n 1/8 PRENDRE LE DROIT DE JUGER ( roman sentimental )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
LE PREMIER CHAPITRE DE,
PRENDRE LE DROIT DE JUGER
et toute ressemblance serait un pur hasard.
ETRE POUR PARAÎTRE
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LE PREMIER CHAPITRE DE,
PRENDRE LE DROIT DE JUGER
de Jean Jacques Mutz
Ce fait écrit n'est pas une histoire réelle, c'est un roman et toute ressemblance serait un pur hasard.
ETRE POUR PARAÎTRE
Prendre le droit de juger
Cette lecture représente de nombreux faits non justifié.
Les personnes qui peuvent en témoigner ont préféré
s'abstenir et garder au fond de sois un secret qui leur
a permis de juger la réalité de la vie actuelle. Ils ont
pris ce qu'on appelle le droit de juger.
Les personnes qui peuvent en témoigner ont préféré
s'abstenir et garder au fond de sois un secret qui leur
a permis de juger la réalité de la vie actuelle. Ils ont
pris ce qu'on appelle le droit de juger.
Certainement qu'une peur les en aurait guidé.
Auriez vous agit de la sorte ? Si oui, n’hésitez pas à
garder au fond de vous même une certaine marge de
culpabilité et si c'était l'inverse, devenez votre premier
juge et votre juré.
garder au fond de vous même une certaine marge de
culpabilité et si c'était l'inverse, devenez votre premier
juge et votre juré.
1
l'homme a besoins de silence, de ce silence
qui fait patrie d'une partie de la vie, la nuit.
2
La clarté de la lumière du jour eut diminué
et un brouillard épais répandra une humidités froide et
lugubre. Cela fit deux semaines que ce temps maussade
persista dans notre région. La joie que nous hume
récolté durant l'été eut disparu. Mes frères et moi nous
eûmes remplacé les vitres cassées des deux grandes
fenêtres, de l'unique pièce où toute la famille séjourna,
par de vieux cartons.
Il ne fut plus possible d'ouvrir les fenêtres, de peur
qu'elles ne se brisèrent. Nos lits se trouvèrent adossé
au mur sous les fenêtres. En été le manque de vitres
permirent qu'une circulation d'air rafraîchirent la pièce
et nos lits. Maintenant ce fut un petit fourneau a bois
qui produisit une douce chaleur malgré qu'il se
et nos lits. Maintenant ce fut un petit fourneau a bois
qui produisit une douce chaleur malgré qu'il se
trouvât au centre de la pièce. Pour le moment il suffit,
mais quant les grand froid frissonnent nos oreilles et
qu’ils traversèrent les fissures des grosses moulures
des murs, d'une époque lointaine, le grand froid eut
raison. La vétusté du bâtiment gardait une marque
centenaire. Ce fut une ancienne école voué à la
mais quant les grand froid frissonnent nos oreilles et
qu’ils traversèrent les fissures des grosses moulures
des murs, d'une époque lointaine, le grand froid eut
raison. La vétusté du bâtiment gardait une marque
centenaire. Ce fut une ancienne école voué à la
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destruction prochaine, les stigmates des deux guerres
signèrent sa faiblesse. Pour ce moment là, des
signèrent sa faiblesse. Pour ce moment là, des
personnes de basses classes sociales l'occupèrent. Notre
situation fut le fruit du malheur de mon père qui, pour
oublier, retrouvait sa raison d’être en buvant un liquide
rouge que notre religion appelle le sang du Christ. Il
oublier, retrouvait sa raison d’être en buvant un liquide
rouge que notre religion appelle le sang du Christ. Il
lui arriva d'en abuser a un point tel que ses mouvements
devenaient incontrôlable et irréfléchie. Son équilibre
virait dans le mauvais sens. A ces moments de crises,
devenaient incontrôlable et irréfléchie. Son équilibre
virait dans le mauvais sens. A ces moments de crises,
son langage devint incompréhensible, le jargon se
mélangea avec les injures.
mélangea avec les injures.
Ce soir là ne fut pas banal comme les autres fois.
Il vida la bouteille un peu plus rapidement qu'a
l'habitude . J'occupais mon lit, assis avec mes deux
frères cadets. Une grande couverture de laine recouvrit
nos pieds. Une voix autoritaire m'ordonna de me lever
pour que je lui cherchai une autre bouteille. Il ne me
Il vida la bouteille un peu plus rapidement qu'a
l'habitude . J'occupais mon lit, assis avec mes deux
frères cadets. Une grande couverture de laine recouvrit
nos pieds. Une voix autoritaire m'ordonna de me lever
pour que je lui cherchai une autre bouteille. Il ne me
joignit aucune pièce de monel mais un petit livre tout
frissonné où la some que l'on dûmes à la gérante du café
y fut marqué. Une honte m' envahit à chaque achat
frissonné où la some que l'on dûmes à la gérante du café
y fut marqué. Une honte m' envahit à chaque achat
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car la patronne cria la somme que mon père lui dut pour
que tout le monde l'entendit
Me voilà en route, avec la nuit tombante que je
redoute. La flammée des becs de gaz, a peine visible,
dansèrent derrière leurs vitres. Je porta une bouteille
non rincé, que des nuances de vin rouge marquèrent.
Le prix fut abordable en l'achetant de la sorte.
Une lumière vive traversa la nuit de brouillard, elle
vint de l'illumination du troquet. Mon hésitation me
donna un temps de répits, puis, j'eus poussé la porte et
là un nuage de fumée de cigarettes en sortit ainsi que
son odeur qui me choqua . Je pénétrai dans ce repère
avec amertume. Un dégoût me tétanisé, il fut du à notre
pauvreté et la honte que je cachai. J'eus beau accuser la
misère et l'état dépressif de mes parents, rien ni fit.
Les tables furent occupées, de quatre personnes avec
autant de verres et parfois mêmes de bouteilles de vin
presque vide. Leur visage se tourna vers un coin du
bistrot où à la hauteur d'homme, un appareil
rectangulaire, moderne, passa des images articulées en
ma venue n'intéressait personne.
Heureusement pour moi car j'eus gonflé, avant de
pénétrer dans cette pièce impure, mes poumons d'air
de l'extérieur. Je m'eus dit que j'arrivai à tenir sans
respirer
jusqu’à ce que je fus servi. Je ne réussi pas et devins
reprendre ma respiration. La patronne du café suivit
avec attention les images articulées. Elle en fut ébahi
par cette nouvelle acquisition. Je du répéter plusieurs
fois, avec politesse, qu'elle me remplit la bouteille.
Rien ni fis, je levai la bouteille et l'eus placé sur le
comptoir devant son nez . Enfin, elle eut remarqué ma
présence et me fit signe de patienter. Je suivis ses
conseils et attendis impatient . Ma curiosité se laissa
séduire par cette nouveauté où le temps défila
rapidement .Je ne prêta attention à ma bouteille resté
sur le comptoir et, me rendu compte qu'elle fut vide .
Les différents liqueurs exposé sur une étagère en verre,
égaillèrent mon regard par leurs couleurs et leurs
stationna, là . Je me laissa séduire comme les clients
du bistro, par cette les informations que divulgation
cette cage a image articulé et mouvementé .
redoute. La flammée des becs de gaz, a peine visible,
dansèrent derrière leurs vitres. Je porta une bouteille
non rincé, que des nuances de vin rouge marquèrent.
Le prix fut abordable en l'achetant de la sorte.
Une lumière vive traversa la nuit de brouillard, elle
vint de l'illumination du troquet. Mon hésitation me
donna un temps de répits, puis, j'eus poussé la porte et
là un nuage de fumée de cigarettes en sortit ainsi que
son odeur qui me choqua . Je pénétrai dans ce repère
avec amertume. Un dégoût me tétanisé, il fut du à notre
pauvreté et la honte que je cachai. J'eus beau accuser la
misère et l'état dépressif de mes parents, rien ni fit.
Les tables furent occupées, de quatre personnes avec
autant de verres et parfois mêmes de bouteilles de vin
presque vide. Leur visage se tourna vers un coin du
bistrot où à la hauteur d'homme, un appareil
rectangulaire, moderne, passa des images articulées en
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noir et blanc. Un son en sortit, personne ne m'observa,ma venue n'intéressait personne.
Heureusement pour moi car j'eus gonflé, avant de
pénétrer dans cette pièce impure, mes poumons d'air
de l'extérieur. Je m'eus dit que j'arrivai à tenir sans
respirer
jusqu’à ce que je fus servi. Je ne réussi pas et devins
reprendre ma respiration. La patronne du café suivit
avec attention les images articulées. Elle en fut ébahi
par cette nouvelle acquisition. Je du répéter plusieurs
fois, avec politesse, qu'elle me remplit la bouteille.
Rien ni fis, je levai la bouteille et l'eus placé sur le
comptoir devant son nez . Enfin, elle eut remarqué ma
présence et me fit signe de patienter. Je suivis ses
conseils et attendis impatient . Ma curiosité se laissa
séduire par cette nouveauté où le temps défila
rapidement .Je ne prêta attention à ma bouteille resté
sur le comptoir et, me rendu compte qu'elle fut vide .
Les différents liqueurs exposé sur une étagère en verre,
égaillèrent mon regard par leurs couleurs et leurs
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différentes forme . Cela faisait bien dix minutes que jestationna, là . Je me laissa séduire comme les clients
du bistro, par cette les informations que divulgation
cette cage a image articulé et mouvementé .
La porte d'entrée ouvra,et, une silhouette féminine,
avec une taille élancé, entra. Elle eut le même âge que
moi, douze ans. Elle aussi, tenu une bouteille dans sa
main, mais, une bouteille rincée. Elle eut pris son
temps pour le faire dans le couloir au robinet commun.
Je ne me suis pas donné cette peine car ce fut ma
sanction punitive envers mon père. Elle eut une autre
différence, de l'argent, a la place de mon carnet,
qui accompagna la bouteille sur le comptoir. La
patronne nous accorde son attention et remplit nos
bouteilles, enfin .
surplus de courage et dans le brillant de nos yeux les
mêmes pensées s'y reflétaient. Avec hâte et ambition
le chemin devient important pour nos sentiments.
La nuit fut sombre et incertaine, mais, cela ne nous
impressionna point. Un débouchée d'égout laissa
sortir deux énormes ras qui, se poursuivirent. Leur
gris se confondu avec l'asphalte et leur cries striant
coupa le calme de la nuit .
Effraies par ces mouvements et masse rapides,
Sylvie laissa tomber la bouteille qui éclata en une
multitude de morceaux. Une odeur de vin remontât
par nos vêtements aspergés.
Sylvie vint a pleurer . Mes consolations ne sevrèrent
a pas grand chose, je conclu,
- Ne t'en fais pas Sylvie, je dirais a mes parents que
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Ses larmes disparaissaient et, pour me remercier , elle
me plaça un baisé sur mes lèvres. Je n'en reviens pas ,
J'essayai machinalement l'humidité de son baisé sur
ma bouche tout en virevoltant de sentiments. Je n'en
revenais pas , quelle joie, mais, qu'elle seront les
conséquences pour la suite ? Le parcoure nous
illumina de sentiments amoureux dans le profond de
nos cœurs. La lueur des réverbères n'arrivèrent a
traverser l'épais brouillard, malgré cela, les faible
flamettes continuèrent de danser spécialement pour
nous . Ce fut nos pensées qui s'en persuadent.
Au bout d'une dizaine de mètres, main dans la
main, un arrêt nous relia sous le regard de nos yeux
émerveillé. Le scintillement de ce bonheur rassembla
nos lèvres. la fée de l'amour nous joue un nouveau
tour. . C'est comme ci une force aimante nos corps
pour se chérir . Le parcoure tripla de temps , le retard
devient énorme.
On arriva devant les grandes marches en pierre
de taille de l'immeuble vétuste et lugubre. Un nouveau
cacher cette vétusté . Notre force fut ce bonheur qui
nous charma plus que tous. Il ne fut plus question de
perdre du temps, nous convenions de porter a demain
nos sentiments. Il fallut gravir la dernière partie des
marches en bois de l’escalier. Les planches usées par
le passage intensif furent arrondie et vermoulu,
malgré cela ils vivait par ses signes de craquements.
Sur le palier , l'emplacement d' une ancienne porte
délimitant le niveau de l'étage. Cette porte eu servie
jadis a alimenté le petit fourneau de notre pièce
d'habitation. La balustrade a perdu de sa fiabilités.
Dans le couloir aucune lumière,ce fut en tâtent que
nous avançâmes. Aucun locataire ne s'aventura a
cette heure-ci. A mis chemin, nous replongeait dans
un enlacement amoureux. Un bruit de craquement de
bois nous interrompait. Une peur nous envahissant et
un rayon de lumière apparut. Une porte entrouverte
laissa s'évader une lumière. Une silhouette haute et
mince, dessina l’allure d'un personnage méprisé par
nommait (le criminel). Un surnom qu'on lui attribua
suite a son passé houleux. Tout le voisinage le
contournait ou l'évitait personne ne lui attribua une
parole. Ses mains fouillèrent dans ses poches, puis, il
sortit un objet. Nos mains se serrèrent fortement. Une
puissance lumière nous éblouit en le faisant promener
dans le couloir . A la vue de nos vies, il se gardait
d'éclairer nos pas. On le remerciait aussi bien que
mal et nous suivîmes la direction
de nos logements.
