Combattre pour le futur ( roman sentimental 10/10)
Mirage au dessus des nuages sage n 1
Combattre pour le futur.
117
Début juillet 1975
Enfin, l'argent pour l'achat de la maison se libère du
notaire. Je peux entreprendre les travaux. En premier,
un nettoyage total, qui permet d'aller de découverte en
surprises pas encourageantes. Conclusion faite, il faut
tous remettre en état pour que la ressemblance avec
une habitation confortable.
Pour entreprendre toutes les transformations je
dessine le plan.
118
Lorsque je travaille sur la chaîne de montage, de
nombreuses personnes visitent notre usine de
carrosserie. Plusieurs fois par tournée ce vas et vient
nous incombe par leurs photos et les filmes qui nous
encadre. Cet interminable mouvement de personnes
visiteurs nous intrigue. Nous avons tous l'impression
d'être observé. Personne n'a le courage de faire part
de cette aberrance, on a l'impression d'être des bêtes
de cirque ou de zoo. Il me vient un idée, il faut que
je face écrire une pancarte, assez grande, sur
laquelle figure en majuscule,
je face écrire une pancarte, assez grande, sur
laquelle figure en majuscule,
(NE DONNEZ PAS DE MONET AUX OUVRIERS
MAIS, ÉCRIVEZ LEUR UN CHÈQUE)
Me voila convoqué devant le bureau de la direction.
Certains visiteurs ont fait part de cette pancarte et ont
questionné la direction pour connaître l'emplacement
de la caisse pour le pour-boire.
- Monsieur Jean que veut dire cette pancarte?
- Elle signifie que celui qui travail n'est pas une
marionnette n'y une vedette de cinéma car ci se serait
le cas on aimerait obtenir des droits d'auteur monsieur
le chef du personnel .
119
119
- Monsieur Jean, les visiteurs vous font-ils-peur ?
- Non monsieur le chef du personnel de la carrosserie
nous n'avons pas peur des visiteurs mais le fait d'être
filmé et pris en photos nous tracasse et nous désoriente.
- Votre remarque sera retenue, monsieur Jean, les
visiteurs n'auront plus le droit de vous prendre en
photo et de vous filmer.
Ma remarque ouvre sa raison d'être et un panneau
trouve sa place, ils ont écrit en majuscule les mots
suivant,
suivant,
(INTERDIT DE FILMER ET DE FAIRE DES PHOTOS)
Au milieu du mois de juillet, un heureux événement
nous comble. La famille compte trois personnes, une
fille en plus. Cette venue nous comble d'une joie si
profonde que notre amour s’enrichit. Cette venue
double ma volonté de terminer au plus vite notre
futur habitation.
120
Janvier 1976
Je travail encore sur la chaîne de montage, aucune
nouvelle du poste que l'on m'eut promis. Les 6 mois
ont passé, ont ils oublier ?
Pour parvenir à la tête du directive, il faut passer par
les échelons. Je n'ai pas oublié comment je suis
parvenu une premier fois d'être convoqué par la
direction. Je me garde de sauter les échelons et
demande au premier de la cordée, notre chef de file,
- Monsieur le chef de file, pourrais-je avoir un
rendez vous auprès du chef de service de la carrosserie ?
- Monsieur Jean, je dois faire monter cette demande
au chef d'équipe, quelle est votre raison ?
- Lors de mon embauche, il fut convenu qu'un poste
de chauffeur me sera attribué au bout de 6 mois. Le
temps a passé, m'ont-ils oublié ?
Ma demande n'attend plus qu'une réponse. Je suis
sur l'attente d'une bonne nouvelle cela me donne de
l'ambition.
Ce mois -là la neige tombe, j'apprécie la chaleur qui
se trouve dans l'atelier de la carrosserie en pensant à
mon ancien métier.
121
Des nouvelles embauches sont arrivées. Parmi eux
des Africains venu du Sénégal. Dans mon équipe un
jeune Sénégalais, Bali, tremble de peur car, c'est la
première fois de sa vie qu'il voit de la neige. Comme
certaines pièces sont stockés à l'extérieur les chariots
élévateurs qui nous les livrent nous les apportent
couverts de cette neige toute blanche qui fond. Je
demande a Bali,
- Pour quelle raison trembles tu Bali, as tu froid ?
