Combattre pour le futur (roman sentimental 7/10)
Mirage au dessus des nuages sage n 1
Combattre pour le futur 7/10
76
Cette semaine là je la passe agréablement, je
m'exprime en peinture temps bien que mal mais
satisfait de ma création.
Le soleil au zénith proclame victoire en
expriment sa chaleur . Il fait trop chaud
l’atmosphère est lourd et la seul possibilité de
rencontrer un peu de soulagement reste l'ombre
que me procure le bâtiment. C'est dans cette zone
de bienfaisance que je laisse aller mes
pensées.
77
A mes pieds s'étale une surface goudronnée.
Elle occupe presque tout le sol de notre cour
d'une largeur de quatre mètre. En face de moi une
autre cour égale à la première où une maison à
deux étages, semblable a celle que j'occupe. Le
partage des cours se fait par un muret d'environ
cinquante centimètres de haut que surmonte une
clôture en fer plastifier d'un bon mètre de haut.
De mon coté j'ai laissé une petite rangée de
terre où je laisse pousser une allée de rosiers de
différente couleurs.
Quel enchantement pour mes yeux que ce
spectacle gracieux et au parfum du aux pétales
de soie qui m'éblouissent de tendresse et de
sagesse mythique. J'aime leurs couleurs infinies
en parlant des roses. Ma passion n'a de limite,
elle me donne beaucoup de satisfaction.
Les unes sont jaune moutarde et d'autres d'un
rouge effervescente qui signe ma satisfaction.
Les unes sont mitigé de fine traces rouges où
78
d'un jaune aspergé de gouttes bleu nuit. D'autres
virent à l'orange où signé d'un filigrane rosé. La
Queen Élisabeth fière de sa hauteur, prospère en
toute beauté avec ces pédales qui la tapisse. le fait
de les décrire régale ma passion donc je fière a
jamais. Elles m'apportent des fruits, ceux du
plaisir que j’apprécie.
Pour bien me relaxé mon postérieur prend
assis sur la chaise en bois que je fais basculer
sur les pieds arrière. Ce qui m'adosse la
surface de mon dos contre le mur de la
maison. De cette façon, mes deux pieds
s'élèvent du sol. Je me laisse vivre selon le bien
être de mes pensées. Rien ne réveille le moindre
bruit, il n'y a de défaut, je suis sous une immobile
contemplation. Je ressens un bien être confortable.
Soudain, un timide chant chant d'oiseaux effleure
mes oreilles. C'est ce couple de perruches en cage
situé au premier étage du bâtiment voisin, qui
trouble le silence. Je regarde ma montre, par
habitude.
79
Ma relaxation cesse, je reprend conscience ;
c'est cette chaleur qui est responsable de ma
divagation ! Puis, naît le son d'une jeune voix
elle produit en moi comme une effervescence de
sentiments. Je m'émerveille , enchanté , laissant
la place dans mes rêves a cet étonnement.
- Monsieur, monsieur !
Voilà un message que je capte avec un charmant et
radieux présage. Mes yeux s'ouvrent, je regarde
autour de moi, personne ne vient me flatter de son
visage.
- Monsieur, monsieur !
Mais où se trouve cet enfant qui me parle si poliment ?
- Monsieur, monsieur, c'est moi rose !
Mon attention décuple. Rose ? Le son de cette
jolie voix enfantine guide mon attention vers les roses
jaune moutarde. Inquiet, je ne peux m'empêcher de
penser . Mes roses se mettent-elles-à parler ? Il me
semble que je m'égare dans un univers de fantaisie où
le rêve coopère avec la réalité.
80
- Monsieur, monsieur, venez vers moi, c'est Rose
qui vous demande cela, approcher-vous de moi.
Je laisse basculer ma chaise sur ses quatre pieds,
redresse ma colonne pour me soulever, essuie mon
fronts car j'ai sué, puis place mes deux pieds sur le
macadam. Ses supplications font de moi un objet qui
se laisse guider. Le soleil émet une clarté rude qui frape
le sol gris noir et mat d'où se répercute une chaleur
ondulante sur toute sa surface. L'odeur du goudron
nargue mes narines et mes pieds nus sont réticents à
cette forte température qui dégage le sol. Je me penche
par-dessus les rosiers et reste ébloui par une perle noire
brillante de tout l'espoir du monde.
- Merci monsieur de vous approché, je m'appelle Rose
et j'aimerais bien vous parler.