Sylvie fut la première et je patientais jusqu’à ce
que la porte se referma. J'ouvrais la porte de notre
logement , une bougie brûlait sur la table et mon père
attendait impatiemment replié sur la table. Ma mère
était aussi éveillé, elle se trouvait a ces cotés. Une
peur m'envahissait, je tremblais, mais, je restais
lucide et prêt a accepter n'importe quelle punition.
Je m'approchais de la table sans prononcer un mot.
Mon père tout énervé me questionnais,
- La patronne m'a fait attendre et hésitait a me servir
car je n'avais pas d'argent.
- Et où est la bouteille, qu'en as tu fais ?
- Sur le chemin du retour elle m'est tombé et a cassé.
Son visage reflétait une aine indomptable que cette
faible lumière dénonçais. Son agressivité le
transformait en un pantin vibrant d'intention
diabolique, ses mains tremblaient . Ma mère répétait
la même question, comme un perroquet. Je me mordis
les lèvres, puis je tentai de donner une réponse. Mon
père se leva et d'un trait me lança la chaise sur laquelle
il eu pris place. De nombreuses injures m'abaissèrent,
les deux justicier me harcelèrent d'injures a un rythme
acharné. Je perdis la manche ça ce fut certain et, je
reconnu mes tords mais, je gardai la tête haute. Mes
sœurs et mes frères furent resté assis sur leur lit et
observèrent cette scène de ménage. Mon père me lança
un verre qui suivit une mise raté. L'alcoolisme a un
défaut, pour ceux qui en abuse de trots, celui de
revint a la charge et me lacéra de coups de ceintures
en cuir ma seul sauve garde, fut de me mettre en boule,
l'instinct des nouveaux née. Tout l'immeuble entendit
ma défaite et leurs grises. Mon père me tira par les
cheveux vers le couloir, ma mère suivit avec une lampe
de poche et une corde.
Dans leur démarche ils exprimèrent a haute voix l
a peine que j'allai subir . Il fut question que je passerai
la nuit attaché à une poutre dans la cave. Je les
implorai pour qu'ils ne suivirent pas leur intentions,
mais rien ni fit même mes larmes ne servirent a rien.
Ce fut la règle dans cette bâtisse. Le n'eus un seul
témoin. Mon père me traîna vers la profondeur de
cette masure, comme une marchandise , ou un sac
vulgaire. Je balisai de plus en plus et m'imaginais la
suite, devoirs passer la nuit avec cette montagne de
détritus éparpillé .Une odeur mesa bonde d'une fosse
a purin stagnait dans cette cave. Ce sont les sceaux
domestiques que les habitants y déversèrent. Certain
Avant d'entrer dans la cave , mes parents m'eurent
lié mes mains derrière le dos , puis s'attachèrent a
une voûte. J'eus crié pardon, rien ni fit. L'écho de mes
peines ne trouvèrent de répondeur.
Le temps devint long et ma fatigue trouva peu de
repos dans cette tanière humide et crasseux. Je doutai
de la clarté du jour et me demanda s'il fallu haïr ceux
qui me voulurent du mal. Je me rendis compte que je
méprise mes parents en acceptant l'injustice qu'ils
m'infligèrent.
Avec le temps s'établit un silence, un manque
de vie qui devint maître de ces lieux . Je m'instruisis
sur le moindre bruit qui m'entourait. Au début le
manque de bruit m'inquiéta mais, maintenant il
m'instruisit. Je scrutai la nuit pour parvenir à
distinguer une quelconque chose, une ombre, ou
bien un élément vivant.
Des bruits de pas coupèrent se royaume incertain.
Le craquement des planches m'avertissaient . Ce que
me sentis seul et une angoisse eut envahi, mes
pensées, une peur mes idées. J'écoutais soucieusement,
puis, une clarté naquit en même temps qu'un bruit de
frottement. J'eus froid et je grelotte, une sueur froide
coula sur mes joues, je tentai de nouveau à me libérer,
mais, une voix douce m'appela ,
- Jean, c'est moi Sylvie.
Une immense joie m'envahit. Avec prudence, elle
descendit les marches. L'allumette s'éteignit Une
nouvelle friction donna naissance à une lumière
le bien être . Sylvie avança avec prudence et
craintivement. Cette seconde allumette perdit de son
éclat et la nuit redevint maîtresse des lieux. La peur
envahit Sylvie car à deux reprises elle frotta, aucune
des lieux fut la raison. Un autre frottement , puis ,
enfin la lumière réapparu . Il ne resta plus que deux
mètres quant, la clarté disparu . Sylvie eut enregistré
la distance de notre séparation. Elle continua à tâtons.
Ses mains caressaient mon visage, elle frotta une
autre allumette et, je découvris son visage d'ange.
Une immense joie relit notre amour comme au grand
jour. Une couverture recouvrit ses épaules, elle la
retira d'une main pour me la placer sur mon dos. Le
déplacement d'air nous plongea à nouveau dans
l'obscurité. Une chaleur humain et réconfortante
m’enveloppa. Je me sentais bien dans ma peau. Sylvie
tenta de retrouver un instant de clarté, le frottement de
l'allumette redonna vie a la lumière sereine. Au
moment où nos lèvres allèrent se rencontrer un bruit
brutal nous sépara. Une peur nous eut envahis.
L'allumette fut jetée a terre et la nuit revint. Elle me
tint fortement pour rechercher une force protectrice ,
mais mes mains attachés m 'handicappaient Je ne sus
comme cette volonté d'être unie qui nous permit de
vaincre notre peur .
Les bruits de pas se rapprochèrent, puis
s’arrêtèrent. Soudais une forte clarté illumina les
marches de la cave. Le faisceau balaya les alentours.
La silhouette descendit les marches, puis prit notre
direction en suivant la ligne du faisceau lumineux.
Sylvie trembla en se serrant contre mon corps. La voix
de cette ombre prit de l'ampleur en résonnant dans le
volume impressionnant de cette cave. Le son de
par sa résonance fut étrange . Ce que je compris fut ,
- Que faite vous ici et qu'elle est la raison ?
Muet comme des carpes nous avalons nos salives.
Son faisceau lumineux se promena le long de nos
corps. Il visa mon bassin et remarqua que mes mains
la réponse sur son identité ;le (criminel) . cet être
- C'est une punition que mes parents m'ont infligé.
Je lui raconta notre aventure et tous ce qui suivirent.
Son questionnaire nous eut réconforté et une sympathie
nais entre nous trois. Je lui précisai que je serai de
liberté fortuite. Le grand personnage écouta
attentivement, a la fin de mon récit il me fit comprendre
que cette histoire alla suivre une autre résonance. Tous
les trois nous montâmes les marches qui grincèrent a
chaque pas.
Sylvie retourna dans la pièce de ces parents sans le
moindre bruit. Aucune porte fermé à clé , le peu de
bien que l'on posséda fut commun. Je me sentis
rassuré à coté de ce grand personnage le (criminel) .
Il donna trois coups de pied à la porte de notre pièce.
Ce bruit retentit dans le couloir, un chat partit
rapidement, le silence vint de se rompre. Personne
n'ouvrit, ils dormirent profondément. Une seconde
réplique ébranla de nouveau l'ensemble du couloir.
Cette fois ci, il pénétra dans la pièce. Sa lampe de
poche balaya au fur et a mesure que nous avancions.
Il s'arrêta sur le lit de mes parents, qui , furent en train
de cuver leur cuite. Son mode d'éclairage fut posé sur la
table et le faisceau lumineux dirigé vers mes parents. Il
n'arriva pas à réagir ni à ce douter de ce qui vint
d'arriver. La clarté de la lampe le rendait plus bête qu'il
en eut l'air. Le (criminel) lui donna deux bonnes claques
aussi sec que la rapidité d'un écot.
- Au secoure, au secoure on veux me tuer .
La remarque n'alarmant personne, au contraire le (criminel)
s'empara d'un seau recouvert d'un tissu, il servit a macérer
des langes de femme adulte, qu'il vida sur mes parents. Au
fond de moi même, je ressentis une victoire et l'acquisition
d'un ami sur lequel je pus compter. Les remarques qui
suivirent cette scène déterminèrent mon
avenir, le (criminel) me prit officiellement sous sa
protection et précisât que je dus lui rapporter toute
mauvaise action de mes parents envers moi et mes
sœurs et frères. Aucune remarque contradictoire ne fut
dite par mes parents.
Le lendemain au petit matin , je retrouvai Sylvie avec
hâte car à partir de maintenant un ensemble de deux
éléments qui parcoururent la route de la vie tout en
l'amour devint soleil sur toutes nos illusions. Chaque
possibilité de se rencontrer fut la clé de notre avenir.
Un jour maussade j'eus récolté en classe de
garçons, une punition. A l'époque nous humes une
aucune coordination j'eus du mal pour la retrouver.
Cette séparation devint pénible . Ce ne fut qu'au
bout de quatre jours que nous pûmes ce revoir. Cela
n'eut duré que cinq minutes mais, ce fut une
réjouissance commune. Je me trouvai dans le couloir,
au robinet commun, et nos baisées nous rassemblèrent.
C'est là, que nos éloges se multiplièrent.
Un jour le (criminel) m'eut croisé, il m'invita a le
rentrer dans sa demeure. Je ne refusai point et suivis
ce personnage dans son âtre. La pièce aussi grande
que la notre, paressa plus accueillante. Il y eut avec
lui une petite femme bien tenu, pas plus grande que
moi. Elle ne parla à peu de personne. Ses habits
élégants , parsemé de fleurs, centrèrent la propreté.
Sa coiffure ,remarquable, était soyeux. J' humai un
parfum agréable qui m'enivrait.
La figure, rondelette et bronzé, laissa apparaître
des yeux noisette brillant. Son langage mitigé, d'une
langue avoisinante, dénonça une provenance d'un
meubles qui ne répondirent a notre région. Je vis le
matelas du lit qui ne toucha pas le sol, car un
encadrement en bois et quatre pieds rond, prirent
assise dans une sorte de cendrier en verre épais. Le
tout releva le lit du carrelage a environ soixante
centimètre. Dans ce cendrier, de l'eau si trouvait
quelques cafards si sont noyé. Je compris son utilité.
La table eut aussi des récipients sous les pieds, ainsi
que l'armoire et le buffet de cuisine. Je fus ébahit en
me disant voilà des gens moderne et prévoyant rien
que de se protéger de la sorte.
Un autre objet m'étonna, un grand coquillage, pas
n'importe lequel, sa grandeur de trente centimètres
dépassa tous les coquillages que mes collègues de
classe rapportèrent de leur séjour en bord de mer.
Sa couleur nacré rose et brillant, étincelait la clarté
de la lumière du jour. Ma petite aventure eut marqué
ses gens car le (criminel) me demanda,
- Cette objet te plaît il ?
laissait songeur, je n'arrivai pas à répondre et hochais
les épaules. Le coquillage ne fut pas loin de moi car
la femme me le rapprocha. Elle me fit comprendre
que si je le rapproche de mon oreille j'entendais le
bruit de la mer.
- As tu déjà vu la mer ?
- Non madame
- Alors écoute.
Je ne sus répondre et devins poisson puis je bougeais
ma tête a gauche puis a droite.
- Elle est belle la mer et la clarté de son eau bleuté
fait rêver les amoureux. Si tu n'as jamais eu la chance
de la voir et l'entendre, de la sentir et de la chérir tu
peux retrouver toutes ses sensations en plaçant le
coquillage contre ton oreille. Tu as le droit de
l'écouter autant de fois que tu le désir. Je suivis son
récit avec attention, je n'eus jamais entendu parler de
la mer d'une aussi belle admiration . Je me laissa
séduire de cette description et surtout des bruits de
Mon imagination m'emporte au loin comme une
sirène qui suis son chemin. Je plaça le coquillage à
mon oreille et là, la fée de la vérité se laissa écouter .
Elle ne m'eut raconté de mensonge car effectivement
les vagues dansèrent dans ce beau coquillage pour le
plaisir de mes oreilles et de ma découverte. Je récoltai
une fierté et une richesse que , impatient, je voulu
partager avec Sylvie bloqué dans son lit. Cette
merveille nous appartenait, notre premier bien, je suis
certain qu'écouter les merveilles des vagues et de la
beauté de la mer elle retrouverait sa santé. Il n'y eut
plus de doute, la sympathie de ce couple me soudain,
je pus compter sur ces personnes et leur appui.Je
découvris d'autres détailles dans cette pièce, il y eut
une séparation faite d'une toile tendu sur un cadre à
roulette.La femme m'eut servi un verre de sirop de
mente. Je fus gâté, aimé, respecté. Derrière ce
paravent se trouva un enfant d'environ huit mois. Il
exprima une gaieté qui attira mon attention. Sa
- C'est notre fils Marc .
Deux dents, bien centré me rappelèrent la publicité
d'un paquet de produit pour bébé. Elle me posa
plusieurs questions que je n'écoutait pas de peur de
devoir répondre.Puis elle eut dit,
- Marc est notre second enfant, le premier eut disparu
dans l'eau trouble d'un étang, un jour de pêche a la
ligne. Son père fit tout son possible pour le sauver.
Les mauvaises langues prétendirent le contraire.
