LE LIVRE MAGIQUE ( nouvelle 52 )

Mirage au dessus des nuages sage n 1.















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 LE LIVRE MAGIQUE


    Un minable ouvrier, écrivain amateur , avec 
fois mais sans fortune, eut fuit la grande ville 
pour cultiver en pleine campagne son inspiration. 
   C'est bien la que la sagesse trouve la noblesse 
d'une richesse créative. Il tente de puiser, dans la 
source de ce puits populaire, des idées venant de 
toute la terre. 

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    La nature environnante détient la clé de sa 
vitalité car exprimer des anecdotes sur cette belle 
région se priment de rebondissement. 
   Par son écriture ,  il met en mémoire cette 
source inépuisable d'histoires rocambolesque. 
Son talant va de pers ce qui le rend  fière car le 
voisinage lui confie leurs souvenirs.
    Il donne une valeur a leurs histoires qu'il 
enregistre avec honneur. Ce pacte devient une 
confession de satisfaction aussi bien pour lui que 
pour celui qui le confie. 
    Comme un colporteur il parcoure la région  a 
la recherche de ces contes ou nouvelles qui le 
passionnent. La personne qui la lui rapporte, s'y 
replonge profondément , jusqu'à partager leur 
estime. 
        Pour pouvoir mettre en édition toutes ces 
belles nouvelles,  une ristourne financière pas 
négligeable pour le commun des mortelles, est 
nécessaire. 

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    Les maisons d'éditions demandent des sommes 
faramineuse pour pouvoir éditer ; ils récoltent, 
par contre une ristourne facilement gagné sans 
y mettre un brin  de leur finance.  Donc, trouver 
un sponsor, devient la solution idéale pour 
pouvoir se faire éditer. 
   Sur ceux, les bonnes paroles sont la clé de la 
réussite , comme ce baratin capable d'apporter 
dans son aventure un mécène. 
   Un jour l'écho de son ambition séduit l'attention 
d'une Dame fortuné qui ,  par son savoir faire, se 
propose de  soutenir ses éditions ; mais il y reste 
une petite condition ? Elle lui en fait par,
- J'ai entendu, monsieur l'écrivain, que vous 
   écrivez des histoires et des contes du voisinage . 
   Vous mettez en valeur les mémoires de notre 
   passé et de notre région. 
- Oui madame, je les écrit avec ma plume, elle ne 
  se lasse point de toute cette fortune qui représente 
  mon seul héritage ! 
- Monsieur le rapporteur d'histoires , ne faudrait 

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  il pas une autre valeur que la plume pour votre 
   savoir faire ?
- Bien entendu, il me faut du papier, de l'encre et, 
   une multitude d'histoires a rédiger !
- Ça je suis convaincu, mais pour financer la 
   parussions ? 
- La, madame,je ne suis pas sur la bonne voie et 
  un mécène serait le bien venu !   
- Vos histoires me donnent des émotions que 
   j’apprécie, je suis prête a vous financer leurs 
   parutions. 
- Madame, votre attention cultive mon courage 
  car je suis prêt a vous rédiger de nombreux 
  textes fêtent de belle histoires.
- J'approuve vos intentions , monsieur l'écrivain, 
  et vous propose que vous m'écrivez dix  de mes 
   nouvelles sur des résumés que je vous dicterais. 
   Vous avez une plume en or, un langage de 
   velours et, un partage d'expressions qui 
   méritent que toute la terre vous considère 

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   comme un élu de la bonne expression. Pour que 
    suive notre élaboration vous devez accepter la 
    proposition suivante ; au premier paragraphe 
    de chaque nouvelle, je vous dévoile la marge a 
    suivre sur l'emplacement d'un livre de mémoire, 
    un véritable trésor. Les écrits proviennent des 
    archives romanesques de notre château et cela 
    depuis sa construction en 1400 . Mais comme 
    tous les trésors, il faudra que vous écrivez  les 
    indices qui permettront de découvrir le code 
    d'entrée, il devrons figurer  dans le premier 
    paragraphe de chacune des dix histoires. Je 
    lirais ces lignes et ci un indice indique 
    correctement le chemin du trésor je vous en 
    ferais part. Suite a cela ,je vous fais donc de 
    cette œuvre manuscrite ainsi que les finances 
    nécessaire pour toutes vos parutions. 


     Son langage me flirte philosophiquement , je 
suis comme troublé par sa proposition et me 
laisse séduire . Je suis plongé dans mes songes et 
trouve dans cette fortune  l'avenir d'une 

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expression digne d'un écrivain amateur reconnu. 
Je ne tarde pas pour lui faire part de mes 
intentions et accepte avec honneur sa proposition.


     Je rédige de nombreuses aventures comblé de 
signe de vérités ainsi que les résumés d'histoires 
que cette Dame m'eut confié. 
   Le volume de mes pages prit une ampleur digne 
d'une bible de plus de mille pages. 
   La dame vient un jour récupérer mes écrits quelle 
emporta au château pour les lire. Elle revient une 
semaine plus tard et me fit part,
- Dans une de vos histoires il y a un passage qui 
   révèle une partie de la cachette sur les recueilles 
   qu'ont écrit les barons successive. La phrase est 
   la suivante, ( il prit une corbeille qu'il remplit de 
   toute sa valeur d'argent frappé sur du papier, il 
   recouvre cette masse d'un tissu pour que ce 
   papier ne puisse être emporté par la moindre 
   bise. ) Bon travail jeune homme, vous venez de 
   révéler dans vos dix nouvelles l’emplacement où 
   se  cache les recueilles du château aussi que son

   or. Je suis prête a vous léger cette fortune.
 - Je suis flatté par votre donc et  vous remercier 
    grandement madame. Les recueilles édités sont 
    les bien venu mais l'or je n'en ai pas besoin car 
    la valeur de mes écrits a prit une telle richesse 
    que les gens du monde entier les comprennent 
    avec simplicité.

JJM
     
La nouvelle est en cour de montage, des 
changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
Ecrit le 10 01 2011, remis a jour le 19 02 2020 
  


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