- Non, mizi, je n'ai pas froid c'est la première fois
que je voie de la neige et elle me fait peur.
- Donc tu n'as jamais fait ton baptême de neige
Bali ?
- Non mizi.
- Es-tu prêt pour le faire ?
- Oui je veux le faire et le raconter plus tard à ma
famille mizi.
Je fais part de cette demande aux collègues qui en
font une petite récréation au moment de notre pause.
La bataille de boule de neige nous met en émoi,
sommes-nous redevenu des enfants ?
Février 1976
Une semaine a passé, pas de réponse sur ma
demande. Je relance le chef de file.
- Avez vous du nouveau monsieur le chef de file
sur la demande que je vous ai faite la semaine
dernière ?
- Non je n'ai pas eu de réponse monsieur Jean. Il
y a une visite de haut niveau dans les prochains
jours, qui se prépare, cela perturbe notre
programme.
- Bon, laissons passer cette semaine mais n'oublier
pas ma demande à la prochaine réunion monsieur
le chef de file.
Je poursuis mon travail comme de coutume et
observe le service d'encadrement se réunir
régulièrement derrière les vitres de leur salle de
réunion qui se trouve accolé à la chaîne de montage.
Le chef de service de la carrosserie ne s'y trouve que
rarement mais se jour-là, il est bien là. Je ne perds
pas cette occasion de le croiser et de lui faire part
de ma demande. Bien entendu, il faut passer par les
échelons qui démarrent à partir du chef de file, puis
123
du chef d'équipe suivie du contremaître et du chef
d'atelier pour terminer auprès du chef de la
carrosserie. Le dernier c'est le directeur de la
carrosserie.
Je ne perds pas le nord et guette une
importunité pour le croiser. Ce que je suis en train
de faire c'est prendre l'ascenseur qui permet de
sauter les échelons. Le chef de la carrosserie passe
avec le directeur de l'usine de carrosserie, ils me
servent la main comme à tous les autres collègues
de l'équipe. Ce moment tient-la clé de mon avenir, je
dois la la saisir.
- Bonjour monsieur le directeur de la carrosserie.
- Bonjour monsieur Jean, (notre nom se trouve sur
nos vêtements de travail) votre poste vous
convient-il ?
- IL me convient monsieur le directeur, mais à
l'embauche l'on m'a promis que j'aurais un poste
de chauffeur, comme j'ai tous mes permis de
conduire j'eus fais la demande auprès de mon
encadrement sans obtenir une réponse. Cette
demande n'est elle pas parvenue a vos oreilles ?
Il regarde le chef de la carrosserie qui hoche la
tête et dis,
124
- Non monsieur le directeur, je n'ai pas reçu de
demande.
- Où est resté cette demande ?
Les cadres poursuivent leur visite suivi de l'équipe
d'encadrement. Je reste sur mon offensive avec
l’espoir que cette fois ci la demande porte ses fruits.
Le lendemain le chef de file me regarde d'un air
gêné puis il me dis,
- Il faut que vous formiez une personne à votre
poste Jean car d'ici la fin de semaine vous serez
muté dans un autre service.
Je n'en reviens pas, donc pour réussir il faut
prendre l'ascenseur pas les escaliers car il y a des
marches qui manquent.
Mars 1976
Me voilà dans un service de transport comportant
des camions, des locomotives, des véhicules de
services des chariots élévateurs. Un garage de
mécaniques autos et d'engin élévateurs en fait
partie. Une vrais aubaine que de pouvoir voyager
en véhicules et en faire un métier.
125
Ma venue dans ce service transforme mes habitudes.
Je travail de 7 heures 30 à 16 heures 30. On a 45
minutes de pause pour le repas. Cette manière de
travailler en journée me pénalise car je ne dispose
plus d'autant de temps pour retaper notre habitation
rural. Mes revenus sont moindre de 20 pour cent car
la prime pour travailler en équipe manque.
Avril 1976.
Cet engagement me permet de me reposer car
conduire n'est pas produire. Au matin nous formons
un cercle de 30 personnes et au milieu notre chef
d'équipe qui dispatche les transports à effectuer. Je
suis le dernier venue, ce qui me pénalise pour
obtenir un transport. Je reste pas mal de temps dans
le garage pour y faire certain travaux de mécaniques.