Le coquillage qu'elle me donna fut le jouet de leur
enfant disparu. Je m'eus dit certainement que ma
présence leur rappelle leur enfant, voilà la raison de
cette acquisition.
Au lendemain, la rencontre avec la sœur de Sylvie
me permit de
- Comment vas Sylvie ?
- Elle se porte de mieux en mieux, demain elle
reviendra avec nous a l'école.
- Merci pour cette bonne nouvelle
devenait interminable.
l'hiver approche à grand pas, sa rudesse ne nous
laissa pas le choix. On s'effleurait dans le couloir
de cette masure où les enfants coururent a vive
allure. Les plus jeunes nous taquinent , ils
marquèrent les murs pour mettre a jour notre
grand amour. Ce ne fut plus un secret. La neige
eut tombé sans arrêt et les enfants en sortirent pour
faire des batailles de boules de neige.
Le printemps montra son but du nez et la routine
épousa la leçon de chose, celle d'une transformation
sexuelle. La poitrine de Sylvie eut gonflé et son visage
laissèrent apparaître de nombreux boutons. Elle eut
besoin des mêmes langes de femme que ma mère
trempât dans le seau d'eau. Personnellement je
ressentis un besoin d'exprimer une certaine nervosité
masculin. Ce que pratiquaient nos parents , le soir,
nous instruisit même que l'intention d'en faire autant
positions différentes. Leurs habits se trouvèrent sur
une chaise et à coté une cruche d'eau permettant de se
laver.
La lueur de la bougie dénonçait les débats. Cette scène
cultivait mes intentions de reproduire cet acte d'amour
avec Sylvie.
Le lendemain je ne trouvais pas de mots pour
exprimer mes intentions. Je me gardai de venir aux
actes et l’effleurerai comme de coutume.
En fin de semaine, un vendredi, le (criminel)
contacta Sylvie et moi pour demander de garder leur
enfant le samedi après-midi. Cette proposition tombât
admirablement, on acceptâmes la garde de l'enfant
sens hésiter.
Ce samedi là, nous passâmes un admirable moment
sans qu'une éventuelle personne nous dérangeâmes.
Le petit enfant marcha sans problème, il courut avec
aisance. Nous dûmes le cocher à 15 heures pour qu'il
entama une sieste.Sur la table deux verres de
contentâmes que de l'eau. J'eus raconté a Sylvie la
belle histoire que renferma le grand coquillage, la
beauté de l'eau bleuté, la chanson des vagues qui
caressèrent le sable des plages. Le coquillage fut dans
mes bras je le lui tendis comme un présent,
- Sylvie, je t'invite a écouter la mer, veux tu entendre
le vent qui fait vivre les vagues ?
- Oui Jean, cela me ferait plaisir
- Alors allonge toi sur le lit et écoute comme si tu
serais sur la plage.
Je me couchai à coté d'elle et ensemble on
partageâmes le coquillage où fut enfermée cette belle
vérité. Nos yeux se croisèrent et nos lèvres se
retrouvèrent. Sylvie se laissa guider. par l'instinct
humain qui eut comme caprice celui de l'accouplement.
Aucun n'eut de complexe envers l'autre chacun fut
complices pour s'aimer et se mélanger. Ce premier
rapport nous rapprocha pour nous souder a jamais.
Un appel interrompit notre liaison, ce fut l’enfant qui
L'on se rhabilla rapidement pour s'occuper de lui.
Quel bonheur de se sentir adulte.
La vie eut bien des tourments, la nouvelle manière
d'exprimer nos envies présenta un grand nombre de
plaisir et un petit danger. Ce fut ce moment là que
nous dûmes connaître.
Trois mois ont passé et nos exhibitions amoureuses
ont provoqua des nausées à Sylvie. Le cycle de Sylvie
ne se répéta plus, cette alerte nous guida vers
l'inconnu.
Il fallu trouver une personne sur qui l'on pourra
reposer nos incertitudes. Nous venions d'avoir
13 ans , une vrais malédiction pour notre âge. Nous
prime notre courage et exprimions nos ennuis a la
femme du (criminel). Elle accepta de nous guider vers
une autre personne qui habita a 2 km d'ici .
Nous décidâmes de sécher les cours pour retrouver
la personne indiqué. Nos parents ne surent rien de nos
embarras. Le morale ne fut pas au rendez vous et, une
En traversant la ville une peur plana sur nous.
Nous sûmes qu'une faiseuse d'ange pûmes nous aider.
Pour cela, il fallut apprendre une leçon elle nous
dirigeâmes vers une mis en scène, en premier se
vieillir pour qu'elle nous prenne au sérieux , et en
second inventer une raison pour laquelle on voulais
s'en défaire.
Il était 8 heures du matin, le soleil se fut en route
vers le ciel. Le mois de juin allait se terminer et l'école
fut à la veille des grandes vacances. Nous arrivâmes
devant cette maison, aux volets clos. Nous ne prenions
garde a la beauté du parc que nous traversions.
Les volets clos nous intriquâmes plus tôt. Serait-elle
partie en vacances ? Nous tirâmes une cordelette qui
relit une clochette, le son résonna, puis une personne
au grand âge nous ouvra. Elle nous questionna sur la
raison de notre venu. La phrase clé répondit à notre
leçon. La grande porte de bois blanc s'ouvrit. Nous
suivîmes cette personne a la chevelure argenté. Un
apparut avec au milieu une table recouverte d'une
toile cirée a la couleur du carrelage. Il n'y eut pas de
chaise, contre le mur, un canapé recouvert d'un drap
blanc fut le seul accessoire sur la table. La porte se
ferma derrière nous, dans un grincement striant.
L’espace dans lequel on se trouvaient devenait
lugubre, il y eut une source d’angoisse qui y rayonna.
Nous eûmes l'impression d’être observé par une
personne omniprésente. Une autre porte blanche,
donna sur une autre sortie. J'y prêtait attention comme
par crainte qu'une autre personne nous épiâmes puis
pour nous interpeller.
Les minutes sont timide quant elle parurent des
heures, et, nous prêtions attention au moindre détaille
et souffle venu d'un bruit quelconque. Sous la table
un appareille qui ressemblant a un aspirateur, s'y
trouva. La porte blanche qui nous inquiétât, s'ouvrit .
Une personne d'une quarantaine d’année se présentât.
Elle eut une coiffure coquette et porta des habits de
genoux. Sa taille fine lui donna une figure divine, et,
son maquillage cacha la réalité de son âge. A la vue de
nous deux elle nous demande,
- Quelle est votre âge ?
Nous répétions notre leçon,
- Combien de temps es-tu déréglé ?
- Un mois et deux semaines Madame.
- Ce serait dommage de prendre l'aspirateur, je vais te
proposer une autre méthode pour que cette
créature disparaît. Je ne veux pas prendre le
risque de blesser une aussi jolie personne que toi.
Elle nous emmena dans un autre couloir pas bien
large où plusieurs portes si trouvèrent. Elle ouvrit
l'une d'elle, et là, une grande baignoire, de couleur
farine, l'occupa. Deux robinets permutèrent l'arrivée
de l'eau et dans le fond de cette cuve, un écoulement.
Quelle chose curieuse pour nous autre. La personne
laissa couler de l'eau en tournant un robinet sur la
droite et un autre sur la gauche. De l'eau bouillante
humidité sur les parois carrelé.
Je me mis a transpirer. La personne nous expliqua,
- En plongeant son corps dans une eau chauffée
au-dessus de la température humaine, le fétu peut
se détruire.
Une sonnerie retentit, elle nous laissa, certainement
qu'une autre personne eut besoin de ses services.
L'eau eut le niveau désiré, je fermai les robinets et l
'appela.Je ne criai pas et n'obtiens pas de réponse, je
me dirigeai vers la première pièce.
Une jeune femme, fut couchée sur la table dans une
position avec ses jambes écartées. Elle mordit sur un
morceau de tissus tout en gémissant. Un tuyau de
l'aspirateur fut entre ses jambes.
Je ne pus continuer de l'observer et partis retrouver
Sylvie. Elle eut entendu les gémissements et me
regarda d'un air ahurie. Dans nos pensées une
confusion régna.
Les minutes devinrent interminables. Enfin, elle
blanche des traces de sang. Entre temps, on eut vidé
la baignoire sans que Sylvie pris son bain.
- Avez vous pris votre bain?
- Oui madame.
Elle tendit une petite boite de carton vert a Sylvie
qui la placé dans sa poche.
- A combien ça nous revient madame ?
- Pour cette fois ci, rien. Ci ça n'a pas marché je
prendrais la seconde solution, là c'est 100 francs.
- Merci madame.
On ne demandâmes pas mieux que de la quitter car
rester dans cette maison ne nous charma nullement.
Une toute autre sortie nous guidait vers un jardin
bordée de roses. Au fond, une porte métallique
entourée de petits arbustes d'à peine deux mètres
laissaient épanouir leur ombre sur une grande partie
de l'herbe. La poignée de porte, en fer forgé, nous
permit d'en sortir, une fois dehors, plus de possibilité
d'y retourner. le claquement de la porte eut signe notre
Nous retrouvâmes un petit chemin qui serpente à
travers un parc. Le chant des oiseaux transforma ce
moments là en un instant glorieux. Une poubelle
nous retint et nos intentions, sans qu'une parole fut
dite, guida nos main pour nous débarrasser
de la boite verte. A partir de ce moment-là, l'avenir
nous apportera ce qu'il voudra, notre volonté de
poursuivre ce que l'on vint de commencer devint
plus important que ce que les autres veulent détruire.
La fatalité de la réalité nous servira pas de leçon
mais belle et bien d'une preuve que l'amour est fait
pour nous unir.
Sur un banc, nous parlâmes de notre avenir,
de l'enfant a naître et de l'action à suivre pour que la
suite sera une réussite. Avec nos 14 ans avoir un
enfant c'est cultiver un handicape pas facile a
résoudre. On eut parlé de tous cela auparavant mais,
après cette nouvelle décision nous dûmes encager un
autre objectif celui d'une vrais famille. Une solution
un oncle paternel pas loin de se parc.
La cloche de l'église eut sommé 10 heures. Une
visite pouvait se concrétiser. L'argent n'ont consommé
nous eut servie à acheter un jolie bouquet de roses
rouge. Je sus que ma tante (Nina) aima cette couleur.
Une dignité illuminait notre démarche qui, à partir
de là nous rendu fière de notre engagement. Nous voilà
sur la route de de ce bidon ville que l'on appelait
(cité d'urgence) une route pas bien large, la traversait.
L'architecture des maisons construit a ras le sol ne
furent pas crépis sauf une exception celle de mon oncle.
Les portes d'entré se trouvèrent entre deux fenêtres sur
la façade avant. Un toit presque plat, leur servit de
couverture . 220 personnes occupèrent l'ensemble dans
cette cité d'urgence .Chaque famille transformait leurs
demeures selon les coutumes de leur origines et d'après
les moyens car beaucoup vinrent de différents pays du
monde. Leur avoir marquait l'engrais de leur pouvoir
car ce facteur visible les départagèrent. Un jardin ,
Il y régnait une mentalité européenne car 30% des
occupants vinrent l'Afrique. Pour y pénétrer, sans un
accorde des habitants, cela fut impossible. Pourtant,
une sympathie devenait le mot clé car l'entre aide fut
une source de bien être. Aucun représentant de la loi
n'eut tenté d'y mettre son pied , une meute
l’encerclerait. Un robinet d'eau potable pour chaque
maison ainsi que des toilettes. Je pus y pénétrer
comme bon me semble , cela me rendit fière. Je
connus bien ce quartier car plus d'une fois j'y eu passé
mes vacances. Souvent j’y emmenais Sylvie .
Mon oncle eut trois filles , toutes furent marier ,
comme ils n' eut de garçon il me considéra avec de
nombreux caprices.
Devant la porte de leur habitation, les fenêtres
baillèrent. Une odeur de cuisine nous attira .J'eus
toqué fortement a la porte, personne ne répondis. Je
pénètre comme un habitué dans cette pièce de
7 mètres sur 3 qui servit comme sale à manger et
chambre a couché. Une porte donna sur le jardin ,
un petit recoin servit pour les toilettes. Une grande
table de bois, entourés de 6 chaises dépareillé
l'entouraient. Ce fut sur cette table là que l'on eu joué
à la belote.
- Poses les roses sur la table et prend place sur le
divan.
- Tante Nina,
- Tante Nina,
- Tante Nina,
Personne ne répondit ? Je sorts de l'habitation pour
trouver la voisine. Et, ma tante fut là , quelle
soulagement. A ma vue , elle bondit de joie et couru
vers moi pour me prendre dans ses bras. La joie de
nos retrouvailles fut réciproque. Elle m'embrassa,
je n'en revins pas.
- Je te réserve une surprise tante Nina
- Qu'as tu pour me faire plaisir Jean ?
- Tu verras tante Nina.
Nina exprime sa joie.
- Tu as emmené Sylvie et, des roses quelle bonheur.
Mais, Jean tu as beaucoup d'argent pour pouvoir
m’offrir cela ?
- Ce n'est pas tout, tante Nina, j'ai une autre surprise
- Dis le moi Jean je suis impatiente.
Je lui montre du doigt Sylvie.
- Tu n'as pas un mauvais goût Jean elle a tous les
atouts d'une jolie fille a marier, venez les deux je
fais de la chicoté.
