8/8 Prendre le droit de juger ( roman sentimental n 8/8 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
167
l'augmentation des jours me permit, par beau temps
d'apprécier la vie en plein air. Cela me changea du
rythme de la ville et l'agréable c'eût se marier avec le
bien être. Nous Habitâmes dans un lotissement et une
vie semblable a celle de la cité d'urgence nous entoura
mais, dans un luxe bien plus raisonnable. Nous eûmes
baptisé la maison de ( Nina et Pauli). Nous passâmes
nos première vacances dans cette habitation sans
chercher à trouver meilleur autre part. Une piscine
gonflable fut placé sur le gazon, notre mer a nous. La
joie des enfants nous enlaça aussi bien que ces belles
journées eurent passé trop vite et le travail reprit.
168
Comme dans le passé notre petite pause nousentraîna vers des aventures de l'un ou de l'autre.
Jérémie parla de drague sans relâche comme un
tombeur de fille. Comme d'habitude je restai jusqu'à
la fin et lui,
- Jérémie ne raconte pas de sornettes, tu n'as pas
besoin de te mettre en valeur avec tes histoires
inventés, personne ne crois tes salades cela
te ridiculise.
Son visage se changea et il recommença par ronger
ses ongles. Je vins de le contrarier cela tu le blesser ?
Ce garçon a toutes les qualités du travailleur parfait,
par sa ponctualité et son professionnalisme. Je ne
trouve point de reproche pourtant il fait cela
certainement par complexe ?
l'hiver approcha, la petite Claudine fit ses
premiers pas. Les discutions durant la pause-café
continuèrent. Jérémie posséda une voiture, une R5
bleue. Pour épater son voisinage il se laissa pousser
169
les cheveux en les laissant en bataille. Serai ce lanouvelle vaque pour épater la galerie ? L'acquisition
de son véhicule augmenta ces dépenses et un petit
manque a gagner vient le déstabiliser. Cette faiblesse
se marqua par son comportement. Il ne mangea plus
comme avant et se priva de pas mal d'habitude. Je
n'en tiens pas compte et ne filtrai mon attention. Mais
un jour, j'eus remarqué une anomalie sur son
comportement. Sa nervosité me laissa songeur, il n'eut
rien prononcé de travers pour quelle raison se
comportait il de cette sorte ? J'acquis une attention
questionneur, peut être par curiosité ? Oui mais
comment ma curiosité pourra telle se ravitailler.
Je tins de lui poser des questions,
- Tu n'es pas bien dans ta peau Jérémie qu'as-tu à
te reprocher, as tu des problèmes de finance ?
- Oui, je me suis fourré dans des crédits que je
n'arrive a gérer.
Donc voilà la source de ses problèmes, ce sont les
finances qui le déstabilise. J'aimerai l'aider par une
170
petite somme d'argent, mais, j'ai trois enfants et il ale même revenu que moi a lui tout seul? Pour quelle
raison n'arrive il à finir les fins de mois? Je lui
proposa quelques conseils pour gérer ses fins de mois,
- Jérémie tente de trouver une concubine qui t'est
fidèle car changer souvent de partenaire ce n'est
pas bon. Ci tu en trouve une qui a une voiture ça
te soulagerai d'une dépense et de combler tes
crédits. Tu te sentira plus présentable et plus
économie.
Il suivie mes conseils, certainement qu'il eut trouvé
une chaussure à son pied,ce fut ce qu'il me fit
comprendre quelques jours plus tard.
Dans mon entourage familial tous fonctionna à
merveille. Les enfants me cachèrent , derrière leur
gentillesses un service qui dépendra de ma volonté.
- Papa , me soufflait Claude, on aimerait un chien
dans la maison
- Je demanderai l'avis de votre maman je n'ai rien
171
contre.Je ne trouvai de contradiction avec Sylvie et on leur
accordâmes cette demande.
- Oui mais, où allons nous trouver un chien les
enfants?
Cette question les rendit heureux car entreprendre
les recherches d'un chien ça c'est du sérieux.
Claude eu plus d'un tour dans son sac car il fut le
premier à proposer,
- Mais papa à la SPA, là où ils recueille des animaux
abandonné.
- C'est bon les enfants en route pour la recherche , le
compte a rebours fut lancé pour samedi.
Ce samedi là nous partîmes au recueille des animaux
abandonné. Ce jour-là la faim ne trouva preneur et les
enfants parlèrent de la couleur du chien qu'ils
voulurent acquérir.
Jean dit,
- C'est un petit chien blanc.
Claude fut plus précis,
172
- J'aimerai un berger Allemand.Pour Sylvie,
- Un animal propre et obéissant.