Le vendredi tous les véhicules de service sont
contrôle, de font en comble. Il y a un nombre de
160 véhicules de services. Ces mêmes voitures ne
doivent pas dépasser les 15 000 km, mis dans le
circuit de voiture d'occasion et sont remplacé
par de nouvelles autos. Il y a 13 directeurs dans
126
l'usine de Mulhouse et 16 000 personnes qui y
travail. Les voitures des directeurs sont vérifier
chaque fin de semaine. Pour les entretenir nous
les cherchons dans leur usine et les ramenons.
Certains directeurs ont le cœur sous la main et a
chaque venu ils nous offrent une bonne bouteille de
vin d'Alsace ou une pièce de 10 francs. Certains
autre sont de mauvais apôtre, leur cœur n'a de bon
que la critique. Il arrive que nous préparons une
nouveau modèle de voiture pour des maires, des
sous-préfets et le préfet ainsi que des hauts gradé
de la gendarmerie. On appelle cela une campagne
publicitaire.
Les transports consistent de chercher ou d'amener
des cadres à l'aéroport de Mulhouse-Bâle. D'autres
transports nous trimbalent a travers Europe pour
récupérer des pièces industriel rare. Il arrive que des
personnes, habitué a géré le train, manquent dans
leur équipe. L'un d'entre nous le remplace.
127
Je peux, pendant mes heures de pause et de repas
écrire comme bon me semble. Cette possibilité me
permet de progresser en écriture et en lecture. Mais
mes écrits sont truffé de fautes, je les reprend et les
tapes a la machine a écrire avec comme aide pour
la correction un Petit Robert.
En 1989
Il m'a fallu 14 années pour réussir à écrire des
recueils de poésies et des nouvelles , ainsi que
l'histoire de ma vie depuis mon plus jeune âge car,
la nuit je n'arrive a trouver le sommeil et pense ce
que je pourrais écrire. J'eus ce même procéder
pour retaper la maison, la nuit je réfléchi et le
lendemain je construit mes idées. Mes écrits ont
une grande importance pour moi mais pour mon
entourage je n'obtient le moindre soutient. Ils me
font comprendre que ce que je fais n'a de valeur
c'est du temps perdu.
Je m'y accroche et continue de rédiger des
128
recueils de poésies et de nouvelles que je capte par
ci, ou par là.
Il m'arrive de raconter mes poésies au cadre que
je transporte a l'aéroport. Mes éloges sont les
bien venu, j'en sois mois même ébloui. Un jour j'ai
comme passager le directeur principale de Poissy.
Ce n'est pas la première fois. Je lui raconte mes
poèmes et, sur le chemin, voilà qu'il s'endort. Je
suis un peu gêné et je m'arrête de m'exprimer. Cet
arrêt provoque une réaction contradictoire a mes
pensées.
- Continuer de raconter vos poésies, elles me
décontractent.
Je n'en reviens pas et continue comme il se doit de
raconter mes poésies et mes nouvelles.
Je suis persuadé que mes lignes ont de la valeur je
tente de les faire éditer en Suisse, il me refoule. Au
Canada je leur fait parvenir un aperçut, ma
candidature trouve preneur mais, il faut que leur
envoie la totalité du recueil. Je suis leur demande
129
puis quelques mois plus tard reçois une réponse qui
dit qu'ils ne peuvent édité mes écrits. Je leur demande
de me renvoyer mes textes. leur réponse dit que l'envoie
revient trots chère. Comme la maison d'édition ne
veut me renvoyer le manuscrit je leur fait parvenir
un chèque qui équivaut aux frais d’envois concernant
mon manuscrit.
Il me reste les maisons d'éditions a compte d'auteur
Paris. Je contacte des éditeurs de Paris sans oublier
ceux de ma région.
Dans ma région l'éditeur me fait comprendre que
ci je finance un voyage en Tailande l'édition peut se
faire ?
Ce mettre en valeur demande une certain cachet,
étant ouvrier je ne produit pas cette chaleur
envoûtante qui d'office me donne les clés de la
prise en charge. Étant un écrivain amateur je
reste sur la planche des espérés mais pas des
désespérés et continue d'écrire sans hésiter. Je ne
rencontre nul soutient dans mon entourage,
personne ne croie en ma réussite. Il faut que je
130
trouve une maison d'édition pour prouver mes
capacités.
