Un mouvement social 1989 9/10 ( roman social )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
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Lundi le 30 octobre
MT
- Le mécontentement salariale est la source du déclanchement de
revendications et ce sont les salaries qui ont déclenché le
débrayage sens l'avis des syndicats.
- Et vous Jean, que pensez vous de cette action ?
- Je suis de l'avis des grévistes car monsieur Calvet nous prêche
l'économie sur les limitations des augmentations de salaire pour
faire fructifier les bénéfices des actionnaires en limitant notre
augmentation salariale de 1,5% , par contre pour lui il se
réserve une augmentation de 48% ?
- vous ne voulez plus rien ajouter Jean ?
- Non, merci pour votre attention , plus tard j'écrirais l'ensemble de
cette histoire peut être que vous vous souviendrez de moi en
lisant mon texte.
J'apprend que Henri Krasuscki a remis une somme d'agent
importante pour soutenir les grévistes. C'est pour cette raison qu'il
avait fait une visite a Mulhouse et a Sochaux. Il est 16 heures , je
prend le bus de l'équipe du jour pour rentrer chez moi.
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Mardi le 31 octobre 1989
MT
Me voila a l'arrêt de bus en avance comme de coutume. Il y a
de quoi parler. Certains que mes collègues vont me questionner. Je
constate qu'il ne manque qu'une personne, c'est le forgeron
Fernand qui garde la forge barricadé derrière les rangées de lopins .
Le premier de mes collègues arrive et me demande,
- Salut Jean, qui a t'il de neuf a l'usine, j'ai entendu que Henri
Krasuscki a renversé un cadre avec le véhicule de la CGT ?
- C'est ce que les cadres encadreur veulent nous faire croire ,
mais en réalité, c'est le cadre accidenté qui c'est jeté sur le capot
du véhicule, volontairement pour faire croire que ce fut un
accident ?
Les autres camarades arrivent et il faut que je répète mes
explications . Puis l'un d'eu me dit,
- Et quant est il Jean pour l'augmentation de nos salaires y a t'il
du nouveau ?
- Ce que je sais c'est qu'il y aura une réunion avec le N1 Monsieur
Calver a Paris le 2 novembres 1989 avec tous les délégués des
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syndicats de Peugeot, aussi bien de Mulhouse que ceux de
Sochaux.
Le ramassage des salaries se fait normalement . Nous rentrons
dans l usine avec un petit retard, ce qui n'est pas méchant nous
commençons par en faire une habitude.
Pour faire le ramassage des cadres qui vont a Paris je passe
volontairement par la route qui frôle le mur de containers de
lopins qui a un étage en plus , ce qui fait un mur de 2 mètres.
Je sort de l'usine avec mes passagers sens rencontrer de
problèmes ce qui fait du transport une routine. Il n'y a personne
pour Mulhouse, je reviens le mini bus vide. Je passe devant le
au local syndical et croise Toussaint qui veut entrer dans le
local syndical. J'arrêt le minis bus a sa hauteur,
- Salut Toussaint, tu es matinal ?
- Salut camarade Jean, oui nous préparons notre départ pour
Paris et discuter des 1500 Francs d'augmentation de salaire
avec le M1 du groupe.
- Alors bonne préparation et bonne route Toussaint.
Je continue ma routine avec mon semis et entre dans le SAS
de la mécanique B .
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Il n'est pas possible d'ouvrir la porte du SAS et je n'aperçois
personne derrière la fenêtre ? Je donne des coups de pieds a la
porte et le bruit résonne dans l'atelier.
Je n'aperçois personne qui circule dans le SAS. Je suis livré
a moi meme. Cela n'est déjà arrivé, je dois faire le tour du
bâtiment et entrer par la porte pour piétons. Sur les doubles
portes, il n'y en a qu'une seule que l'on peut ouvrir. Je la tire vers
moi et entre dans le couloir qui me mène a l'atelier de la
mécanique B. Il n'y a personne et aucune machine ne tourne. je
continue mon avancer pour arriver dans le SAS de déchargement
de la mécanique B. Je peux réenclencher la porte et place le
semis a sa place. Je patiente un bon instant, puis, le bruit du
chariot élévateur thermique de Sam arrive. J'ai pris place derrière
son bureau sur une chaise tournante réhaussé.
- Salut camarade Sam.
- Salut Jean tu n'a pas eut le temps longue jusqu'à ma venu ?
- Un peu, je voulais prendre un café , la aussi il était fermé pour
nettoyage.
- Je te décharge pour que tu puisse repartir.
- Ok c'est bon.
