le flache info de Noel roman d'action 2/2 ( fiction )

Mirage au dessus des nuages sage n 1





















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Le flache info de Noël, roman d'action 2/2.
vue du service d'ordre.
    
Pour le bon déroulement d'une fête de Noël,
il faut une sécurité, pour cela ont fait appel
a la protection de l'état qui met en place la
police, la gendarmerie, les CRS, l'Armée et
le GIGN. Les pompiers et les secouristes 
sont aussi sollicité. 
  On y rajoute des cameras capable de 
détecter par la reconnaissance facial la 
personne filmé. On arrive par cette action
a déterminer le groupe de son sang ainsi 
que son ADN. Il y a aussi la détection de 
sa température et des ondes magnétiques
qui diffère selon l' individu. Des drones
ainsi que les satellites suivent le présumé.

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  l'équipe concerné est composé de 3 
personnes, un tireur d'élite du 15/2 
sélectionné grâce aux concours de tir 
nationale, et comme pour chaque équipe 
deux personnes qui l'encadre. 
  Pour l'équipe concerné se sont un 
policier de la ville de Colmar et l'autre un 
gendarme de la ville de Munster. Les trois 
portent un vêtement de combat . 
 L'armement répond aux norme de l'armée
  l'équipe en question, s'entend a merveille
ils se racontent  des anecdotes sur leur 
vie de famille et leur sélections pour monter 
en grade.
  Le tireur d'élite du 15/2 s'appel Robert, il 
est père de famille avec un enfant un garçon.
Le policier  répond au prénom de Marcel.
lui aussi est marier mais père de deux 
enfants, une fille et un garçon. Le gendarme
Paul fait ses premiers tours de garde et 

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d'inspection. Le gendarme demande ,
- comment Robert as tu réussi a devenir 
  tireur d'élite ?
- c'est durant ma campagne a Cayenne que
  j'ai pu affirmer  les capacités de ma précision
  de tir avec mon fusil FAMAS. La bas, il n'y 
  a pas de restreinte sur les cartouches . Je 
  me suis régalé et en est fait une discipline
  Cela a porté ses fruits. J'ai réussi, avec
  un tir couché a 200 mètres de placer , dans
  un carré de 20 cm, 5 balles en 5 secondes.
  Ce qui ma permis de me retrouver parmi 
  les meilleurs tireur du régiment et par la 
  suite, un concours national ma hissé 
  au premier rang des tireurs de France.
- et toi Paul dans la gendarmerie fais tu
  beaucoup d'entrainement de tir ?
-  non, nos cartouches sont comptés, les
   crédits de la nation ne nous accorde peu
   de munition, ils prétendent que nous ne 

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   somme pas en guerre.
-  a la police c'est pareille, la mairie chipote
   sur l'entrainement de tir, mais Robert, le
   fait d’être reconnu tireur d'élite te rapporte
   t'il quelques primes ? ou un grade ?
-  ce n'est pas un grade qui est distribué mais
   une prime convertie en journée de repos
   supplémentaire avec ma famille. Comme
   J'ai un placard bien rempli, j'ai réussi a 
   passer ce noël avec ma famille. Mes autres
   camarades sont parti pour 3 mois en Guyane.
   Il y beaucoup d'orpailleurs qui exploitent 
   sans autorisation les forets, en plus les 
   moustiques ne font pas bon ménage avec 
   nous autre.
  Robert fait un clin deuil et un sourire 
explicite. Un groupe de personne arrive il
faut les fouiller.
ouvrez vos sacs mes dames et messieurs.
  Les personnes suivent les indications, le 

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policier et le gendarme fouille du regard les
sacs. Paul dit, 
-  passez un joyeux Noël , vous pouvez
   faire la visite.
-  merci monsieur .
  Robert ne quitte sa place, le fusil FAMAS 
entre ses mains, prêt a tirer. La petite foule
se disperse. Les discutions reprennent. Ce 
qui vient de raconter Robert impressionne 
Paul, il aimera en savoir plus.
-  Robert es tu aussi bon au juger ?
-  oui, avec le PA MAC je place a cinquante
   mètres 9 coups mortelle sur un carré de 
  10 sur 10 en 10 secondes.
- Je reconnais que je n'y arrive pas Robert
  toutes mes félicitations.
  18 heures 45. Des haut parleurs diffusent 
des musiques de Noël puis subitement elles 
sont coupé par une information prioritaire 
qui dit ceci,
-  Des déséquilibrés ont tiré sur la foule, il y

