A COTE DE LA CHAPELLE ( nouvelle 36 )

Mirage au dessus des nuages sage n 1















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A COTE DE LA CHAPELLE


    Dans le sud ondulé de l'Alsace , une 
région de France,de nombreuses villages 
parsèment les collines . C'est a cet 
endroit là que la chaîne des montagnes 
du Jura prend racine.
   Il existe des maisons a colombage plus 
que centenaire. Certaines enferment des 
souvenirs resté dans les moeres.

  Parfois ce sont des histoires légendaire 
au raisonnement arbitraire qui charme 
les habitations.Mais parfois se sont des 
histoires mûrissant des doutes ensorcelé.
   . Les souvenirs de ces habitants ont 
prit racines depuis de nombreuses années. 
L'on peu y recueillir autant de messages 
qu'il y a de maisons ; éparpillé comme par 
enchantement depuis la nuit des temps. 
Chaque coin cache sous son ombre le 
charme d'une anecdote fait d' actes de 
sorcellerie.
   Je vous fais part , dans la suite de ces 
lignes, une de ces présomptions que moi 
même j'ai constaté. Depuis cette maison
l'on peut voir une Sainte Chapelle qui 
laisse étaler son ombre, le soir venu, sur 
le terrain que nous prospectons. 
    Les tuiles en écaille rouge brillent sous 
le rayonnement de ce soleil printanier. La 
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journée est agréable et les senteurs de la 
nouvelles verdure nous rassasient de 
renouveau. 
    Monsieur le maire m'accompagne, il 
me guide pour l'acquisition des deux 
habitations que je visite avec attention.
   La première maison verbalise l'ossature 
d'un colombage triste et grisâtre, quant a 
sa façade elle sonne l'abandon , des ronces 
y ont prit racine.  Tout doit être réparé de 
la cave jusqu’à la pointe du faîtage, bref 
c'est une véritable ruine. Ma déception 
apparente cache des projets réconfortant,  
je remarque que son colombage est en 
chêne. 
    L'ombre saint de la chapelle l'eut protégé 
depuis lurette. Je suis prêt a m'engager  
vaillamment pour entreprendre sa 
restauration. A partir de ce moment la je 
récolte le reflex de laisser apparaître une 
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amertume ; mais je garde caché dans mon 
coeur une version contradictoire. J'ai l'esprit 
conservateur pour ces habitations qui ont 
endossé la marque de plusieurs centaine 
d'années. Elles méritent toutes de continuer 
l'aventure en leur accordant notre respect.
   Nous visitons la cave et la, mon attention 
ce prime d'une valeur de la présence d'une 
source d'eau limpide et claire. 
   Cela m'hypnotise inlassablement. De 
nouveaux  projets prennent forme, et mon 
ambition conservateur fait vibrer mes 
pensées. Je dis a monsieur le maire, 
    - Monsieur le Maire, il y a beaucoup de 
      réparations dans cette habitation, pour 
      moi je ne vois qu'une ruine et je pense 
      que le prix que vous demandez dépasse 
      la valeur  de mon estimation.
     -  Monsieur l'acheteur,  je vous ai bien dit 
      que nous pouvons discuter sur la somme

