Combattre pour le futur (roman sentimental 4/10)
Mirage au dessus des nuages sage n 1
41
Mimi attend impatiemment jusqu’à ce que le
personnel du service de radiologie ouvre. Elle
se rapproche de moi et dit,
- Jean tu as mal ?
( Je ne hurle plus de douleur, je suis sage comme
une image. Oui mais, )
- Jean qu'as tu fait de ton plâtre ?
( Je ne fait aucun geste, je reste tranquille et
attend. Je ne ressent aucune douleur )
Sœur Anne vient trouver Mimi,
- Je te donne un coup de main pour emmener
le lit dans la pièce où l'on fait des radios puis
le plâtre.
- Mais Sœur Anne comment vont il casser le
poignée ?
42
- La fracture ne se consolide pas bien, le
poignée est en baïonnette, il faut le cassé et
refaire le plâtre.
Le médecin qui auparavant l'a découverts
suit mon lit dans une pièce indépendante. Il
attache la main en hauteur avec un tissu,
puis prend un marteau en caoutchouc et
frape de toute ses forces sur le poignée.
Rien n'y fais pas de cassure. Il tente de
nouveau et pas de résultat.
- Mimi veux tu tenter de le casser ?
- Non docteur je n'ai pas le courage.
Le médecin tente de nouveau en rallongeant
la frappe du marteau. Rien ni une troisième
fois et la cassure se fait.
- C'est bon Mimi on peut refaire le plâtre après
avoir refait une radio.
( Je ne sent aucune douleur, mon poignée fut
endormie. Je n'est rien vue non plus. )
43
Mercredi 14 heures.
Mimi se trouve a mes cotés lorsque je dis les
premières paroles.
- J'ai faim et soif.
- Je te donne a boire, et de quoi manger.
Cette amélioration satisfait Mimi qui trouve
dans mes réactions une suite remplit d'espoir.
Elle ne tarde a annoncer cette performance
au service médicale qui comme elle en sont
enchanté. Mimi retourne a son poste de travail
où la aussi elle divulgue mes paroles.
Mes progrès augmente d'heures en heures.
de Mimi. Mes réactions sentimental sont en
effervescence, j'attire Sœur Anne vers moi. Je ne
sais pas quelle femme fait partie de ma vie, toutes
sont aussi jolie l'une que l'autre et très serviable.
L'instinct humain a certain besoin, ces actions
qui attisent des sentiments sentimentale. Je suis
attiré par Sœur Anne, et lui dis,
44
- Vient dans mes bras,
- Cela ne se fait pas Jean tu es marié avec Mimi
et moi j'ai fait ma promesse a Dieu.
- Mais ci, vient dans mes bras, je t'aime de tout
mon cœur.
Mimi a du retard, elle arrive,
- Sœur Anne comment vas Jean ? A il passé
une bonne nuit ?
- Oui Mimi, il ne sais pas plein et vas d'évolution
en progrès, ses instincts se réveillent.
- Je te remercie de l'avoir surveillé cette nuit.
( Je suis encore sur mon étoile, mais je réagi
d'une drôle de manière. Pour moi toutes
les femmes sont belle et attirante. )
Mimi et Sœur Anne font le lit, me changent les
draps et mes sondes , me préparent un thé et
un petit pain fourrée au chocolats qu'elles me
donnent. Je n'arrive pas a utiliser mes mains,
la main droite a un plâtre et celle de gauche ne
répond pas.
45
( Cette sonde pour mes besoins me languîmes, je
ne supporte plus de me trouver obligé de faire
mes besoin couché et dis , )
- Je veux me lever pour allez au toilettes.
- Attend Jean nous t'aidons car tu tentes de
marcher pour la première foi.
( Les deux femmes me tiennent de chaque côté
puis me diriger vers les toilettes. Je tente de me
tenir sur mes pieds, mais aucune force ne me
soutient, des vertiges me déstabilise, je tombe
sur mes genoux. )
- Tu voix Jean marcher ne s'apprend pas aussi
vite, il faut faire venir du personnel qui sait
comment te diriger dans tes intentions pour
te déplacer.