La petite Claudine ne trouva de commentaire elle ne
sut point de quelle question nous allâmes engager. La
joie sonna dans le coeur de toute la famille et la
traversé de la ville nous encouragea. Nous arrivâmes
devant la SPA où nous stationnâmes notre véhicule.
Pour parvenir jusqu'au bureau, nous empruntâmes une
grande allée bordée de rosiers jaune. Les hauts arbres
commencèrent par se dégarnir de leur feuilles qui pour
un dernier envole moururent au sol. Un vent froid
souffla en produisant un sifflement aigu. Aux pieds des
rosiers de petit tas de fumier furent répartie.
L'approche de l'arrière saison s'annonça. Nous
parcourûmes une bonne centaine de mètres avant
d'arriver aux cages où se trouvèrent les chiens.
Notre venu fut repéré par l'ensemble des chiens qui
aboyèrent sans relâche. Devant les boxes nos regards
se croisèrent car le chois fut impressionnant point de
173
vue couleurs, grandeurs ou races. Les taillesdifférèrent, cette attention plaça les grands dans des
boxes adaptés, mais leur espace ne dépassa pas deux
mètres carré.
Nos garçons restèrent songeurs devant cette
multitude de brave bêtes qui nous observèrent et
aboyèrent pour que nous leur prêtions attention.
Devant chaque boxe, l'animal nous demanda grâce
par sa queue qu'il gesticula sans relâche. Les deux
garçons restèrent collé devant chaque cage. Ils ne
surent se décider et une mésentente créât une
dispute. Je reconnu que même moi j'eus du mal a
décider. Sylvie fut sollicité et là, elle aussi eut du mal
a décider. Nous primes contacte avec le responsable
pour qu'il puisse nous conseiller ? Avant de nous
présenter un chien qui pourrait nous convenir, il nous
expliqua que des vagues d'abandons suivent le cour des
saisons. La plus grande partie ce fut pendant la période
d'été. Nous le suivions tout en écoutant son discoure.
Voilà que dans un coin d'une cage, tout recoquille sur
174
lui même, une petit chien garda de se faire remarquer.En le regardant je me suis dis qu'il dut penser cela
( Ils ne voudront pas de moi car je suis trots lai, cela
ne vaux pas la peine que je me faits remarquer.)
Sylvie le vie aussi et le regarda d'un air de pitié.
Notre attention ne le fit point bouger. Il restât blottie
dans son coin attaché a sa tristesse. Ses yeux
reluisaient un éclat de pitié, ou plus tôt d'hypnotisme
animal. Ne serai se pas une feinte de sa part ?
Toujours fut il qu'une tristesse nous envahit et toute
la famille restât bouche bée devant l'animal. Au bout
de deux minutes, il lev sa tête pour nous observer l'un
après l'autre.Jean prononça en premier un non,
- Bobi
Et le voilà bâtisse car, au son de se non il se leva avec
hâte et gambadait sans relâche.
Après l'avoir lavée et séché, l'odeur du chenil eut
disparu. Son poil brin redevient soyeux et brillant.
l'animal remarqua l'importance que l'on lui accorda
car il se laissa faire sans montrer de signe de révolte.
175
Se nouveau venu devient la pièce maîtresse de notreencadrement familiale. Notre voisinage le respecta
comme nous tous. Avec Bobi, les journée passèrent
bien vite. Sa propreté fut exemplaire et Sylvie
l'accepta avec fierté. Vous allez me demander sa
grandeur, il ne dépassa pas le genou de Sylvie quant
a son poile, noir et blanc, fut bouclé comme un mouton.
Sylvie eut réussi a lui faire rapporter le journal et le
courrier.
Je fut très attentif aux informations régional, qui,
paraissaient dans le journal local. Certains faits me
choquèrent profondément surtout ci ce fut un jeune
enfant retrouvé assassiné. Ce crime eut choqué un
grand nombre d'entre nous car on en parla durant les
pauses café. le jour suivant, le meurtrie fut trouvé.
Les détailles de l'acharnement nous bouleversèrent
tous. Nous tentâmes de trouver le pourquoi de son
acte ? De ce raisonnement, nous lui souhaitâmes
plusieurs sorte de peines a cette homme. Chacun
176
de nous eut sa façon différente d'imposer unecondamnation.
Au fil des jours, cette histoire s'oublia.
Un collègue de travail nous proposa de faire une
projection de films pornographique dans la salle de jeux
de mon garage. Avec la technique d'un super 8 que
la projection sur l'écran blanc alla nous honorer la
soirée.
