LA PROVIDENCE ( nouvelle n 37 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
.
LA PROVIDENCE
C'est une sortie de conclusion qui
accouple certaines prédéterminations !
Peu être que dans la suite de ces lignes
l'on retrouve l'évidence d'un signe qui
explique notre hésitation ? J'en doute
car voici une histoire qui eut troublé
un passage de ma vie.
porte. De bonne heure que je croise
cette révélation, sur le chemin
qui me guide vers l’arrêt de ce bus,
que je prend régulièrement pour me
rendre a mon lieu de travail.
Le jour se cache timidement derrière
les montagnes de la foret noir : il se
dénonce par la marque d'une faible
lueur rougeâtre. Ce rayon tisse la
valeur d'une clarté timide mais
encourageant car elle est prête pour
pousser l'étendu de cette masse
sombre vers l'ouest.
Je fais mes premiers pas avec
l'accompagnement de l’allégresse des
innombrables chants d'oiseaux. Le
cocorico des fermes environnantes
témoigne de la suprématie de son
caractère, quant a l’aboiement des
réveille dans toutes les fermes.
Mon déplacement, d'une vitesse
nonchalante, ne provoque le moindre
bruit pouvant désaccorder les
habitudes.
Mes pensées croisent le bien être,
une paradoxe qui s'égare entre les
draps douillets de mon lit et la fatigue
non consommé de la nuit qui me suit.
Mon regard est bien bas il observe le
sol d'argile par ici et le goudron de la
route par la. Une petite souris vient de
se déplacer rapidement devant mes
pieds pour traverser machinalement
la route sans un regain de prudence.
Un chat blanc longe le mur de la
grange en bois de la vieille ferme de
madame ( La Louche ).
Mon attention se réveille avec
la clarté d'une pièce d'argent. Elle
s'égare la, sur le trottoir, perdu, elle
me réveille et rend sensible mon
attention.
Instinctivement naît une réaction,
dois je la récupérer ? Je me laisse
séduire par cette pièce de monnaie
qui trouble mes pensées.
Mon hésitation ralentit mes intentions,
devrais je me baisser ou pas ? Des
doutes persistent car, qui sais un
regard flagrant me dénoncerait comme
étant un voleur de grand chemin ? Une
réaction indigne risque de déstabiliser
l'avenir de ma personnalité aux yeux
de mon entourage. Mon hésitation
provoque l'égarement de mon temps.
De fines lueurs rougeâtre brûlent le
restant de la nuit pour surpasser sa
la foret noir. Le jour avance a la
vitesse du soleil qui se déplace.
Ma curiosité observe les volets clos
car je crains que par cette pièce la
que l'on risque de prête attention
quant je ramasse cet argent.
Mon observation ne remarque le
moindre doute. Je me baisse avec
rapidité, et, fait semblant de fermer
mes lacets de chaussures. Je conjugue
cette action avec le ramassage de la
pièce en argent. A partir de la je
ressent le pressentiment d'avoir agi
comme un voleur.
Je reprend la vitesse de mes pas et,
voila que je rencontre au bout de mon
quatrième pas, une autre pièce d'argent
qui s'égare la sur le trottoir.
J'utilise le même savoir faire, telle
conventionnelle et saisi cette nouvelle
valeur d'argent.
Le coq de madame ( La Louche ) fait
vocaliser son caractère avec une
répétition d'indicateur, comme ci, se
serait un appel fait pour dénoncer une
victime.
Le jour pointe sa puissance, telle une
force digne d'une révérence. Je marque
un autre arrêt car, je suis entrain de
calculer la somme d'argent que j'ai
récolté. Deux pièces d'argent cela
représente la valeur nécessaire pour
l'achat d'un arpent de terrain. Je
devient riche !
Pas mal pour mes premiers pas , mais,
dame chance et sa fortune me marque
a nouveau sa révérence car l'éclat
brillant d'une autre pièce d'argent
pour observer ci , et la ramasse sans
tarder.
Dans mes calcules je me rend compte
que ce sont trois pièces d'argents que
je possède, une bonne récolte. Sans
m’attarder je reprend mon élancé
comme un habitue et voila , une autre
pièce qui s'égare devant mes pieds ?
Dame chance me jouerait elle des
tours ? Je me questionne .
Le jour se fait plus claire et mon
regard éveillé remarque qu'une autre
pièce se trouve la, mais elle ne reflet
pas la même lueur ; elle a la couleur
jaune dominent. C'est une véritable
pièce d'or qui s'égare la ?