Je me laisse embobiner par une montagne de
conditions que me propose, a compte d'auteur,
une maison de Paris. (je ne site de nom).
Je leur fait parvenir mon manuscrit qui doit
passer par une commission de lecture. Au bout de
six mois la maison d'édition m'écrit que le recueil
de poésie est accepté et que pour poursuivre, après
avoir relu et corrigé le manuscrit en mentionnant
(bon pour imprimaturs) et signé, il faut
envoyer la somme d'argent prévu dans le contra.
Je leur fait parvenir la somme et attend
impatiemment. Dans le contra une mention dit
que ce sont eux seul qui ont le droit d'en faire la
publicité et la vente. Ils tireront 300 recueils et
30 seront numéroté et envoyé. La somme dû
revient a 3000 francs, le salaire d'un ouvrier de
l'époque est a 1900 francs par mois.
Cette attente ne frêne pas ma raison
131
d'écrire, je dis même qu'elle me donne un envie
démultiplié pour créer de nouvelles aventures.
Le temps passe et au bout de 6 mois ils
m'écrivent qu'un seul recueil fut vendu et que le
reste passera au pilon.
Cette lettre me donne des frisons, et me choque
a telle point que je demande qu'ils me font
parvenir les invendu. Ils ne refusent pas et
m'envoient la facture a payer pour l’emballage.
Je ne pers pas le nord et vend mes 300 recueilles
de poésies en parlant par ci et par là. Je retombe
sur mes pieds même qu'une personne m'a triplé
la somme demandé pour que je continue dans
mon élancé.
Je suis en mesure de présenter un roman qui
a 270 pages a raison de 1700 frappe par page. Je
fais des recherches et tombe sur une autre
maison d'édition qui me propose de l'éditer a
compte d'auteur pour 25 000 francs et 1000
livres a disposition, comme pour le précédant
éditeurs, 30 pour cent vont a la librairie et 5
pour cent pour moi comme droit d'auteur. En
132
cas de réédition je toucherais 10 pour cent par
livres vendu. Pour que cette solution sois
profitable, la maison d'édition me propose de
faire paraître le livre un soir a 20 heures sur
le coin du coté droit du présentateur de
l’émission a la télévision. A ce sujet une autre
facture suit, elle s'élève a 25 000 francs, le
même prix que pour les frais 'édition.
Je précise que cette somme d'argent permet de
financé, a l'époque une nouvelle voiture de
classe moyenne.
La gourmandise dénonce un profit pour
certains et une défaite pour d'autres. Le
fait de vouloir piétiner sur les pavées de
l'élite punie celle ou celui qui tente d'y entrer.
Comment peut ont faire profiter a d'autres les
lignes qui nous font signent ? Pourtant, ceux
qui achètent les livres font partie de la masse
sociale ?
Je remédie a une autre façon de contacter les
gens du monde entier, en différente langues ,
133
sans passer par la caisse encaisser pour que
toutes personnes sur terre puissent apprendre
a lire et a écrire, tout simplement par la toile.
Un grand merci a tous mes lectrices et lecteurs.
profonde que notre amour s’enrichit. Cette venue
double ma volonté de terminer au plus vite notre
futur habitation.
120
Janvier 1976
Je travail encore sur la chaîne de montage, aucune
nouvelle du poste que l'on m'eut promis. Les 6 mois
ont passé, ont ils oublier ?
Pour parvenir à la tête du directive, il faut passer par
les échelons. Je n'ai pas oublié comment je suis
parvenu une premier fois d'être convoqué par la
direction. Je me garde de sauter les échelons et
demande au premier de la cordée, notre chef de file,
- Monsieur le chef de file, pourrais-je avoir un
rendez vous auprès du chef de service de la carrosserie ?
- Monsieur Jean, je dois faire monter cette demande
au chef d'équipe, quelle est votre raison ?
- Lors de mon embauche, il fut convenu qu'un poste
de chauffeur me sera attribué au bout de 6 mois. Le
temps a passé, m'ont-ils oublié ?
Ma demande n'attend plus qu'une réponse. Je suis
sur l'attente d'une bonne nouvelle cela me donne de
l'ambition.
Ce mois -là la neige tombe, j'apprécie la chaleur qui
se trouve dans l'atelier de la carrosserie en pensant à
mon ancien métier.