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   a 6 morts. Les agresseur sont équipé de 
   fusils de guerre Russe. Malgré les fouilles
   ils ont réussi a passer les armes ?
  Cette remarque ne plait pas a l'ensemble
des équipes de gardes. Marcel un peux vexé
dit a ses camarades,
-  les radios ont vite trouvé une raison pour
   nous pénaliser, ci sa se trouve, les armes
   étaient caché dans des recoins car entrer 
   des fusils n'est pas une chose facile.
  Dans l’hôtel réquisitionné par l'état, la 
compagnie du GIGN et des CRS au repos 
sont appelé en renfort car il est question de
fouiller toutes les personnes qui sortent
du marché de Noël. Le mot d'ordre consiste
de tirer sur les détracteurs sans leur donner
la chance de répliquer.
- nous utiliserons les cartouches du lot
   1-ALM-20
    1210CART-5,56 mm

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    lot 1-ALM-20
    l'opération est intitulé ( hyène ), mentionnez 
    le dans votre rapport de tir. Il faut aussi 
    tenir compte qu'ils portent des gilets par 
    balles car les vêtements de ces suspects 
    sont volumineux.
Sur les radios des gardes une photo d'un
tireur est évoqué. L'équipe de Marcel 
regarde le visage de ce suspect , Marcel dit,
-  mais c'est Chétif il est connu de nous 
   autres pour des larcins mais de la a tuer je
   n'est revient pas.
  Une sueur froide envahie les représentants
du service d’ordre.
  La radio de Marcel indique que sont croupe
se trouve pas loin des déséquilibrés, au bout 
de la rue des blés en direction de la fontaine
Rosselmann, ils doivent se tenir prêt a 
riposter. 
  Les rues se sont vidé rapidement, il n'y a 
presque plus personne .

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  Les informations diffusent la photos d'un 
suspect sur toutes les chaines et radios.

( Un garagiste de Colmar rencontrer son 
voisin, un chanteur de la chorale de Colmar.
- salut Yvan tu as reconnu Chétif notre voisin,
  dans les avis de recherche, il a tué 
   personnes sur le marché de Colmar, 
   qu'elle mouche la piqué pour qu'il eut 
   réagis de la sorte ? 
-  Non Étienne, je n'ai pas de téléphone sur
   moi, je vient de chanter avec la choral a
   la petite Venise. Ce que je sais c'est que 
   l'on dois évacuer au plus vite le marcher
   de Noël.
-  je t’accompagne, allons vers la fontaine 
   Rosselmann. )
  De la rue Landenk , Chétif se rapproche 
de la rue des blés .
  L'équipe de Marcel se dirige vers

l'emplacement désigné .
 ( Le garagiste Étienne et Yvan le chanteur
 croise Chérif , celui ci surprit les salut par
un signe de main. Étienne dit,
- que c'est il passé Chétif, la police te 
  recherche ? ) 
  Le regard haineux de Chétif se fiche sur ses
voisins.
  L'équipe de Marcel arrive a la hauteur des 
3 personnes. Marcel lance ,
- mettez les mains sur la tête.
  Au même moment Chétif sort sa main de 
sa poche droite tenant un pistolet a 6 coups
qu'il pointe en direction de l'équipe de 
Marcel. Robert a bien prit en joue les 
suspects.
- clac, clac, clac.
 les 3 personnes sont touché en pleine tête
et tombe au sol.
- ta pas fait mouche Robert ,

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Dit le gendarme,
-  approchons nous.
  Effectivement les suspect sont touché 
a mort tous les trois en plein front. Au sol
traîne un pistolet a 6 coups.  Marcel dit 
a la direction,
- objectif ( Hyène ) est atteint, on a 
  neutralise 3 suspects.
- se sont ils rendu ?
- non ils ont tentez de riposter malgré les
  sommations d'usage, le tireur d'élite de 
  l'armé les a touché, ils sont mort les 3.
- ne touchez a rien le GIGN vient relevez
  les empreintes des armes et des corps.
  Des bruis de véhicules banalisé 
résonnent dans les rues, le GIGN arrive
en premier. Leur chef dit d'un air enchanté,
- félicitation l'équipe vous avez fait du bon
  travail, qui est le tireur d'élite ?
-  c'est moi chef avec mon FAMAS.