- Mais je ne veux plus rester couché là, je veux
me déplacer sans l'aide de qui que se sois.
- Pas si facile, tu as perdu 20 kg depuis que tu es
couché là. Tes forces et ton équilibre aussi.
46
( je me suis senti fort sur le moment, mais lorsque
la force de mes pieds ont flanché je me suis rendu
compte qu'il me faut encore pas mal de jours
d'hospitalisation. )
Cette tentative m'a fatigué, a telle point que je
me suis endormie.
qui prend part de s tournée de nuit. Elles se
partagent les consignes tout en faisans mon lit et
change les draps et sonde. Je leur dit,
- Je veux allez au toilette de moi même.
- Mais Jean tu ne tient pas sur tes pieds,
- Les sondes m'embête, je ne les supporte plus.
- Bon nous allons faire un essai ensuite on te fait
la toilette.
Cette tentative est la bonne, j'arrive avec deux
infirmières a me diriger vers les toilettes et de me
placer sur occuper le trône.
47
(Ce déplacement me soulage et me donne un
réajustement de mon savoir faire. Je tient le coup de
rester assis pendant vingt minutes, seul. Cette nuit
là je me suis endormi comme un loir)
a suivre
Le roman et en cour de montage des changements
peuvent suivre. C'est une histoire imaginaire .
Les tableaux sont de la marqueterie réaliser
par Jean Jacques Mutz.
Auteur Jean Jacques Mutz.
Combattre pour le futur 4/10
41
mercredi 15 05 1974 8 heures 30.
Mimi attend impatiemment jusqu’à ce que le
personnel du service de radiologie ouvre. Elle
se rapproche de moi et dit,
- Jean tu as mal ?
( Je ne hurle plus de douleur, je suis sage comme
une image. Oui mais, )
- Jean qu'as tu fait de ton plâtre ?
( Je ne fait aucun geste, je reste tranquille et
attend. Je ne ressent aucune douleur )
Sœur Anne vient trouver Mimi,
- Je te donne un coup de main pour emmener
le lit dans la pièce où l'on fait des radios puis
le plâtre.
- Mais Sœur Anne comment vont il casser le
poignée ?
42
Mercredi 16 05 1974 A 10 heures
Les radios sont fait et le radiologue dit,- La fracture ne se consolide pas bien, le
poignée est en baïonnette, il faut le cassé et
refaire le plâtre.
Le médecin qui auparavant l'a découverts
suit mon lit dans une pièce indépendante. Il
attache la main en hauteur avec un tissu,
puis prend un marteau en caoutchouc et
frape de toute ses forces sur le poignée.
Rien n'y fais pas de cassure. Il tente de
nouveau et pas de résultat.
- Mimi veux tu tenter de le casser ?
- Non docteur je n'ai pas le courage.
Le médecin tente de nouveau en rallongeant
la frappe du marteau. Rien ni une troisième
fois et la cassure se fait.
- C'est bon Mimi on peut refaire le plâtre après
avoir refait une radio.
( Je ne sent aucune douleur, mon poignée fut
endormie. Je n'est rien vue non plus. )
43
Mercredi 14 heures.
Mimi se trouve a mes cotés lorsque je dis les
premières paroles.
- J'ai faim et soif.
- Je te donne a boire, et de quoi manger.
Cette amélioration satisfait Mimi qui trouve
dans mes réactions une suite remplit d'espoir.
Elle ne tarde a annoncer cette performance
au service médicale qui comme elle en sont
enchanté. Mimi retourne a son poste de travail
où la aussi elle divulgue mes paroles.
Mes progrès augmente d'heures en heures.
Jeudi 17 05 1974 A 7 heures.
Sœur Anne se trouve a mes cotés avant la venude Mimi. Mes réactions sentimental sont en
effervescence, j'attire Sœur Anne vers moi. Je ne
sais pas quelle femme fait partie de ma vie, toutes
sont aussi jolie l'une que l'autre et très serviable.