Le chien des Banquier aboie, ce
qui augmente ma rapidité de
ramassage ; elle est telle que je
presse ma démarche pour avancer de
dix pas .
Je trouve une autre pièce jaune d'or
qui brille comme un Louis neuf par le
vernissage du a cette rosée matinale.
Je me penche avec ardeur pour
rapidement la placer dans ma poche.
Mon inventaire représente maintenant
trois pièces d'argents et deux pièces
d'or.
Dans mes pensées un certain orgueil
formule un lien avec celui de la
richesse ; cette attitude que l'on peu
comparer avec la réaction d'un petit
enfant heureux que l'on gâte avec
félicité.
Bref, je reprend du chemin comme le
fait le jour car il pointe son allure clair
au alentour. J'épouse une vitesse très
impulsif sur chaque reflet que
provoque la rosée sur une simple petite
pierre. Je suis enivré par cette attitude
de chanceux qui, mais, une autre pièce
d'or brille de tout son éclat au milieu
de ces pierrailles devant la marie.
Je suis a la bifurcation d'une ruelle
sans issu, et la une autre pièce d'or
brille ; pour obtenir mon futur bien ,
je suis obligé de l’emprunter pour la
ramasser.
Je me hâte pour y faire mon labeur ?
Avec cette richesse la je peux évoluer
dans l'ombre d'une classe agrémenté
qui possède l'avoir le savoir et la gloire
et de la directivité. A, messieurs de la
bourgeoisie, je suis des vôtres sans
un compromis.
Mais que diable vient il de se passer,
véritable polémique ? Je dois suivre le
pas d'un courtisant, pas celui d'un
avenant et garder dans mes pensées la
foi d'une bonne humeur.
Évaluer le temps ne m'intrigue point
sur le moment la valeur de l'argent et
de l'or possède plus d'importance que
la venue de mon bus de transport. Ce
sont encore des pièces d'or qu'il me
faut, aussi longtemps que la chance
me permettra de ramasser.
Je m'éloigne de mon parcours pour
pénétrer dans cette ruelle qui n'a aucune
issue. Je me cave d'une autre pièce d'or
qui retrouve mon acquis sans faire de
fantaisie.
Le bruit du bus effleure mes oreilles
mais mon inadvertance évite son rituel.
Je me trouve dans une galaxie
acharne mes recherches vers cette
allégresse de trouvaille qui rend riche
les fortunés. Avec quelle fierté vais je
raconter a ma femme comment j'ai
réussi par gagner autant de fortune,
en manquant tout simplement le bus ?
Dans mon cœur s'inscrit une joie
profonde, elle engloutit tous mes
précédents malheurs par cette manne
de ce juste bonheur !
A vraie dire je ne sais que redire et
ne tarde ma hâte de trouver de l'or
sur le trottoir de la rue sans issue. Je
me déplace avec sagesse jusqu'au bout
de la rue, reviens avec souplesse sur
mes pas sans avoir rencontré le
moindre mérite !!!
La chance ne m'a plus porté son
fruit d'or ou d'argent. C'est la
et le démérite. Plus une seule pièce
vient séduire mon regard.
Ma déception est grande pour les
calcules qui prévoyaient, a raison d'une
pièce d'or ou d'argent tout les dis pas,
la valeur d'une cinquantaines de pièces
vue que cette ruelle a 450 mètres.
Dans le fond de mon cœur je récolte
une déception révoltante car je viens de
faire ce détour pour rien en somme.
Dans mes pensées désordonnées,
résonne le glas de la loyauté, celui qui
réveille toutes les personnes plongé
dans un rêve gracieux.
C'est ce matin la que je me suis
égaré dans un rêve endimanché où le
son du réveille n'eut point sonné.
Les rêves entraînent les humains
dans des sondes qui devraient parfois
être des réalités.
JJM
auteur Jean jacques Mutz.
écrit le 24 11 2010, remis a jour
le 03 08 2019
A ce jour 24 11 2010, 855 lecteurs
A ce jour 11 07 2018, 103 747 lecteurs.
A ce jour, 03 08 2019, 114 101 lecteurs.
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LA PROVIDENCE
C'est une sortie de conclusion qui
accouple certaines prédéterminations !
Peu être que dans la suite de ces lignes
l'on retrouve l'évidence d'un signe qui
explique notre hésitation ? J'en doute
car voici une histoire qui eut troublé
un passage de ma vie.