      à débourser. 
    Mon objectif consiste de faire baisser le 
prix car preneur je suis mais de la a payer 
une somme aussi élevé demande une 
réflexion !
-    Monsieur le maire, quelle est votre mis
     a prix ?
-     Je dis 30 000 francs pour celle ci et 
      20 000 francs pour l'autre. Les deux pour
      50 000 francs.
   Devant une maison, pas loin de la chapelle
une vieille dame, avec une allure distingué, 
suit notre conversation. Elle nous souri 
comme pour nous faire un compliment. Je 
la salut respectueusement.
  L'on se dirige vers la seconde habitation a 
colombage qui se situe a cinquante mètres 
de la première. Elle ressemble a une triste 
ruine, bien plus triste que la première. Ma 
conclusion devient arbitraire ; je ne peux 
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garder celle ci, son état lamentable dénonce 
le traça. 
-    Monsieur le maire cette masure ne vaut 
      pas les 20 000 francs que vous me 
      demandez. A la vue de ce colombage
      dépareillé et rongé par la moisissure 
      cette battisse ne vaux pas un clou. Un
      investissement important pour sa 
      réparation signe sa destruction.
-   Monsieur l'acheteur, je vous comprend 
     mais deux maisons pour 50 000 francs
     c'est une affaire.
   Je ne pourrai les réparer toute donc je 
pense que de deux habitations je pourrais 
en faire une. Je garde dans mes réserves 
mes intentions . 
   En prenons le courage de pénétrer dans 
cette masure je remarque de grand trous 
béants aussi bien sur le toit que dans la 
façade où un manque important de torchis 
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provoque des courants air. Le pisé jaune 
restant est sec et poudreux. Le passé a 
laissé des traces, une flagellation marque 
tout le recoins. La porte d'entrer se 
désaccouple de ses gonds. La rouille eut 
raison des charnières qui ne tiennent plus 
que par la masse de sa corrosion. Je tente 
de l'ouvrir, la porte se détache impunément. 
Une forte odeur de pourriture enivre mes 
narines, la moisissure est maître des lieux. 
Pas de doute, il dois y avoir une colonie de 
rats ? 
   Un instant de répit provoque une hésitation , 
un fluide pervers me repousse instinctivement. 
L'incertitude provoque mon attention, car, la 
stabilité du sol se fragilise sous mes pas. 
Monsieur le Maire c'est gardé d'y pénétrer, il 
m'a donné main libre dans toute mes 
explorations.
   Dans certains endroits,mon analyse 
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découvre des enfoncements du plancher , 
cela me permet d'entre voire une partie de la 
cave. Je ne m'y aventure point . De vaste 
toiles d'araignées me barrent ma démarche, 
je suis obligé de me débarbouiller mes 
cheveux. 
   Mon visage ressent ce tissage poussiéreux 
qui vibre au moindre déplacement d'air. Cette 
soie a envahit ma tête en si fixant. Mon 
courage ne rencontre une alternative qui 
pourrai repousser mes intentions. Je continu 
ma  découverte dans cette maison hanté par 
le malheur qu'avaient subit ces anciens 
habitants. 
   Monsieur le Maire m'eut  fait part de ces 
nouvelles, sur ceux, il garde ses pieds a 
l’extérieure de l'habitation. Ses impératives 
ne freinent en rien mon objectif car je me 
laisse guider par la lumière des rayons du 
soleil . Je réussi avec mille attentions, 
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d'atteindre l'escalier qui me permet de visiter 
l'étage du dessus. La aussi je retrouve un 
voile de toiles d'araignées enduit de poussière. 
Je me trouve dans le royaume de l’amertume 
et ma crainte fait fortune, mon appréhension 
ne conjugue que peu de bravoure.
   Je me hisse en prenant mon équilibre 
contre la rambarde . Elle aussi est instable , 