A l'époque cette projection ne fut pas autorisé et les
films interdis a la vente. Par l'intermédiaire d'un
chauffeur allant de temps a autre en Suède nous
options de ces films là. Tous les collègue de travail
vinrent se retrouver accompagné de leur concubine.
Un seul n'eut de compagne, ce fut Jérémie. On lâcha
de nombreuses réflexions qui partirent en partie de
rigolade. la bonne humeur alla de paire avec une
soirée bien arrosé.
Au milieux de la nuit, de ce samedi là, le groupe
se disloqua et la nuit prit raison de notre fatigue.
Le lundi suivant de multiples anecdotes
177
divulguèrent sur cette soirée là.Dans la semaine les journaux dénoncèrent qu'une
fillette d'environ dix ans fut enlevé par une personne.
Je viens de lire toutes les données et restais accroché
au signalement d'une des personnes recherché. Elle
eut des ressemblance avec Jérémie. Mon étonnement
me fit réfléchir plus d'une fois. Me tromperai je ? Je
gardai mes doutes et fit comme ci rein ne fut.
Mais mon instinct continua de douter de lui ; de ce
fait j'observai son comportement. Il eut prit les même
réactions que quant il nous eut raconter des vannes
sur les rencontres d'autres femmes. Il rongea ses
ongles et fuma une cigarette l'une après l'autre et
parla en saccageant ses mots. Que dus je faire, mes
accusations me mirent en doute. Je ne sus qui
pourrait me conseiller.
Les journaux précisèrent que l'enfant n'eut subit
aucun sévices mais que la personne l'eut entraîné
dans les sou-bois puis l'eut délaissé sur un
parking d'un super marché d'une ville voisine. La
178
fillette ne sut plus où elle se trouva.Pendant la pause nous discutâmes de cette acte
et me permis de poser quelques questions sur ce fait.
Les personnes trouvèrent cette acte pas bien net. Je
me tournai vers Jérémie et lui demandai ce qu'il pensa
personnellement sur cette enlèvement, et je lui dit,
- Ne devrait il être pas être punie d'emprisonnement ?
Il hochât de la tête sans donner de réponse. D'un air
étonne il me regarda sans me quitter des yeux.Un
instant de silence eut prit possession de notre discoure
et la pause prit fin plus personne ne dit un mot.
Il n'y eut plus personne autour de nous, ce fut a partir
de là que je remarquai que Jérémie entreprit des
comportements hors du commun. Son comportement
nerveux le contrariait, il rongea ses ongles sans arrêt
en même temps qu'il fumait. Il ne m'accorda plus la
parole , je continua mon travail en l'ignorant. Je viens
de comprendre que cette personne fut en manque
d'équilibre sentimentale. Un besoin que l'instinct
provoque chez les timides. Je laissai passer quelques
179
jours sans parler avec lui. Pour moi, ce fut uncollègue de travail qui partagea mon quotidien. Je ne
pus le dénoncer a la police, qui sais, je me suis
certainement trompé.
J'effaçai mes doutes
travail qui fut seule a la recherche d'une ame soeur.
N'est ce pas une chaussure a son pied ? Toujours fut
il qu'il accepta mes propositions. Je tenta d'organiser
une rencontre. Durant ce laps de temps, sa nervosité
augmenta comme au jour où je lu questionné.
Le bouleversement l'effraya certainement qu'un
obstacle handicapa, celui de sa timidité. Dans le fond
de ses pensées, une force e guida vers mes propositions.
Aurait il peur de renoncer car la vérité risqua telle
d'être découverte ? Je me suis laissé entraîné par mes
suppositions aurai je tord ou raison ?
Comme prévu je lui présenta la personne puis les
quittai. Ma satisfaction d'avoir fait une bonne action
me rendit heureux. Je fut en pleine forme pour retrouver
ma famille.
180
Bobi couru vers moi avec des happements deretrouvailles, et je me trouvai a plus de 200 mètres de
la maison. Il eut sauté la balustrade sans hésitation.
Malgré sa petite grandeur, il sauta jusqu'à ma figure
pour tenter de me lécher. Le son de son aboiement fut
charmeur. Je me réjoui de retrouvé tous mon entourage
et la soirée se passa a merveille.
Le lendemain, après notre pause habituelle je pris
contacte avec Jérémie pour tirer conclusion de la soirée
suite a sa rencontre. Pour lui,ce fut une rencontre
parfaite. J'en fut ravi et résulta que mes doutes n'ont
plus besoin d’être en éveille.
