Combattre pour le futur ( roman sentimental 1/10)

mirage au dessus des nuages sages n 1

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Combattre 

pour le futur

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Vendredi le 10 mai 1974


    Pour pouvoir vivre il faut travailler, l'engagement
de toutes les personnes sur terre. Certains travailles 
en usine, d'autres dans des bureaux et moi sur des 
chantiers de construction de bâtiments de toutes sortes.
   Sur le chantier qui se trouve sous ma responsabilité 
nous devons retoucher certaines mal façons qu'ont 
mises en place des collègues d'une autre équipe de 
monteurs de l'entreprise. Mon équipe de 3 personnes 
permet de résoudre ces problèmes. 
  Notre travail consiste de monter des charpentes 
métalliques ou bois selon le bâtiment ou hangar puis
les couvrir de plaque ondulées.
  Le travail commence à 7 heures du matin. On se 
retrouve a l'atelier d'où une camionnette nous permet
de rejoindre la construction situé à 50 km de 
Mulhouse. Ce déplacement nous permet de manger
dans un restaurant a midi, les frais sont a la charge de la
société. Ce matin je perçois un billette de 500 Francs
qui nous suffit pour les cinq jours de la semaine.
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  Sur la route vers se chantier, l'on s'arrête dans une
épicerie, puis une boulangerie pour acheter notre
casse-croûte et notre boisson. Après une pause de
15 minutes, pour le casse-croûte nous entamons 
notre travail. 
  Moi et J-M nous montons sur le toit du bâtiment 
et le troisième, un Portugais du nom de José, reste 
au sol pour nous attacher le matérielle dont on a 
besoin car monter les accessoires par l'échelle de 
sept mètres n'est pas commode.
         Les bâtiments sont consisté de deux hangars 
accolés avec deux toits asymétrique. Leur longueur 
de 200 mètres et large de 2x50 mètres ont un hauteur 
qui démarre a six mètres pour arriver a 10 mètres 
sur la faîtière. Le sol fraîchement macadamisé d'un 
plat   parfait . Les murs, en bardages de tôles colorées 
donnent au bâtiment l'aspect d'une architecture 
moderne. A peine d'un mètre de haut un soubassement
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en aggloméré maçonné. La couverture en plaque de 
fibre ciment ondulé se fixe à l'aide de fixations qui 
s'accrochent  sur des poutrelles métallique. Le serrage 
des plaques ne doit pas dépasser une certaine  densité 
car celle-ci peuvent se fendre. Les fissures ne 
rendent pas étanche la couverture. Des infiltrations 
d'eau de pluie y pénètre. Se problème se présente sur 
de nombreuses plaques d'où le changement. Nous 
travaillons avec ardeur et détermination pour terminer 
car la fin de la semaine se rapproche. Nos pronostiques 
tiennent bon, nous terminons ce vendredi. 
   Avant midi il me reste quelques garnitures en folles 
que je dois fixer sur le bas coté pendant que mon 
collègue J-M  remplacent les ondulés cassé. De temps 
a autre il m'appelle pour que je lui donne un coup de
main. Ce coup de main consiste a soulever les plaques 
du dessus pour enfiler celle du dessous ce qui n'est 
pas faisable seul. Notre coordination fonctionne a
merveille.
  L'heure du repas de midi se rapproche, je termine
ma dernière tôle de zinguerie, prend mes outils en
main, décroche la ceinture de sécurité et me dirige vers
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l'échelle. J-M se trouve a 10 mètres je me rapproche 
de lui pour lui prêter main forte sur une plaque de 
fibre ciments qu'il a du mal a changer. Je me déplace 
vers sa direction a environ 40 mètres.
    A un moment donné un bruit de craquement , se 
fait entendre et il est accompagné d'un plongeon dans 
le vide. 
   Je vient de lâcher une partie de mon outillage, une 
réaction  pour tenter de m'agripper a quelque partie fix . 
Mes agitations suivent la rapidité de la chute .  Je 
plonge dans ce vide qui s'ouvre sous mes pieds. 
   Cette perte d'équilibre m'entraîne vers cette partie 
sombre qui se trouve 8 mètres sous mes pieds. Dans 
mes gesticulations mon dernier outille, le marteau
couvreur , m'accompagne. Je le sert de toute mes forces 
comme tuteur dans ma main droite. Dans ma main 
gauche ,  un morceau de la plaque ondulé ou je me suis