- Je prépare la table tante Nina.
Je répartie les tasses ébréchés sur la table.
Tante Nina parla sans arrêt, notre présence la rendit
joueuse et heureuse. Dans ces récits il fut question
de tous deux juste au moment où vint l'instant de la
chicorée eu sa chaleur désiré. Le service put
commencer.
- Jean et Sylvie vous n'avez pas classe aujourd'hui ?
- On arrive a la porte des vacances, ce n'est pas
Elle était stricte sur les obligations.
- Il fait tellement beau tante Nina que la liberté des
champs nous attire, la saison a ces arguments.
- Voulez vous manger avec nous à midi ?
On se regarde et, nous hésitons de répondre car
nos parents ne savaient pas que nous étions chez
tante Nina.
- Voulez vous de la salade du jardin pour vos parents ?
- Merci ma tante Nina, c'est très gentille mais, nos
parents ne sont pas au courant de notre visite.
Nos parents furent contre notre union, mais
pas ma tante, elle nous encouragea. Je ne fus pas le
seul à être émerveillé par la beauté de Sylvie, ma
tante lui attribua toute son attention. Notre présence
permit de noyer son grand chagrin car toutes ses filles
ne vinrent plus à la maison. Il fallut la quitter,le temps
passa bien trop vite.
- Vous revenez me voir samedi, on parlera bien plus et
l'on mangera ensemble.
Samedi venu nous prîmes le tram pour rejoindre
la ( cité d'urgence). Notre gaieté ressembla aux
sifflement des oiseaux qui, batifolèrent sans prendre
gare. Mon oncle nous attendit devant la porte. Sa fierté
le rendit souriant et, accueillant.
Tante Nina fut aussi éblouissante, sa joie
l'accompagna. Comme toujours, la bonne cuisinière
laissa échapper de sa cuisine l'odeur d'un plat
succulent. Surprise,elle nous obligea de laisser la
porte entre-ouverte pour que son odeur enivre le
voisinage. Quel égard envers nous, nous en somme
fière.Je découvris sur la table, une belle tarte aux
pommes. Son parfum rime avec envie et beauté car
mon regard, attiré par cette merveille me donna l'eau
a la bouche. Une nouvelle nappe, parsemée de fleurs ,
rendit honneur a la présentation. Je n'eus rien apporté,
vue que nous ne possédâmes rien, pas même les
deniers d'un lapin. Cette faiblesse me flagella. Malgré
cela les discutions allèrent bon train,mon oncle et ma
tante nous dévoilèrent comment ils se furent rencontré.
pas encore trouvé comment allions nous leur annoncer
que Sylvie attendit un enfant ? Le courage et la
description de leur rencontre, tante Nina nous donna
des recommandations pour éviter d'avoir un enfant.
Le moment de la période où il n'y eut pas de danger.
Ces remarques coupèrent cour a nos intentions de
dévoiler que nous eûmes fait un enfant. Notre attention
fut ébahie par la franchise qu'exprima tante Nina. Je
me fis des reproches pour ne point l'eut questionné plus
tôt. Mon regard frôle celui de Sylvie, comme pour tenter
de dévoiler ce que nous cachâmes cette faute qu'on vint
de commettre. Le visage de Sylvie rougit je m'abstiens de de
souffler un seul mot. La vérité humilia ma langue et j'eus
mes intentions amères.
La journée prit fin, nous repartîmes avec des pensées
remplit de sagesses et de bonheur. Promesse faite il fut
question de se revoir au plus tôt.
une large ceinture autour de son ventre, de peur que
ses parents aperçurent la grosses. Elle me raconta que
pendant le sicle de ses règles, elle eut mima en
trempant des langes non utilisé. Sa taille fine, ne
jour nous fit une remarque,
- Sylvie tu as pris du poids n'est ce pas ?
- Qui tante Nina, c'est parce que nous mangions
souvent chez toi,
- Je ne pense pas, n'est ce Jean, tu dois en savoir
quelle chose,
- On a tenté de faire comme les grandes personnes,
tante Nina, avec amour et respect envers l'autre,
- Ce n'est pas du respect que vous avez distribué,
mais une affection sentimentale avec une réplique
pour votre avenir, y avez vous songé ?
en route nous ferons notre possible pour l'élever.
- C'est bien mais, comment allez vous subvenir à vos
besoins, par quelle aide et avec quelle sous ?
- Je suis prêt à accepter n'importe quel travail pour
subvenir à notre future famille, je dois quitter l'école
de toute façon nous avons l'âge , 14 ans au mois de
février. Pour l'instant on possède une petite fortune
que l'on eut accumulée avec nos coups de mains
que nous donnèrent les personnes qu'ont aidâmes.
Pour construire une fortune il faut des petites
devisses de toutes sortes.
- C'est bien mes enfants mais, vos parents que dissent
ils?
- Ils ne sont pas au courant.
- Quant allez vous leur dire ? Avoir des enfants ce n'est
pas aussi simple que cela, il faut suivre plusieurs
règles. Avoir un travail stable, enregistrer l'enfant à
la commune obtenir un logement. Et à votre âge il
faut l'aide de personnes adulte car votre projet
placé dans un orphelinat. Le déclin risque de vous
entraîner vers la déprime qui engendrera
l'alcoolisme.
Oncle Pauli nous écouta attentivement. Je me
trouvai dans un esprit enchanteur prêt à déplacer les
montagnes pour réussir, mais, suite aux remarques
de tante Nina, mon espoirs et mes illusions
s'envolèrent. Je fixais l'oncle , d' un air questionnaire,
pourtant il n'eut soufflé un seul mot.J'attendis de lui
qu'il me donne la solution. Une réflexion de sa part
serait bien venu. Rien ne suivit, absolument rien, il
restât muet. De sa bouche sortit un morceau de bois
qu'il mâcha, continuellement. Puis, il le posa au
milieux de la table, tous les 3 nous gardions le silence.
- J'ai une solution pour trouver du travail, mon patron
a besoin de maçons, je lui feras part de tes intentions
et tu commenceras comme manœuvre.
- Je suis prêt a faire n'importe quel travail oncle Pauli.
- Au cas où vos parents ne voudrons plus vous prendre
accueillir.
- Un grand merci pour l'attention que vous nous
remarqua sa grossesse. Une vilaine dispute éclatât.
C'est au soir que son père l’apprenti. La violence
morale exprime en mot vulgaire devint insupportable.
Sylvie eut pleuré toute la journée et surtout quant
son père lui eut dit
- tu es une fille de trottoir et l'enfant sera maudit tu
fais en sorte de partir d'ici je ne veux pas nourrir une
personne en plus, vas retrouve celui qui te la fait.
La voilà dans le couloir en pleure et sans un sans
un mouchoir. J'eus entendu les remarques je sortis
pour la retrouver. Mes parents se doutèrent de nos
amours et ne cherchèrent à comprendre. Pour eux,
notre situation devint le fruit de notre comportement
à nous de résoudre nos problèmes. Eux aussi fur secs
et directe, la porte qu'ils me proposèrent. Connurent
mon oncle ?
Sans hésitation , nous voilà sur le chemin de la
cité d'urgence avec comme seul bagage un ensemble
de deux mains qui unirent trois éléments. Le tracé de
cette nouvelle route effaça toutes nos larmes et,
comme il fut prévu, plus de soucie a ce faire. Une
joie nous entoura car l'amour que nous partagea
oncle Pauli et tante Nina marqua le signe du vrais
bonheur. Je représentait le fils tant désiré ce fut là
raison qu'ils nous accordâmes leur soutient.
Notre installation se fit sans remord et
pour disposer d'un endroit pour dormir, une rideau
fut tiré avant de nous coucher. Cette première nuit
eut comme sensation du sentimentale aussi puisant
que tous nos ennuis s’oublièrent rien que de pouvoir
dormir ensemble pour la première fois.Une gène
limita nos intentions conjugales, par respect envers
ma tante et mon oncle.
Je suivis les recommandations de tante Nina
nécessaire a la mairie pour se marier. La secrétaire ,
d'un air étonné me regardait comme une bête curieuse
et dit ,
- Vous me paressez bien jeune pour vous marie ?
Je hochai les épaules en la regardant. Elle me
rajouta aucun dossier ni de réponse comme ci je lui
dus quelque chose. Cette amabilité me détourna,
aurai je commis une faute ?
- C'est au sujet des formulaires d'inscription pour
ce marier madame,
- Pour obtenir ces formulaires, vous devez
demander l'autorisation à vos parents cela jusqu’à
vos 21 ans. Je ne suis pas en mesure de vous les
délivrer, a moi que vos parents viennent signer cette
autorisation.
On a le droit de faire des enfants, mais pour ce
marier il faut l'autorisation des parents , mais dans
quel monde se trouve-t-on ? Je retournai dans la
cité d'urgence avec en tête le handicape de ne pouvoir
respectifs.
Je terminais l'école en décembre et Sylvie eut
fini en octobre, vue sa grosses. Elle faiblit a chaque
mouvement.Tante Nina partagea tous son savoir
faire en lui apprenant plusieurs astuces en cuisine.
Pour les fêtes de fin d'année, tante Nina façonna
des séries de petits fourrés et gâteaux de toutes
sortes. Oncle Pauli rapporta du marché un joli
sapin fraîchement coupé. La sève collante coula sur
sa coupe. Il le plaça dans un seau remplit de sable
rougeâtre et humide au coin de la porte de l'entrée.
Dans notre entourage rayonna une onde bénéfique
de bonheur. Cette transformation fut ci grande que
tous nos soucis suivirent une autre courbe. Ce fut
la première fois que l'on fêta Noël .
La rudesse de l'hiver ne m’accordât nulle chance
pour trouver du travail. Pas de revenu, nous
restâmes à la charge de mon oncle et la bien vaillance
de ma tante. Les intempéries nous fragilisèrent. Au
légumes déclassé. Dans notre ville se trouvât une
garnison. Sur la déchetterie ils y jetèrent leur
surplus, ou leurs boites de singes ( appellation pour
la viande de bœuf en boite) que je ramassais et
rapportais fièrement. Je trouvai des bouteilles vides
consigné que je rapporte. Quand au bois de
chauffage ce fut avec l'aide d'une petite poucettes
d'enfant que je le transporta. Je ne manquais aucune
occasion de ramasser ce qui put servir de
combustible. Ce ne fut pas une restreinte car mon
cœur y mit toute sa chaleur.
Le soleil réveilla la ruche du bien être car le travail
reprit et le pouvoir vivre aussi. J’accompagnai mon
l'oncle Pauli dans l’entreprise de maçonnerie. Mon
salaire de manœuvre, payé par semaine , rapporta
juste de quoi vivre. Je voulu partager mon revenu a
la tante Nina elle refusa.
J'eus prévu d'acheter un berceau et prévins la tante
ainsi que Sylvie. nous allâmes les trois en vile pour le
toutes les économies volatilisé ?Des soupons planèrent
par ci, par là , mais personne ne se dénonça. J'eus
décidé de donner notre argent et nous oubliâmes le
berceau.
Sylvie approcha du 9 em mois, elle n'eut point de
problème de santé. Tante Nina la soulagea le plus
possible. Puis vient ce jour précis où elle ressentit des
contractions. Sylvie perdit ses eaux, tante Nina eut pris
ses dispositions. Avec l'aide de la voisine elles
préparèrent le futur événement. Je me trouvai avec
l'oncle dans la maison de la voisine. L'impatience tint
une horloge, celle qui fit durer les minutes.
Puis vient le moment où notre instabilité eut enfin la
possibilité de retourner dans notre chez nous. Ma
curiosité fut réconforté par le sourire de Sylvie et de
l'enfant qu'elle tient entre ses mains. Personne ne
demanda le sexe de l'enfant quant mon oncle criât
de joie,
- Mais c'est un garçon.
félicite Sylvie. Tante Nina demanda
- Quel prénom allez vous lui donner ?
- C'est Claude.
Fière et reconnaissable je remercie Dieu de ce bien
tombé du ciel.
Tante Nina fut a cheval sur les règlements qu'il
fallut suivre a la lettre, elle m'envoya enregistrer
Claude a la marie. Je parti précisément à la marie
pour me présenter comme heureux papa et
enregistrer l'enfant dans cet immeuble officiel. La
joie dans le cœur et une fierté digne d'un père,
j'accumulais toutes les sagesses, je me présenta a la
personne du bureau d'enregistrement, elle m'eut
reconnu. Cela réconforte mais en même temps me
donna un air de vainqueur, fière de la demande
que je vins faire.
- Bonjour madame, c'est pour obtenir un
formulaire d'enregistrement de nouveau née,
- Bonjour jeune homme, mais, vous n'étiez pas
mariage voila que vous venez pour obtenir
l'enregistrement de nouveau née ?
- Madame, devrais-je revenir avec mes parents ?
hésitation. De retour dans la cité, je raconta mon
entrevu et mes expressions en rajoutant,
- On peut, vis-a-vis de la loi, faire des enfants et
en recevoir à tout âge sans tenir compte de la
situation financière. Pour ce marier avant 21 ans
il faut l'avis des parents,eux qui nous ont jeté à
la rue.
