Combattre pour le futur. ( roman sentimental 6/10)
Mirage au dessus des nuages sage n 1
66
Mardi a 23 heures.
Anniesse vient me trouvé,
- Alors tu veux nous quitter Jean ?
- Oui Anniesse, je t'aime bien, mais je me
sent enfermé dans l’hôpital et j'ai
besoin qu'une personne me tienne
compagnie la nuit.
- Je te tient compagnie Jean la nuit.
- Bien sur, mais juste un passage agréable.
67
Anniesse prend place a coté de moi, me
caresse, puis me fait la bise. Je suis entraîne
par cette engrenage sentimentales et ressent
le besoin de l’enlacer. Pour la suite des actions
je ne fais pas de dessin ni de discoure tous se
passent par instinct. Le besoin d'amour d'un
couple tient par son rattachement.
( Aniesse ne craint pas les blâmes, pour elle ce
qu'elle fait n'est pas un drame au contraire
donner pour une personne dans le besoin sont
les jettes du partage, elle en a besoin comme
moi )
Lorsque notre relation se termine, des gouttes
de larmes coulent sur son visage. Je la regarde
et ressent une peine.
- Jean tu vas me manquer, ta présence me
soulageais a chaque fois que j'ai eu une
relation avec toi.
- Si tu veux Aniesse tu peut me retrouver
chez moi.
- Qui Jean je penserais toujours a toi.
68
La nuit se termine avec dans mon cœur
une peine. Je l'aime Aniesse mais, elle
ne peu se trouver avec moi toutes les nuits
juste les trois jours de garde de nuit et cela
pendant une demie heures.
Combattre pour le futur 6/10
66
Mardi a 23 heures.
Anniesse vient me trouvé,
- Alors tu veux nous quitter Jean ?
- Oui Anniesse, je t'aime bien, mais je me
sent enfermé dans l’hôpital et j'ai
besoin qu'une personne me tienne
compagnie la nuit.
- Je te tient compagnie Jean la nuit.
- Bien sur, mais juste un passage agréable.
67
Anniesse prend place a coté de moi, me
caresse, puis me fait la bise. Je suis entraîne
par cette engrenage sentimentales et ressent
le besoin de l’enlacer. Pour la suite des actions
je ne fais pas de dessin ni de discoure tous se
passent par instinct. Le besoin d'amour d'un
couple tient par son rattachement.
( Aniesse ne craint pas les blâmes, pour elle ce
qu'elle fait n'est pas un drame au contraire
donner pour une personne dans le besoin sont
les jettes du partage, elle en a besoin comme
moi )
Lorsque notre relation se termine, des gouttes
de larmes coulent sur son visage. Je la regarde
et ressent une peine.
- Jean tu vas me manquer, ta présence me
soulageais a chaque fois que j'ai eu une
relation avec toi.
- Si tu veux Aniesse tu peut me retrouver
chez moi.
- Qui Jean je penserais toujours a toi.
68
La nuit se termine avec dans mon cœur
une peine. Je l'aime Aniesse mais, elle
ne peu se trouver avec moi toutes les nuits
juste les trois jours de garde de nuit et cela
pendant une demie heures.
Mercredi 23 05 1974 a 7 heures.
le roman est en coure de montage des
modifications peuvent suivre.
Les tableau sont de la marqueterie réalisé
par l'auteur Jean Jacques Mutz.
Aniesse se trouve dans la chambre,
ainsi que Mimi. Après avoir fait mon lit,
elles vont dans la cuisine pour prendre
un café et le petit déjeuné le temps que le
changement de tournée se fait.
elles vont dans la cuisine pour prendre
un café et le petit déjeuné le temps que le
changement de tournée se fait.
Mercredi 10 heures.
L'équipe du personnel soignant fait
une dernière visite et conclue,
- Nous acceptons le départ de Jean a une
condition que vous signer une décharge
Mimi.
- Je suis prête a signer cette décharge docteur.
- Venez avec moi dans mon bureau pour faire
les papier. Mais avant 12 heures il n'est pas
possible de vous laisser partir.