Me parler ? Mais pour quelle raison devrait-elle me
parler ? Je la regarde pour mieux la détailler et
rencontre dans son regard cette expression qu'on appelle
sympathie. Ses petits yeux ronds brillent comme des éclats
de verre brun fumé, sa peau brune foncé brille suite aux
81
gouttelettes de transpiration. Je découvre une jolie source
de réconfort derrière ma rangée de rosiers. Elle doit avoir..
- J'ai quatre ans, Monsieur, et la dame qui me garde me
laisse jouer dans la cour mais il fait trop chaud, je
préfère vous parler que de jouer.
Je ne lui demande rien, elle parle comme si je l'avais
questionné.
- Vous aussi vous vous ennuyer.
- Non je ne m'ennuie pas , je rêve , je pense, je médite.
Je pense lui avoir tout dit, mais elle a d'autres intentions.
- Pour quelle raison Monsieur, avez vous une tête sans
cheveux ?
- C'est suite a une opération.
- Mais pour quelle raison restez vous a l'ombre ?
- Cela est dut au manque de cheveux le soleil
réchauffe mon cerveau !
Je me suis jamais exprimé autant avec une personne
que je rencontre pour la première fois. Je sens une
vague de liberté qui franchit un obstacle que seul
je n'aurais pu surmonter.
82
- Il est quelle heures, Monsieur ? Car à 16 heures je
dois prendre mon goûter.
- Il est quatre heures passé, du peux y aller.
- Merci Monsieur je reviens vite, restez dans la cour
je veux encore vous parler.
Elle se faufile rapidement vers la porte cochère de
son habitation. Je reprend ma place à l'ombre sur la
chaise, que je bascule contre le mur de ma maison. Je
plonge dans une nouvelle méditation avec dans le
coeur une sorte de satisfaction malgré que je ne sais
pas lire l'heure et que je l'ai dis au hasard pour me
valoriser.
Je reprend ma position de rêveur sur les deux pieds
adossé contre le mur.
- Monsieur, monsieur,
Me dit une voix d'enfant en larme et suffoquant.
- Monsieur, monsieur, la nurse ma brossé,,,
le dessus de mes mains fortement.
- Le dessus de tes mains on du être sale ? Comme
la peau est fine ça ta fait mal je comprend.
Rose continue de pleurer et saccade ses mots.
- Non monsieur, elles n'étaient pas sale mes
mains, la nurse a prit une brosse a crin de
cheval et a frotté, frotté puis elle a dit qu'elle
réussira à me les rendre aussi blanches que
83
la paume de ma main. Ci je pleure c'est que
j'ai peur qu'elle réussis et que je serais
différente car mes mains ne ressembleront
plus a celles de ma maman.
Cette exposé m'émeut, je ressens une profonde
peine. Je suis devenu le témoin oculaire
qu'une injustice odieuse. En dénoncent cette
forme de racisme il va falloir l'écrire dans un
journal. Hélas, je ne sais plus lire n'y écrire
il faut que je réapprend.
Les journées suivante je n'ai plus dialogué
avec Rose. Je n'ai plus revu cette rose noir
qui avait secoué ma solitude et réveillé mon
intention sur ce que sera mon avenir, écrivains
amateur. Je garde d'elle son visage noble
de la dignité et du Frank partage de son amitié.
Les journée passent par habitude, je récupère
en poids mais porte toujours un plâtre sur ma
main droite. Ce qui m’empêche de rouler en
voiture.
84
Tout les matins, je prend le journal l'Alsace
que je regarde avec attention. Je pause mon
regard sur les gros titre des images, lorsque
Mimi se trouve a coté de moi je lui demande,
- C'est quoi cette lettre Mimi ?
- Un (A) majuscule.
- Et celle ci ?
- Un (l) minuscule
- Celle qui suit ?
- C'est un (s) minuscule.
- Ensuite ?
- Un (a) minuscule.
- Puis ?
- Un (c) minuscule.
- La dernière ?
- Un (e) minuscule.
- Comment faut il prononcer l'ensemble de ces
lettres ?
- Tu prononces (Alsace) Jean.
- Maintenant tu vas entourer tous les (A) qui se
trouvent sur la feuille et tu prononces (A) a
chaque fois que tu l'entoures.
85
Cet exercice me passionne mais me fatigue
énormément, dans ma tête les neurones
bourdonnent suite a l'imposition de mes
intentions. Dans la création de tableaux je ne
rencontre ce cas, car cette distraction me
soulage et me gratifie de bien être. Je conclu
qu'en faisant des tableaux je peux prendre
des reperds pour que plus tard, quant je saurais
écrire je les traduis en textes.
suite au 8/10
Combattre pour le futur 7/10
76
Cette semaine là je la passe agréablement, je
m'exprime en peinture temps bien que mal mais
satisfait de ma création.