L'année s'écoula vite, je remarquais
Claude qui sourit toujours en évoluant chaque jour
un peu plus. Grandir et évoluer fait partie de notre
instruction. Chaque nouvelle démarche obtient la
marque de sagesses.
de la grisaille, du froid, de la neige et un manque a
gagner. La pauvreté fragilisa notre moral. Le petit
Claude eut grandi tout en expriment un sourire
radieux et réconfortant. Je participai au besoins
financier, mais malgré toute notre énergie commune,
des points bas, il y en eut plus que l'on pense. Le
deuxième Noël avec ma tente et mon oncle brilla
de pleine joie. Avec peu on peu rayonner en
réveillonnant.
La chaleur des beaux jours printaniers permit de
reprendre le travail. La vie retrouvais son roulement
avec en prime des chantiers fructueux. Les nouvelles
constructions sortirent de terre comme des
champignons. je me débrouillais bien avec tous le
savoir faire que l'oncle Pauli m'eut appris. Sylvie
devint attirante par sa beauté et sa finesse. Les jeunes
de mon âge l'effleuraient dans l’espoir de pouvoir
Tante Nina tomba gravement malade, Une
hospitalisation d'urgence fut ordonnée par le
médecin de famille. La guérison ne trouva pas sa
raison d'être et sous son sourire de bonne mère de
famille qu'elle nous eut caché durant des années
ses douleurs.
C'est en fin de semaine que nous la retrouvâmes
avec ses trois filles. J'eus remarqué que les filles
vinrent seul, jamais leur compagnon ni leurs enfants
les accompagnèrent. Tante Nina s’inquiéta pour
notre santé a tous mais ne nous parla jamais de la
ses filles qui nous eut prévenu; dans la cité sa
disparition marqua une profonde peine commune.
suite au 2/8
Pour qu'une suite suive, il faut des personnes
intéressé, pour cela, visité le blog et distribuez le.
Plus il y a de lecteurs plus il y aurait de suite.
Merci a ceux qui me soutiennent.
avec une taille élancé, entra. Elle eut le même âge que
moi, douze ans. Elle aussi, tenu une bouteille dans sa
main, mais, une bouteille rincée. Elle eut pris son
temps pour le faire dans le couloir au robinet commun.
Je ne me suis pas donné cette peine car ce fut ma
sanction punitive envers mon père. Elle eut une autre
différence, de l'argent, a la place de mon carnet,
qui accompagna la bouteille sur le comptoir. La
patronne nous accorde son attention et remplit nos
bouteilles, enfin .
7
Le retour avec ma voisine, Sylvie, me donna unsurplus de courage et dans le brillant de nos yeux les
mêmes pensées s'y reflétaient. Avec hâte et ambition
le chemin devient important pour nos sentiments.
La nuit fut sombre et incertaine, mais, cela ne nous
impressionna point. Un débouchée d'égout laissa
sortir deux énormes ras qui, se poursuivirent. Leur
gris se confondu avec l'asphalte et leur cries striant
coupa le calme de la nuit .
Effraies par ces mouvements et masse rapides,
Sylvie laissa tomber la bouteille qui éclata en une
multitude de morceaux. Une odeur de vin remontât
par nos vêtements aspergés.
Sylvie vint a pleurer . Mes consolations ne sevrèrent
a pas grand chose, je conclu,
- Ne t'en fais pas Sylvie, je dirais a mes parents que
c'est ma bouteille qui est tombé et qui a cassé .
- Je te remercie Jean .6
Ses larmes disparaissaient et, pour me remercier , elle
me plaça un baisé sur mes lèvres. Je n'en reviens pas ,
8
de cette magie tombé du ciel .J'essayai machinalement l'humidité de son baisé sur
ma bouche tout en virevoltant de sentiments. Je n'en
revenais pas , quelle joie, mais, qu'elle seront les
conséquences pour la suite ? Le parcoure nous
illumina de sentiments amoureux dans le profond de
nos cœurs. La lueur des réverbères n'arrivèrent a
traverser l'épais brouillard, malgré cela, les faible
flamettes continuèrent de danser spécialement pour
nous . Ce fut nos pensées qui s'en persuadent.
Au bout d'une dizaine de mètres, main dans la
main, un arrêt nous relia sous le regard de nos yeux
émerveillé. Le scintillement de ce bonheur rassembla
nos lèvres. la fée de l'amour nous joue un nouveau
tour. . C'est comme ci une force aimante nos corps
pour se chérir . Le parcoure tripla de temps , le retard
devient énorme.
On arriva devant les grandes marches en pierre
de taille de l'immeuble vétuste et lugubre. Un nouveau
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baisé gomma notre malheur comme le fait la nuit pourcacher cette vétusté . Notre force fut ce bonheur qui
nous charma plus que tous. Il ne fut plus question de
perdre du temps, nous convenions de porter a demain
nos sentiments. Il fallut gravir la dernière partie des
marches en bois de l’escalier. Les planches usées par
le passage intensif furent arrondie et vermoulu,
malgré cela ils vivait par ses signes de craquements.
Sur le palier , l'emplacement d' une ancienne porte
délimitant le niveau de l'étage. Cette porte eu servie
jadis a alimenté le petit fourneau de notre pièce
d'habitation. La balustrade a perdu de sa fiabilités.
Dans le couloir aucune lumière,ce fut en tâtent que
nous avançâmes. Aucun locataire ne s'aventura a
cette heure-ci. A mis chemin, nous replongeait dans
un enlacement amoureux. Un bruit de craquement de
bois nous interrompait. Une peur nous envahissant et
un rayon de lumière apparut. Une porte entrouverte
laissa s'évader une lumière. Une silhouette haute et
mince, dessina l’allure d'un personnage méprisé par
10
tous les habitants de cette masure. Tout le monde lenommait (le criminel). Un surnom qu'on lui attribua
suite a son passé houleux. Tout le voisinage le
contournait ou l'évitait personne ne lui attribua une
parole. Ses mains fouillèrent dans ses poches, puis, il
sortit un objet. Nos mains se serrèrent fortement. Une
puissance lumière nous éblouit en le faisant promener
dans le couloir . A la vue de nos vies, il se gardait
d'éclairer nos pas. On le remerciait aussi bien que
mal et nous suivîmes la direction
de nos logements.
Sylvie fut la première et je patientais jusqu’à ce
que la porte se referma. J'ouvrais la porte de notre
logement , une bougie brûlait sur la table et mon père
attendait impatiemment replié sur la table. Ma mère
était aussi éveillé, elle se trouvait a ces cotés. Une
peur m'envahissait, je tremblais, mais, je restais
lucide et prêt a accepter n'importe quelle punition.
Je m'approchais de la table sans prononcer un mot.
Mon père tout énervé me questionnais,
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- Mais qu'as tu fais tout ce temps ?- La patronne m'a fait attendre et hésitait a me servir
car je n'avais pas d'argent.
- Et où est la bouteille, qu'en as tu fais ?
- Sur le chemin du retour elle m'est tombé et a cassé.
Son visage reflétait une aine indomptable que cette
faible lumière dénonçais. Son agressivité le
transformait en un pantin vibrant d'intention
diabolique, ses mains tremblaient . Ma mère répétait
la même question, comme un perroquet. Je me mordis
les lèvres, puis je tentai de donner une réponse. Mon
père se leva et d'un trait me lança la chaise sur laquelle
il eu pris place. De nombreuses injures m'abaissèrent,
les deux justicier me harcelèrent d'injures a un rythme
acharné. Je perdis la manche ça ce fut certain et, je
reconnu mes tords mais, je gardai la tête haute. Mes
sœurs et mes frères furent resté assis sur leur lit et
observèrent cette scène de ménage. Mon père me lança
un verre qui suivit une mise raté. L'alcoolisme a un
défaut, pour ceux qui en abuse de trots, celui de
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manquer la cible. Il ne manqua de justesse. Ma mèrerevint a la charge et me lacéra de coups de ceintures
en cuir ma seul sauve garde, fut de me mettre en boule,
l'instinct des nouveaux née. Tout l'immeuble entendit
ma défaite et leurs grises. Mon père me tira par les
cheveux vers le couloir, ma mère suivit avec une lampe
de poche et une corde.
Dans leur démarche ils exprimèrent a haute voix l
a peine que j'allai subir . Il fut question que je passerai
la nuit attaché à une poutre dans la cave. Je les
implorai pour qu'ils ne suivirent pas leur intentions,
mais rien ni fit même mes larmes ne servirent a rien.
Ce fut la règle dans cette bâtisse. Le n'eus un seul
témoin. Mon père me traîna vers la profondeur de
cette masure, comme une marchandise , ou un sac
vulgaire. Je balisai de plus en plus et m'imaginais la
suite, devoirs passer la nuit avec cette montagne de
détritus éparpillé .Une odeur mesa bonde d'une fosse
a purin stagnait dans cette cave. Ce sont les sceaux
domestiques que les habitants y déversèrent. Certain
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y jetèrent toutes sorte de déchets.Avant d'entrer dans la cave , mes parents m'eurent
lié mes mains derrière le dos , puis s'attachèrent a
une voûte. J'eus crié pardon, rien ni fit. L'écho de mes
peines ne trouvèrent de répondeur.
Le temps devint long et ma fatigue trouva peu de
repos dans cette tanière humide et crasseux. Je doutai
de la clarté du jour et me demanda s'il fallu haïr ceux
qui me voulurent du mal. Je me rendis compte que je
méprise mes parents en acceptant l'injustice qu'ils
m'infligèrent.
Avec le temps s'établit un silence, un manque
de vie qui devint maître de ces lieux . Je m'instruisis
sur le moindre bruit qui m'entourait. Au début le
manque de bruit m'inquiéta mais, maintenant il
m'instruisit. Je scrutai la nuit pour parvenir à
distinguer une quelconque chose, une ombre, ou
bien un élément vivant.
Des bruits de pas coupèrent se royaume incertain.
Le craquement des planches m'avertissaient . Ce que
14
je m'imaginais ce fut, serai ce mes parents qui
viendraient me chercher ? Je fus sur le point de me
tromper, certainement qu'un chat se déplace.
Le bruit se tu et les autres sons de la cave aussi. Je me sentis seul et une angoisse eut envahi, mes
pensées, une peur mes idées. J'écoutais soucieusement,
puis, une clarté naquit en même temps qu'un bruit de
frottement. J'eus froid et je grelotte, une sueur froide
coula sur mes joues, je tentai de nouveau à me libérer,
mais, une voix douce m'appela ,
- Jean, c'est moi Sylvie.
Une immense joie m'envahit. Avec prudence, elle
descendit les marches. L'allumette s'éteignit Une
nouvelle friction donna naissance à une lumière
encourageante.
Cette seconde clarté représenta le soleil, la liberté et le bien être . Sylvie avança avec prudence et
craintivement. Cette seconde allumette perdit de son
éclat et la nuit redevint maîtresse des lieux. La peur
envahit Sylvie car à deux reprises elle frotta, aucune
15
nouvelle source de lumière. Rien n'y fit, l'humiditédes lieux fut la raison. Un autre frottement , puis ,
enfin la lumière réapparu . Il ne resta plus que deux
mètres quant, la clarté disparu . Sylvie eut enregistré
la distance de notre séparation. Elle continua à tâtons.
Ses mains caressaient mon visage, elle frotta une
autre allumette et, je découvris son visage d'ange.
Une immense joie relit notre amour comme au grand
jour. Une couverture recouvrit ses épaules, elle la
retira d'une main pour me la placer sur mon dos. Le
déplacement d'air nous plongea à nouveau dans
l'obscurité. Une chaleur humain et réconfortante
m’enveloppa. Je me sentais bien dans ma peau. Sylvie
tenta de retrouver un instant de clarté, le frottement de
l'allumette redonna vie a la lumière sereine. Au
moment où nos lèvres allèrent se rencontrer un bruit
brutal nous sépara. Une peur nous eut envahis.
L'allumette fut jetée a terre et la nuit revint. Elle me
tint fortement pour rechercher une force protectrice ,
mais mes mains attachés m 'handicappaient Je ne sus
16
nous défendre. La nuit devint notre protectricecomme cette volonté d'être unie qui nous permit de
vaincre notre peur .
Les bruits de pas se rapprochèrent, puis
s’arrêtèrent. Soudais une forte clarté illumina les
marches de la cave. Le faisceau balaya les alentours.
Ce rayon nous repéra. On fut repéré et ébloui, nos
cœurs battirent la chamade; mais qui se trouve là ?La silhouette descendit les marches, puis prit notre
direction en suivant la ligne du faisceau lumineux.
Sylvie trembla en se serrant contre mon corps. La voix
de cette ombre prit de l'ampleur en résonnant dans le
volume impressionnant de cette cave. Le son de
par sa résonance fut étrange . Ce que je compris fut ,
- Que faite vous ici et qu'elle est la raison ?
Muet comme des carpes nous avalons nos salives.
Son faisceau lumineux se promena le long de nos
corps. Il visa mon bassin et remarqua que mes mains
furent ficelé à une poutre.
- Pour quelle raison vous vous trouvez ici ?17
Il se rapprocha de nous , sa longue silhouette donnala réponse sur son identité ;le (criminel) . cet être
mystérieux qui défit les plus rudes et les plus
redoutables de ce bâtiment.
Nos réactions se mutèrent quant, il ut sortit de sa
poche un objet provoquant un dé-clique. Une lame
reflétant la lumière provenant de sa lampe de poche .
