque ou tout 
simplement fertile en sensation concluante de 
réussite ? 
  Je laisse passer ce stratagème comme simple 
virgule et compare cette suite comme étant le 
début de l'opposition, celle qui perturbe le bien 
être de l'activité d'une vie politique. 
     Bien entendu, je me dis que la suite de ma 
réussite , dans mon activité , a des chances de 
suivre notre tableau de chasse. Cette réflexion 
peut perturber certaines convictions qui ne 
sont pas toujours réelle dans la vie commune. 
Il faut que je me hâte pour retrouver celle qui 
me seconde dans la vie et lui faire part de cette 
journée chanceuse. 
  Je suis le premier de notre groupe de chasseur 
qui marque le départ de la maison de chasse. 
Sur mes pas je salue toute cette foule de 
rabatteurs et de compagnons de tire par un 
signe fait a bout de bras. 

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  La horde de chiens de cour , des chiens Bruno 
du Jura , chapardent les morceaux de viande 
que l'on a attribue. Ils émettent des aboiements 
puissant et des réactions violentes pour se 
rassasier de cette chair fraîche. Ils ne 
m'accordent la moindre attention sur mon 
départ. 
    Je pénètre dans mon véhicule tout terrain 
donc la carrosserie recouverte de boue la 
démérite. Un bon lavage lui redonnera sa 
juste valeur . Mes habiles suivent le même 
biais et je me sent tout terni, par cette  terre 
humide et collante comme une pâte.
    Le véhicule suit une route humide et 
glissante, je prête attention a chaque 
infrastructure pouvant détourner le 
comportement de mon automobile. 
   Les cultivateurs de la région rentrent le 
mais et les betteraves sucrière, souvent la 
chaussé glissante conjuguent des dangers a 

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éviter. Pour le moment ma garde possède 
une austérité indomptable mais, il arrive cet 
instant , où, je récolte l' instabilité qui devient
 incontrôlable. Je ne suis plus maître de mon
véhicule , il m'impose des mouvements 
contradictoires ; il me chahute sans 
compliment car il me traîne , avec des choques
brutaux , qui m’envoûtent vers le bas cotés de 
la route en faisant des tonneaux , pour 
terminer dans une position sur le toit ! !!
    Le ne suis pas au bout de mes peines car je 
tente de sortir de mon véhicule avec un regain 
d'ambitions prometteur. 
   Mais, une mare de boue pâteuse et collante 
m'enlace , j'ai de la peine pour pouvoir me 
bouger . Une profonde douleur conjugue mon 
incapacité avec celui de mes muscles devenu 
inactif. Mon subconscient me plonge dans une
inconscience total !

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    Je ne garde aucun souvenir de la suite de ce 
moment la et, me réveille dans les locaux de 
l'urgence d'un hôpital de la région.  Autour de 
moi, séjournent  une vingtaine de malades sur 
des lits d’hôpital. Certains ont leurs deux bras 
emplâtrés d'autres une de leurs jambes, ils se 
déplacent avec des béquilles ou des potences 
a roulettes montés de compte coûte de cérumen.  
Quant a moi , je suis allongé comme une 
serpillière avec mes deux jambes  enrobées 
de plâtre. Sacré journée que je viens de passer.


     Dans sa famille de viticulteur, l'on s’inquiète 
de la disparition. Il y a va de même auprès 
de certains nobles de la magistrature car, cette 
personne représente la vertu d'un précieux 
savoir faire ; pour la ville et toute la région ,  il 
en tient la clé principale . 
    Des recherches sont entrepris . A l’hôpital 
où eut lieu son admission, rien ne laisse définir

l'importance de ce personnage très salle et 
vétuste-ment habillé. Il ressemble a un paysan 
sans plus qui travaille la terre . Le personnelle 
soignant la placé dans une chambre commune.


    Après un véritable branle bas de combat, la 
police municipal retrouve enfin les traces de ce 
magistrat . 
  Malheur de malheur, une grande personnalité 
se trouve mélangé avec des simples de la vie 
actif ? Ses enfants ainsi que la magistrature 
ne tardent par pas a faire remonter des 
blâmes au directeur de cet hôpital.   
  Celui ci ne tarde pas pour venir faire ses 
excuses auprès de ce patient sur le compromis. 
Il lui propose de le loger dans une chambre 
alloué a des personnes de première classe. 
  Pour le malade il ne tient pas a ce qu'on le 
change de place et insiste  avec félicité, de rester 
avec les blessés de cette salle commune.

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   Son bon coeur trouve satisfaction auprès de 
l'ensemble du personnelle et des blessés qui se 
souviennent que pour chacun de leur repas 
une addition de champagne de renommé, leur 
était servi. Cette action remplissait de joie les 
blessés et le personnelle soignant qui le raconte 
encore a ce jour.
   Cette ritournelle grave dans nos souvenirs le 
partage d'une richesse avec des salaries , 
comme un signe de simplicité. 
   De tout coeur merci a la personne concerné, 
elle se souviendra de son partage resté dans 
les souvenirs du personnel soignant comme 
dans celui des malades souvenirs .



JJM

Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
écrit le 11 02 2011, remis a jour le 16 08 2019.
La nouvelle est en cour de construction des
changements peuvent suivre.


A ce jour, 11 02 2011,  1460 lecteurs 
A ce jour, 25 10 2018, 105 880 lecteurs.
a ce jour, 16 08 2019, 114 371 lecteurs.

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