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Je me dirige vers le parking de la carrosserie et m'attend a ce que
je rencontre une surprise ? Il y a des manifestants habituelle ce
qui me rassure plus ou moi. Ma curiosité a de quoit questionner
mes camarades. Je vois Rosalie et lui fais signe de venir.
- Salut Rosalie comment vas tu ?
- Salut Jean, bien merci et toi ?
- Oui sa vas, ce que je sais c'est que mes collègues se déplacent
a Paris pour discuter des revendications salariale avec le N1 du
groupe Peugeot Citroën . Plusieurs usine du groupe soutiennent
ce que vous avez commencé ce qui fait que la balance se trouve
de notre coté. Je pense que les syndicats vont obtenir les 1500
francs que vous demandez.
- Du coté de la forge, les casseurs de grèves on tenté de pénétrer
dans la forge par les tunnels d'aération. Heureusement que nous
l'avions remarqué lundi soir. On a bouché les entrées comme les
sorties.
- J'ai remarqué qu'une rangé supplémentaire de lopins a remonté
le mur. C'a devient une forteresse votre forge Rosalie. Et pour le
jour férie de demain vous avez de quoi tenir ?
- On a de quoi tenir, mieux, on avais reçu une grande marmite de
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soupe du restaurant pour que nous avant de quoi nous
réchauffer . Mais il y avait quelque chose qui ne tournais pas
bien dans cette soupe car certains durent courir au toilette ?
l'eau était coupé, tous les coups sont permis et nous devons
nous méfier des casseurs de grève.
Je passe par une autre route pour accéder au SAS de la tôlerie.
Là, des ranchers de voitures neuves sont stationner en ligne. Des
transporteur de Russie charge une rangé apprêt l'autre pour la
Russie ou les pays de l'Est. Les russes ne parlent pas un mot de
Français. Il est impossible de leur parler. Comme demain c'est un
jour férie, en France, les transporteurs Russe ont reçu une
dérogation pour rouler.
J'arrive dans le SAS de la tôlerie et les caristes sont déjà en
semis repos. Je ne veux pas les bousculer et laisse libre cour a
leur rythme synchronisé. Enfin je peu rejoindre le parc de la
tôlerie. J'entre dans le container jaune et prend place autour
de la table improvisé . Nos discutions tourne autour de la venue
du N1 du groupe Peugeot Citroën et des 1500 Francs de plus
pour nos revenues. Mon cousin Marc me fait signe de venir et me
dit,
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- Jean, ils ont caché les matrices dans les wagons et on peur
que les grévistes les prennent en otage.
- J'ai déjà reçu écot de ces manœuvres et trouve leurs réactions
incohérente. Merci du renseignement Marc mais ce n'est pas
dans notre intention de prendre en otage l'outil de travail de la
société. Ce sont les organisateurs de la grève qui passe par tous
les moyens pour faire pression. A plus Marc, on verra bien jeudi
ce qu'a dit le N1 sur notre augmentation de salaire a travers les
syndicats qui sont a Paris.
Je retrouve mon atelier et continue mon programme avec le
mini bus électrique. J'ai mangé dans la cabine du semis remorque
stationné sur le parking devant le garage et l'atelier.
Mercredi le 1 novembre 1989
jour férie.
Jeudi le 2 novembre 1989
3 em mois de grève
MT
Ma ponctualité à l'arrêt de bus me permet d'avoir un aperçu
sur le comportement de mes camarades qui doivent cogiter une
réaction concluante. Souvent après une pose, les idées nouvelle
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prennent place. Je les salut a l'habitude et me garde de peser
mes paroles. Il manque Fernand le forgeront ce qui est normal
vue l'occupation de l'atelier de la forge.
Nous continuons le ramassage et entrons dans l'usine. Aucune
plancarde revendicatif ne figure dans les mains de ceux qui
manifestent . Normal, nous attendons les résultats de la discutions
avec la direction de Peugeot -Citroen.
J'arrive dans l'atelier et fait le ramassage de 2 personnes pour
l'aéroport . Pour le retour, pas besoin d'attendre des personnes
pour l'usine, je croise mon collègue de Sochaux qui en dit long
sur les grévistes de son usine ils sont sur la meme longueur
d'onde que nous a Mulhouse. L'union fait la force et cette force
des centurions remplie d'espoir. Je revient dans mon atelier et
profite de mes 30 minutes d'avance de poser une délégation .
Cela me permet de prendre des nouvelles de mes camarades a
Paris. Hélas, on aura le résultat que vers 12 heures.
Je m'engage dans mon programme habituel et entre dans le
SAS de la mécanique B. La porte n'était pas condamné de
l'intérieur.