Le soleil au zénith proclame victoire en
expriment sa chaleur . Il fait trop chaud
l’atmosphère est lourd et la seul possibilité de
rencontrer un peu de soulagement reste l'ombre
que me procure le bâtiment. C'est dans cette zone
de bienfaisance que je laisse aller mes
pensées.
77
A mes pieds s'étale une surface goudronnée.
Elle occupe presque tout le sol de notre cour
d'une largeur de quatre mètre. En face de moi une
autre cour égale à la première où une maison à
deux étages, semblable a celle que j'occupe. Le
partage des cours se fait par un muret d'environ
cinquante centimètres de haut que surmonte une
clôture en fer plastifier d'un bon mètre de haut.
De mon coté j'ai laissé une petite rangée de
terre où je laisse pousser une allée de rosiers de
différente couleurs.
Quel enchantement pour mes yeux que ce
spectacle gracieux et au parfum du aux pétales
de soie qui m'éblouissent de tendresse et de
sagesse mythique. J'aime leurs couleurs infinies
en parlant des roses. Ma passion n'a de limite,
elle me donne beaucoup de satisfaction.
Les unes sont jaune moutarde et d'autres d'un
rouge effervescente qui signe ma satisfaction.
Les unes sont mitigé de fine traces rouges où
78
d'un jaune aspergé de gouttes bleu nuit. D'autres
virent à l'orange où signé d'un filigrane rosé. La
Queen Élisabeth fière de sa hauteur, prospère en
toute beauté avec ces pédales qui la tapisse. le fait
de les décrire régale ma passion donc je fière a
jamais. Elles m'apportent des fruits, ceux du
plaisir que j’apprécie.
Pour bien me relaxé mon postérieur prend
assis sur la chaise en bois que je fais basculer
sur les pieds arrière. Ce qui m'adosse la
surface de mon dos contre le mur de la
maison. De cette façon, mes deux pieds
s'élèvent du sol. Je me laisse vivre selon le bien
être de mes pensées. Rien ne réveille le moindre
bruit, il n'y a de défaut, je suis sous une immobile
contemplation. Je ressens un bien être confortable.
Soudain, un timide chant chant d'oiseaux effleure
mes oreilles. C'est ce couple de perruches en cage
situé au premier étage du bâtiment voisin, qui
trouble le silence. Je regarde ma montre, par
habitude.
79
Ma relaxation cesse, je reprend conscience ;
c'est cette chaleur qui est responsable de ma
divagation ! Puis, naît le son d'une jeune voix
elle produit en moi comme une effervescence de
sentiments. Je m'émerveille , enchanté , laissant
la place dans mes rêves a cet étonnement.
- Monsieur, monsieur !
Voilà un message que je capte avec un charmant et
radieux présage. Mes yeux s'ouvrent, je regarde
autour de moi, personne ne vient me flatter de son
visage.
- Monsieur, monsieur !
Mais où se trouve cet enfant qui me parle si poliment ?
- Monsieur, monsieur, c'est moi rose !
Mon attention décuple. Rose ? Le son de cette
jolie voix enfantine guide mon attention vers les roses
jaune moutarde. Inquiet, je ne peux m'empêcher de
penser . Mes roses se mettent-elles-à parler ? Il me
semble que je m'égare dans un univers de fantaisie où
le rêve coopère avec la réalité.
80
- Monsieur, monsieur, venez vers moi, c'est Rose
qui vous demande cela, approcher-vous de moi.
Je laisse basculer ma chaise sur ses quatre pieds,
redresse ma colonne pour me soulever, essuie mon
fronts car j'ai sué, puis place mes deux pieds sur le
macadam. Ses supplications font de moi un objet qui
se laisse guider. Le soleil émet une clarté rude qui frape
le sol gris noir et mat d'où se répercute une chaleur
ondulante sur toute sa surface. L'odeur du goudron
nargue mes narines et mes pieds nus sont réticents à
cette forte température qui dégage le sol. Je me penche
par-dessus les rosiers et reste ébloui par une perle noire
brillante de tout l'espoir du monde.
- Merci monsieur de vous approché, je m'appelle Rose
et j'aimerais bien vous parler.
Me parler ? Mais pour quelle raison devrait-elle me
parler ? Je la regarde pour mieux la détailler et
rencontre dans son regard cette expression qu'on appelle
sympathie. Ses petits yeux ronds brillent comme des éclats
de verre brun fumé, sa peau brune foncé brille suite aux
81
gouttelettes de transpiration. Je découvre une jolie source
de réconfort derrière ma rangée de rosiers. Elle doit avoir..