Je l'invita, en fin de semaine pour passer a la maison
avec son amie. Il ne refusa point et vient un samedi. La
sonnerie retentit, le chien quitta rapidement sa place
en aboyant méchamment , ce qu'il ne fit jamais. Se
serait il fait piqué par une vilaine mouche? En ouvrant
la porte, Bobi montra même ses dents. Je fut obliger de
l'enfermer dans la sale de jeux dans la cave. La soirée
se passa normalement mais, ne dura pas bien
181
longtemps. Normal pour des personnes qui vinrent dese rencontrer.
Le déroulement de la vie continua comme
auparavant. Dans le cœur de nos enfants, les préparatifs
des fêtes de fin d'année prirent une importance
cruciale. Sylvie eut de l'aide car même Claudine y prêta
son attention. Elle ne comprit pas grand chose a tout
ce remue ménage mais sut impertinemment qu'une
curiosité attisait ces préparations. Même le chien Bobi
ressentit un événement. La situation nous encouragea
tous car la prime de tout cela, c'est le partage de
l'émerveillement. Le sapin ornât notre séjour avec une
multitude de paquets de toutes sorte.
Cette année là nous déridâmes de terminer l'année
dans la salle de jeux de mes enfants avec mes collègues
de travail. La venue de se régiment m'obligea
d'enfermer le chien dans une pièce du premier. On le
fêta avec des chants, des jeux et des danses de toute
sortes.
182
Ce janvier là, le plaisir d'admirer les démarches
de Claudine nous gratifia de bonheur. Notre fierté fut
honoré autant que les actions du chien, qui en firent
un jeux en se déplaçant entre ses jambes, qui ne vient
point a la déstabiliser. Il arriva rarement qu'une
chute la fit tomber mais quant elle tomba, elle se releva
sans pleurer et sourit de plus belle.
A l'extérieur une blancheur immaculé recouvra le
sol. Les enfants le découvrirent un dimanche matin.
Leur joie fut aussi grande que l’épaisseur de la neige,
50 cm. Ils y jouirent toute la journée jusqu'au soir sans
trouver de repos. J'eus participé a leur jeux et les
aidais a façonner des bonshommes de neige, il en
fallait un pour chaque enfant plus un quatrième pour
le chien avec sa forme.
La neige nous quitta son forme d'eau, en gonflant
les rivières et en passant sous les ponts. Il ne resta
que quelques traces blanche sur les sommets Vosgiens.
La poussée des bourgeons transforma les arbres en les
réveillant. La porte du printemps ouvras a pleine dent.
183
La petite Claudine eut prit l’habitude de guetterimpatiemment mon arrivé avec le chien, voila deux
fidèles admirateurs. les personnes qui vinrent nous
rendre visite, dirent cela.
- Mais, vos enfants grandissent a vue d'oeil.
Les journées empiétèrent sur les nuits, le
rendez-vous de l'été ne nous eut pas oublié, et les
vacances furent proche. Chez mon employeur une
petite fête fut envisagé pour couronner l'année de
travail. IL fut convenu qu'un repas fut pris en
plein air. Toute cette organisation dépendit de la
volonté de plusieurs d'entre nous.Comme notre entente
fut parfaite il fut question d’organiser cette
fête un dimanche après midi. Les femmes furent i
invité mais sans les enfants. Je me sentais pas bien
sans mes enfants que garda ma sœur. Dans cette petite
fête, de nombreuses personnes furent présente. Tout le
groupe de la pause café et d'autre collègues du travail
qui ne firent pas partie de notre magasin . Le soleil
participa a cette journée. Quant a l'environnement,
184
il se situa au pied des Vosges dans la lisière d'une foretde sapins gigantesque. Le bruit d'une cascade,qui
rejoignit un petit lac a l'eau clair, résonna avec le
chants des coqs de bruyère et des coucous. La
préparation du buffet campagnard épousa la
beauté sauvage du paysage. Toutes les personnes
présente furent enchanté.
cette journée ci bien empaqueté se déroula trots
vite malgré que notre inquiétude sans nos enfants
nous fragilisa. Il y eut cette mésentente entre
Jérémie et sa compagne qu'il fréquenta. Je n'en
sus pas les raisons et fut choqué par leur brusque
départ.
Notre chez sois s'adaptait à toutes les saisons
mêmes nos vacances ne nous lacère du bonheur qui
nous y cultivâmes. Dans notre piscine d'un diamètre
de 3 mètre et de 70 cm de profond, nous y passion
de bon moment. Jean nous fit voir comment il
nagea et Claude nous ramena des copains pour ci
baigner. Ma sœur vint de temps a autre. Nous
185
mangeâmes souvent sur la terrasse a l'air libre.Hélas ces moments passèrent bien vite et la reprise
des habitudes reprit.