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-  joli travail. Il faut que je l'annonce a 
   notre hiérarchie a Paris et au préfet.
  Les pompiers présent attendent que les 
relevées sont prise. Les enquêteurs fouillent
les poches des vêtements des victimes. Il 
n'y a pas de munition ni d'arme dans les
habits, la seul arme est le revolvers a 6
coups vide de munition.
- faisons notre rapport, le tireur c'est qui ?
- moi, Robert du régiment 15/2 de Colmar.
- quelle est ton arme ?
- un FAMAS numéro xxxxxxxx.
- et quel lot de munition ?
- 1- ALM-20 1210CART-20.
-  Robert as tu gardé les douilles vide ? 
-  oui chef.
-  je ne suis pas chef mais je dois inscrire
   dans mon rapport les raisons de cet 
   acte. Tu as bien fait ton travail Robert,

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   mais en haut lieu, ils veulent des écrits sur     un 21 27.
    Avez vous trouvé des douilles du revolver
   de la victime ?
-  non, il nous a prit en joue mais n'a réussi 
   a tirer un coup de feux, ma visée fut plus 
   rapide.
-  qui a fait les sommations d'usage ?
-  le gendarme et le policier.
-  monsieur le gendarme, votre non.
-  Paul,
-  avez vous fait les sommations d'usage ?
-  oui avec Marcel a deux reprise.
-  a quelle moment la victime a t'elle sortie
   son arme ?
-  a la fin de nos deux sommations.
-  et qui a dit a Robert de tirer ?
-  on a suivi les ordres de notre hiérarchie
    chef.
-  Marcel, avez vous entendu les déclarations
   de Paul et de Robert sont elles juste ?

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-  oui chef, je maintient la même déclaration.
-  dans le rapport je dois marquer que l'arme
   était vide et que les 2 autres personnes 
   victime, n'étaient pas armé. En plus les
   3 personnes sont morte par un tir en pleine
   tête. Il y a un malentendu, les autres 
   victimes ne suivait pas le déséquilibre, ils
   l'ont croisé. Par contre les 3 personnes 
   se connaissaient ce qui a fait un 
   attroupement, cette remarque peut prêter 
   confusion. Je ne peux vous inculpé de 
   désobéissance car vous avez fait comme
   les ordres l'ont prescrit.
  Les 3 représentant de la loi se regardent
un peu médusé par ce rapport, dans les 
réunions on nous a bien dit de tirer, apprêt 
les sommations d'usage, sur les individus 
qui vous prennent en joue ? Mais là, il n'y 
avait  qu'une personne qui était armé, ce qui  
brouille les faits. Aucun des 3 ne dit un mot.

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Ils restent au repos , le chef garde la tête 
sur son apport et dit , d'un air révélateur,
-  messieurs , l'on vas procéder de la façons
   suivante, je vais annoncer aux médias que
   2 personnes sont blessé  par le déséquilibré. 
   Quant a l'agresseur, qui est blessé a 
   l'épaule a réussi a prendre la fuite. Retenez 
   ce que je viens de dire car cette tactique 
   est faite pour tenter de localiser les autres 
   tueurs armé de fusils.
  Ensemble les 3 gardes dissent,
-  oui chef.
 Les pompiers emportent les victimes dans
3 véhicules . Ils sortent du quartier fermé 
aux habitants. Le chef, qui se trouve dans 
un véhicule de la gendarmerie se dirige  
vers les journalistes,

il est 22 heures 10 le mardi

  Une nué de journalistes le retrouvent 
pour du directe.
-  messieurs les journalistes, le GIGN a 

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   blessé un individus suspect, il est 
   en fuite, nous gardons la fête de Noël 
   sous notre responsabilité aucune 
   personne ne doit risquer sa vie, pour
   cette raison elle reste fermé
  Les journalistes tentent tirer du nez 
plus de renseignements,
-  monsieur le commandant du GIGN, 
   comment le fugitif a blessé les deux 
   dernière victimes ?
-  a bout portant sans pitié.
-  avec quelle arme ?
  Dit un autre.
-  avec une arme de calibre différant ce
   qui veut dire que d'autres armes sont
   quelques part, nous devons fouiller
   tout le marcher de Noël dans le 
    moindre recoin.
  Les 3 véhicules des pompiers sortent du
quartier bouclé et roule vert l’hôpital en 