agrippée .
    Mon vole fait un atterrissage mal réceptionné sur le 
sol noir d'enrobé.  Ma tête, coté droit , réceptionne en 
premier le choque. Je ressent comme une forte baffe 
en pleine figure accompagné d'un craquement. Je ne
ressent aucune douleur. 
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    Je ne suis plus moi même, mon cerveaux me plonge 
dans un sommeil surnaturelle, une sorte d'onde où les 
sons sont la lumière qui me guide dans ce tunnel sens  
reperd. Je suis plongé dans du noir. 
- Serais ce la mort ? 
    Les maçons, les peintres s'affèrent autour de moi.
Je tente de me relever par une force venu de je ne
sais où ? Du sang coule sur mon visage, il en sort 
de partout. Une partie de ma tête laisse apparaître
une fente ensanglanté d'où coule une source de
sang. Je titube sur trois mètres puis cette force venu
de je sais où m'abandonne, je perd mon équilibre
et tombe sur le sol. Mon nez amortie le choque.
 Je tient encours le marteau dans ma main droite.
A ce moment une partie dure s'enfonce dans ma
poitrine. Une mare de sang marque l'emplacement
de ma chute.
  Mes collègues me rejoignent. Le jugement de ceux
qui m'entourent dit
-    Il est mort ca c'est certain.
D'autres paroles dissent
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-    Il ne sent sortira pas.
Et une autre voix dit,
-     Il faut appeler les pompiers.
   Le temps comme les douleurs n'existent plus pour
moi je ne suis plus ici je ne suis plus là. Les ombres 
et le bruit sont ce fil conducteur qui me guide vers 
ce combat pour mon futur.
  L'importance des blessures dirige l'ambulance de 
secours des pompiers vers les urgences de l'hôpital de 
Mulhouse.
Ma compagne, Mimi, y travail. Elle vient de terminer
 son poste de travail, elle tente de  le quitter,
-   Mimi, reste, une urgence arrive.
-   Je ne travail pas aux urgences, pour quelle raison
     dois je rester Martine ?
-    C'est ton mari que l'ambulance du service de 
     secoure des pompiers apportent.
  C'est une collègue de travail, une infirmière, qui 
occupe un poste dans le service des urgences qui lui 
fait part de cette nouvelle en criant par une fenêtre,
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-    Mimi tu peux , si tu veux, l'accompagner et rester 
      prêt de lui.
-    Je viens de suite après m'être changé Martine.
  Mimi se trouve choqué mais garde la tête sur ses
 épaules. elle se change et remet une nouvelle blouse.
Sur le coup elle ne pose pas de question mais quand
elle arrive prêt de la victime et qu'elle me voie, une 
profonde peine l'englobe.
-   Que vient-il d'arriver ?
Le médecin des pompiers dit,
-   Il a traversé une toiture en tombant d'une hauteur
     d'environ 8 mètres, plusieurs fractures ouverte 
      sont détecté aussi qu'un enfoncement de la cage
      du thorax et un traumatisme crânien .
     Les autres médecins, autour de moi, ne lui donnent
peut de crédit pour que je retrouver la bonne santé et 
toutes mes facultés, et ca seulement quant je serais sorti
du comma. 
      Seul l'espoir peut guider le patient vers une réussite. 
Pour cette raison qu'il faut combattre pour que suive un
futur.
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   Mimi ne crois pas qu'il y a une défaite, son amour a
plus de pouvoir que les pronostics médicaux. Cette 
mort apparente reste une source de vie, bien que 
cette masse inerte, qui gîte-là, nécessite l'aide de 
plusieurs appareilles médicaux pour le maintenir 
en vie. la souffrance intérieure de Mimi se laisse
dépasser par l'amour qu'elle me porte.
  Ce vendredi elle me suit aux urgences sur tous les 
interventions et aide ses collègues pour les soins.
  Les minutes sont pénibles pour Mimi, qui reste
auprès de moi. les soins sont terminé, le temps n'en
parlons pas , elle m'accompagne dans une chambre 
où je reste branché sur de l'appareillage quelle 
surveille. 
   Elle attend le résultat des radios pour connaitre
les diagnostics qui sont,
1 Commotion cérébrale,
2 Enfoncement de la cage thoracique,
3 Cotes de cassé,
4 Hémorragie interne,
5 Un poumon endommagé,
6 Fracture ouverte du poignet droit.
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  ( Des voix tournent autour de moi, dans ce vide qui