69
je suis seul dans la chambre, il est 10 heures
30. Aniesse vient me trouver, pourtant elle
ne travail plus, elle me rendre visite pour me
dire,
- Jean tu vas me manquer et j'ai du mal a
savoir que tu quittes l'hôpital, j'aimerai
rester avec toi.
- Tu es marié Aniesse, et ton compagnons
tient a toi comme je tien a Mimi.
- A la réunion on ma demandé de donner
mon avis sur ton comportement et ton
évolution pour que tu puisses quitter
d'hôpital j'hésitais car tu vas me manquer.
Aniesse m'aide pour que je range mes
affaires, et que je n'oublie rien. Mimi vient
dans la chambre,
- C'est bon Aniesse j'ai reçu l'autorisation
de sortie, l'ensemble du personnel soignant
l'a accordé. Je te remercie pour avoir soutenu
ma prise en charge.
70
- C'est avec bonheur que j'ai signé l'accord
Mimi.
- Je revient, je cherche mes affaires dans mon
service puis j'emmène Jean.
- Je reste la pendant ce temps tu peux y aller.
( Au fond de moi une immense joua enivre mes
sentiments je peux partir, rouler en voiture et
rentrer chez nous. )
- Tu passeras chez nous Aniesse ?
Aniesse se met a pleurer, puis me dit,
- On se révéra aux soirée que l'on fit avec une
bonne partie de l'équipe médicale Dans le
passé.
Elle m'embrasse bien fort. Mimi arrive, il est
12 heures.
- Mimi je roule en voiture en rentrant.
- Oui je te laisse rouler.
L'on se fait un aurevoir et Aniesse quitte la
chambre. Je marche a coté de Mimi quant, un
71
vertige me fait perdre l'équilibre. Je ne tient
pas debout, je suis faible.
- Mimi je veux rentrer je ne veux pas rester là.
- Bien sur Jean on rentre.
Heureusement que personne ne se trouve
dans le couloir, je serais resté.
On arrive prêt de la voiture avec peine. Je
ne prend pas le volant.
Nous voilà devant l'entrée de notre
appartement qui se trouve au rechaussé. Je
ne reconnais pas les lieux et ai de la peine a
le reconnaître.
Ce changement ouvre un pas sur le future
que j'entame avec ardeur.
La nuit font profonde a tel point que je me
suis plongé dans un sommeil profond.
travail. Nous prenons notre petit déjeuné.
72
La journée de ce jeudi est longue, je suis
seul sans le moindre contacte. Que faire ?
Le retour de Mimi me soulage mais je lui
dit,
- Mimi je m'ennuie et j'aimerai faire quelque
chose.
- Que veux tu faire ?
- Je veux peindre des tableaux.
- Bon Jean, cet après midi on cherche de
quoi faire des tableaux.
On arrive dans un magasin et mon attention
s'émerveille. Il y a de quoi faire et combler
mes désirs. Avec Mimi je choisi ceci, ou bien cela.
Mimi me fait signe de m’arrêter de choisir.
- Tu sais Jean cela coûte des sous, il ne faut
dépasser notre budget.
- Mimi c'est quoi un budget et des sous ?
- Quand on travail a la fin du mois on touche
un salaire qui sert a financer ce qu' on a
besoin .
73
Première journée se passe sans tarder. Etre
libre n'a de limite, les journées passent sans
lenteur.
Vendredi 25 05 1974 6 heures du matin.
Mimi prépare le petit déjeuné avant de
prendre son poste. Je mange avec elle puis
repart me coucher jusqu’à 10 heures.
Je tente de faire le lit de mon mieux mais
avec le bras droit en plâtre ce n'est pas facile.
Au soleil il fait bon, je sort de notre
appartement et prend place dans la cour sur
une chaise. Entre les maisons, pour
départager le propriété une rangé de rosiers
rouge se trouve a ma vue. Elle occupe toute
la longueur de la cour. J’habille des vêtements
bien trots grand pour moi. Pourtant je les
portais il y a de cela un moi. Bref, cette après
midi je part avec Mimi pour m'en acheter
d'autres. Je me réjoui car je tenterai de rouler
en voiture.