a ses pieds une emplette de petit tas de sciure 
fine dénonce le travail des termites du bois. 
Je rencontre une multitude de nids de pigeons 
sur les poutres , aussi que des niches 
d'hirondelles dans les recoins du grenier.  
   Sur le moment je garde un arrêt comme 
pour se laisser guider par un envoûtement 
diabolique, puis, je distingue , tapis dans les 
poutres faîtière, une myriade de chauve-sourie 
qui se sont mariée dans la partie sombre de 
la charpente. 
  Un hulule ébouriffe ma coiffure je cultive une 
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peur germé par ce Grand-Duc qui vient de 
déployer ses ailes. Ce hibou vient il m'avertir 
d'un danger ? Je tergiverse rapidement car 
je descend de ce grenier sans prendre d'autres 
remarques. Les vibrations de mes brusques 
pas font trembler toute l’ossature de la 
masure. 
   Je viens de chambouler le rythme de la 
vie de ces habitants .
   Je ne tarde pas et retrouve Monsieur le 
Maire qui m'attend avec impatience 
accompagné de la vieille dame qui me 
regarde d'un air médusé. Je laisse 
émouvoir mes remarques sur mon inventaire. 
Ma fierté garde sa noblesse et je reste 
ferme sur l'intention d'acheter les deux 
maisons .
 -   Avez vous pu vous rendre compte de 
     l'état et de la valeur de cette bâtisse 
     monsieur l'acheteur ?
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 -   Qui monsieur le Maire, je suis preneur 
     des deux chaumières malgré que leur
     état est déplorable et que les réparations 
     nécessite un fond important. Le 
      capricorne a prit racine ainsi que la 
      vermine. Je  m'engage a sauver l'une 
      d'elle seulement ci vous me cédez les 
      deux pour un prix raisonnablement 
      moindre que la somme que vous 
      m'avez dictée.
  -     Je vous ferais part d'une réponse dans 
        les jours a venir monsieur l'acheteur. 
   Le Maire prend congé et la vieille dame 
reste auprès de moi. Elle me questionne 
avec respect !
  -     C'est vous qui devenez le future 
         propriétaire ?
  -      Peut être, madame, mon hésitation 
         dépend du prix qu'on me propose !
  -     Je ne pense pas que vous faite une 
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         bonne affaire monsieur l'acheteur, car 
         dans cette habitation la, il y vécu une 
         sorcière.
  -      Une sorcière, mais qu'a d'elle fait pour 
          que l'on la traite de sorcière madame ?
  -      C'est une longue histoire et tous les 
          anciens du village la connaissent. 
   Ma curiosité ne peut laisser enfuir une 
aussi bonne source d'apprentissage. Cette 
vieille dame possède la trace d'un passé riche 
en révélation. Je me garde d'aucun retrait de 
conversation, son histoire m'inspire une réelle 
confiance. Je pense que ce qu'elle va me 
dire porte le fruit  de ma curiosité.
 -    Comment savez vous que ces deux 
       maisons sont hanté Madame ?
 -    C'est une longue et vieille histoire, les 
       jeunes de nos jours ne la connaissent 
       plus. La maison que vous venez de 
       visiter est la maison mère de la sorcière. 
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      Cela fait de nombreuse années qu'elle 
       nous a quitté. Le jour de sa mort, comme 
       elle ne voulais pas de cérémonie 
       religieuse , les villageois n'ont fait que 
       l’accompagner jusqu’à son dernier lieu 
      de repos sans les sacrements. Durant 
      la marche, les personnes prétendaient 
      entendre des coups de pieds venant du 
       cercueil. La stupéfaction envahissait le 
       cortège , intrigué, les personnes  allaient 
       prévenir  l'ancien  Maire du village. Celui 