L'instinct humain a certain besoin, ces actions
qui attisent des sentiments sentimentale. Je suis
attiré par Sœur Anne, et lui dis,
44
- Vient dans mes bras,
- Cela ne se fait pas Jean tu es marié avec Mimi
et moi j'ai fait ma promesse a Dieu.
- Mais ci, vient dans mes bras, je t'aime de tout
mon cœur.
Mimi a du retard, elle arrive,
- Sœur Anne comment vas Jean ? A il passé
une bonne nuit ?
- Oui Mimi, il ne sais pas plein et vas d'évolution
en progrès, ses instincts se réveillent.
- Je te remercie de l'avoir surveillé cette nuit.
( Je suis encore sur mon étoile, mais je réagi
d'une drôle de manière. Pour moi toutes
les femmes sont belle et attirante. )
Mimi et Sœur Anne font le lit, me changent les
draps et mes sondes , me préparent un thé et
un petit pain fourrée au chocolats qu'elles me
donnent. Je n'arrive pas a utiliser mes mains,
la main droite a un plâtre et celle de gauche ne
répond pas.
45
( Cette sonde pour mes besoins me languîmes, je
ne supporte plus de me trouver obligé de faire
mes besoin couché et dis , )
- Je veux me lever pour allez au toilettes.
- Attend Jean nous t'aidons car tu tentes de
marcher pour la première foi.
( Les deux femmes me tiennent de chaque côté
puis me diriger vers les toilettes. Je tente de me
tenir sur mes pieds, mais aucune force ne me
soutient, des vertiges me déstabilise, je tombe
sur mes genoux. )
- Tu voix Jean marcher ne s'apprend pas aussi
vite, il faut faire venir du personnel qui sait
comment te diriger dans tes intentions pour
te déplacer.
- Mais je ne veux plus rester couché là, je veux
me déplacer sans l'aide de qui que se sois.
- Pas si facile, tu as perdu 20 kg depuis que tu es
couché là. Tes forces et ton équilibre aussi.
46
( je me suis senti fort sur le moment, mais lorsque
la force de mes pieds ont flanché je me suis rendu
compte qu'il me faut encore pas mal de jours
d'hospitalisation. )
Cette tentative m'a fatigué, a telle point que je
me suis endormie.
jeudi 19 heures.
Mimi se trouve dans ma chambre avec Anniessequi prend part de s tournée de nuit. Elles se
partagent les consignes tout en faisans mon lit et
change les draps et sonde. Je leur dit,
- Je veux allez au toilette de moi même.
- Mais Jean tu ne tient pas sur tes pieds,
- Les sondes m'embête, je ne les supporte plus.
- Bon nous allons faire un essai ensuite on te fait
la toilette.
Cette tentative est la bonne, j'arrive avec deux
infirmières a me diriger vers les toilettes et de me
placer sur occuper le trône.
47
(Ce déplacement me soulage et me donne un
réajustement de mon savoir faire. Je tient le coup de
rester assis pendant vingt minutes, seul. Cette nuit
là je me suis endormi comme un loir)
Vendredi 18 05 1974 A 7 heures.
Aniesse se trouve dans ma chambre, bien vent Mimi.
Elle me demande,
- Jean comment ça vas ce matin ?
- J'ai bien dormi cette nuit sans la sonde.
- Doit tu allez au toilette ?
- Oui, mais je n'arrive pas tout seul.
- Peut tu attendre que Mimi me donne un coup de main
pour t'accompagner ?
- Oui, je me retient.
(Je dois me retenir car en cas de fuite elles vont me
remettre la sonde ce que je n'aime pas.)
Mimi entre a 19 heures 15.
- Comment tu vas Jean ?
- J'ai bien dormi cette nuit sans sonde mais j'aimerai
aller au toilettes. Peux tu m'aider ?
- Nous allons t'aider Aniesse et moi.
48
Me voilà dans les toilettes, j'arrive par me retenir au
lavabos sans qu'une personne me soutient, j'en suis
fière.
Cette action devient un exploit.
