L'HOMME VIRGULE ( nouvelle 64 )

Mirage au dessus des nuages sage n 1












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L'HOMME VIRGULE

     Connaissez vous ce petit pavions aux 
allures mondaine qui se trouve sur une 
bute d'où il fait charmer son assise entre 
des maisons d'un lotissement que l'on dit 
coquet ? Vous l'avez certainement 
aperçu, jamais il vous effleure l'idée 
qu'entre ces murs la, habite l'homme 
que je nome ( homme virgule ). 
   Suis je injuste de le nommer ainsi ? 
Mon attention vient du faite qu'il se 
permet de placer une virgule sur tous se 
qui frôle la marge d'une injustice ? 
  Il possède la vertu capable de défendre 
la valeur d'une honnête cause ; celle 
d'une balance pouvant faire le partage 
d'une juste égalité entre tous les 
humains.
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   Son habitation ne personnalise nulle 
apparence révoltante, au contraire, elle 
se mélange dans l'image d'un bouquet 
de bon sens qu'elle forme avec beaucoup 
d'indulgence. Dans son voisinage, les 
gens l'appellent le communiste, un sens 
qui ne signe nul outrage car la culture 
de ses pensées n’effleurent que des 
remarques égalitaire.
   L'année se termine, pour que nous 
puissions fêter la nouvelle année, Martin, 
l'homme virgule, nous invite autour de 
sa table pour que nous passons la soirée 
avec lui et sa famille. 
  Deux copains de ma classe 
m'accompagnent. L'on s'éloigne de nos 
dix sept ans pour glisser vers le poids 
d'une responsabilité que pèse la majorité. 
Notre avenir se laisse guider vers un 
engagement digne de propos attentifs.

Pouvoir exprimer nos valeurs avec 
d'autres personnes, caractérise la forme 
d'une recherche digne de notre bien être. 
Nos poches ne prime nul argent et cette 
man de bienfaisance tombe comme par 
enchantement. Je me suis permis 
d’acheter une bouteille de vin rouge pour 
ne pas venir comme un mendiant mais, 
mon argument ne mérite de soulagement 
car Martin y place sa virgule,
- Faire un geste pour bien se faire voir 
  c'est tenter d'acheter son entourage. 
   Moi je vous invite pour un partage, 
   celui d'un bien qui, distribué, mérite 
   un hommage. Notre présence a tous 
   est un signe de convivialité, je vous 
   en remercie du fond de mon coeur. 
    Il fait nuit a cinq heure et notre 
présence dispose d'un temps qui nous 
permet de consommer une accolade dosé.

L'on peut se servir a volonté et cela  sans 
qu'une remarque arbitraire n'entame une 
interdiction. L'on se gâte d'un peut de 
tout et notre pleine joie, entraîné par le 
volume de l'alcool consommé, nous 
plonge dans une zone rouge de parodie. 
Je me garde de ne pas dépasser mes 
possibilités en restant gaie jusqu'au 
soupé. 
  Une bonne soupe de légumes très 
chaude, fume avec allègement. Elle nous 
est servi avec honneur et fraternité. Il 
sens suit de nombreuses salades, des 
saucisses au multiple goûts et formes, des 
tranches de pain de campagne et des 
sauces au configurations divers. Notre 
faim disparaît rapidement pour remplir 
notre ventre d'arguments. Le dessert se 
compose d'une tarte aux pommes 
recouverte d'une riche couche de crème.

Le café sent le grain grillé et le schnaps 
la poire Williams. Nous occupons la suite 
de notre temps pour jouer aux cartes 
pendant une bonne partie de la nuit et 
lorsque minuit sonne, nous nous 
partageons nos vœux les plus sincère.
    Dans cette vaste salle a manger, une 
grande vitrine occupe toute la largeur 
d'un mur. Derrière la vitrine, une 
collection de scarabée, avec chaque 
terme scientifique, égaillent mes yeux 
et enthousiasme mon savoir. 
  Ma curiosité trouve dans cette valeur la 
formule d'un dialogue consternant les 
scarabées. Je suis surpris de constater 
que d'aussi impressionnantes sortes de 
bestioles puissent exister sur notre terre. 
Il y en a de toutes les couleurs, de 
différentes formes et de tailles 
caractéristique.