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bonne garde, accompagné par des 
véhicules du GIGN.
  Avant de partir le commandant du GIGN
a dit a l'équipe de Marcel,
- demain matin vous venez a l'hôtel où se
  trouve notre Q-J là nous discuterons de 
  la suite a prendre, pour l’instant, ne 
  soufflez un mot a qui que ce sois.
  L'équipe de Marcel se retrouve au 
casernement du 15/2. Ils y sont 
réquisitionné comme tous les autres 
militaires.

Mercredi 6 heures du matin.

  Tous les hommes se retrouvent dans le
foyer où un self service permet de prendre
le petit déjeuné. L'ensemble du personnel 
est tenu en alerte, ceux qui prennent le 
petit déjeuné devrons circuler dans la 
ville de Colmar pour tenter de retrouver
les déséquilibrées. Ceux qui se connaissent

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parlent entre eux pour expliquer ce qu'ils
ont vérifier et le quartier où il ont circulé.
A la fin du petit déjeuné, le commandant
du GIGN explique le déroulement des 
recherches et précise,
- tentez de prendre vivant le ou les 
  terroristes. 
  Un plans de la ville est collé sur une 
grande armoire, et avec un bambou de 
110 cm, le commandant du GIGN indique
où les équipes devront circuler et surtout
fouiller chaque recoin, comme les caves
et les garages ou greniers. Rien ne doit
resté vierge.
  Certaines équipes sont accompagné de
chiens ce qui permet de n'oublier aucune 
cachette.

Mercredi 10 heures

  L'équipe de Marcel se trouve dans le QG du 
GIGN. Le commandant les invite dans sa 

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chambre. 
-  messieurs, ce que je vous fait comprendre 
   est classé ( secret défense ). l'enquête établie
   que les 2 personnes que vous venez de viser et
   qui en sont morte, sont de simple citoyen. Par
   contre pour le déséquilibré qui est connu par
   la police vous avez bien visé. Nous faisons croire
   a la population que des terroristes sont en fuite 
   pour couvrir votre acte, pour cette raison nous
   continuons les recherches. Un moment donné
   nous placerons le corps du déséquilibré dans 
   une rue autre d'où il a été tué, pour liquéfier  les
   informations. Les journalistes veulent  du suspense
   et la population aussi. Pour ce qui est pour votre
   prime de participation elle sera doublé pour les
   3 de l'équipe Marcel. Je vous fait une autre proposition
   qui est, voulez vous rejoindre le GIGN ? 
  L'équipe de Marcel le regarde un peut étonné, puis
l'un après l'autre répond, Marcel commence,
- je dois réfléchir mon commandant, je ne sais pas je

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  suis un peut pris sur a dépourvue.
  Paul , est aussi surpris par cette proposition et dit,
-  si je m'engage dans la GIGN, j'aurais d'autres actions
   plus dangereuse que celui de gendarme, je ne sais 
   pas ci j'accepte votre proposition.
  Robert dit d'un air désenchanté,
- mon commandant je termine mon engagement dans
  l'armé d'ici 6 mois, je n'est plus l'intention de le
  renouveler. Je préfère plonger dans la vie publique.
  C'est bon messieurs, je respecte vos remarques et 
  vous dis que ci jamais vous serré tenté par non offre
  je vous accepte, mais faite le avant un mois car une
  enquête sera faite par la police des polices et je 
  risque de ne plus occuper ce poste, malgré le soutien
  du gouvernement.
  L'équipe de Marcel reprend son inspection et fait 
comme tous les autres. Les écoles du cartier sont 
fermé, pas un chat ni chien ne traine dans la rue, ce 
qui parait étrange pour un marcher de Noël aux mille
lumières. 

mercredi 11 heures 

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Les hauts parleur diffuse de la musique 
comme si rien n'était. Puis, un flache info dit ceci,
- un chauffeur de taxi anonyme, a vue le déséquilibre 
  pas loin de la gare de Colmar. 
  Cette annonce met en éveille le service d'ordre.
L'équipe de Marcel, connait la raison et fait comme 
tous les autres , attentif au moindre mouvement 
suspect. 

mercredi midi.