( Je me regarde dans la glace et suis choqué par l'état
de ma tête bandé, des zones de toutes les couleurs
entourent mes yeux rouge et des dents qui me
manquent a l'avant. De mon oreille cousu et de
mon plâtre sur le bras droit qui me déstabilise, mais
malgré cela j'arrive a me baiser sur le trône sans
une aide quelconque. )
Mimi et Aniesse ne font le lit pendant que je suis
au toilette.
- Jean tu nous dis quant on peut venir te rechercher.
- Oui je vous appelle.
j'ai terminé comme elle aussi. Je les appelle,
- Pouvez vous me donner un coup de main pour
que je retrouve le lit.
les deux filles dissent en même temps,
- Nous venons Jean.
Le temps qu'elles viennent a mes coté je me suis
levé et tente d'avancer. Un vertige me déstabilise,
j'ai besoin de leur aide pour me déplacer.
Me voilà de nouveau dans le lit.
- Jean nous prénom un petit déjeuné dans la
cuisine, puis je t'apporte le tient.
- Merci de votre part, je vous attend.
49
( Ce parcours m'a fatigué, je plonge dans un sommeil
mérité. Le bruit du mouvement dans l'hôpital ne
me dérange pas, la fatigue m'appris dans ses bras. )
Vendredi 10 heures.
( J'entends des termes médical qui évoquent ma
personne. Des rapports que le personnel soignant
énoncent je ne suis pas réveillé. )
vendredi 11 heures.
Un enquêteur vient me questionner,
- Vous êtes bien monsieur Jean
- Je ne sais pas on m'appelle comme cela ?
- Que vous est il arrivé ?
- Je ne sais pas.
Le docteur vient a mes coté,
- Il n'a pas récupéré toutes ses facultés il
faut le laisser se reposer.
- Merci docteur.
Vendredi 12 heures,
Mimi vient me donner a manger. J'arrive a
mâcher et boire en étant assis.
50
Vendredi 19 heures,
Aniesse se trouve dans la chambre avant Mimi
et s'assoie a mes côtes pour m'embrasser.
( Cette action me choque sur le moment mais me
gratifie de bonheur. Suis je important a ses
yeux ? Mimi me ma jamais embrassé je me
rappelle de rien. )
Mimi arrive dans la chambre, elle se rapproche de
moi et me demande,
- Tu as passé un bon apprêt midi Jean.
- Oui.
Je tente de l'embrasser, elle accepte sans refuser.
- Dois tu faire tes besoins ?
- Oui, pouvez vous m'aider ?
- On est là pour cela.
Durant l'après midi, j'eus fait de la rééducation
ce qui m'a fatigué mais m'a permis de progresser.
Lorsque les filles tentent de m'aider dans mon
déplacement je les étonne sur mon comportement
mes progrès avancent a grand pas.
51
Je ressemble a une perche car je n'ai que 60 kg
pour une hauteur de 1 mètre 80, j'ai perdu 25 kg.
Au courant de la nuit, Aniesse vient dans ma
chambre pour y faire une ronde. Je ne suis pas
endormie et sa présence me soulage. Je me sent
abandonné mais là, je suis de nouveau en pleine
forme. Elle vient s'asseoir sur le rebord de mon lit .
- Comment tu vas Jean ?
- Bien merci, mais il me manque sur qui je peux
soulager ma peine.
Elle me caresse le visage, puis me fait la bise.
Cette réaction me redonne de la force d'aimer et
de continuer de vivre.
La nuit se passe sans complication, mais avec
une certitude, celle d'être aimé.
lavabos sans qu'une personne me soutient, j'en suis
fière.
Cette action devient un exploit.
( Je me regarde dans la glace et suis choqué par l'état
de ma tête bandé, des zones de toutes les couleurs
entourent mes yeux rouge et des dents qui me
manquent a l'avant. De mon oreille cousu et de
mon plâtre sur le bras droit qui me déstabilise, mais
malgré cela j'arrive a me baiser sur le trône sans
une aide quelconque. )
Mimi et Aniesse ne font le lit pendant que je suis
au toilette.
- Jean tu nous dis quant on peut venir te rechercher.