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Ce jour la, la chance sonne a maporte. De bonne heure que je croise
cette révélation, sur le chemin
qui me guide vers l’arrêt de ce bus,
que je prend régulièrement pour me
rendre a mon lieu de travail.
Le jour se cache timidement derrière
les montagnes de la foret noir : il se
dénonce par la marque d'une faible
lueur rougeâtre. Ce rayon tisse la
valeur d'une clarté timide mais
encourageant car elle est prête pour
pousser l'étendu de cette masse
sombre vers l'ouest.
Je fais mes premiers pas avec
l'accompagnement de l’allégresse des
innombrables chants d'oiseaux. Le
cocorico des fermes environnantes
témoigne de la suprématie de son
caractère, quant a l’aboiement des
3
chiens du village provoquent leréveille dans toutes les fermes.
Mon déplacement, d'une vitesse
nonchalante, ne provoque le moindre
bruit pouvant désaccorder les
habitudes.
Mes pensées croisent le bien être,
une paradoxe qui s'égare entre les
draps douillets de mon lit et la fatigue
non consommé de la nuit qui me suit.
Mon regard est bien bas il observe le
sol d'argile par ici et le goudron de la
route par la. Une petite souris vient de
se déplacer rapidement devant mes
pieds pour traverser machinalement
la route sans un regain de prudence.
Un chat blanc longe le mur de la
grange en bois de la vieille ferme de
madame ( La Louche ).
Mon attention se réveille avec
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lenteur, puis, je me laisse séduire parla clarté d'une pièce d'argent. Elle
s'égare la, sur le trottoir, perdu, elle
me réveille et rend sensible mon
attention.
Instinctivement naît une réaction,
dois je la récupérer ? Je me laisse
séduire par cette pièce de monnaie
qui trouble mes pensées.
Mon hésitation ralentit mes intentions,
devrais je me baisser ou pas ? Des
doutes persistent car, qui sais un
regard flagrant me dénoncerait comme
étant un voleur de grand chemin ? Une
réaction indigne risque de déstabiliser
l'avenir de ma personnalité aux yeux
de mon entourage. Mon hésitation
provoque l'égarement de mon temps.
De fines lueurs rougeâtre brûlent le
restant de la nuit pour surpasser sa
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puissance pardessus les sommets dela foret noir. Le jour avance a la
vitesse du soleil qui se déplace.
Ma curiosité observe les volets clos
car je crains que par cette pièce la
que l'on risque de prête attention
quant je ramasse cet argent.
Mon observation ne remarque le
moindre doute. Je me baisse avec
rapidité, et, fait semblant de fermer
mes lacets de chaussures. Je conjugue
cette action avec le ramassage de la
pièce en argent. A partir de la je
ressent le pressentiment d'avoir agi
comme un voleur.
Je reprend la vitesse de mes pas et,
voila que je rencontre au bout de mon
quatrième pas, une autre pièce d'argent
qui s'égare la sur le trottoir.
J'utilise le même savoir faire, telle
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un connaisseur avec une prudenceconventionnelle et saisi cette nouvelle
valeur d'argent.
Le coq de madame ( La Louche ) fait
vocaliser son caractère avec une
répétition d'indicateur, comme ci, se
serait un appel fait pour dénoncer une
victime.
Le jour pointe sa puissance, telle une
force digne d'une révérence. Je marque
un autre arrêt car, je suis entrain de
calculer la somme d'argent que j'ai
récolté. Deux pièces d'argent cela
représente la valeur nécessaire pour
l'achat d'un arpent de terrain. Je
devient riche !
Pas mal pour mes premiers pas , mais,
dame chance et sa fortune me marque
a nouveau sa révérence car l'éclat
brillant d'une autre pièce d'argent
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s'égare la . Je ne prend plus le tempspour observer ci , et la ramasse sans
tarder.
Dans mes calcules je me rend compte
que ce sont trois pièces d'argents que
je possède, une bonne récolte. Sans
m’attarder je reprend mon élancé
comme un habitue et voila , une autre
pièce qui s'égare devant mes pieds ?
Dame chance me jouerait elle des
tours ? Je me questionne .
Le jour se fait plus claire et mon
regard éveillé remarque qu'une autre
pièce se trouve la, mais elle ne reflet
pas la même lueur ; elle a la couleur
jaune dominent. C'est une véritable
pièce d'or qui s'égare la ?
