MALAPPRIS ( poésie n 188 )

mirage au dessus des nuages sage n1












Malappris


la vie finit serein,
 sincère fut mon amie.
Elle ne fut pas vilaine,
 mitaine fut son lit.
Je méritai l'aubaine, 
 obèse fut ma vie.
Par le sacre de mon audace,
 au lasse du suivit.
J'en ai vu des autres,
 ces autres malappris.
De ces oiseaux qui sifflent,
 au filtre de la nuit.
Je veux rester libre,
 comme l'infini de ce qu'on dit.
Par le fait de ne rien comprendre,
 sur ce qui m'a pris.
D'envier les autres par ,
 cette pomme qui m'eut punie.
Et ne rien comprendre,
 sur ce qui ma désunie.
Celle d'une maladresse,
 qui envoûte un malappris. 

             JJM

auteur Jean Jacques Mutz.
écrit le 23 03 2010, remis a jour le 12 12 2019.
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