       ci fit signe de continuer comme ci rien 
       n'était. Elle n'était aimé de personne car 
       tout au long de sa vie elle eut jeté un sort 
       a tout les habitants du village. La maison 
       que vous avez visité en premier possède 
       aussi  un sortilège. 
   Mon intrigue fait volte face, je suis entrain 
de récolter la chaleur de ma curiosité ; cela 
pourra me servir d’argument pour mener le 
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prix de mon achat .
 -     Madame, c'est bien sous ce toit que 
       vivait la sorcière ?
 -      Bien entendu et sa puissance exerce 
        encore son pouvoir , je vous dis cela 
        car cette maison fut déjà vendu a un 
        jeune  couple il y a de cela une bonne 
        vingtaine d' années . Leur courage et 
        leur ambition était grand , ils voulaient 
        en faire leur habitation principal. Leur 
        engagement dura peu de temps car 
        suite a un accident de la circulation le 
        mari restât cloué sur une chaise 
        roulante, la moitie de son  corps 
        paralyse. Ils n'avaient plus de 
        ressource et les charges les 
        terrassaient d’impôt. Les tribunaux 
        leur donnaient tord et leur  volonté n'eut 
        plus raison d’être. La commune mit la 
        main sur ce bien et l'autre habitation qui 
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        était aussi a l'abandon.
 -      Madame ceci n'est qu'un malheureux 
        hasard 
 -      Monsieur, l’envoûtement de la sorcellerie 
         continuât car a partir du moment où la 
         commune acheta  les habitations le
         malheur engrangea la population toute 
         entière. Les jeunes fuyaient vers la 
         ville pour trouver du travail ; les paysans 
         laissaient en friche leur bonne terre et la 
         commune ne récoltait peut de finance. 
         l'école fermait sa porte comme le bistro . 
         La défaite a fait de grand pas , les 
         derniers habitant du village ont fait 
         pression auprès de la commune pour 
         qu'elle vende ces deux habitations.
 -      Ci je comprend bien c'est pour cette 
         raison que la commune vend ces 
         deux maisons.
 -       Oui Monsieur
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 -       Mais Madame, l'autre maison est elle 
         aussi la demeure d'une sorcière ou 
         d'un sorcier ?
-        La seconde maison possède un 
         mauvais sort ,elle fut damné par la 
         sorcière qui l'eut envoûté.
-       Qu'elle sont les signes qui définissent 
         son envoûtement ?
-        Avez vous remarqué que dans la 
          cave coule une source .
-        Oui, et l'eau est claire comme de 
          l'eau de roche.
 -       C'est ce que vous pensé, mais elle 
          possède un pouvoir maléfique, elle 
          provoque des rayonnements nuisible. 
          Les personnes qui en boivent ont des 
          troubles psychique. 
    Je reste perplexe sur ses indications qui 
m'intriguent profondément. Dois je croire 
cette personne ? Je reste figé sur une 
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confusion total. Je quitte cette personne 
avec comme intention de ranger dans les 
oubliettes ce que je viens d'apprendre.
   Ma langue exprime sa liberté , je ne tarde 
pour raconter mon savoir a ma belle sœur 
sur toutes les malédictions qui engendrent 
ces deux maisons car c'est elle qui veut en 
devenir la propriétaire. Elle ne prête son 
attention sur mes remarques et me fait 
comprendre que ce ne sont que des 
supercheries. 
    De la manière qu'elle m'eut exprimé son 
indépendance laisse virevolter en moi des 
sentiments non convainquant. 