Le chien des Banquier aboie, ce
qui augmente ma rapidité de
ramassage ; elle est telle que je
8
risque de perdre mon équilibre. Jepresse ma démarche pour avancer de
dix pas .
Je trouve une autre pièce jaune d'or
qui brille comme un Louis neuf par le
vernissage du a cette rosée matinale.
Je me penche avec ardeur pour
rapidement la placer dans ma poche.
Mon inventaire représente maintenant
trois pièces d'argents et deux pièces
d'or.
Dans mes pensées un certain orgueil
formule un lien avec celui de la
richesse ; cette attitude que l'on peu
comparer avec la réaction d'un petit
enfant heureux que l'on gâte avec
félicité.
Bref, je reprend du chemin comme le
fait le jour car il pointe son allure clair
au alentour. J'épouse une vitesse très
9
attentif en gardant mon regardimpulsif sur chaque reflet que
provoque la rosée sur une simple petite
pierre. Je suis enivré par cette attitude
de chanceux qui, mais, une autre pièce
d'or brille de tout son éclat au milieu
de ces pierrailles devant la marie.
Je suis a la bifurcation d'une ruelle
sans issu, et la une autre pièce d'or
brille ; pour obtenir mon futur bien ,
je suis obligé de l’emprunter pour la
ramasser.
Je me hâte pour y faire mon labeur ?
Avec cette richesse la je peux évoluer
dans l'ombre d'une classe agrémenté
qui possède l'avoir le savoir et la gloire
et de la directivité. A, messieurs de la
bourgeoisie, je suis des vôtres sans
un compromis.
Mais que diable vient il de se passer,
10
mon imagination épouse le signe d'unevéritable polémique ? Je dois suivre le
pas d'un courtisant, pas celui d'un
avenant et garder dans mes pensées la
foi d'une bonne humeur.
Évaluer le temps ne m'intrigue point
sur le moment la valeur de l'argent et
de l'or possède plus d'importance que
la venue de mon bus de transport. Ce
sont encore des pièces d'or qu'il me
faut, aussi longtemps que la chance
me permettra de ramasser.
Je m'éloigne de mon parcours pour
pénétrer dans cette ruelle qui n'a aucune
issue. Je me cave d'une autre pièce d'or
qui retrouve mon acquis sans faire de
fantaisie.
Le bruit du bus effleure mes oreilles
mais mon inadvertance évite son rituel.
Je me trouve dans une galaxie
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différente du monde de l'ouvrier etacharne mes recherches vers cette
allégresse de trouvaille qui rend riche
les fortunés. Avec quelle fierté vais je
raconter a ma femme comment j'ai
réussi par gagner autant de fortune,
en manquant tout simplement le bus ?
Dans mon cœur s'inscrit une joie
profonde, elle engloutit tous mes
précédents malheurs par cette manne
de ce juste bonheur !
A vraie dire je ne sais que redire et
ne tarde ma hâte de trouver de l'or
sur le trottoir de la rue sans issue. Je
me déplace avec sagesse jusqu'au bout
de la rue, reviens avec souplesse sur
mes pas sans avoir rencontré le
moindre mérite !!!
La chance ne m'a plus porté son
fruit d'or ou d'argent. C'est la
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malchance qui me traîne sur le retouret le démérite. Plus une seule pièce
vient séduire mon regard.
Ma déception est grande pour les
calcules qui prévoyaient, a raison d'une
pièce d'or ou d'argent tout les dis pas,
la valeur d'une cinquantaines de pièces
vue que cette ruelle a 450 mètres.
Dans le fond de mon cœur je récolte
une déception révoltante car je viens de
faire ce détour pour rien en somme.
Dans mes pensées désordonnées,
résonne le glas de la loyauté, celui qui
réveille toutes les personnes plongé
dans un rêve gracieux.
C'est ce matin la que je me suis
égaré dans un rêve endimanché où le
son du réveille n'eut point sonné.
Les rêves entraînent les humains
dans des sondes qui devraient parfois
être des réalités.
JJM
auteur Jean jacques Mutz.
écrit le 24 11 2010, remis a jour
le 03 08 2019
A ce jour 24 11 2010, 855 lecteurs
A ce jour 11 07 2018, 103 747 lecteurs.
A ce jour, 03 08 2019, 114 101 lecteurs.
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A ce jour, 17 11 2024, 202 933 lecteurs.
La nouvelle est en cour de
construction des changements
peuvent suivre.
La nouvelle est en cour de
construction des changements
peuvent suivre.
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