121
Des nouvelles embauches sont arrivées. Parmi eux
des Africains venu du Sénégal. Dans mon équipe un
jeune Sénégalais, Bali, tremble de peur car, c'est la
première fois de sa vie qu'il voit de la neige. Comme
certaines pièces sont stockés à l'extérieur les chariots
élévateurs qui nous les livrent nous les apportent
couverts de cette neige toute blanche qui fond. Je
demande a Bali,
- Pour quelle raison trembles tu Bali, as tu froid ?
- Non, mizi, je n'ai pas froid c'est la première fois
que je voie de la neige et elle me fait peur.
- Donc tu n'as jamais fait ton baptême de neige
Bali ?
- Non mizi.
- Es-tu prêt pour le faire ?
- Oui je veux le faire et le raconter plus tard à ma
famille mizi.
Je fais part de cette demande aux collègues qui en
font une petite récréation au moment de notre pause.
La bataille de boule de neige nous met en émoi,
sommes-nous redevenu des enfants ?
Février 1976
Une semaine a passé, pas de réponse sur ma
demande. Je relance le chef de file.
- Avez vous du nouveau monsieur le chef de file
sur la demande que je vous ai faite la semaine
dernière ?
- Non je n'ai pas eu de réponse monsieur Jean. Il
y a une visite de haut niveau dans les prochains
jours, qui se prépare, cela perturbe notre
programme.
- Bon, laissons passer cette semaine mais n'oublier
pas ma demande à la prochaine réunion monsieur
le chef de file.
Je poursuis mon travail comme de coutume et
observe le service d'encadrement se réunir
régulièrement derrière les vitres de leur salle de
réunion qui se trouve accolé à la chaîne de montage.
Le chef de service de la carrosserie ne s'y trouve que
rarement mais se jour-là, il est bien là. Je ne perds
pas cette occasion de le croiser et de lui faire part
de ma demande. Bien entendu, il faut passer par les
échelons qui démarrent à partir du chef de file, puis
123
du chef d'équipe suivie du contremaître et du chef
d'atelier pour terminer auprès du chef de la
carrosserie. Le dernier c'est le directeur de la
carrosserie.
Je ne perds pas le nord et guette une
importunité pour le croiser. Ce que je suis en train
de faire c'est prendre l'ascenseur qui permet de
sauter les échelons. Le chef de la carrosserie passe
avec le directeur de l'usine de carrosserie, ils me
servent la main comme à tous les autres collègues
de l'équipe. Ce moment tient-la clé de mon avenir, je
dois la la saisir.
- Bonjour monsieur le directeur de la carrosserie.
- Bonjour monsieur Jean, (notre nom se trouve sur
nos vêtements de travail) votre poste vous
convient-il ?
- IL me convient monsieur le directeur, mais à
l'embauche l'on m'a promis que j'aurais un poste
de chauffeur, comme j'ai tous mes permis de
conduire j'eus fais la demande auprès de mon
encadrement sans obtenir une réponse. Cette
demande n'est elle pas parvenue a vos oreilles ?
Il regarde le chef de la carrosserie qui hoche la
tête et dis,
124
- Non monsieur le directeur, je n'ai pas reçu de
demande.
- Où est resté cette demande ?
Les cadres poursuivent leur visite suivi de l'équipe
d'encadrement. Je reste sur mon offensive avec
l’espoir que cette fois ci la demande porte ses fruits.
Le lendemain le chef de file me regarde d'un air
gêné puis il me dis,
- Il faut que vous formiez une personne à votre
poste Jean car d'ici la fin de semaine vous serez
muté dans un autre service.
Je n'en reviens pas, donc pour réussir il faut
prendre l'ascenseur pas les escaliers car il y a des
marches qui manquent.
Mars 1976
Me voilà dans un service de transport comportant
des camions, des locomotives, des véhicules de
services des chariots élévateurs. Un garage de
mécaniques autos et d'engin élévateurs en fait
partie. Une vrais aubaine que de pouvoir voyager
en véhicules et en faire un métier.
125
Ma venue dans ce service transforme mes habitudes.
Je travail de 7 heures 30 à 16 heures 30. On a 45
minutes de pause pour le repas. Cette manière de
travailler en journée me pénalise car je ne dispose
plus d'autant de temps pour retaper notre habitation
rural. Mes revenus sont moindre de 20 pour cent car
la prime pour travailler en équipe manque.