A la pause café de nombreuses histoires se
dévoilèrent. Chacun se venta de son séjour, certains
furent en bord de plage et d'autre en montagne.Ceux
qui racontèrent les plaisirs de la plage, me rappela
les bruits des vagues que le vent nous fit vivre dans
le coquillage de notre enfance. Il y eut beaucoup
d'histoires a partager que le temps autorisé fut
dépassé. Chacun y posa une griffe, pas tout a fait,
une personne ne parla un seul mot durant nos
pauses. Jérémie resta terré dans un coin sans parler
ni se faire remarquer. Le résumé de nos vacances
n'eut que du positif seul un négatif qui ne prononça de
satisfaction.
Il fallut un bon mois pour que nos aventures
s'oublièrent. Les écoles eurent reprit et de nouvelles
pièces rentraient dans l'inventaire du magasin. Les
actualités courante prirent possession de notre attention.
186
Le fait d'en parler nous lassèrent songeur. La réalité desinformations furent faussé voir même arrangé pour que
la vérité s’efface. Cette tendance a comme objectif de
mettre en valeur des actes qui rapportent
publicitairement. Ce politiquement incorrecte nous
mit a réfléchir sur la juste valeur de l'enquête. Nous
formions un jury qui se permit de juger les faits non
élucidé. Notre imagination tenta de découvrir la
faille de l'histoire. Dans cette sorte de jeux, je
découvris que je possédai un sens plus avancé que mes
collègues. J'arrivai a savoir a l'avance les raisons
d'un crime et surtout le pourquoi de l'auteur. Je révèle
que ce fut la nuit, dans mon sommeille,que des flaches
de supposition me guidèrent droit au but. Je devint de
plus en plus sensible sur des faits évoqué. Au début cela
me plus mais a force de résoudre ces actes, un malhetre
envahit mes pensées. Plus je découvris et plus de film
prirent naissance. Pour vider mes pensées trouble, je
me dirigeai vers l'entourage de ma famille qui perdit un
peu de son importance.
187
Claudine se tint bien sur ses jambes et les deuxgarçons apprirent bien leur leçons. Il fallut absolument
que l'importance de ma famille prenne le dessus. le
chien Bobi fait part de l'encadrement.
Au travail le cheminement de la vie nous entraîna
avec les faits de la région. Une nouvelle nous
bouleversa tous et moi personnellement car une
jeune femme disparu un matin de bonheur sur le chemin
de son travail. L’affaire fut blizzard, et mystérieuse
a la fois. Comme il agissait d'une personne majeur les
informations ne figurèrent pas en première page des
journaux. Il fut même question de sa voiture qui elle
aussi eut disparu. Un incroyable pressentiment
s'empara de mes présomptions. Je devient sensible sur
les détailles de cette information. Mes pensées ne me
laissèrent plus en paix et les nuits devinrent
interminable. Je n'eus rien a faire de cette histoire la,
mais que m'arrive il ?
Les informations des journées suivante indiquèrent
que la voiture fut retrouvé dans un chemin tout autre
188
que celui qui dut la conduire a son lieu detravail, en plus de cela elle eut brûlé. Le mystère
s’amplifia sur sa disparition. Nous fument tous stupéfié.
Dans notre groupe, Jérémie me parut perturbé par
cette histoire car ses réactions nerveuses devinrent
incontrôlable. Sa réaction réveilla des doutes..
Les journées passèrent et la nervosité de Jérémie
ne s'atténua point. La victime resta introuvable.
Les recherches continuèrent , voilà 10 journées qui
se sont écoulé. Les réactions suspect de mon collègue
de travail diminuèrent petit a petit. L'oublie de cette
histoire suivit les cour des jours en laissant un calme
médiatique. Je me suis certainement engagé sur une
fausse piste. Je m'engagea sur aucune supposition et
m’arrêta de jouer le policier. Mes nuits redevinrent
normal .
Ce vendredi là, comme de coutume la petite
Claudine courut a ma rencontre. Je me trouvai sur la
première marche de l'escalier et tenta de la rattraper
par les deux bras. Ce fut une petite mis en scène que
l'on répéta souvent. Notre synchronisation ne tourna
189
aussi juste qu'une horloge je ne sus la rattraper qued'une main. Son déséquilibre fit basculer tout le
poids de son corps d'un coté. Suivi des pleurs d'enfants,
mes sentiments se bouleversèrent, je me suis senti
responsable. Ma peur me culpabilisa, j'eus peur qu'elle
eut un bras fracturé ou une épaule arraché. Ses
douleurs n’arrêtèrent point. C'est une horrible chose
que d'entendre les gémissement d'un enfant. Nous
résidâmes de l’emmener a l’Hôpital. Le personnel
soignants détecta un déchirement musculaire.