74
Mimi arrive vers les 14 heures 30. J'ai préparé
la table. Mimi fait le repas puis nous mangeons.
Ensuite il sera question de faire les achats de
vêtement a ma taille. Je demande,
- Je peux rouler Mimi ?
- Tu n'as pas encore le droit, car tu as un
plâtre.
- Ça sera pour une autre fois Mimi.
- Oui c'est promis.
Je choisie mes vêtements et les essaient.
Cette action devient fatigante, je rentre
avec la peine de rester éveillé.
Samedi 26 05 1974 9 heures.
On a fait la grâce mâtiné car Mimi ne
travaille pas cette fin de semaine. Ce qui permet
de faire des écarts.
Nous décidons de se promener dans le parc car
le beau temps le permet. En passant devant une
vitrine, de voyage nous restons émerveille par
de la publicité sur un pays, l'Autriche. Nous
parlons, d'y faire un séjour au mois de Juin
1974.
75
Lundi 27 05 1974
Mimi travail de l'après midi. C'est après le
repas a 13 heures qu'elle quitte appartement.
Je reste seul et décide de faire de la peinture
à l'huile. Ce n'est ps facile, car je travail avec
la main gauche et je suis droitier. Il est temps
que le plâtre de la main droite soit enlevé. La
technique de la peinture a l'huile je ne la
connais pas. Mimi ma acheté des livres de
peinture a l'huile, mais je n'arrive pas a
lire une seule lettres. Je me fis aux images et
fais comme bon me semble. Le fait de devoir
vouloir crée un tableau ma fatigue
énormément. Au bout de deux heures je me
place sur la chaise, au soleil et le laisse me
réchauffer. Je fais une petite sieste.
Suite au 7/1
L'équipe du personnel soignant fait
une dernière visite et conclue,
- Nous acceptons le départ de Jean a une
condition que vous signer une décharge
Mimi.
- Je suis prête a signer cette décharge docteur.
- Venez avec moi dans mon bureau pour faire
les papier. Mais avant 12 heures il n'est pas
possible de vous laisser partir.
69
je suis seul dans la chambre, il est 10 heures
30. Aniesse vient me trouver, pourtant elle
ne travail plus, elle me rendre visite pour me
dire,
- Jean tu vas me manquer et j'ai du mal a
savoir que tu quittes l'hôpital, j'aimerai
rester avec toi.
- Tu es marié Aniesse, et ton compagnons
tient a toi comme je tien a Mimi.
- A la réunion on ma demandé de donner
mon avis sur ton comportement et ton
évolution pour que tu puisses quitter
d'hôpital j'hésitais car tu vas me manquer.
Aniesse m'aide pour que je range mes
affaires, et que je n'oublie rien. Mimi vient
dans la chambre,
- C'est bon Aniesse j'ai reçu l'autorisation
de sortie, l'ensemble du personnel soignant
l'a accordé. Je te remercie pour avoir soutenu
ma prise en charge.
70
- C'est avec bonheur que j'ai signé l'accord
Mimi.
- Je revient, je cherche mes affaires dans mon
service puis j'emmène Jean.
- Je reste la pendant ce temps tu peux y aller.
( Au fond de moi une immense joua enivre mes
sentiments je peux partir, rouler en voiture et
rentrer chez nous. )
- Tu passeras chez nous Aniesse ?
Aniesse se met a pleurer, puis me dit,
- On se révéra aux soirée que l'on fit avec une
bonne partie de l'équipe médicale Dans le
passé.
Elle m'embrasse bien fort. Mimi arrive, il est
12 heures.
- Mimi je roule en voiture en rentrant.
- Oui je te laisse rouler.
L'on se fait un aurevoir et Aniesse quitte la
chambre. Je marche a coté de Mimi quant, un
71
vertige me fait perdre l'équilibre. Je ne tient
pas debout, je suis faible.
- Mimi je veux rentrer je ne veux pas rester là.
- Bien sur Jean on rentre.
Heureusement que personne ne se trouve
dans le couloir, je serais resté.
On arrive prêt de la voiture avec peine. Je
ne prend pas le volant.
Nous voilà devant l'entrée de notre
appartement qui se trouve au rechaussé. Je
ne reconnais pas les lieux et ai de la peine a
le reconnaître.
