PROPOSITION DE TRAVAIL ( nouvelle 78 )

Mirage au dessus des nuages sage n 1








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PROPOSITION DE TRAVAIL


       J'ai perdu tout espoir car, ma chance 
c'est engager dans un gouffre sans issu. 
Ma fortune vient de suivre le nuage de la 
discorde car mes avoirs ont tourbillonné 
vers des placements défectueux . Pourtant ,
 au départ, ils promettaient des coquettes 
et envieuses évolutions. Je me suis laissé 
berner par ce jeux pervers qui d'après leur
 calcules me permettait de me dispenser 
du travail manuel. 

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  Je verbalise la responsabilité à ces 
prospectus enthousiasment. Leurs miroirs 
dévoilaient des vagues de couleurs vive et 
romanesque fait d'expressions sincères 
attirant mon ivresse de gain vers une source 
envoûté d'une pénible défaite. Ma fierté 
m' éloigne de ma vie familiale.  Mon caractère 
s'engouffre vers une déstabilisation totale , une
sensation amère et rude , cruelle et injuste qui 
me tire sans ménagement vers des propos fait
 de tracas.
   Je pris la résolution de jouer dans les casinos, 
avec espoir de redresser ma situation mais, cet 
autre miroir se charge de me plonger vers une 
illusion sans modération. Des dettes de jeux 
me strangulent sans pardons. J'enfourche le 
destin d'une foule faite de gens simple. 
  Me retrouver dans cet univers ne peut y puiser 
la raison, il faut que je trouve la clé me 
permettant de noyer ma détresse en retombant 

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sur mes pieds. Un bienfaiteur serait le bien 
venu.
   Dans un casino, où reflète de nombreuses 
lumières dorée, je rencontre une personne bien 
renommé. Je l'appelle Paul, pour oublier son 
vrais nom et me laisser séduire par sa 
proposition qui me guidera, certain, vers la 
fortune. 
  Il me dévoile une action qui redressera toutes 
mes avaries. Mon moral retrouve sa gaieté et 
son ambition de conquérant . Le travail fait de 
simplicité ne vaux pas la somme qu'on me 
sollicite. Je garde pour moi sa juste valeur très 
confortable. 
     Mon travail consiste de conduire des 
personnalités entre divers casinos et hôtels. 
Pour ces actions la, je dois resté discret. Mon 
engagement prend une route sans déroute , je 
les suis  , lettres par lettres , mot par mot. 
    Les mois s'écoulent et mes capacités enlacent

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a merveille mes fonctions. Je conduis une 
voiture de 14 chevaux, un v 8 qui ronronne a 
merveille. Je maîtrise cette caisse, robuste, avec 
adresse et finesse. Je suis fière dans cette auto 
et mes compagnons m'envient .  
   Un soir, Paul me convoque pour me donner le 
plant d'un engagement important et me fait 
comprendre,
 - D'après mes renseignements, votre 
   dévouement mérite mes félicitations comme 
   votre savoir conduire. Pour cela je vous fais 
   part de la proposition suivante ; elle consiste 
   de conduire un couple d'une importance 
   primordiale dans la bourse, vers un 
   aérodrome discret qui se situe en bord de mer. 
   La route longe une haute falaise. Comme leur 
   situation financière détient une part importante 
   des actions  de la ( Compagnie internationale 
   pétrolière ) et qu'ils ont l'intention de retirer 
   leur placement, vous devez faire en sorte que

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   la voiture plonge accidentellement sans leur 
   laisser une chance. Cet enjeux détient 
   l’effacement de la prime de toutes vos dettes 
   de jeux et la somme finale promise. 
  Je réfléchi et pense aux risques sur ma propre
vie, je suis troublé. La promesse que j'ai faite 
a Monsieur Paul tient lieu, je ne peu reculer. 
Je n'ai aucune attache envers qui que se sois ,
 mes engagements surpassent mes sentiments. 
    Je connais la route par cœur et sais a qu'elle 
moment je peux provoquer l'accident pour que 
les occupants a l'arrière sont tué. 
    Le fameux transport se rapproche, une 
monté d'adrénaline perturbe mes réactions. Je 
suis tremblant mais prêt a agir.  
   Mon plant se perturbe car, un garde de corps 
accompagne le couple. Il envisage de se placer 
a mes coté. Mes intentions sont déstabilisé, le 
calcule du déséquilibre  de la voiture demande 
une toute autre version . Il faut que le premier 

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choque touche le garde de corps puis, les deux 
occupants qui devront certainement dormir a 
ce moment. La sortie de route dois se faire a 
vive allure. 
    Rien ne risque de troubler mon engagement,
 je suis prêt et l'heure du départ manque de 
précision. Cette interlude me donne certaine 
osé, par ce fait, je laisse divaguer ma réticence 
par la consommation de boisson alcoolisée. 
   Le garde du corps ne parle pas un mot de 
Français,  de toute façon sa démarche militaire 
laisse épanouir une tentions repoussante. 
  La nuit se fait sombre par la lune noir  et les 
becs de gaz qui laissent épanouir une faible 
clarté. Je prend un autre verre d'alcool et 
attend avec impatience dans l'hôtel. 
   Le garde de corps fait les cent pas avec 
nervosité. Je hais de plus en plus son 
comportement . Aucune source de désarroi 
ne peut me faire changer d'objectif, je ne suis 

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engagé a font. Têtu comme un breton et 
engagé comme un luron ma soif de réussite 
signe mon engagement comme un patron. 
   Ma haine sans ristourne active mes réactions,
quant vont ils venir ? 
   Enfin, le garde du corps me fait des signes.
 Je termine mon verre et suis l'ordre de chercher
 la voiture et me placer a l'entrée. 
   Tout dois se faire vite sans que les journalistes 
y prêtent attention. Le couple embarquent 
rapidement . Je ne leur prête nul attention. 
     La voiture prend la direction des  falaises . 
Je roule avec régularité depuis un bon moment,
pour semer les journalistes.  
    La route est longue et la nuit profonde ferme 
les paupières de mes trois occupants. 
   Me voila maître de mes engagements. Je me 
rapproche d'un château vieux de trois cent ans. 
Quelques virages m'obligent de ralentir je me 
laisse pousser par la puissance du véhicule.

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   la vitesse élevé du véhicule transforme celui 
ci en un objet déstabilisé. Le véhicule heurte le 
coté du garde corps contre les murailles du 
château. Le choque se répercute dans 
l'habitacle de la  voiture et un vacarme de 
toile froissé résonne dans la contrée.
   La voiture devient une balle rebondissante
 pour terminer sa course contre le portail 
de l'entrer du château. 
   Je perçois des gémissement a l'arrière du 
véhicule. Je suis étourdi et n'arrive plus a me 
bouger. Une douleur plonge ma vie dans le 
vide. 
    La faible lueur des becs de gaz restent les 
seul témoin de cette scène qui se termine en 
un bain de sang. 
   Ce soit la, il y eux quatre victimes ; voila 
la culture d'une réflexion qui prime le malheur 
dut a une préméditation.
    La conclusion dans les journaux donne 

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raison a l'accident banal, peu être que le 
mauvais sort fut la juste solution ?   


















JJM

Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
écrit le, 14 07  2019, remis a jour le 31 08 2019
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