La peur fit vibrer nos corps, Sylvie se sera encore plus
fort contre mon corps. Le (criminel) donna la lampe
de poche a Sylvie. Avec la main gauche il suivit la
corde et l'autre tint la lame qui accompagnait⁹ son
action, elle consista a sectionner se lien qui me
retenait prisonnier. Cette liberté soulagea ma punition
mais, que diront mes parents qui ne vont apprécier ma
mise en liberté ?
- Pour quelle raison es tu attaché jeune homme ?- C'est une punition que mes parents m'ont infligé.
Je lui raconta notre aventure et tous ce qui suivirent.
Son questionnaire nous eut réconforté et une sympathie
nais entre nous trois. Je lui précisai que je serai de
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nouveau punie ci mon père et ma mère apprirent cetteliberté fortuite. Le grand personnage écouta
attentivement, a la fin de mon récit il me fit comprendre
que cette histoire alla suivre une autre résonance. Tous
les trois nous montâmes les marches qui grincèrent a
chaque pas.
Sylvie retourna dans la pièce de ces parents sans le
moindre bruit. Aucune porte fermé à clé , le peu de
bien que l'on posséda fut commun. Je me sentis
rassuré à coté de ce grand personnage le (criminel) .
Il donna trois coups de pied à la porte de notre pièce.
Ce bruit retentit dans le couloir, un chat partit
rapidement, le silence vint de se rompre. Personne
n'ouvrit, ils dormirent profondément. Une seconde
réplique ébranla de nouveau l'ensemble du couloir.
Cette fois ci, il pénétra dans la pièce. Sa lampe de
poche balaya au fur et a mesure que nous avancions.
Il s'arrêta sur le lit de mes parents, qui , furent en train
de cuver leur cuite. Son mode d'éclairage fut posé sur la
table et le faisceau lumineux dirigé vers mes parents. Il
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s'approcha de leur nid et secouait le père qui, surpris,n'arriva pas à réagir ni à ce douter de ce qui vint
d'arriver. La clarté de la lampe le rendait plus bête qu'il
en eut l'air. Le (criminel) lui donna deux bonnes claques
aussi sec que la rapidité d'un écot.
- Au secoure, au secoure on veux me tuer .
La remarque n'alarmant personne, au contraire le (criminel)
s'empara d'un seau recouvert d'un tissu, il servit a macérer
des langes de femme adulte, qu'il vida sur mes parents. Au
fond de moi même, je ressentis une victoire et l'acquisition
d'un ami sur lequel je pus compter. Les remarques qui
suivirent cette scène déterminèrent mon
avenir, le (criminel) me prit officiellement sous sa
protection et précisât que je dus lui rapporter toute
mauvaise action de mes parents envers moi et mes
sœurs et frères. Aucune remarque contradictoire ne fut
dite par mes parents.
Le lendemain au petit matin , je retrouvai Sylvie avec
hâte car à partir de maintenant un ensemble de deux
éléments qui parcoururent la route de la vie tout en
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s'aimant. Dans notre esprits plus de morte saison,l'amour devint soleil sur toutes nos illusions. Chaque
possibilité de se rencontrer fut la clé de notre avenir.
Un jour maussade j'eus récolté en classe de
garçons, une punition. A l'époque nous humes une
classe de garçons et une classe de filles. Il y eut deux
récréations l'une pour les garçons et une pour les
filles. La mixture de deux sexes fut impure. Il y exista
des instituteurs pour garçon et des institutrices pour
filles. Je fus en retenu plus d'une heure et la pluie
tomba en corde. Je sortis de l'école et aperçu une f
orme blotti contre un mur. L'eau dégoulina le long de
sa robe. Elle m'eut attendu sens prendre garde à
la valeur du mauvais temps. Son cartable trempé
comme ses vêtements mouillé, un cercle de rouge
entoura ses yeux bleus. Elle eut peiné d'avoir
attendu sous cette pluie.
Cette journée la rendit malade, une forte fièvre 21
la retint ou lit. Comme nos parents n'accordèrentaucune coordination j'eus du mal pour la retrouver.
Cette séparation devint pénible . Ce ne fut qu'au
bout de quatre jours que nous pûmes ce revoir. Cela
n'eut duré que cinq minutes mais, ce fut une
réjouissance commune. Je me trouvai dans le couloir,
au robinet commun, et nos baisées nous rassemblèrent.
C'est là, que nos éloges se multiplièrent.
Un jour le (criminel) m'eut croisé, il m'invita a le
rentrer dans sa demeure. Je ne refusai point et suivis
ce personnage dans son âtre. La pièce aussi grande
que la notre, paressa plus accueillante. Il y eut avec
lui une petite femme bien tenu, pas plus grande que
moi. Elle ne parla à peu de personne. Ses habits
élégants , parsemé de fleurs, centrèrent la propreté.
Sa coiffure ,remarquable, était soyeux. J' humai un
parfum agréable qui m'enivrait.
La figure, rondelette et bronzé, laissa apparaître
des yeux noisette brillant. Son langage mitigé, d'une
langue avoisinante, dénonça une provenance d'un
22
pays autre que la notre .Ma curiosité découvrit desmeubles qui ne répondirent a notre région. Je vis le
matelas du lit qui ne toucha pas le sol, car un
encadrement en bois et quatre pieds rond, prirent
assise dans une sorte de cendrier en verre épais. Le
tout releva le lit du carrelage a environ soixante
centimètre. Dans ce cendrier, de l'eau si trouvait
quelques cafards si sont noyé. Je compris son utilité.
La table eut aussi des récipients sous les pieds, ainsi
que l'armoire et le buffet de cuisine. Je fus ébahit en
me disant voilà des gens moderne et prévoyant rien
que de se protéger de la sorte.
Un autre objet m'étonna, un grand coquillage, pas
n'importe lequel, sa grandeur de trente centimètres
dépassa tous les coquillages que mes collègues de
classe rapportèrent de leur séjour en bord de mer.
Sa couleur nacré rose et brillant, étincelait la clarté
de la lumière du jour. Ma petite aventure eut marqué
ses gens car le (criminel) me demanda,
- Cette objet te plaît il ?
23
Là , ma timidité et mon respect pour cette homme melaissait songeur, je n'arrivai pas à répondre et hochais
les épaules. Le coquillage ne fut pas loin de moi car
la femme me le rapprocha. Elle me fit comprendre
que si je le rapproche de mon oreille j'entendais le
bruit de la mer.
- As tu déjà vu la mer ?
- Non madame
- Alors écoute.
Je ne sus répondre et devins poisson puis je bougeais
ma tête a gauche puis a droite.
- Elle est belle la mer et la clarté de son eau bleuté
fait rêver les amoureux. Si tu n'as jamais eu la chance
de la voir et l'entendre, de la sentir et de la chérir tu
peux retrouver toutes ses sensations en plaçant le
coquillage contre ton oreille. Tu as le droit de
l'écouter autant de fois que tu le désir. Je suivis son
récit avec attention, je n'eus jamais entendu parler de
la mer d'une aussi belle admiration . Je me laissa
séduire de cette description et surtout des bruits de
24
vagues pris en otage dans ce coquillage.Mon imagination m'emporte au loin comme une
sirène qui suis son chemin. Je plaça le coquillage à
mon oreille et là, la fée de la vérité se laissa écouter .
Elle ne m'eut raconté de mensonge car effectivement
les vagues dansèrent dans ce beau coquillage pour le
plaisir de mes oreilles et de ma découverte. Je récoltai
une fierté et une richesse que , impatient, je voulu
partager avec Sylvie bloqué dans son lit. Cette
merveille nous appartenait, notre premier bien, je suis
certain qu'écouter les merveilles des vagues et de la
beauté de la mer elle retrouverait sa santé. Il n'y eut
plus de doute, la sympathie de ce couple me soudain,
je pus compter sur ces personnes et leur appui.Je
découvris d'autres détailles dans cette pièce, il y eut
une séparation faite d'une toile tendu sur un cadre à
roulette.La femme m'eut servi un verre de sirop de
mente. Je fus gâté, aimé, respecté. Derrière ce
paravent se trouva un enfant d'environ huit mois. Il
exprima une gaieté qui attira mon attention. Sa
25
maman l'eut pris dans ses bras pour me le présenter .- C'est notre fils Marc .
Deux dents, bien centré me rappelèrent la publicité
d'un paquet de produit pour bébé. Elle me posa
plusieurs questions que je n'écoutait pas de peur de
devoir répondre.Puis elle eut dit,
- Marc est notre second enfant, le premier eut disparu
dans l'eau trouble d'un étang, un jour de pêche a la
ligne. Son père fit tout son possible pour le sauver.
Les mauvaises langues prétendirent le contraire.
Le coquillage qu'elle me donna fut le jouet de leur
enfant disparu. Je m'eus dit certainement que ma
présence leur rappelle leur enfant, voilà la raison de
cette acquisition.
Au lendemain, la rencontre avec la sœur de Sylvie
me permit de
- Comment vas Sylvie ?
- Elle se porte de mieux en mieux, demain elle
reviendra avec nous a l'école.
- Merci pour cette bonne nouvelle
26
. Mon impatience allongeait cette journée, elledevenait interminable.
l'hiver approche à grand pas, sa rudesse ne nous
laissa pas le choix. On s'effleurait dans le couloir
de cette masure où les enfants coururent a vive
allure. Les plus jeunes nous taquinent , ils
marquèrent les murs pour mettre a jour notre
grand amour. Ce ne fut plus un secret. La neige
eut tombé sans arrêt et les enfants en sortirent pour
faire des batailles de boules de neige.
Le printemps montra son but du nez et la routine
épousa la leçon de chose, celle d'une transformation
sexuelle. La poitrine de Sylvie eut gonflé et son visage
laissèrent apparaître de nombreux boutons. Elle eut
besoin des mêmes langes de femme que ma mère
trempât dans le seau d'eau. Personnellement je
ressentis un besoin d'exprimer une certaine nervosité
masculin. Ce que pratiquaient nos parents , le soir,
nous instruisit même que l'intention d'en faire autant
27
trottait dans nos pensées. Ils furent nus et prirent despositions différentes. Leurs habits se trouvèrent sur
une chaise et à coté une cruche d'eau permettant de se
laver.
La lueur de la bougie dénonçait les débats. Cette scène
cultivait mes intentions de reproduire cet acte d'amour
avec Sylvie.
Le lendemain je ne trouvais pas de mots pour
exprimer mes intentions. Je me gardai de venir aux
actes et l’effleurerai comme de coutume.
En fin de semaine, un vendredi, le (criminel)
contacta Sylvie et moi pour demander de garder leur
enfant le samedi après-midi. Cette proposition tombât
admirablement, on acceptâmes la garde de l'enfant
sens hésiter.
Ce samedi là, nous passâmes un admirable moment
sans qu'une éventuelle personne nous dérangeâmes.
Le petit enfant marcha sans problème, il courut avec
aisance. Nous dûmes le cocher à 15 heures pour qu'il
entama une sieste.Sur la table deux verres de
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grenadine, un délice pour nous autre, car nous nouscontentâmes que de l'eau. J'eus raconté a Sylvie la
belle histoire que renferma le grand coquillage, la
beauté de l'eau bleuté, la chanson des vagues qui
caressèrent le sable des plages. Le coquillage fut dans
mes bras je le lui tendis comme un présent,
- Sylvie, je t'invite a écouter la mer, veux tu entendre
le vent qui fait vivre les vagues ?
- Oui Jean, cela me ferait plaisir
- Alors allonge toi sur le lit et écoute comme si tu
serais sur la plage.
Je me couchai à coté d'elle et ensemble on
partageâmes le coquillage où fut enfermée cette belle
vérité. Nos yeux se croisèrent et nos lèvres se
retrouvèrent. Sylvie se laissa guider. par l'instinct
humain qui eut comme caprice celui de l'accouplement.
Aucun n'eut de complexe envers l'autre chacun fut
complices pour s'aimer et se mélanger. Ce premier
rapport nous rapprocha pour nous souder a jamais.
Un appel interrompit notre liaison, ce fut l’enfant qui
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s'était réveillé.L'on se rhabilla rapidement pour s'occuper de lui.
Quel bonheur de se sentir adulte.
La vie eut bien des tourments, la nouvelle manière
d'exprimer nos envies présenta un grand nombre de
plaisir et un petit danger. Ce fut ce moment là que
nous dûmes connaître.
Trois mois ont passé et nos exhibitions amoureuses
ont provoqua des nausées à Sylvie. Le cycle de Sylvie
ne se répéta plus, cette alerte nous guida vers
l'inconnu.
Il fallu trouver une personne sur qui l'on pourra
reposer nos incertitudes. Nous venions d'avoir
13 ans , une vrais malédiction pour notre âge. Nous
prime notre courage et exprimions nos ennuis a la
femme du (criminel). Elle accepta de nous guider vers
une autre personne qui habita a 2 km d'ici .
Nous décidâmes de sécher les cours pour retrouver
la personne indiqué. Nos parents ne surent rien de nos
embarras. Le morale ne fut pas au rendez vous et, une
30
peur conjugua detous ce remous.En traversant la ville une peur plana sur nous.
Nous sûmes qu'une faiseuse d'ange pûmes nous aider.