Avril 1976.
Cet engagement me permet de me reposer car
conduire n'est pas produire. Au matin nous formons
un cercle de 30 personnes et au milieu notre chef
d'équipe qui dispatche les transports à effectuer. Je
suis le dernier venue, ce qui me pénalise pour
obtenir un transport. Je reste pas mal de temps dans
le garage pour y faire certain travaux de mécaniques.
Le vendredi tous les véhicules de service sont
contrôle, de font en comble. Il y a un nombre de
160 véhicules de services. Ces mêmes voitures ne
doivent pas dépasser les 15 000 km, mis dans le
circuit de voiture d'occasion et sont remplacé
par de nouvelles autos. Il y a 13 directeurs dans
126
l'usine de Mulhouse et 16 000 personnes qui y
travail. Les voitures des directeurs sont vérifier
chaque fin de semaine. Pour les entretenir nous
les cherchons dans leur usine et les ramenons.
Certains directeurs ont le cœur sous la main et a
chaque venu ils nous offrent une bonne bouteille de
vin d'Alsace ou une pièce de 10 francs. Certains
autre sont de mauvais apôtre, leur cœur n'a de bon
que la critique. Il arrive que nous préparons une
nouveau modèle de voiture pour des maires, des
sous-préfets et le préfet ainsi que des hauts gradé
de la gendarmerie. On appelle cela une campagne
publicitaire.
Les transports consistent de chercher ou d'amener
des cadres à l'aéroport de Mulhouse-Bâle. D'autres
transports nous trimbalent a travers Europe pour
récupérer des pièces industriel rare. Il arrive que des
personnes, habitué a géré le train, manquent dans
leur équipe. L'un d'entre nous le remplace.
127
Je peux, pendant mes heures de pause et de repas
écrire comme bon me semble. Cette possibilité me
permet de progresser en écriture et en lecture. Mais
mes écrits sont truffé de fautes, je les reprend et les
tapes a la machine a écrire avec comme aide pour
la correction un Petit Robert.
En 1989
Il m'a fallu 14 années pour réussir à écrire des
recueils de poésies et des nouvelles , ainsi que
l'histoire de ma vie depuis mon plus jeune âge car,
la nuit je n'arrive a trouver le sommeil et pense ce
que je pourrais écrire. J'eus ce même procéder
pour retaper la maison, la nuit je réfléchi et le
lendemain je construit mes idées. Mes écrits ont
une grande importance pour moi mais pour mon
entourage je n'obtient le moindre soutient. Ils me
font comprendre que ce que je fais n'a de valeur
c'est du temps perdu.
Je m'y accroche et continue de rédiger des
128
recueils de poésies et de nouvelles que je capte par
ci, ou par là.
Il m'arrive de raconter mes poésies au cadre que
je transporte a l'aéroport. Mes éloges sont les
bien venu, j'en sois mois même ébloui. Un jour j'ai
comme passager le directeur principale de Poissy.
Ce n'est pas la première fois. Je lui raconte mes
poèmes et, sur le chemin, voilà qu'il s'endort. Je
suis un peu gêné et je m'arrête de m'exprimer. Cet
arrêt provoque une réaction contradictoire a mes
pensées.
- Continuer de raconter vos poésies, elles me
décontractent.
Je n'en reviens pas et continue comme il se doit de
raconter mes poésies et mes nouvelles.
Je suis persuadé que mes lignes ont de la valeur je
tente de les faire éditer en Suisse, il me refoule. Au
Canada je leur fait parvenir un aperçut, ma
candidature trouve preneur mais, il faut que leur
envoie la totalité du recueil. Je suis leur demande
129
puis quelques mois plus tard reçois une réponse qui
dit qu'ils ne peuvent édité mes écrits. Je leur demande
de me renvoyer mes textes. leur réponse dit que l'envoie
revient trots chère. Comme la maison d'édition ne
veut me renvoyer le manuscrit je leur fait parvenir
un chèque qui équivaut aux frais d’envois concernant
mon manuscrit.
Il me reste les maisons d'éditions a compte d'auteur
Paris. Je contacte des éditeurs de Paris sans oublier
ceux de ma région.
