LE CONTRAS DE LA DÉCISION ( nouvelle n 73 )

 Mirage au dessus des nuages sage n 1.










1


LE CONTRAS DE LA DÉCISION


             Il fait sombre et devant moi, une lueur 
indéfinie guide mes pensées. Je suis a demi vivant 
devant cette porte de la décision, qui de surcroît 
me guide vers une hésitation, celle de suivre la 
vie humaine, celle de ma propre vie avec tous 
ceux qui m'entourent.

2  

   L'amour est plus fort que la douleur , plus fort 
que la mort ci l'on peu décider de la suite de notre 
vie.  Je me pose cette réinterrogeassions avec une 
puissance qui surpasse le commun  des mortelles . 
Je suis devant la figure du tout puissant qui lui 
seul  puisse m'aider pour pouvoir poursuivre  
ma vie.
     A mon chevet,   les médecins donnent leur 
diagnostique sur la santé me concernant.
  - Il est plongé dans un comma profond  son 
    cœur résiste miraculeusement, seul son 
    subconscient peut dépasser ce stade avancé 
    de son traumatisme. Ses nombreuses fractures 
    de la tête, des cotes, des ses jambes et des bras 
    l'ont plongé dans une absence totale . Il ne 
    donne plus de réaction depuis huit jours , il est 
    absent. Ci aujourd'hui il n'arrive pas a 
    surmonter ce cap, il sera  probable que sa boite 
    a image ne répondra plus correctement. 

3

    Je capte ses remarques comme un message 
venu des vivants, plus précisément de ses gens 
qui m'assistent consciencieusement.  Sans eux, je 
suis perdu, mais sans ma volonté de combatte la 
mort et mes souffrances, je le suis aussi et puis 
il y a encore l'appelle de l'éternelle cette après 
vie  qui tôt ou tard nous unie. 
    Mais la volontiers de continuer de vivre 
dépasse celui de l'éternelle. La raison est simple, je 
n'ais que 23 ans et vient de me marier. L'envie de 
fonder une famille me donne cette raison d’être. 
Plus forte que la décision de disparaître. Le tout
puissant décide des actes qui parfois sont injuste,
pourquoi t'elles ou t elles personnes doivent  
disparaître avant une autre ? Cette remarque ne 
passe pas inaperçu et le tout puisant me fait une 
proposition. Je l'écoute avec attention,

-  Tu es juste et raisonnable, comme ta volonté 

4

  me demande de rester en vie et que tu trouves 
    injuste lorsque je décide que t'elle ou t'elle 
    personne doit quitter ce monde, je te fais une 
    proposition qui  consiste de me donner le nom 
   de la personne qui sera la suivante, ce sera a 
    toi de désignerez a ma place qui fera  le pas 
   du non retour . Il n'y a pas d'âge a définir toi 
   seul en tiendra la clé et en sera le juge.  Mais 
   bien entendu tout les deux ans tu devras 
   désigner une personne de ton village, chaque 
   âge dois être représenté proportionnellement 

   au nombre d'habitants.

    Cette proposition me comble, je veux rester en 
vie et j’accepte ce contrat sans hésitation.


      A l’hôpital, les médecins  n'en reviennent pas, 
le patient vient de retrouver ses réactions après 
neuf  jours de comma . Ils n'ont pas d'explication 
et attribut cette  guérison comme un miracle venu 
du ciel ?

5



  Mon rétablissement a duré presque deux ans. 
J'ai dut réapprendre toutes les réactions d'un être 
humain . 
  Ma volonté a surpassé tous les  obstacles parfois 
avec peine mais avec une certitude, celle que la 
réussite sera au but. Voila que presque deux 
années ont passé et le premier anniversaire de 
non contrat se présente. J'ai failli l'oublier, mais, 
un rappelle du tout puissant me demande,

 -   As tu désigné qu'elle personne de ton village 
     doit quitter le monde des vivants ?
  -  Je ne sais pas, comme j'ai des difficultés a lire 
     et a retenir les noms des villageois ,  je le 
    désignerais de mon doigt sur la liste qui se 
    trouve la devant moi.

  Au bout de cinq minutes, le tocsins sonne dans le 
village. Une sueur froide humidifie mon corps, je 
viens de désigner la victime. 

6

   Cette décision me trouble profondément mes 
pensées, je suis envahie par des ondes néfaste, qui 
me responsabilisent. Ma première décision me fait 
des mourons, j'ai du mal a m’endormir durant 
plusieurs nuit. 
    Enfin, c'est l'enterrement que j’assiste avec 
beaucoup de peine. Je ne connaissais pas bien cette 
personne qui avait eut le grand age. Cette 
attention ne me pénaliste pas tellement, mon 
chois  était raisonnable. 