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- Salut Sam , tu as du neuf ?
- Salut Jean, non rien de neuf et Toussaint n'est pas a son
poste certainement qu'il est encore a Paris.
- Tu as raison Sam, on aura des résultat qu'a 11 heures .
Je continue mon programme et arrive en carrosserie.
L'attroupement des gréviste se fait comme de coutume.
Leur curiosité les guide vers moi,
- Salut Jean tu as du neuf sur nos augmentations de salaire ?
- Salut les camarades, non rien pour le moment je pense qu'a
11 heures on serra plus.
Rosalie ne se trouve pas avec eux, ce qui est normal, elle se
trouve derrière le mur de la forge .
Je rejoint le SAS de la tôlerie entre dans mon emplacement .
Chibanis vient vers moi,
- Salut Jean, donne moi de bonne nouvelle si tu en as.
- Salut Chibanis, je ne sis pas plus que toi, a 11 heures j'en
sais plus.
Tous les camarades que je rencontre sont sur le qui-vive et
impatient d'avoir des nouvelles réconfortant. Dire que la société
a engendrer un benefice monstre et se permet de baisser notre
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pouvoir d'achat .
Je retrouve le parc des presses , il est 10 heures 30 . Léon se
rapproche du camion,
- Salut Leon, peux tu me décharger rapidement, je dois rejoindre
le local syndical pour avoir des nouvelles des camarades qui
sont a Paris.
- Salut Jean, je m'occupe te toi en premier.
Je retrouve le local syndical avec d'autres camarades pour
connaitre l'avancé des revendications. Nous apprenons que
le M1 du groupe Peugeot-Citroen lance un ultimatum pour que
la forge est libéré a tous les syndicats, seulement par la suite
qu'une décisions sera prise pour le montant de l'augmentation
de salaire.
Cette remarque met en marche nos imprimantes pour des
tractes demandant aux grévistes de libérer la forge. Ce n'est pas
une nouvelle encourageante et une preuve que sens les délégués
il n'est pas possible de marchander. L'on se place aux entrées
des ateliers et distribuons les tractes qui demande que les
grévistes libèrent la forge et reprennent leur poste de travail.
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A ce moment là, les négociations reprendront.
Vendredi le 3 novembre 1989
MT
Me voila a mon arrêt de bus dans mon village, il manque
Fernand le forgerons. Je donne a chacun le tracte concernant les
remarques faite du N1 du groupe. Cette ultimatum rend les
camarades songeur, mais ce ne sont pas eux qui tiennent en
otage la forge, mis ils soutiennent leur initiatifs.
J'ai distribué tous mes tractes utile pour les personnes dans le
bus , il m'en reste que je partagerais aux autres que je rencontre
dans la journée.
J'arrive dans l'atelier et fait le voyage pour l'aéroport de
Bâle-Mulhouse avec 2 cadres qui vont a Paris et 2 cadres qui
arrive a Mulhouse pour une réunion.
Je continue mon rythme en prenant le semis et arrive dans
le SAS de la mécanique B.
- Salut Sam tu es en forme aujourd'hui ?
- Salut Jean, oui je vois que les pourparlers avance mais stagne
au niveau de l'occupation de la forge.
- pour le moment, les forgerons tiennent tête et ne veulent rien
lâcher . Ils disent,
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- Pour battre un fer, il faut ne jamais le laisser refroidir quant il
est a la bonne température il faut continuer de le marteler.
- Voila leur opignon Sam et je ne pense pas qu'ils vont lâcher de
si tot. Je passe chez Toussaint en passant par la buvette et t'en
dira plus.
Je salut au passage Toussaint , je prend 3 cafés et en donne un
a mon camarde délégué.
- Salut Toussaint c'a c'est bien passé a Paris ?
- Salut Jean, il n'est pas raisonnable et ne veux rien s'avoir d'une
augmentation de 1500 Francs par salarier il stagne sur 1,5% pas
plus et nous recevrons cela qu'a partir du moment où chaque
poste a retrouvé son efficacité. Il nous pose un ultimatum pour
que la forge reprenne ses fonctions sens cela un huissier sera
mis en place et des sanctions suivrons. Tu prend des heures de
délégations pour 11 heures on sera tous la.
- D'accord je serais la, merci du renseignement.
Je continue mon programme et fais un arrêt devant la carrosserie .
Les grévistes sont en regroupement sur le parking. Je vois Rosalie
et lui fait signe de venir.
- Salut Rosalie qu'as tu de neuf ?