Dans ma région l'éditeur me fait comprendre que
ci je finance un voyage en Tailande l'édition peut se
faire ?
Ce mettre en valeur demande une certain cachet,
étant ouvrier je ne produit pas cette chaleur
envoûtante qui d'office me donne les clés de la
prise en charge. Étant un écrivain amateur je
reste sur la planche des espérés mais pas des
désespérés et continue d'écrire sans hésiter. Je ne
rencontre nul soutient dans mon entourage,
personne ne croie en ma réussite. Il faut que je
130
trouve une maison d'édition pour prouver mes
capacités.
Je me laisse embobiner par une montagne de
conditions que me propose, a compte d'auteur,
une maison de Paris. (je ne site de nom).
Je leur fait parvenir mon manuscrit qui doit
passer par une commission de lecture. Au bout de
six mois la maison d'édition m'écrit que le recueil
de poésie est accepté et que pour poursuivre, après
avoir relu et corrigé le manuscrit en mentionnant
(bon pour imprimaturs) et signé, il faut
envoyer la somme d'argent prévu dans le contra.
Je leur fait parvenir la somme et attend
impatiemment. Dans le contra une mention dit
que ce sont eux seul qui ont le droit d'en faire la
publicité et la vente. Ils tireront 300 recueils et
30 seront numéroté et envoyé. La somme dû
revient a 3000 francs, le salaire d'un ouvrier de
l'époque est a 1900 francs par mois.
Cette attente ne frêne pas ma raison
131
d'écrire, je dis même qu'elle me donne un envie
démultiplié pour créer de nouvelles aventures.
Le temps passe et au bout de 6 mois ils
m'écrivent qu'un seul recueil fut vendu et que le
reste passera au pilon.
Cette lettre me donne des frisons, et me choque
a telle point que je demande qu'ils me font
parvenir les invendu. Ils ne refusent pas et
m'envoient la facture a payer pour l’emballage.
Je ne pers pas le nord et vend mes 300 recueilles
de poésies en parlant par ci et par là. Je retombe
sur mes pieds même qu'une personne m'a triplé
la somme demandé pour que je continue dans
mon élancé.
Je suis en mesure de présenter un roman qui
a 270 pages a raison de 1700 frappe par page. Je
fais des recherches et tombe sur une autre
maison d'édition qui me propose de l'éditer a
compte d'auteur pour 25 000 francs et 1000
livres a disposition, comme pour le précédant
éditeurs, 30 pour cent vont a la librairie et 5
pour cent pour moi comme droit d'auteur. En
132
cas de réédition je toucherais 10 pour cent par
livres vendu. Pour que cette solution sois
profitable, la maison d'édition me propose de
faire paraître le livre un soir a 20 heures sur
le coin du coté droit du présentateur de
l’émission a la télévision. A ce sujet une autre
facture suit, elle s'élève a 25 000 francs, le
même prix que pour les frais 'édition.
Je précise que cette somme d'argent permet de
financé, a l'époque une nouvelle voiture de
classe moyenne.
La gourmandise dénonce un profit pour
certains et une défaite pour d'autres. Le
fait de vouloir piétiner sur les pavées de
l'élite punie celle ou celui qui tente d'y entrer.
Comment peut ont faire profiter a d'autres les
lignes qui nous font signent ? Pourtant, ceux
qui achètent les livres font partie de la masse
sociale ?
Je remédie a une autre façon de contacter les
gens du monde entier, en différente langues ,
133
sans passer par la caisse encaisser pour que
toutes personnes sur terre puissent apprendre
a lire et a écrire, tout simplement par la toile.
Un grand merci a tous mes lectrices et lecteurs.
JJM
Le roman est en cour de construction. Des
modifications peuvent suivre. Les tableaux
sont de la marqueterie, l'auteur est Jean
Jacques Mutz écrivain amateur. Toute
coïncidence serait un pur hasard, un
roman n'est qu'une parodie.
Un écrivain amateur ne touche pas de revenu
pour ses écrits, il les partage sans modération.
coïncidence serait un pur hasard, un
roman n'est qu'une parodie.
Un écrivain amateur ne touche pas de revenu
pour ses écrits, il les partage sans modération.
A ce jour, 05 07 2023, 181 996 lecteurs.
A ce jour, 17 11 2024, 202 933 lecteurs.
Commentaires