  Une autre collection attire mon regard, 
ce sont les couleurs des papillons sous 
des tableaux en verre. Sur une petite 
plaquette en cuivre sont marqué leur 
provenance venant de divers continents. 
Cette exposition provoque en moi une 
forte émotion voyageur car, je me laisse 
séduire par leur provenances et surtout 
de se panache de couleurs qui égaille 
leurs ailes.
  Martin se ravit de mon attention, il 
me fait part de découverte remarquable 
par des explications qu'il partage avec 
coeur. Je m'inculpe de ces paroles 
éducatives comme pour devenir 
l’apprentie de sa passion et de son savoir 
faire. En face de la vitrine, une vieille 
machine a écrire noir, aux frappes 
mécanique , une Italienne de la marque 
Oliveti, trouble ma curiosité. Je le
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questionne,
- Pour quelle raison utilises tu ces touches 
   a lettres Martin ?
- Chaque intention n'a de valeur qu'a 
   partir du moment où c'est fait par écrit. 
   Je ne peux laisser échapper de 
   remarques arbitraire qui peut détourner 
   la valeur de l'homme par la surcharge 
   professionnelle car, les ouvriers sont la 
   cible d'une injuste et continuelle 
   exploitation. 
   Je m’embrouille sans comprendre la 
juste raison de son récit, tout en suivant 
son pas jusqu’à la cave , et la , je 
découvre une montagne de vieux journaux 
classé dans un ordre numérique ? 
  Le dévoilement de cette richesse, le 
ravi . Je reste attentionné par plusieurs 
petites textes dactylographié . Je feuillette 
un petit recueil, d'une laideur ne donnant 
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aucune valeur administratif car la couleur 
de sa feuillure a jaunie comme les feuilles 
morte, l'écriture minuscule compresse des 
données . 
  Je tourne les pages avec un condiment 
d'abnégation. De son expression je ne 
rencontre aucune complication car son 
style impute les écarts que germe les 
anecdotes de la vie courante. Je me flatte 
d'une lecture riche en émotions, elle 
m’enivre sans modération. J'engloutis ces 
lignes fantastiques sur un vieux divan 
délavé et râpé.
   Le silence devient maître de mon 
entourage et des histoires sages naissent 
comme un vent de nuages. Je m'instruis 
de ses lignes qui deviennent, dans mon 
imagination, des images magiques. 
  Martin garde son silence , comme un 
timide qui reste en recule pour ne 
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souffler mots de ses ambitions. Pourtant, 
il guide les hommes vers des actions 
revendicatifs. 
  Son ennemie c'est la police, et les 
cadres, qui dirigent cet égoïsme vers 
un encadrement plus restreinte. 
  Je retient de ses écrits la mauvaise 
attribution de dividendes au monde 
productif. Il site  l'exemple d'une ruche 
d'abeilles où chacune suit une route 
différente pour mieux engranger. 
   Ce nuage fait naître une nouvelle 
colonie qui mérite de se diriger vers un 
autre manière de gérer l'égalité. 
   Fini les vieilles habitudes , un 
renouveau est nécessaire. Pour lui, 
l'ouvrier est considéré comme un 
élément productif sans plus. Il appelle 
cela, ( l'homme crépuscule ) car même 
a nuit, il doit produire.
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   Ses infatigables revendications nous 
entraînent au petit matin , le nouveau 
jour sonne un juste matin dans une 
nouvelle année où reprend l'histoire 
sans fin de la production et du gagne 
pain.


       Et l'homme virgule se tut ...



JJM

Auteur Jean Jacques Mutz, écrivain 
amateur.
Le texte est en cour de construction.
Ecrit le 06 02 2011, remis a jour le 07 07 2020.
A se jour, 06 02 2011, 1 447 lecteurs 
A ce jour, 22 10 2018, 105 700  lecteurs .
A ce jour , 07 07 2020, 125 063 lecteurs.
A ce jour, 15 07 2021, 155 750 lecteurs.

















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