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- Salut Jean, les casseurs de grève, durant la nuit ont rentré les
voitures que l'on a monté dans la journée au point départ de l
a carrosserie . Le lendemain ils les ressortent pour faire croire
que les chaines de montage tournent et ne sont pas a l'arrêt.
J'ai rencontré une de mes collègues qui placent les voitures
pour l'exportation par rangé prêt pour le départ. Deux
chargement de 18 voiture ont disparu ? Des transporteurs
Russe ont chargé les 18 voitures et le gardiennage ne les avais
pas contrôlé ? Un vrais bordel dans cette usine et j'en passe.
Les forgerons ont décidé de ne pas lâcher .
- Merci Rosalie pour ton information, vous avez accepté de vous
laissez entendre par les syndicats pour vos revendications de
1500 francs comme la proposé la direction. Mais la pression des
actionnaires fait que cela ne se passe pas comme prévue. cette
fin de semaine nous permettra de réfléchir sur des objectifs a
prendre, soyons patient.
Il est 10 heure 30, il faut que je rejoint les autres ateliers pour
distribuer les informations écrite. Il est 11 heures, je suis dans le
local syndical et nous discutons des actes a entreprendre pour la
suite.
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L'ensemble des délégués decide d'aller manger gratuitement
dans le restaurant des cadres . Nous somme nombreux a se
présenter dans le self service et les casseurs de grève sorte de
l'usine pour manger dans les restaurants a l'extérieur. Personne
ne retient cette masse syndical.
Samedi le 4 novembre
Une décision du tribunal de Paris ordonne l'évacuation de la
forge de Mulhouse , et l'ensemble des syndicats sont convoqué .
Il y vas de meme pour usine de Sochaux.
Dimanche le 5 novembre
RAS
Lundi le 6 novembre
AP
Le ramassage dans le bus se fait normalement, il ne manque
que Fernand le forgerons. le circuit est perturbée par les nombre
de voitures qui arrivent a l usine.
Les information qui passe a la radio , nous apprennent que les
grévistes de Sochaux maintiennent leurs actions et continuent
de ralentir la fabrication comme a Mulhouse.. Cette information
augmente notre soutient aux grévistes.
Je parvient a mon atelier et me prépare a prendre la suite de
mon programme. Je passe devant le local syndical et croise mon
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Camarde Toussaint.
- Salut Toussaint tu as du neuf ?
- Salut Jean, ca chauffe en fonderie, les forgerons ne sont pas prêt
de lâcher malgré la décision du tribunal de Paris. Ce matin la
visite éclaire de Krasucki nous a remis un important chèque
pour soutenir les grévistes de Mulhouse, il en apporte un autre
a Sochaux. Ces sommes viennent de l'appelle nationale de
la CGT.
Je le salut et continue mon programme avec le semis remorque.
Me voila devant la porte du SAS de la mécanique B qui s'ouvre, pas
besoin de pose mon pied . Sam m'a vue venir et l'a ouverte.
- Salut Sam, tu vas bien ?
- Salut Jean, oui je vais bien mais les grévistes ne sont pas
d'accord cela m'intrigue.
- Je suis aussi de ton avis Sam mais je pense que ca vas aboutir a
une négociation qui mettra tout le monde au travail. Toussaint ma
dit, juste avant, que Krasucki a apporté a Mulhouse puis a
Sochaux a chaque usine un chèque important pour ceux qui ont
fait grève.
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L'on se quite sous une étoile réconfortante, l'on est persuadé
que cette grève prendra fin d'ici peut.
Je me trouve en carrosserie et rencontre les grévistes qui sont
avec leur banderoles bien exposé au vent . Leur intentions de
gagner reste sur son objectif, mais, comme ils ont opté pour se
faire représenté par des délégués syndical, leur actions freine.
- Salut Jean,
Me crie Rosalie de loin. Je lui fais un signe de la main et me
rapproche d'elle.
- Salut Rosalie, tout vas comme tu le demande ?
- Pas tout a fait Jean, on a écouté sur tes conseilles qui disaient
que nous serons écouté par la direction et le N1 . Ils nous ont
écouté mais ne veulent rient lâcher en plus ils nous ont envoie
au tribunal de Paris lequel a condamné les occupants de la forge.
- Les négociations ne sont pas terminé Rosalie, il faut être
patiente mais je sais que vous gagnerez .
Je rejoint le SAS de la Tôlerie et y entre avec une peine dans mon
cœur, je ne pourrais leur annoncer de bonne nouvelle car je suis
dessus des revendications qui n'on pas aboutie a Paris. Chibanis
se rapproche de moi.
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- Salut Jean que penses tu de ce qu'a dit notre N1 du groupe
Peugeot-Citroën ?