     Les semaines s'écoulent et l'achat se 
fait avec bonification sur la mise a prix. 
J'eus évoqué les malédictions et la 
commune eut baissé la valeur marchante.
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     Avant d'entreprendre la démolition de 
cette habitation lugubre de la sorcière, nous 
entreprenons une fouille minutieuse. 
   La perceptive de recherche se base sur 
les paroles de cette voisine et sur les 
indications que nous ont révélés d'autres 
personnes comme le curé de notre village. 
Il s'agit de retrouver impérativement un 
livre dans lequel sont renfermé les écrits 
sur les sortilèges qu'elle eut sécrété. 
  Je ne suis pas influencé par les croyances 
d'autrefois, je me laisse guider par les 
réactions de ma belle sœur très perturbé. 
Son comportement enlace un point critique 
car elle eut  pris part de toutes les paroles 
concertants le sujet de la sorcellerie . Selon 
elle, dans ce rituel on peu rencontrer la 
transfiguration qui dénonce le diable et le 
curé pourra y remédier.
     Nos recherche se transforme en une 
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effarouche conspiration. Notre premier 
objectif consiste de détruire par les flammes 
nos trouvailles. Un grand tas fait de meubles, 
de papiers de famille, de lettres, de photos 
et habilles, sont rassemblé sur les ronces 
qui poussent sur le terrain entourant cette 
bâtisse pour en faire un bûché purificateur. 
   Ma curiosité se laisse détourner par cette 
sédition et je me permet de lire tous les 
papiers que j'arrive a traduire. Puis je 
remarque des archives de notaire datant 
de 1900 et de vieilles cartes d’identités plus 
ressente qui dénoncent  une coïncidence 
avec le non et le prénom du mari  de ma 
belle sœur ?
   Cette découverte engendre des 
suppositions, ils m'intriguent profondément.  
Notre bûché a prix feux on y jette les papiers 
malfaisant ; puis nous continuons nos 
recherches empiriquement sans perdre le
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sens de nos intentions.
 -    Il faut brûler tous ce qui rappellent un 
      éventuel rapport avec les anciens 
      propriétaires de cette maison, ne 
      perdons pas notre temps nous fait 
      savoir ma belle sœur. 
     Elle exprime cela d'une manière envoûté 
par une croyance qui la trouble 
psychologiquement. 
   A partir de la ses nuits devenaient le refuge 
de songes envoûtants et intolérables.  Ses 
yeux sont irrités et ses réactions endiablés. 
Elle juxtapose la sorcellerie de sa déraison 
avec ses rêves. Une hantises indomptable 
la flagelle dans ses pensées. 
    Nous entreprenons la démolition du toit .
Les tuiles plate se fracassent les unes sur 
les autres dans une poussière volatile. Elle 
pénètre dans nos narines et nos 
sous-vêtements, nos cheveux sentent le 
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rance. Notre action fait apparaître la clartés 
du grand jour . Les recoins sont mis a la 
lumière et les oiseaux ont tous fuit notre 
chambardement.
   L'ensemble de ma peau me démange et 
mon nez pique; mes cheveux sont devenu 
grisâtre  et un brouillard de poussière rend 
la visibilité limité a un pas. Mes mains 
aussi noir que celle d'un ramoneur 
dénoncent le maléfique de cette habitation.
   La démolition de la couverture a prit fin. 
L'on se dirige vers la première habitation 
dans sa cave pour pouvoir se laver les 
mains a la source . 
    Ma belle sœur n'est plus emprises par  
son envoûtement. La joie sur son visage 
récolte le charme d'un réconfort. L' on se 
retrouve tous devant la source d'eau , plus 
une seule goûte d'eau ? 
    Notre attention est stupéfié par cette 
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sécheresse de la source ? Avec mes deux 
seaux en plastique, je part retrouver la 
voisine pour pouvoir nous laver. Mon 
désappointement rend mon langage bien 
curieux car je lui demande,
-     Est il normal que la source ne coule 
      plus dans la cave de cette maison la ?
 -   Cette source la n'a jamais cessé de 
      couler une eau limpide et fraîche mais, 
      il se peut que le sortilège qu'eut prédit 
      la sorcière vient de s'échapper du toit 
      de sa maison vue que vous venez de 
      l'arracher. 
  Je me demande pas plus et lui donne 
mes deux seaux pour les remplir. Je ne 
souffle un seul mot a qui que ce sois et 
garde dans le profond de mes doutes une 
certitude que la sorcière a bien existé. Tous 
ces nombreux hasards sont le signe de 
ma croyance.
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     Avec travail et ambition la première 
maison devint charmante et son colombage 
réveille un cachet digne des plus grandes 
réussite. Ma belle sœur garde son caractère
 joyeux ainsi que mon beau frère. Rien ne fait 
croire qu'une trace reste gravé dans leur 
comportement ; toutes les superstitions se 
sont envolé ?


   Cela fait quatre années que cette histoire 
eu lieu et jusqu’à la aucun rejeton ne vit le 
jour dans cette maison. Le couple est bien 
équilibré point de vue santé, révèlent les 
analyses médicaux. Cette remarque 
déséquilibre le couple qui divorce . 
    Quant pour moi je suis convaincu qu'ils 
sont sous l'envoûtement de cette sorcière 
a qui ont a détruit la maison. Voila un acte 
de vengeance digne de sa part j'en suis 
certain. 
     Mais l'histoire ne s arête pas la ; lorsque
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ma belle sœur devient mère avec comme 
père un autre mari, l'enfant qu'elle mit au 
monde ne vécu que 20 mois, un matin ils 
l'ont trouvé mort dans  son lit.
   En cumulant toutes ces conclusions aussi 
apocryphe je me demande ci moi aussi je 
suis envoûte par cette sorcellerie. ? 
   - 
  





JJM
   La nouvelle est en cour de construction 
des changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
A ce jour 17 11 2010, 814 lecteurs .
A  ce jour 09 07 2018, 103 696 .
A ce jour, 23 08 2020, 128 498 lecteurs.
A ce jour, 31 03 2022, 168 702 lecteurs.

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