Pour cela, il fallut apprendre une leçon elle nous
dirigeâmes vers une mis en scène, en premier se
vieillir pour qu'elle nous prenne au sérieux , et en
second inventer une raison pour laquelle on voulais
s'en défaire.
Il était 8 heures du matin, le soleil se fut en route
vers le ciel. Le mois de juin allait se terminer et l'école
fut à la veille des grandes vacances. Nous arrivâmes
devant cette maison, aux volets clos. Nous ne prenions
garde a la beauté du parc que nous traversions.
Les volets clos nous intriquâmes plus tôt. Serait-elle
partie en vacances ? Nous tirâmes une cordelette qui
relit une clochette, le son résonna, puis une personne
au grand âge nous ouvra. Elle nous questionna sur la
raison de notre venu. La phrase clé répondit à notre
leçon. La grande porte de bois blanc s'ouvrit. Nous
suivîmes cette personne a la chevelure argenté. Un
31
long couloir puis, une grande pièce, carrelé de blancapparut avec au milieu une table recouverte d'une
toile cirée a la couleur du carrelage. Il n'y eut pas de
chaise, contre le mur, un canapé recouvert d'un drap
blanc fut le seul accessoire sur la table. La porte se
ferma derrière nous, dans un grincement striant.
L’espace dans lequel on se trouvaient devenait
lugubre, il y eut une source d’angoisse qui y rayonna.
Nous eûmes l'impression d’être observé par une
personne omniprésente. Une autre porte blanche,
donna sur une autre sortie. J'y prêtait attention comme
par crainte qu'une autre personne nous épiâmes puis
pour nous interpeller.
Les minutes sont timide quant elle parurent des
heures, et, nous prêtions attention au moindre détaille
et souffle venu d'un bruit quelconque. Sous la table
un appareille qui ressemblant a un aspirateur, s'y
trouva. La porte blanche qui nous inquiétât, s'ouvrit .
Une personne d'une quarantaine d’année se présentât.
Elle eut une coiffure coquette et porta des habits de
32
couleurs . Un tablier blanc les recouvrit jusqu'auxgenoux. Sa taille fine lui donna une figure divine, et,
son maquillage cacha la réalité de son âge. A la vue de
nous deux elle nous demande,
- Quelle est votre âge ?
Nous répétions notre leçon,
- Combien de temps es-tu déréglé ?
- Un mois et deux semaines Madame.
- Ce serait dommage de prendre l'aspirateur, je vais te
proposer une autre méthode pour que cette
créature disparaît. Je ne veux pas prendre le
risque de blesser une aussi jolie personne que toi.
Elle nous emmena dans un autre couloir pas bien
large où plusieurs portes si trouvèrent. Elle ouvrit
l'une d'elle, et là, une grande baignoire, de couleur
farine, l'occupa. Deux robinets permutèrent l'arrivée
de l'eau et dans le fond de cette cuve, un écoulement.
Quelle chose curieuse pour nous autre. La personne
laissa couler de l'eau en tournant un robinet sur la
droite et un autre sur la gauche. De l'eau bouillante
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en sortit puis une vapeur étouffante forma unehumidité sur les parois carrelé.
Je me mis a transpirer. La personne nous expliqua,
- En plongeant son corps dans une eau chauffée
au-dessus de la température humaine, le fétu peut
se détruire.
Une sonnerie retentit, elle nous laissa, certainement
qu'une autre personne eut besoin de ses services.
L'eau eut le niveau désiré, je fermai les robinets et l
'appela.Je ne criai pas et n'obtiens pas de réponse, je
me dirigeai vers la première pièce.
Une jeune femme, fut couchée sur la table dans une
position avec ses jambes écartées. Elle mordit sur un
morceau de tissus tout en gémissant. Un tuyau de
l'aspirateur fut entre ses jambes.
Je ne pus continuer de l'observer et partis retrouver
Sylvie. Elle eut entendu les gémissements et me
regarda d'un air ahurie. Dans nos pensées une
confusion régna.
Les minutes devinrent interminables. Enfin, elle
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revint les mains entouré de gants et sur sa blouseblanche des traces de sang. Entre temps, on eut vidé
la baignoire sans que Sylvie pris son bain.
- Avez vous pris votre bain?
- Oui madame.
Elle tendit une petite boite de carton vert a Sylvie
qui la placé dans sa poche.
- A combien ça nous revient madame ?
- Pour cette fois ci, rien. Ci ça n'a pas marché je
prendrais la seconde solution, là c'est 100 francs.
- Merci madame.
On ne demandâmes pas mieux que de la quitter car
rester dans cette maison ne nous charma nullement.
Une toute autre sortie nous guidait vers un jardin
bordée de roses. Au fond, une porte métallique
entourée de petits arbustes d'à peine deux mètres
laissaient épanouir leur ombre sur une grande partie
de l'herbe. La poignée de porte, en fer forgé, nous
permit d'en sortir, une fois dehors, plus de possibilité
d'y retourner. le claquement de la porte eut signe notre
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réflexion.Nous retrouvâmes un petit chemin qui serpente à
travers un parc. Le chant des oiseaux transforma ce
moments là en un instant glorieux. Une poubelle
nous retint et nos intentions, sans qu'une parole fut
dite, guida nos main pour nous débarrasser
de la boite verte. A partir de ce moment-là, l'avenir
nous apportera ce qu'il voudra, notre volonté de
poursuivre ce que l'on vint de commencer devint
plus important que ce que les autres veulent détruire.
La fatalité de la réalité nous servira pas de leçon
mais belle et bien d'une preuve que l'amour est fait
pour nous unir.
Sur un banc, nous parlâmes de notre avenir,
de l'enfant a naître et de l'action à suivre pour que la
suite sera une réussite. Avec nos 14 ans avoir un
enfant c'est cultiver un handicape pas facile a
résoudre. On eut parlé de tous cela auparavant mais,
après cette nouvelle décision nous dûmes encager un
autre objectif celui d'une vrais famille. Une solution
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nous vint à l'esprit ; dans le quartier voisin, habitaitun oncle paternel pas loin de se parc.
La cloche de l'église eut sommé 10 heures. Une
visite pouvait se concrétiser. L'argent n'ont consommé
nous eut servie à acheter un jolie bouquet de roses
rouge. Je sus que ma tante (Nina) aima cette couleur.
Une dignité illuminait notre démarche qui, à partir
de là nous rendu fière de notre engagement. Nous voilà
sur la route de de ce bidon ville que l'on appelait
(cité d'urgence) une route pas bien large, la traversait.
L'architecture des maisons construit a ras le sol ne
furent pas crépis sauf une exception celle de mon oncle.
Les portes d'entré se trouvèrent entre deux fenêtres sur
la façade avant. Un toit presque plat, leur servit de
couverture . 220 personnes occupèrent l'ensemble dans
cette cité d'urgence .Chaque famille transformait leurs
demeures selon les coutumes de leur origines et d'après
les moyens car beaucoup vinrent de différents pays du
monde. Leur avoir marquait l'engrais de leur pouvoir
car ce facteur visible les départagèrent. Un jardin ,
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pas bien grand, permettait de récolter quelques légumes.Il y régnait une mentalité européenne car 30% des
occupants vinrent l'Afrique. Pour y pénétrer, sans un
accorde des habitants, cela fut impossible. Pourtant,
une sympathie devenait le mot clé car l'entre aide fut
une source de bien être. Aucun représentant de la loi
n'eut tenté d'y mettre son pied , une meute
l’encerclerait. Un robinet d'eau potable pour chaque
maison ainsi que des toilettes. Je pus y pénétrer
comme bon me semble , cela me rendit fière. Je
connus bien ce quartier car plus d'une fois j'y eu passé
mes vacances. Souvent j’y emmenais Sylvie .
Mon oncle eut trois filles , toutes furent marier ,
comme ils n' eut de garçon il me considéra avec de
nombreux caprices.
Devant la porte de leur habitation, les fenêtres
baillèrent. Une odeur de cuisine nous attira .J'eus
toqué fortement a la porte, personne ne répondis. Je
pénètre comme un habitué dans cette pièce de
7 mètres sur 3 qui servit comme sale à manger et
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comme cuisine, une autre pièce de 4 m sur 4, dechambre a couché. Une porte donna sur le jardin ,
un petit recoin servit pour les toilettes. Une grande
table de bois, entourés de 6 chaises dépareillé
l'entouraient. Ce fut sur cette table là que l'on eu joué
à la belote.
- Poses les roses sur la table et prend place sur le
divan.
- Tante Nina,
- Tante Nina,
- Tante Nina,
Personne ne répondit ? Je sorts de l'habitation pour
trouver la voisine. Et, ma tante fut là , quelle
soulagement. A ma vue , elle bondit de joie et couru
vers moi pour me prendre dans ses bras. La joie de
nos retrouvailles fut réciproque. Elle m'embrassa,
je n'en revins pas.
- Je te réserve une surprise tante Nina
- Qu'as tu pour me faire plaisir Jean ?
- Tu verras tante Nina.
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On rentre dans la maison et, à la vue de Sylvie tanteNina exprime sa joie.
- Tu as emmené Sylvie et, des roses quelle bonheur.
Mais, Jean tu as beaucoup d'argent pour pouvoir
m’offrir cela ?
- Ce n'est pas tout, tante Nina, j'ai une autre surprise
- Dis le moi Jean je suis impatiente.
Je lui montre du doigt Sylvie.
- Tu n'as pas un mauvais goût Jean elle a tous les
atouts d'une jolie fille a marier, venez les deux je
fais de la chicoté.
- Je prépare la table tante Nina.
Je répartie les tasses ébréchés sur la table.
Tante Nina parla sans arrêt, notre présence la rendit
joueuse et heureuse. Dans ces récits il fut question
de tous deux juste au moment où vint l'instant de la
chicorée eu sa chaleur désiré. Le service put
commencer.
- Jean et Sylvie vous n'avez pas classe aujourd'hui ?
- On arrive a la porte des vacances, ce n'est pas
40
grave de manquer un jour.Elle était stricte sur les obligations.
- Il fait tellement beau tante Nina que la liberté des
champs nous attire, la saison a ces arguments.
- Voulez vous manger avec nous à midi ?
On se regarde et, nous hésitons de répondre car
nos parents ne savaient pas que nous étions chez
tante Nina.
- Voulez vous de la salade du jardin pour vos parents ?
- Merci ma tante Nina, c'est très gentille mais, nos
parents ne sont pas au courant de notre visite.
Nos parents furent contre notre union, mais
pas ma tante, elle nous encouragea. Je ne fus pas le
seul à être émerveillé par la beauté de Sylvie, ma
tante lui attribua toute son attention. Notre présence
permit de noyer son grand chagrin car toutes ses filles
ne vinrent plus à la maison. Il fallut la quitter,le temps
passa bien trop vite.
- Vous revenez me voir samedi, on parlera bien plus et
l'on mangera ensemble.
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Samedi venu nous prîmes le tram pour rejoindre
la ( cité d'urgence). Notre gaieté ressembla aux
sifflement des oiseaux qui, batifolèrent sans prendre
gare. Mon oncle nous attendit devant la porte. Sa fierté
le rendit souriant et, accueillant.
Tante Nina fut aussi éblouissante, sa joie
l'accompagna. Comme toujours, la bonne cuisinière
laissa échapper de sa cuisine l'odeur d'un plat
succulent. Surprise,elle nous obligea de laisser la
porte entre-ouverte pour que son odeur enivre le
voisinage. Quel égard envers nous, nous en somme
fière.Je découvris sur la table, une belle tarte aux
pommes. Son parfum rime avec envie et beauté car
mon regard, attiré par cette merveille me donna l'eau
a la bouche. Une nouvelle nappe, parsemée de fleurs ,
rendit honneur a la présentation. Je n'eus rien apporté,
vue que nous ne possédâmes rien, pas même les
deniers d'un lapin. Cette faiblesse me flagella. Malgré
cela les discutions allèrent bon train,mon oncle et ma
tante nous dévoilèrent comment ils se furent rencontré.
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Ces révélations nous enrichîmes mais, nous n’eûmespas encore trouvé comment allions nous leur annoncer
que Sylvie attendit un enfant ? Le courage et la
diplomatie manqua.
Nous les écoutâmes attentivement et a la fin de la description de leur rencontre, tante Nina nous donna
des recommandations pour éviter d'avoir un enfant.
Le moment de la période où il n'y eut pas de danger.
Ces remarques coupèrent cour a nos intentions de
dévoiler que nous eûmes fait un enfant. Notre attention
fut ébahie par la franchise qu'exprima tante Nina. Je
me fis des reproches pour ne point l'eut questionné plus
tôt. Mon regard frôle celui de Sylvie, comme pour tenter
de dévoiler ce que nous cachâmes cette faute qu'on vint
de commettre. Le visage de Sylvie rougit je m'abstiens de de
souffler un seul mot. La vérité humilia ma langue et j'eus
mes intentions amères.
La journée prit fin, nous repartîmes avec des pensées
remplit de sagesses et de bonheur. Promesse faite il fut
question de se revoir au plus tôt.
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Le comportement de Sylvie eut changé, elle portaune large ceinture autour de son ventre, de peur que
ses parents aperçurent la grosses. Elle me raconta que
pendant le sicle de ses règles, elle eut mima en
trempant des langes non utilisé. Sa taille fine, ne
laissa rien entrevoir. En septembre son corps eut
changé, sa poitrine augmenta et son ventre bien
embourré. Elle prit de plus en plus de poids,
personne ne s'en douta sauf une personne qui un jour nous fit une remarque,
- Sylvie tu as pris du poids n'est ce pas ?