- Oui je vous appelle.
j'ai terminé comme elle aussi. Je les appelle,
- Pouvez vous me donner un coup de main pour
que je retrouve le lit.
les deux filles dissent en même temps,
- Nous venons Jean.
Le temps qu'elles viennent a mes coté je me suis
levé et tente d'avancer. Un vertige me déstabilise,
j'ai besoin de leur aide pour me déplacer.
Me voilà de nouveau dans le lit.
- Jean nous prénom un petit déjeuné dans la
cuisine, puis je t'apporte le tient.
- Merci de votre part, je vous attend.
49
( Ce parcours m'a fatigué, je plonge dans un sommeil
mérité. Le bruit du mouvement dans l'hôpital ne
me dérange pas, la fatigue m'appris dans ses bras. )
Vendredi 10 heures.
( J'entends des termes médical qui évoquent ma
personne. Des rapports que le personnel soignant
énoncent je ne suis pas réveillé. )
vendredi 11 heures.
Un enquêteur vient me questionner,
- Vous êtes bien monsieur Jean
- Je ne sais pas on m'appelle comme cela ?
- Que vous est il arrivé ?
- Je ne sais pas.
Le docteur vient a mes coté,
- Il n'a pas récupéré toutes ses facultés il
faut le laisser se reposer.
- Merci docteur.
Vendredi 12 heures,
Mimi vient me donner a manger. J'arrive a
mâcher et boire en étant assis.
50
Vendredi 19 heures,
Aniesse se trouve dans la chambre avant Mimi
et s'assoie a mes côtes pour m'embrasser.
( Cette action me choque sur le moment mais me
gratifie de bonheur. Suis je important a ses
yeux ? Mimi me ma jamais embrassé je me
rappelle de rien. )
Mimi arrive dans la chambre, elle se rapproche de
moi et me demande,
- Tu as passé un bon apprêt midi Jean.
- Oui.
Je tente de l'embrasser, elle accepte sans refuser.
- Dois tu faire tes besoins ?
- Oui, pouvez vous m'aider ?
- On est là pour cela.
Durant l'après midi, j'eus fait de la rééducation
ce qui m'a fatigué mais m'a permis de progresser.
Lorsque les filles tentent de m'aider dans mon
déplacement je les étonne sur mon comportement
mes progrès avancent a grand pas.
51
Je ressemble a une perche car je n'ai que 60 kg
pour une hauteur de 1 mètre 80, j'ai perdu 25 kg.
Au courant de la nuit, Aniesse vient dans ma
chambre pour y faire une ronde. Je ne suis pas
endormie et sa présence me soulage. Je me sent
abandonné mais là, je suis de nouveau en pleine
forme. Elle vient s'asseoir sur le rebord de mon lit .
- Comment tu vas Jean ?
- Bien merci, mais il me manque sur qui je peux
soulager ma peine.
Elle me caresse le visage, puis me fait la bise.
Cette réaction me redonne de la force d'aimer et
de continuer de vivre.
La nuit se passe sans complication, mais avec
une certitude, celle d'être aimé.
Samedi 19 05 1974 7 heures.
Aniesse se trouve dans la chambre avant
Mimi. Elle vient me faire la bise avec un esprits
sentimentale. Cette intention me comble. Sur le
moment je suis émerveillé et même séduit serai se
un appel a un rapprochement plus profond ?
Mimi arrive, ensemble, elles m'accompagnent
aux toilette. Je me déplace avec confiance sans
perdre l'équilibre.
sentimentale. Cette intention me comble. Sur le
moment je suis émerveillé et même séduit serai se
un appel a un rapprochement plus profond ?
Mimi arrive, ensemble, elles m'accompagnent
aux toilette. Je me déplace avec confiance sans
perdre l'équilibre.
Pendant l'occupation du trône, elles font le
lit. Je reviens de moi même avec succès.
suite au 5/10
JJM
a suivre
Le roman et en cour de montage des changements
peuvent suivre. C'est une histoire imaginaire .
Les tableaux sont de la marqueterie réaliser
par Jean Jacques Mutz.
Auteur Jean Jacques Mutz.
A ce jour, 05 07 2023, 181 996 lecteurs
Commentaires