   Ma petit vie prend forme, notre famille s'agrandi 
d'une petite fille que je chérie avec honneur. Je 
remercie le tout puissant pour cette événement et 
bâtisse mon enfant . Tous roule sur des roulettes 
mais voila que deux années se sont écoulé. Un voix 
me dit,

  -  As tu désigné une personne ? 

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        Je n'ais de reproche a faire a personne et 
trouve même que toutes les personnes font partie 
de  mon entourage avec bonheur. Couper ce cordons 
de bonheur nous marque de malheur. Je reprend la 
liste des villageois et désigne les yeux fermé, au 
hasard un nom.

    Cinq minutes plus tard le tocsin sonne. Mes 
pensées sont de nouveau troublé ; je me rend 
compte que cette décision demande beaucoup de 
responsabilité j'en suis outré. 
    Je participe a l'enterrement et me sent 
responsable profondément. Le soir venu, le tout 
puissant me tient compagnie et me demande,

-  La  désignation que tu viens de prend est 'elle 
   raisonnable ? 
-  Je ne me pose jamais cette question et le fait 
   au hasard. 
- La personne qui vient de disparaître l'a t'elle 

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   mérité ?
-  Je ne sais pas, mais ça ma fait beaucoup de 
    peine car tous les gens sont aimable et serviable. 
   Chaque absence provoque un vide quelque part. 


         Notre amour récolte une nouvelle naissance, 
cette joie nous comble  d'un garçon qui nous 
honore avec satisfaction. Il a tout pour plaire ce 
qui nous rendre heureux . Nous remercions le tout 
puissant avec tous les honneurs qui lui sont du. 
   Au baptême de l'enfant notre promesse envers 
Dieu reste Fidèle. 
    Les années passent et une nouvelle décision doit 
être prise , je traîne mes doigts sur  les noms des 
villageois tout en fermant mes yeux. 
   Cinq minutes plus tard le tocsin sonne. Je viens 
de remplir mes obligations avec une habitude qui 
me perturbe profondément.
 Cela fais la troisième fois que je viens de désigner 
une personne.

9

   La vie continu a un rythme enchaîné. Je me sent 
protégé mais ressent toujours  cette impression de 
décideur qui  doit, sans remord, désigner une 
personne. 
    Deux années viennent de s'écouler ;  je ne reçois 
d'ordre de mission ? Ce manque d'obligation 
m'intrigue a t'elle point que je m'imagine que le 
tout puissant vient de me désigner ? Ou qu'il a 
désigner lui même une personne de mon 
entourage ? 
   De question en question la peur envahi mes 
pensées et mes réactions ; je ne suis plus pareille 
et j'ai l'impression que ce sera mon tour. Le  tout 
puisant vient me trouver et me dit,
 -  Firmin, cette fois ci tu n'as pas besoin de 
    désigner une personne car, il y a  eut deux morts 
    a l'entrée de ton village, des jeunes gens. C'est 
    dans quatre ans que tu devras désigner une 
    personne ci bien entendu il n'y a pas eut de 
    victime. 

10

- Votre attention me réconforte, je serais prêt pour 
    la prochaine fois. 

    Depuis mon accident, 10 années se sont écoulé et 
un nouvelle anniversaire de mon contras de la 
décision doit être évoqué. Je m’apprête a recevoir 
la visite du tout puissant , mais, rien n'y fais. Il ne 
me rend pas visite. 
   Durant ces 4 années d'attende je me suis mis a 
prier et a multiplier mes offrandes auprès des 
pauvres qui m'entourent, dans les paroisses des 
alentours et auprès des mendiants qui font la 
manche auprès des passants. 
  J'ai prêté attention aux nouvelles du village , il n'y 
a pas eu de victime. Je questionne mes pensées et 
m'imagine que certainement le tout puissant a 
oublié de me contacter. 
    Cette attende me rend malade, la peur me ronge 
mes nerfs et mon cœur subit des attaques qui  
m’entraînent dans un vide certain, celui de la porte 

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de l'éternel. Le tocsin se mit a sonné.

      J'ai rempli mon contras et ma décision fut la 
bonne. Depuis mon départ, c'est une autre 
personne qui est décide, j'en suis  certain et laisse 
cette obligation comme une charge digne d'un 
malheur certain . 
   Désigner une personne c'est faire disparaître 
avec elle une partie de ta santé. Il faut être fort 
pour pouvoir résister a cette ordonnance.




JJM


Auteur Jean Jacques Mutz .
écrit le 04 04 2011, remis a jour le 13 12 2019.
La nouvelle est en cour de construction 
des changements peuvent suivre.
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