Sur le retour je la sera contre moi comme le
jour de sa naissance cela lui fit le plus grand bien car
elle s'endormit. Notre arrivé a la maison mit en
émois tout le restant de la famille aussi que le chien
qui renifla le pansement. Je n'eus pas faim se soir là .
Le lendemain a mon retour de travail, la petite
Claudine me fit pitié et nous n’engagions plus de
rattrapage artistique sur l'escalier
Le lundi, a la pause café j'eus raconté mon
histoires qui eut plus d’importance que les nouvelles
190
du journal régional ,que je n'eus pas lu ce jourlà. Le lendemain, nous prêtâmes attention a
l'information en première page qui précisa,
( la jeune femme disparu, voilà deux mois, vint d’être
retrouvé dans un étang situé a 21 km du lieu
où fut trouvé sa voiture incendier. Le corps a moitié
dévêtu fut reconnaissable car la fraîcheur de l'eau
l'eut conservé. Des traces de strangulation , du a
un bas,dénonçait la manière qu'elle fut assassiné.)
Ce mardi là, Jérémie ne se trouva pas avec nous, il
eut un arrêt de maladie pour une période de 10 jours.
Mes pensées cogitèrent des doutes. Dans mes
inventaires je commis plusieurs erreurs. Ma
perturbation fut du a une peur de trouver la vérité
des faits car chaque indice trace la route qui marque
celui d'un crime. Je fus persuadé que Jérémie fut les
suspect. Mais, les doutes ne,sont pas des preuves donc,
je ne peux en aucun cas le dénoncer a qui que se
sois. Je résulte que son retour me définira ci
effectivement son comportement eut changé.
191
( La réaction que provoque la peur se remarque sur lecomportement inhabituel de la personne soupçonné.)
Noël approcha, le retour du partage de bonheur
s’annonça merveilleusement tous les préparatifs allèrent
bon train et le reflet se lissa dans le fond de nos cœur.
Cette semaine là une triste nouvelle nous perturba, le père
de Sylvie nous quitta, une maladie du foie. Ce fut la sœur
de Sylvie qui vint nous l’annoncer. Dans ses explications
elle nous fit comprendre que ce fut le père qui interdis
que nous rencontrâmes nos familles. La sincérité des
retrouvailles eut comme toile de fond, une histoire
d'argent. Il fut question,de les soulager pour financer
les frais d'enterrement, comme nous somme de
pauvre riche. Nous nous engageâmes a y participer
mais gardions en mémoire cette note de pauvre riche.
Les vents dominant emportèrent ses notes sans
désagrément. Mais, cette semaine la fut maussade et
triste. le jour de l'enterrement le regard de la maman
de Sylvie nous scruta sous un angle choquant et
192
méprisant. Le maquillage de Sylvie se mélangea avecses larmes, son maquillage ne fut plus parfait comme
son cœur qui soufrait. Sa voix déréglé ne guida vers
notre maison où nos enfants nous attendirent .
Sur le retour aucune parole n'eut a trouver réception.
Devant la maison Bobi nous fit la fête en nous
saluant comme de coutume mais n’insista point a nous
flatter car il eut comprit que quelque chose nous eut
figé. Les fêtes de fin d'année se passèrent normalement
mais derrière un masque de tristesse se cacha une
faiblesse, et Sylvie ne fut plus la même.
Deux journées durant Sylvie médita et laissa ses
pensées suivre le cheminement du regret et du deuil.
Je fit avec les enfants le plus possible pour
limiter ce manque et réussi a tenir la barre jusqu'au
nouveau départ.
Le temps sec et froid renferma les humains dans leur
habitation comme les animaux sauvage dans leur
tanière quant au malheureux ils se glissèrent dans
leur pensées. Ce fut cette dernière ligne qui risqua
193
d’entraîner Sylvie dans cette lassitude. Il fallu trouverun remède qui gommerait cette peine. Je la résonnai
tant bien que mal pour que le rythme habituel retrouve
sa raison d’être.
La tristesse c'est la pourriture qui prend possession
d'un fruit mur et qui le détruit petit a petit. Seul l'oubli
peut irradier cette maladie et l'envie de suivre un
avenir heureux.
Les enfants représentèrent le renouveau de leur
maman et sa vitalité qui les chérissent. A partir de là
je ressenti que notre bonheur puisse retrouver sa voie.
194
Comme de coutume nous nous retrouvâmes
a la pause café. Des anecdotes venait de toute par.