- Salut Chibanis, je ne pense pas grand chose ce que je sais c'est
que dans les autres usine du groupe ca chauffe aussi. Soyons
patient et attendons il vat falloir trouver une sortie raisonnable.
Je passe dans le parc des presses et répète les memes propos
que dans le SAS de la tôlerie. Mon cousin me rejoint,
- Salut Jean, tu sais je suis dessus du comportement de la
direction a tel point que j'ai cherché du travail dans l'aéroport coté
Suisse, j'ai fais les testes et attend une réponse. Pour moi tous
est pourrie ici , il n'y a plus d'avenir.
- Salut Marc , je suis comptent pour toi que tu as trouvé du travail je
suis de ton avis et t'as bien fait.
- La direction a tellement peur que l'on prend en otage les matrices
qu'ils les ont caché dans des wagon couverts qui font rentrer et
sortir selon le besoin.
- Tu sais la meilleur, les casseurs de grèves ont le droit de manger
gratuitement a la cantine du restaurant de la direction a midi.
Nous allons tous les syndicats faire de meme a midi . A plus Marc
Je rejoint le centre de tri de la direction pour apporter le courier
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que je dois déposer a la poste central. Un paquet de lettres de
licenciement sont préparé, il faudra que je signe le registre a la
poste comme quoi ils sont déposé en recommandé. Je revient a
l'usine et prend un passager pour l'aéroport de Bâle-Mulhouse.
Je passe dans le local de la CGT et apprend que je dois travailler
de journée car nous allons , après le repas de midi chez nos
collègues de Sochaux.
Mardi le 7 novembre
Normal
Ce jour là, je prend ma voiture et la stationne sur le parking qui
se trouve devant le local syndical et pas loin de parking ou j'ai
le semis de stationné. C'est une journée syndical et notre devoir
consiste de défendre les droits de nos camarades.
Après plusieurs explications nous décidons de rejoindre la CGT
de Sochaux. Leur local se trouve a l'extérieure de l'usine a deux pas
de l'entrée. Avant cette visite, nous décidons de manger dans le
restaurant de la direction, comme les cadres casseur de grève
peuvent tous y manger gratuitement on en fait autant pour marquer
notre présence et notre importance dans ce conflit.
Nous bousculons les habitudes des cadres de la direction qui
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sont fière de leur restaurant qui se trouve au premiers étage avec
vue sur la sortie des nouvelles voitures qui sortent de la carrosserie.
Pour prendre une place a table il y a des règles ce que nous ne
connaissons pas. Chacun se place comme bon lui semble, mais il
y a une place réservé a un non voyant qui n'est pas démarqué.
Aucun habitué présent ne souffle un mot et laisse faire les arrivant .
Le non voyant arrive seul tenant sa canne blanche et se dirige
jusqu'à sa place habituel qu'occupent par des délégués qui
discutent bruyamment. Je me trouve dans la rangée de ceux qui
se font servir leur plateau . Devant moi, la femme du non voyant
se fait servir deux plateaux . Puis, elle me dis,
- Monsieur Jean regarder ses ingrats ils ne respectent pas les
consignes pour les personnes handicapé.
- Je vais leur dire madame.
Cette personne est secrétaire de direction en Tôlerie, il m'arrive de
la croiser de temps a autre.
Pour respecter les autres ne bousculons pas les habitudes. Je ne
rencontre aucune contradiction et les places sont libéré. La salle est
pleine et le chahut prend de l'ampleur.
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Je n'aime pas manger dans cette établissement car, je me souvient
du moment de sa construction où j'ai rencontré un collègue du
bâtiment qui ma demander ci je ne voulais pas lui donner un coup de
main pour floquer avec de l'amiante les ossatures métallique et les
plafonds de ce bâtiment. Le salaire proposé fut alléchant, mais le
danger aussi je refuse son offre . Il faudrait que je saisi l'occasion de
le dénoncer a la réunion du CHSCT qui se déroulera en décembre
où nous allons visiter le restaurant de la direction et l'ensemble du
building . Il sera question d'accorder l'achat d'un ordinateurs
comportant des touches bray pour non voyant car les non voyants
ont comme fonction de réceptionniste téléphonique.
Nous rejoignons nos voitures personnel pour retrouver les
camarades CGT de Sochaux. Les rétroviseur de ma 405 sont cassée ,
qui a bien pu me faire cela ?
JJM
suite au 10:10 pages 181
Le roman est une fiction basé sur des faits réelle.
Des changements peuvent suivre.
Auteur JEAN JACQUES MUTZ
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