nourrit mon absence. Pourtant je suis là mais ne 

bouge pas et n'arrive à distinguer avec qui que se soit. 

Des mots et ses ondes deviennent un relais entre l'absence

de ma présence.)
   
    L'équipe de nuit arrive, une infirmière de garde 
propose à Mimi,
-    Tu peux partir manger dans le local de la cuisine, je te
      remplace. 
-    Merci Anne je ne fais pas longtemps.
  Mimi revient 5 minutes plus tard tout en mangeant.
La nuit devient longue, mais aucune amélioration, le
patient reste stable. Mimi s'assoupie dans le fauteuil.

  Samedi matin le 11 mai 1974.

  Il est 6 heures 30 du matin, le médecin de garde et 
l'infirmière prennent des nouvelles. Mimi se réveille
l'interne de garde lui demande,
-  A-t-il donné des signes de réveille cette nuit Mimi ?
- Non docteur, j'ai surveillé les perfusions et me suis
   assoupi.
- Cela je le sais, je suis passé dans la nuit avec ma 
   collègue de garde pour vérifier. Mimi tu peux 
   prendre le lit dans la salle de garde. L'équipe du
   jour arrive pour continuer de le surveiller.
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A 7 heures, 
  Mimi part dormir dans la chambre de garde.
(Des bruits de voix tournent autour de moi, je tente
de comprendre rien n'y fait et pourtant ses ondes 
sont bénéfique pour moi. Je garde mes poignets
serré de toute mes forces)
-  Il faut placer des bandes médicales dans ses 
   poignées pour que les doigts du patient ne se 
   raidissent pas.
-  Oui docteur.
-  Les draps sont humide il faut les changer aussi
   que la sonde.
(Je respire mais je plane sur un nuage où la lumière

me reflète aucune ombre, où la vie me donne un sursis

car l'appel de l'au-delà me gratifie de combat pour le

futur devant moi. L'amour a une faculté, elle rappel ses

ambiguïtés ses promesses et son attachement. Je 

cherche cette attache, un son qui me rattache a ce rappel

d'odeur que j'enlace et des ondes qui m'attirent)
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 A 11 heures du matin,
  Mimi se réveille, puis revient rapidement dans la 
chambre, elle aide l'infirmière qui se trouve à mes cotés 
et change mes perfusions. Je reste sur mon nuage, pas 
le moindre signe de réveille, le coma reste mon tuteur.
   Une nouvelle série de radio suit son cour, mon lit
entre dans la salle de radio. Un plâtre entour mon 
poignée.
A 16 heures,
  Une nouvelle visite du service médicale établit un 
rapport. La conclusion, le patient reste stable sans
sortir de son coma.
  Mimi reste près de moi me suit les interventions pas 
a pas, elle me parle et parfois s'assoupi sur le fauteuil.
A 19 heures 30,
  L'arrivée en avance de l'équipe de nuits des soignantes.
Anne, dit,
-    Mimi vas manger dans la cuisine je t'ai apporté
     quelques gâteaux que j'ai faite et d'autre chose, je
     te relève avant de prendre mon service.
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 -  Merci Anne je suis tes indications.
-    A-t-il- donné des signes de réveille ? 
-    Non on a fait le plâtre du bras droit et des radios
     plusieurs poches de sang furent nécessaire.
-    Vas manger Mimi avant que je reprenne non service,
     je reste ici.
  ( Une autre onde bénéfique m'entoure, je récolte une 

manne de satisfaction qui repousse l'autre application

celle de l'infinie. )

  Mimi revient dans la chambre.

( Je ressent un volume d'onde bienfaisant, elles me sont

bénéfiques. )

  Au retour de Mimi, elles changent les draps, la sonde et
me font un brin de toilette. Mimi prend place sur le 
fauteuil puis s'assoupi.
Dimanche matin à 6 heures,
  Le médecin de garde fait un passage, sa venue réveille
Mimi.
-   Bonjour Mimi, quoi de nouveau ?
-   Il reste dans le coma, pas de changement.
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-        Tu es forte de rester aussi, le personnel 
      soignant a remarqué ton attention que
      tu portes a ton mari, et chacun et une d'entre nous 
      l'approuve.  Nous ferons tout notre possible pour 
      t'aider. Mais il faut que tu t'attendes à ce qu'il ne
      réagi plus comme avant. Plus le coma devient 
      longue , plus il y aura des malchances prévisible 
      sur ses facultés dans la boite a image gérant la
      motricité. Sa remisse a niveau sera longue. Nous
      somme au 3 -ème jours, je crains le pire.

     Les larmes de Mimi dévoilent son inquiétude. le 
médecin de garde lui dit,
-   Mimi vas dans la salle de garde et dort sur le lit,
     Martine vient te remplacer elle est venu en avance
     ce dimanche, je reste avec lui pendant ce temps.
  Martine la croise dans le couloir et la salue puis dit,
-   Mimi nous tous dans le service comptons sur l'espoir
    qu'il reviennent à lui.
-    Merci mes amies et amis, seule notre croyance a 
      tous peut le sauver.
  Mimi part dans la salle de garde, après avoir pris une
douche et mangé ce que ses camarades lui ont apporté.
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Dimanche, 13 heures 30.
  Mimi se réveille et sans tarder part me retrouver. 

( Je suis dans mon nuage sans bouger sans voir. )

  Mimi eut appelé ses parents pour qu'ils viennent la
voir et lui apporter des vêtements de rechange. Ils
arrivent à 15 heures mais personne de la famille n'a
le droit de rentrer dans la pièce.

Le soir du dimanche, 20 heures.
  La relève de la nuit vient de reprendre le poste et
Mimi reste prête de moi sur le fauteuil. 

( Je ne donne pas de signe de réveille, je reste pareil.

Tout le monde croit que je suis là portant je ressens un

appel de l'au-delà, mais aussi les ondes de la vie qui 

m'entourent, me soignent, me parlent, me prennent 

la tentions, me changent mes draps, me remplacent mes

sondes. )

  La nuit endort les vivants pour les emporter vers une 
nouvelle semaine.


A suivre au 2/10

JJM


le roman est en cour de construction des modifications 
peuvent suivre. C'est une histoire tiré d'un fait réel .
     Auteur Jean Jacques Mutz. écrivain amateur. 
La marqueterie sont de l'auteur Jean jacques Mutz.
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