- Qui tante Nina, c'est parce que nous mangions
souvent chez toi,
- Je ne pense pas, n'est ce Jean, tu dois en savoir
quelle chose,
- On a tenté de faire comme les grandes personnes,
tante Nina, avec amour et respect envers l'autre,
- Ce n'est pas du respect que vous avez distribué,
mais une affection sentimentale avec une réplique
pour votre avenir, y avez vous songé ?
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- Pas sur le moment mais maintenant que l'enfant esten route nous ferons notre possible pour l'élever.
- C'est bien mais, comment allez vous subvenir à vos
besoins, par quelle aide et avec quelle sous ?
- Je suis prêt à accepter n'importe quel travail pour
subvenir à notre future famille, je dois quitter l'école
de toute façon nous avons l'âge , 14 ans au mois de
février. Pour l'instant on possède une petite fortune
que l'on eut accumulée avec nos coups de mains
que nous donnèrent les personnes qu'ont aidâmes.
Pour construire une fortune il faut des petites
devisses de toutes sortes.
- C'est bien mes enfants mais, vos parents que dissent
ils?
- Ils ne sont pas au courant.
- Quant allez vous leur dire ? Avoir des enfants ce n'est
pas aussi simple que cela, il faut suivre plusieurs
règles. Avoir un travail stable, enregistrer l'enfant à
la commune obtenir un logement. Et à votre âge il
faut l'aide de personnes adulte car votre projet
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risque de tomber a l'eau et votre enfant d’êtreplacé dans un orphelinat. Le déclin risque de vous
entraîner vers la déprime qui engendrera
l'alcoolisme.
Oncle Pauli nous écouta attentivement. Je me
trouvai dans un esprit enchanteur prêt à déplacer les
montagnes pour réussir, mais, suite aux remarques
de tante Nina, mon espoirs et mes illusions
s'envolèrent. Je fixais l'oncle , d' un air questionnaire,
pourtant il n'eut soufflé un seul mot.J'attendis de lui
qu'il me donne la solution. Une réflexion de sa part
serait bien venu. Rien ne suivit, absolument rien, il
restât muet. De sa bouche sortit un morceau de bois
qu'il mâcha, continuellement. Puis, il le posa au
milieux de la table, tous les 3 nous gardions le silence.
- J'ai une solution pour trouver du travail, mon patron
a besoin de maçons, je lui feras part de tes intentions
et tu commenceras comme manœuvre.
- Je suis prêt a faire n'importe quel travail oncle Pauli.
- Au cas où vos parents ne voudrons plus vous prendre
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en charge, tante Nina et moi on est prêt à vousaccueillir.
- Un grand merci pour l'attention que vous nous
accordez.
Deux semaines plus tard, la maman de Sylvie remarqua sa grossesse. Une vilaine dispute éclatât.
C'est au soir que son père l’apprenti. La violence
morale exprime en mot vulgaire devint insupportable.
Sylvie eut pleuré toute la journée et surtout quant
son père lui eut dit
- tu es une fille de trottoir et l'enfant sera maudit tu
fais en sorte de partir d'ici je ne veux pas nourrir une
personne en plus, vas retrouve celui qui te la fait.
La voilà dans le couloir en pleure et sans un sans
un mouchoir. J'eus entendu les remarques je sortis
pour la retrouver. Mes parents se doutèrent de nos
amours et ne cherchèrent à comprendre. Pour eux,
notre situation devint le fruit de notre comportement
à nous de résoudre nos problèmes. Eux aussi fur secs
et directe, la porte qu'ils me proposèrent. Connurent
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ils l'engagement que nous eut proposé ma tante etmon oncle ?
Sans hésitation , nous voilà sur le chemin de la
cité d'urgence avec comme seul bagage un ensemble
de deux mains qui unirent trois éléments. Le tracé de
cette nouvelle route effaça toutes nos larmes et,
comme il fut prévu, plus de soucie a ce faire. Une
joie nous entoura car l'amour que nous partagea
oncle Pauli et tante Nina marqua le signe du vrais
bonheur. Je représentait le fils tant désiré ce fut là
raison qu'ils nous accordâmes leur soutient.
Notre installation se fit sans remord et
pour disposer d'un endroit pour dormir, une rideau
fut tiré avant de nous coucher. Cette première nuit
eut comme sensation du sentimentale aussi puisant
que tous nos ennuis s’oublièrent rien que de pouvoir
dormir ensemble pour la première fois.Une gène
limita nos intentions conjugales, par respect envers
ma tante et mon oncle.
Je suivis les recommandations de tante Nina
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a la lettre et partie demander les formulairesnécessaire a la mairie pour se marier. La secrétaire ,
d'un air étonné me regardait comme une bête curieuse
et dit ,
- Vous me paressez bien jeune pour vous marie ?
Je hochai les épaules en la regardant. Elle me
rajouta aucun dossier ni de réponse comme ci je lui
dus quelque chose. Cette amabilité me détourna,
aurai je commis une faute ?
- C'est au sujet des formulaires d'inscription pour
ce marier madame,
- Pour obtenir ces formulaires, vous devez
demander l'autorisation à vos parents cela jusqu’à
vos 21 ans. Je ne suis pas en mesure de vous les
délivrer, a moi que vos parents viennent signer cette
autorisation.
On a le droit de faire des enfants, mais pour ce
marier il faut l'autorisation des parents , mais dans
quel monde se trouve-t-on ? Je retournai dans la
cité d'urgence avec en tête le handicape de ne pouvoir
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se marier sans le consentement de nos parentsrespectifs.
Je terminais l'école en décembre et Sylvie eut
fini en octobre, vue sa grosses. Elle faiblit a chaque
mouvement.Tante Nina partagea tous son savoir
faire en lui apprenant plusieurs astuces en cuisine.
Pour les fêtes de fin d'année, tante Nina façonna
des séries de petits fourrés et gâteaux de toutes
sortes. Oncle Pauli rapporta du marché un joli
sapin fraîchement coupé. La sève collante coula sur
sa coupe. Il le plaça dans un seau remplit de sable
rougeâtre et humide au coin de la porte de l'entrée.
Dans notre entourage rayonna une onde bénéfique
de bonheur. Cette transformation fut ci grande que
tous nos soucis suivirent une autre courbe. Ce fut
la première fois que l'on fêta Noël .
La rudesse de l'hiver ne m’accordât nulle chance
pour trouver du travail. Pas de revenu, nous
restâmes à la charge de mon oncle et la bien vaillance
de ma tante. Les intempéries nous fragilisèrent. Au
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marché j’aidais les maréchaux pour obtenir quelqueslégumes déclassé. Dans notre ville se trouvât une
garnison. Sur la déchetterie ils y jetèrent leur
surplus, ou leurs boites de singes ( appellation pour
la viande de bœuf en boite) que je ramassais et
rapportais fièrement. Je trouvai des bouteilles vides
consigné que je rapporte. Quand au bois de
chauffage ce fut avec l'aide d'une petite poucettes
d'enfant que je le transporta. Je ne manquais aucune
occasion de ramasser ce qui put servir de
combustible. Ce ne fut pas une restreinte car mon
cœur y mit toute sa chaleur.
Le soleil réveilla la ruche du bien être car le travail
reprit et le pouvoir vivre aussi. J’accompagnai mon
l'oncle Pauli dans l’entreprise de maçonnerie. Mon
salaire de manœuvre, payé par semaine , rapporta
juste de quoi vivre. Je voulu partager mon revenu a
la tante Nina elle refusa.
J'eus prévu d'acheter un berceau et prévins la tante
ainsi que Sylvie. nous allâmes les trois en vile pour le
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choisir. A notre retour, tante Nina eut la tête bien basse,toutes les économies volatilisé ?Des soupons planèrent
par ci, par là , mais personne ne se dénonça. J'eus
décidé de donner notre argent et nous oubliâmes le
berceau.
Sylvie approcha du 9 em mois, elle n'eut point de
problème de santé. Tante Nina la soulagea le plus
possible. Puis vient ce jour précis où elle ressentit des
contractions. Sylvie perdit ses eaux, tante Nina eut pris
ses dispositions. Avec l'aide de la voisine elles
préparèrent le futur événement. Je me trouvai avec
l'oncle dans la maison de la voisine. L'impatience tint
une horloge, celle qui fit durer les minutes.
Puis vient le moment où notre instabilité eut enfin la
possibilité de retourner dans notre chez nous. Ma
curiosité fut réconforté par le sourire de Sylvie et de
l'enfant qu'elle tient entre ses mains. Personne ne
demanda le sexe de l'enfant quant mon oncle criât
de joie,
- Mais c'est un garçon.
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Les personnes qui se trouvèrent autour de nous,félicite Sylvie. Tante Nina demanda
- Quel prénom allez vous lui donner ?
- C'est Claude.
Fière et reconnaissable je remercie Dieu de ce bien
tombé du ciel.
Tante Nina fut a cheval sur les règlements qu'il
fallut suivre a la lettre, elle m'envoya enregistrer
Claude a la marie. Je parti précisément à la marie
pour me présenter comme heureux papa et
enregistrer l'enfant dans cet immeuble officiel. La
joie dans le cœur et une fierté digne d'un père,
j'accumulais toutes les sagesses, je me présenta a la
personne du bureau d'enregistrement, elle m'eut
reconnu. Cela réconforte mais en même temps me
donna un air de vainqueur, fière de la demande
que je vins faire.
- Bonjour madame, c'est pour obtenir un
formulaire d'enregistrement de nouveau née,
- Bonjour jeune homme, mais, vous n'étiez pas
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revenu avec la permission des parents pour lemariage voila que vous venez pour obtenir
l'enregistrement de nouveau née ?
- Madame, devrais-je revenir avec mes parents ?
- Non, j'enregistre l'enfant et, il répondra à quel
nom et prénom ?
nom et prénom ?
- Droit Claude madame.
Elle me tendit un formulaire que je remplis sans hésitation. De retour dans la cité, je raconta mon
entrevu et mes expressions en rajoutant,
- On peut, vis-a-vis de la loi, faire des enfants et
en recevoir à tout âge sans tenir compte de la
situation financière. Pour ce marier avant 21 ans
il faut l'avis des parents,eux qui nous ont jeté à
la rue.
L'année s'écoula vite, je remarquais
Claude qui sourit toujours en évoluant chaque jour
un peu plus. Grandir et évoluer fait partie de notre
instruction. Chaque nouvelle démarche obtient la
marque de sagesses.
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L'hiver approcha avec comme ses habitudes,de la grisaille, du froid, de la neige et un manque a
gagner. La pauvreté fragilisa notre moral. Le petit
Claude eut grandi tout en expriment un sourire
radieux et réconfortant. Je participai au besoins
financier, mais malgré toute notre énergie commune,
des points bas, il y en eut plus que l'on pense. Le
deuxième Noël avec ma tente et mon oncle brilla
de pleine joie. Avec peu on peu rayonner en
réveillonnant.
La chaleur des beaux jours printaniers permit de
reprendre le travail. La vie retrouvais son roulement
avec en prime des chantiers fructueux. Les nouvelles
constructions sortirent de terre comme des
champignons. je me débrouillais bien avec tous le
savoir faire que l'oncle Pauli m'eut appris. Sylvie
devint attirante par sa beauté et sa finesse. Les jeunes
de mon âge l'effleuraient dans l’espoir de pouvoir
la draguer. Dans la cité, les ont dit dirent que c'est
une fille de Nina et Pauli. Malgré la relance, du
dans des projets mal intentionné. Un personnage
de la cité, a l'allure chique et attirant, vint souvent
faire des éloges a Sylvie qui, les refusa sans oui dire.
une fille de Nina et Pauli. Malgré la relance, du
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travail, certains trouvèrent la ressource financièredans des projets mal intentionné. Un personnage
de la cité, a l'allure chique et attirant, vint souvent
faire des éloges a Sylvie qui, les refusa sans oui dire.
Tante Nina tomba gravement malade, Une
hospitalisation d'urgence fut ordonnée par le
médecin de famille. La guérison ne trouva pas sa
raison d'être et sous son sourire de bonne mère de
famille qu'elle nous eut caché durant des années
ses douleurs.
C'est en fin de semaine que nous la retrouvâmes
avec ses trois filles. J'eus remarqué que les filles
vinrent seul, jamais leur compagnon ni leurs enfants
les accompagnèrent. Tante Nina s’inquiéta pour
notre santé a tous mais ne nous parla jamais de la
sienne.
Ce jour pressenti sonna le glas, ce fut une de ses filles qui nous eut prévenu; dans la cité sa
disparition marqua une profonde peine commune.
Fin du premier chapitre
suite au 2/8
Le roman est en cour de construction,
certaines fautes seront corrigées .
Pour qu'une suite suive, il faut des personnes
intéressé, pour cela, visité le blog et distribuez le.
Plus il y a de lecteurs plus il y aurait de suite.
Merci a ceux qui me soutiennent.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
écrit le 26 02 2019, remis a jour le 26 10 2019.
écrit le 26 02 2019, remis a jour le 26 10 2019.
A ce jour, 26 02 2019, 109 675 lecteurs.
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