Moi, je ne souffla mot de quoi que ce sois. Toute
l'équipe fut au complet. La foule se dissipa et, je me
trouvai seul avec Jérémie. Ce fut lui qui entreprit une
conversation. J'appris qu'il eut passé ses fêtes de
fin d'année avec ses parents en Bretagne. Cela eut
fait 6 ans qu'il les eut quitté sans les revoir. Une
vrais fête et il n’arrêta pas d'en parler. Ce qui me
sembla curieux, fut de connaître la raison pour
laquelle il ne les eut revu plus tôt ? Il me répondit
que suite a une excommunication il n'eut droit de
retrouver sa région la Bretagne.
Conclusion faite, il eut commis une faute, mais,
laquelle ?
Mes illusions accumulèrent un nouveau points de
référence qui le plaça dans les suspects. Cette
révélation transforma mes sentiments, pas de doute,
il fallu que je la partage avec autrui. Qui pourrai je
consulter, pour me soulager ? Sylvie ne fut pas en
195
pleine forme, je l’exclue, il faut que je confie cela aune personne confiante. Qui autour de moi, put
accepter mes présomptions ? Il y a la police qui me
serai du plus grand secours, mais, comme je n'ai de
preuve, mon témoignage serai superflu elle la
placera comme plainte. Je rechercha autre par, une
sortie en somme a qui je pus confier mes suppositions.
La diplomatie d'entamer une conversation sur ce
sujet dut être bien fondé et équilibré. Je pris mon
assisse auprès d'un magasinier de l'âge de mon père.
Très minutieux , et peut bavard, il correspondit a ma
confiance. J'eus échangé quelques paroles dans le
passé. Ses conclusions égalisèrent avec son savoir faire.
Sa sagesse correspondit au niveau intellectuelle que
j'eus recherché. Ma première question fut de lui
demander ce qu'il pensa de Jérémie. La réponse
ressembla a l'image que nous partageâmes,
( Jérémie est un vantard et un instable.) .
Donc je pus placer mes suppositions sur cet homme
là, cela soulagera ma conscience. J'eus gardé la page
196
du journal où la description du suspect fut évoquéavec un portrait robot. J'eus démarré l'histoire par
le départ. Il lut les données du journal puis me
fit comprendre que mes présomptions sont stupide
malgré que le portait robot eut un air de ressemblance.
Il déculpabilisa Jérémie .
Je vins de commettre une grande faute, je n'eus jamais
dut rapporter mon histoire a une autre personne.
Me voilà sur une onde pervers. Ou, aurait il dit
cela pour se protéger ? Depuis cette révélation il
m’évitât, moi et Jérémie comme ci nous étions sur la
même balance. Au repas, il se plaça en bout de
table opposé a moi de peur que j'entame une autre
conversation. Au fond de ma conscience je me sentit
soulagé mais au fond de mes doutes j'eus récolté
une incertitude d'avoir partager mes doutes. Je laissai
passer plusieurs jours et ne parla plus de mes
induisions.
Ma vie familial continua sont cheminement
197
quotidien. La tristesse de Sylvie s’effaça. Claudinedevint bavarde et observatrice, quant a Jean il nous
présenta une multitude de copines et copains qui
vinrent a chaque occasion nous rendre visite. Claude
approcha de son adolescence , cette âge là où
Sylvie et moi découvrîmes l'aspect de la vie familial.
Nous humes expliqué a Claude tous les aléa de la vie.
Le chien incrustât a merveille notre famille il aima
se promener avec Jean dans notre quartier.
Un après midi, où le soleil marqua sa présence,
Bobi et Jean partirent retrouver une bande de copains
et copines sur la place de jeux. Le chien voyageur,
failli se faire renverser par une voiture de passage.
D'une chance inouï le sauva d'un drame, Jean en fut
choqué et Sylvie fit son possible pour le soigner.
Chaque action est du a une instruction et chaque
défaite a une attention certaine car depuis là le chien
garda de se promener sans l’avis de son maître.
Au travail, nos habitudes continuèrent leur
déroulement. Une nouvelle personne amplifia notre
198
équipe, une jeune femme divorcé. Elle eut touspour plaire physiquement et fut mère de deux enfants.
Elle connut ses atouts et se renseigna sur chacun
d'entre nous. Un jour elle me racola pour tenter de
m'attirer vers elle. Les malices féminine son le fruit
d'un savoir faire et cela elle sut ci prendre. Je ne
l'eus pas repoussé mais lui fis connaître les autres
qui ne furent attaché a une vie de famille. Depuis sa
venu notre équipe ne fut pareille, tous fut déstabilisant.