Ce changement ouvre un pas sur le future
que j'entame avec ardeur.
La nuit font profonde a tel point que je me
suis plongé dans un sommeil profond.
Jeudi 24 05 1974 a 6 heures.
Mimi se prépare pour prendre son poste detravail. Nous prenons notre petit déjeuné.
72
La journée de ce jeudi est longue, je suis
seul sans le moindre contacte. Que faire ?
Le retour de Mimi me soulage mais je lui
dit,
- Mimi je m'ennuie et j'aimerai faire quelque
chose.
- Que veux tu faire ?
- Je veux peindre des tableaux.
- Bon Jean, cet après midi on cherche de
quoi faire des tableaux.
On arrive dans un magasin et mon attention
s'émerveille. Il y a de quoi faire et combler
mes désirs. Avec Mimi je choisi ceci, ou bien cela.
Mimi me fait signe de m’arrêter de choisir.
- Tu sais Jean cela coûte des sous, il ne faut
dépasser notre budget.
- Mimi c'est quoi un budget et des sous ?
- Quand on travail a la fin du mois on touche
un salaire qui sert a financer ce qu' on a
besoin .
73
Première journée se passe sans tarder. Etre
libre n'a de limite, les journées passent sans
lenteur.
Vendredi 25 05 1974 6 heures du matin.
Mimi prépare le petit déjeuné avant de
prendre son poste. Je mange avec elle puis
repart me coucher jusqu’à 10 heures.
Je tente de faire le lit de mon mieux mais
avec le bras droit en plâtre ce n'est pas facile.
Au soleil il fait bon, je sort de notre
appartement et prend place dans la cour sur
une chaise. Entre les maisons, pour
départager le propriété une rangé de rosiers
rouge se trouve a ma vue. Elle occupe toute
la longueur de la cour. J’habille des vêtements
bien trots grand pour moi. Pourtant je les
portais il y a de cela un moi. Bref, cette après
midi je part avec Mimi pour m'en acheter
d'autres. Je me réjoui car je tenterai de rouler
en voiture.
74
Mimi arrive vers les 14 heures 30. J'ai préparé
la table. Mimi fait le repas puis nous mangeons.
Ensuite il sera question de faire les achats de
vêtement a ma taille. Je demande,
- Je peux rouler Mimi ?
- Tu n'as pas encore le droit, car tu as un
plâtre.
- Ça sera pour une autre fois Mimi.
- Oui c'est promis.
Je choisie mes vêtements et les essaient.
Cette action devient fatigante, je rentre
avec la peine de rester éveillé.
Samedi 26 05 1974 9 heures.
On a fait la grâce mâtiné car Mimi ne
travaille pas cette fin de semaine. Ce qui permet
de faire des écarts.
Nous décidons de se promener dans le parc car
le beau temps le permet. En passant devant une
vitrine, de voyage nous restons émerveille par
de la publicité sur un pays, l'Autriche. Nous
parlons, d'y faire un séjour au mois de Juin
1974.
75
Lundi 27 05 1974
Mimi travail de l'après midi. C'est après le
repas a 13 heures qu'elle quitte appartement.
Je reste seul et décide de faire de la peinture
à l'huile. Ce n'est ps facile, car je travail avec
la main gauche et je suis droitier. Il est temps
que le plâtre de la main droite soit enlevé. La
technique de la peinture a l'huile je ne la
connais pas. Mimi ma acheté des livres de
peinture a l'huile, mais je n'arrive pas a
lire une seule lettres. Je me fis aux images et
fais comme bon me semble. Le fait de devoir
vouloir crée un tableau ma fatigue
énormément. Au bout de deux heures je me
place sur la chaise, au soleil et le laisse me
réchauffer. Je fais une petite sieste.
Suite au 7/1
JJM
le roman est en coure de montage des
modifications peuvent suivre.
Les tableau sont de la marqueterie réalisé
par l'auteur Jean Jacques Mutz.
A ce jour 05 07 2023, 181 996 lecteurs.
A ce jour, 17 11 2024, 202 933 lecteurs.
Commentaires