LA SOUCOUPE DÉDALE ( NOUVELLE 16 )


mirage au dessus des nuages sage n 1












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LA SOUCOUPE DÉDALE

Mes inspirations manquent d'imagination, je cherche 
en vint une phrase qui comporte un mot, celui qui 
permet de dissuader mon adversaire.Tout le long 
du chemin, je tente une prolificité de paroles 
romancier ! Rien ni fait et cette défaite sème en 
moi un interstice infra. Ce ne sera pas ainsi que 
je baisserai les ailes .
        Je parviens dans l'allée du château par une
 nuit sombre; je contourne ma collection de rosiers 
pour ranger ma voiture dans la grange servant de 
garage. Elle se trouve en face du château. C'est là, 
sous l'ossature en bois de chêne de ce bâtiment,

je peux y laisser émouvoir mes pensées que je 
rédige dans mon cahier. 
   Je ne sais pas ce qui m'inspire mais, une fluidité 
pervers de conspiration enivre mon savoir. Il faut 
impérativement que je trouve la phrase concrétisant
qui me soulagerai de toute pervertissement, vis a vis 
de ceux qui tentent de me corrompre au regard de 
la loi ?
      Mon étonnement ce soir se comble d'une parabole
extraordinaire ! Je rencontre une sorte de fluide 
parégorique, en sortant de la voiture. C'est une 
nuance de lumière, sous une forme ovale,  majestueux
 et enivrant. Elle envahi une bonne partie de mon parc. 
Ma curiosité entraîne mon attention qui se laisse
hypnotiser par ce fabuliste mirage volumineux. 
    Je suis guidé par cette onde impulsive et ne peux 
tenir tête. Je suis entraîner vers cette luminescence
reflétant, une force attractive qui m' hypnotise.
   Cette sensation de découverte et de curiosité détient 
ma raison. Je deviens l'apôtre d'une conspiration 
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mené par je ne sais qu'elle intention . Dans mes 
pensées une roulade d'exhaustive devient le fil 
conducteur de mes réactions. Je ne trouve de force 
contradictoire a mes gestes et ma laisse entraîner 
vers ce noyau qui ironise mon comportement.
   Me voila dans l'âtre de cette effervescence de 
lumière où il n'y a plus de distance. Il me semple 
que je me trouve dans un nuage opaque, où mon 
corps ne nécessite plus d'effort . 
    Des ondes ironisent mes pensées vers des 
inspirations aléatoire. Comme une plume je me
déplace sans le moindre bruit. Je devine des zones
d'ombres qui épousent de temps a autre des couleurs 
tangentes. Mon inspiration suit un comportement 
étrange. Cette attention me guide vers ces signes de 
rapprochement. 
   Je répond a cette valeur fondamentale de contacte 
par mon langage. Une gamme de faisceaux 
compréhensible se mut de mes pensées. Je les 
capte comme un habitué. Une conspiration de

curiosité s'échange alors. Ce pathétisme se
remplit de courtoisie passionnante. 
    Le partage d'informations démarre sur la valeur 
nutritive des humains de la terre. Je leur laisse 
émouvoir un registre de termes qui ironisent le 
médicale, ainsi que la culture et les rapports 
psychophysiologique de notre comportement. Je ne 
rencontre aucun trouble qui puisse couper cour a 
nos échanges de renseignements. Durant cette 
correspondance je cultive une protéine intellectuelle 
ne nécessitant le moindre effort ?
      Depuis combien de temps ma coopération guide 
leurs exigences  ? Tout mon savoir se trouve dans leur 
mains, ils deviennent mon tuteur, pour quoi récoltent 
ils toutes ces indications ? Et pour quelle raison ne 
récolterait ils pas la juste haine qui  fait détourner 
l'instabilité en flagellant le bien être de notre terre ?
    Mes pensées ne tombe dans les oubliettes, au 
contraire un retour de réponse irrigue mes pensées. 
Des conclusions forment des probités persuadent 
mon savoir. Ces semblables viennent d'une planète 
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conforme aux signes d'évolutions que parcours notre 
terre autour du soleil. 
    Leur planète est continuellement caché par le soleil. 
Il existe une différence, leur évolution intellectuelle 
dépasse le notre. Ils me fait comprendre que leur 
visite régulière récolte des informations sur notre 
évolution intellectuelle.
      Me voila sur  un objectif évolutionniste je dois 
impérativement rapporter a mes semblables toutes 
ses données. Mes pensées ne rencontre la moindre 
interligne et, comme dit, je me retrouve sur mes 
précédents pas. 
      Je me trouve dans le fluide de cette immense 
lumière qui m'entoure. Le poids de mes pieds se fait 
ressentir a chaque mouvement  et plus je m'éloigne 
de cette fluidité plus mon corps devient encombrant 
et pesant. 
    Les rosiers de l'allée sont merveilleux et le château 
splendide de clarté. Toutes les lumières sont allumé, 
ils doivent m'attendre car mon retard a dut les inquiéter.

     Avec une immense  joie dans le coeur et une 
gaieté envoûtante de nouveautés, je monte les 
marches a grande enjambées. Mes pas se fond 
lourd et une fatigue m'enivre. Mes paupières se 
baissent a plusieurs reprises. Mon estomac crie 
famine et mes pensées se trouble. Je me trompe de 
porte car elle est fermé a clé ? Ma tentative reprend 
une nouvelle perspective qui me guide vers la grande 
porte vitrée, elle donne sur la belle salle a manger.
     Une impulsion étrange trouble mon état ? Peut être
que la faim provoque l' incohérence de mon savoir ? 
Je tente de pousser la porte, elle est fermé a clé ? 
Blizzard,que de me trouver devant cette porte fermée 
a clé ; Je tire sur la poignée du tirant de la cloche.
 Le son se répand vibrant dans l'intérieur du château, 
puis, je vois une personne d'un âge avancé, qui vient 
a ma rencontre. Ce doit être une nouvelle venu que 
ma femme a dut engager ce matin ? Je la trouve 
présentable. Elle ouvre la grande porte de la salle 
a manger puis me demande.
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    ( - c'est a quelle sujet Monsieur ?
      - j'aimerai rentrer chez moi Madame 
      - mais qui êtes vous ?
      - je suis monsieur Solar de Cris
      - bonsoir monsieur mais, il n'y a plus de famille 
        Solar De Gris dans le château, cela
        fait déjà vingt années que leur fille est morte 
        et que le château fut vendu au enchère.
      - Ma fille est morte mais elle a eut a peine dix 
        ans ce dimanche ?
      - Vous devez vous tromper d'adresse monsieur, 
         cela fait de nombreuses année qu'un enfant 
         n'a joué par ici ?,?,?

    

                                                              JJM
  La nouvelle est en cour de construction, des 
changements peuvent suivre. Auteur Jean Jacques
Mutz écrivain amateur.
Ecrit le 12 03 2010, remis a jour le 14 09 2020.
A ce jour, 14 09 2020, 130 001 lecteurs.

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