  Les radios complètent leur information, 
-  La journée de jeudi sera fermé aux écoles  aux 
   magasins et aux chalets du marcher de Noël de 
   Colmar.
    Le service d'ordre a sillonné toute la journée.
A soir, un brouillard dense enlace leur entourage. Il
est difficile de détecter un éventuelle suspect.

 Jeudi 8 heures

  Après le petit déjeuné la relève de la nuit se fait. 
L'équipe de Marcel est convoqué par le commandant.
- messieurs, ce matin nous allons lancer une alerte.

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  Elle consiste a ce qu'une habitante de Colmar eut 
  aperçu un rôdeur dans son jardin. Nous allons 
  neutraliser son quartier et chercher le fugitif. Il y 
  a un mais, le fugitif est mort, il faudra le placer sur
  les marches des escaliers et tirer 3 balles dans sa
  direction avec le même fusil qui la tuer et les 
  cartouches provenant de la même caisse de 
  munition. Je vous tiendrais au courant le moment 
  venu.
-  Oui mon commandant.
  Exprime l'équipe de Marcel.
  A ce moment là, les nouvelles  régional diffusent
cette information,
- Une habitante d'un quartier de Colmar a remarqué
  un suspect qui rode dans son jardin qui se trouve
  éloigné du centre de la ville et du marcher de Noël.
  Le quartier est bouclé, toutes les personnes sont
obligé de le quitter  au plus vite.
  Le brouillard persiste et trouble la vue.

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il est 10 heures

  L'équipe de Marcel se trouve a un endroit précis,
personne n'est dans les rues. Le brouillard se dissipe
et la vue devient raisonnable, on peut distinguer une
personne a plus de 100 mètres.
  Dans la morgue, Paul et son coéquipier ont  du 
préparer le corps du déséquilibré en l'habillant pour 
le rendre présentable. Certain vêtement sont trots
grand, c'est plus facile de les enfiler. 

jeudi 10 heures 30.

  Le téléphone sonne, c'est le commandant qui appel
le responsable de la morgue.
- c'est bon Paul, envoyer le convoi.

jeudi 10 heures 40, 

      Le véhicule de la morgue arrive a la hauteur de 
l'équipe de Marcel. Paul et son coéquipier posent 
le corps sur les escaliers devant une porte d'entrée
en chêne massif. Ils déversent une poche de sang
a coté du mort. Le véhicule repart .
  Lorsque il  a tourné au bout de la rue, Robert épaule

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son FAMAS, il est a 15 mètres ; Marcel dit,
- rendez vous , rendez vous. 
Robert bien positionné tire 3 coups d'affilé en 
direction de la porte en chêne. Les balles passent
au dessus du corps et marquent leur empreinte 
comme impactes sur le bas de cette porte dans 
un cadre de 20 sur 20. Le gendarme Paul, eut 
placé a coté de la victime le révolver qui a tiré
sur la foule. 
  Des renforts arrivent, avec eux un journaliste 
officielle doit mémoriser en photos  la scène.

jeudi 10 heures 50

  Un autre appel du commandant pour le corps des 
pompiers.
- envoyez nous des véhicules de secours dans le 
  quartier où l'on a repéré  le déséquilibré.

jeudi 10 heures 58

Les pompiers sont sur place ainsi que du renfort.

jeudi 11 heures 55

  Le corps de la victime est placé dans l'ambulance

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qui rejoint la morgue de l'hôpital.

jeudi 15 heures .

les informations dise,
-  le terroriste est gravement touché. La vie peut 
   reprend son cour et le marcher de Noël ouvrira
   a 18 heures.
 

ce n'est qu'une fiction, ne 

vous laissez pas impressionner.

L avenir du soldats ne fut pas long a son retour en Guyane il fut tué par des trafiquants.
des changements peuvent suivre. 
JJM
Auteur, Jean Jacques Mutz.
A ce jour, 27 06 2019, 112852 lecteurs.
A ce jour, 12 05 2023, 175 551 lecteurs.
A ce jour, 14 09 2023, 183 520 lecteurs.
  
   





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