- J'ai quatre ans, Monsieur, et la dame qui me garde me
laisse jouer dans la cour mais il fait trop chaud, je
préfère vous parler que de jouer.
Je ne lui demande rien, elle parle comme si je l'avais
questionné.
- Vous aussi vous vous ennuyer.
- Non je ne m'ennuie pas , je rêve , je pense, je médite.
Je pense lui avoir tout dit, mais elle a d'autres intentions.
- Pour quelle raison Monsieur, avez vous une tête sans
cheveux ?
- C'est suite a une opération.
- Mais pour quelle raison restez vous a l'ombre ?
- Cela est dut au manque de cheveux le soleil
réchauffe mon cerveau !
Je me suis jamais exprimé autant avec une personne
que je rencontre pour la première fois. Je sens une
vague de liberté qui franchit un obstacle que seul
je n'aurais pu surmonter.
82
- Il est quelle heures, Monsieur ? Car à 16 heures je
dois prendre mon goûter.
- Il est quatre heures passé, du peux y aller.
- Merci Monsieur je reviens vite, restez dans la cour
je veux encore vous parler.
Elle se faufile rapidement vers la porte cochère de
son habitation. Je reprend ma place à l'ombre sur la
chaise, que je bascule contre le mur de ma maison. Je
plonge dans une nouvelle méditation avec dans le
coeur une sorte de satisfaction malgré que je ne sais
pas lire l'heure et que je l'ai dis au hasard pour me
valoriser.
Je reprend ma position de rêveur sur les deux pieds
adossé contre le mur.
- Monsieur, monsieur,
Me dit une voix d'enfant en larme et suffoquant.
- Monsieur, monsieur, la nurse ma brossé,,,
le dessus de mes mains fortement.
- Le dessus de tes mains on du être sale ? Comme
la peau est fine ça ta fait mal je comprend.
Rose continue de pleurer et saccade ses mots.
- Non monsieur, elles n'étaient pas sale mes
mains, la nurse a prit une brosse a crin de
cheval et a frotté, frotté puis elle a dit qu'elle
réussira à me les rendre aussi blanches que
83
la paume de ma main. Ci je pleure c'est que
j'ai peur qu'elle réussis et que je serais
différente car mes mains ne ressembleront
plus a celles de ma maman.
Cette exposé m'émeut, je ressens une profonde
peine. Je suis devenu le témoin oculaire
qu'une injustice odieuse. En dénoncent cette
forme de racisme il va falloir l'écrire dans un
journal. Hélas, je ne sais plus lire n'y écrire
il faut que je réapprend.
Les journées suivante je n'ai plus dialogué
avec Rose. Je n'ai plus revu cette rose noir
qui avait secoué ma solitude et réveillé mon
intention sur ce que sera mon avenir, écrivains
amateur. Je garde d'elle son visage noble
de la dignité et du Frank partage de son amitié.
Les journée passent par habitude, je récupère
en poids mais porte toujours un plâtre sur ma
main droite. Ce qui m’empêche de rouler en
voiture.
84
Tout les matins, je prend le journal l'Alsace
que je regarde avec attention. Je pause mon
regard sur les gros titre des images, lorsque
Mimi se trouve a coté de moi je lui demande,
- C'est quoi cette lettre Mimi ?
- Un (A) majuscule.
- Et celle ci ?
- Un (l) minuscule
- Celle qui suit ?
- C'est un (s) minuscule.
- Ensuite ?
- Un (a) minuscule.
- Puis ?
- Un (c) minuscule.
- La dernière ?
- Un (e) minuscule.
- Comment faut il prononcer l'ensemble de ces
lettres ?
- Tu prononces (Alsace) Jean.
- Maintenant tu vas entourer tous les (A) qui se
trouvent sur la feuille et tu prononces (A) a
chaque fois que tu l'entoures.
85
Cet exercice me passionne mais me fatigue
énormément, dans ma tête les neurones
bourdonnent suite a l'imposition de mes
intentions. Dans la création de tableaux je ne
rencontre ce cas, car cette distraction me
soulage et me gratifie de bien être. Je conclu
qu'en faisant des tableaux je peux prendre
des reperds pour que plus tard, quant je saurais
écrire je les traduis en textes.
suite au 8/10
JJM
le roman est en cour de construction, des
changements peuvent suivre. Les tableaux
en marqueterie sont de l'auteur Jean Jacques
Mutz.
le roman est en cour de construction, des
changements peuvent suivre. Les tableaux
en marqueterie sont de l'auteur Jean Jacques
Mutz.
A ce jour, 05 07 2023 , 181 996 lecteurs
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