Elle pris Jérémie comme cible et arriva par le draguer.
La tranquillité revient dans mes pensées, je ne
chercha plus de résoudre telle ou telle crime.
La fin de l'année approcha et au dernier jour de
travail une petite
collation fut prévu dans le magasin. Il y eut de quoi
se rassasier a volonté . Certains en abusèrent et de
nombreuses paroles mal intentionné volèrent sur des
propos cachés. Je ressentis le danger peut effleurer.
La personne en qui j'eus confiance eut but plus que de
coutume et racontât les doutes que je lui eut exprimé.
199
et tenta de le résonner, cela ne servi a pas grand chosecar il reprit de plus belle. Il devient hargneux et moqueur.
Une peur m'envahit, je ne sus plus vers qui me
tourner et je résidai de rompre cette soirée avant l'heure.
Je quitta ce lieu avec une sensation qui m'intriguait.
Cette nuit là, mon sommeil ne trouva sa raison
d’être. Une boule vient se figée dans ma gorge. Je ne
résignais a avaler la moindre goutte d'eau ni de salive.
Ma conscience me joua des tours, je devins la victime
de l’assassin.
Au matin, toute la famille se prêta aux préparation
de cette semaine de vacance. La décoration du sapin
commença et Jean parti promener son fidèle
compagnon. Ensemble notre enthousiasme prit une
force de réjouissance parfaite. J'eus oublié les aléas
de la soirée passé.
Claudine voulu aider son grand frère et tenta de lui
donner une belle boule multicolore. Elle aussi eut le
droit de placer une décoration. Elle tira sur le sapin,
et, celui ci se renversa. De belle boules se fracassèrent.
200
Claudine fut choqué et des pleurs suivirent. Nousremontions le sapin malgré la perte de certaines
décoration et des branches qui eurent cassé.
Jean eut du retard, étonnant de sa part, lui qui
voulu prêter son savoir faire pour la décoration ? Le
voilà, tout en pleure et sans le chien. Par des mots
saccagés, il expliqua que le chien fut renversé par une
voiture de passage. Bobi ne bougea plus. Ils
marchèrent tous les deux sur le trottoir mais la voiture
roula a coté de la route. Je patientai quelques instant
puis le questionna ,
- comment c'est arrive Jean,
- la voiture arriva a vive allure en roulant sur le trottoir
où nous marchions, j'ai pu l'éviter mais Bobi fut
projeté contre le mur. Il ne bougea plus.
Jean ne donna plus d'explication supplémentaire. Avec
Claude nous retrouvâmes le cadavre du chien gisant sur
le trottoir et le ramenâmes a maison. L'ensemble de la
famille décida de l'enterrer dans la pelouse du jardin.
201
Les information du journal précisèrent qu'uneexplosion eut ébranlé une maison d'habitation. Dans
les ruines les corps de cinq personnes sans vie et
affreusement mutilé furent retrouvé. Une famille entière
trouva la mort le jour de Noël.
L'enquête dénonça qu'une déflagrassions du a une
fuite de gaz fut la raison du sinistre. Les enquêteurs
prospérèrent sur d'éventuel témoignage dans le
voisinage. Personne n'eut de charge contre une famille
respectueuse.
Un collègue de travail précisa qu'a l'heure de
l'explosion, ce fut lui qui leur eut donné une coup de
téléphone pour leur souhaiter un joyeux Noël et qu'a
la première sonnerie la ligne fut coupé. Le témoin de
cette information fut Jérémie.
Les enquêteurs découvrirent dans la pelouse
fraîchement retournée le cadavre d'un chien qui eut
comme marque des impactes ressemblant a des coups
de matraque.
La conclusion établie que ce drame fut un suicide
collectif. L'affaire fut classé.
Jérémie quitta la région avec une femme et deux
enfants pour retourner dans sa Bretagne natal. Il eut
trouvé un travail de chauffeur de camion.
FIN
Le roman est en cour de construction des changements
peuvent suivre.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
A ce jour, 26 10 2019, 116 744 lecteurs.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
A ce jour, 26 10 2019, 116 744 lecteurs.
A ce jour, 21 05 2020, 121 611 lecteurs.
A ce jour, 21 01 2022, 165 722 lecteurs.
A ce jour, 19 10 2023, 185 522 lecteurs.
Pour les amateurs de Roman, j'écrit un autre texte sur
mirage au dessus des nuages sage n 2 ( coïncidence )
Pour les amateurs de Roman, j'écrit un autre texte sur
mirage au dessus des nuages sage n 2 ( coïncidence )
Commentaires