2/8 Prendre le droit de juger ( roman sentimental n 2/8 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
Suite 2/8de Prendre le droits de juger
chapitre numéro 2
de la vie effaça lentement l’absence de tante Nina.
Ce troisième Noël se solda par une belle et bonne
bûche de noël. L’absence d'une personne se
ressentit mais, malgré cela notre joie se trouva avec
nous car les préparatifs de Noël ressemblèrent aux
autres avec les petits gâteaux que Sylvie sut faire
comme cette bûche . Mais, de sapin il n' en eut .
Notre situation financière brilla car mon salaire fut
plus élevé que l’année passé.
Claude vint d'avoir son anniversaire, quelle belle
fête ce jour là pour tous les trois. l'hiver s'épanouit
laissant la place au printemps qui le surpasse. Les
journées augmentèrent comme le salaire. Malgré
cela, Oncle Pauli eut de la nostalgie et sa tristesse
le suivit. L'oublie d'un être aimé a du mal a se digérer,
il vint de perdre une moitie de lui même. Les samedi
soir on ressentirent cette retombée,tous change petit
a petit. Sa tête se trouva autre part.
Dans la cité d'urgence le pourcentage de français
de la population. Il n'y eut plus de joueur de cartes
l’ambiance trouva une autre route. Un sentiment
étrange plana sur nous on se senti perdant car nous
allons nous retrouver parmi les derniers français
occupant de la cité d'urgence. Une drôle de mentalité
enlaça nos habitudes. nous dûment faire attention
sur tous, la propreté fut négligé, le vol un atout
majeur et la politesse oublié resta chez le facteur. La
sympathie du voisinage, oublié.
Le mot raciste sonna très souvent. De nombreuses
bagarres, parfois meurtrière, s'y pratiquèrent. La cité
ne dut durer que 15 ans au plus mais la reloge des
habitants laissa libre cour aux nouveaux habitants
venu de toute la terre. La plus part vinrent en
clandestin et ils fuirent leur pays. Les habitations
furent surpeuplé avec tous les enfants de tout âge qui
y logèrent. Il arriva que plus de 20 personnes vécurent
dans une habitation prévu pour 6. Souvent ils y
élevèrent des moutons et poules qui bataillèrent par
publique, ils les dépecèrent en pleine rue. Le sang
coula dans les ruelles.
Une première commission vient nous consulter
pour nous proposer un autre logement. L'oncle
Pauli ne voulu rien savoir ce qu'il désira c'est
d'attendre sa mort dans la même maison que tante
Nina. Il représentait un père pour nous, et il ne fut
pas question de l'abandonner on désira aussi de
rester. Une autre question freina nos projets, comme
nous n’étions pas marie et avec 16 ans d'âge, il ne
fut pas possible d'obtenir un logement.
Cette hivers rude passât, les logements
ressortirent de terre comme des champignons. Nous
redevenions des hommes, notre compte en banque
augmenta. Notre spécialité, ce fut le crépissage. Un
vrais régale que de travailler avec lui, je suivis son
savoir comme un professionnelle plus comme un
apprentie. Mais, l'oncle Pauli eu souvent des lacunes.
L'italien continua ses avancées, ses anciens amies
et amis l'admirèrent bien plus qu'avant. Sa réussite
n'eut pas de toute je compris par la suite qu'il proposa
des appartements a sa disposition. Cette proposition
demanda une échange, des services pas bien
déterminé.
La commune eut engager une nouvelle méthode
pour limiter l'envahissement de ressortissants
clandestins, elle détruisit les maison de la cité
d'urgence chaque fois que l'occupant l'eus quitté.
Les démolisseurs rasèrent rapidement sans prêter
gars aux souvenirs de ces emplacements. Le
projet en vue fut de construire des habitation a étage ,
ce qui permettra d'accumuler plus de locataires.
La commission d’enquête fut revenu nous consulter,
L'oncle Pauli ne voulu rien savoir de toutes les belles
promesses que l'on nous proposa. Il leur répéta que
ses intentions furent, de terminer le restant de sa vie
dans cette cité d'urgence. Notre fidélité envers se brave
abandon. On eurent obtenir un appartement, mais deux
obstacles nous handicapait, le premier, nous ne fument
pas marier et le second ce fut notre jeune âge qui sans
l'accorde des parents ne valut pas un sou.
l'hiver se termina et des lotissements sortirent
de terre comme des champignons, nous devinrent des
hommes car notre compte en banque s'enrichissait.
l'oncle Pauli fut un surdoué pour la maçonnerie comme
pour le crépissage. Les façades des maisons devinrent
un régale pour les rendre lisse et droit. Dans le fond de
son cœur, une lumière manquait, celui d'une amour qui
sens fut allé. Très souvent il planait autre part, dans un
monde où le réelle ne marie pas l'actuelle.
Dans la cité d'urgence les ruelles devinrent chantier
et certain murs restaient debout comme pour nous
narguer. Oncle Pauli resta ferme , pas question de
partir. Le faîtage et le toit de la maison voisine
tomba son les griffes du pelleteur. De la poussière
propreté, le soir elle nous informa de cette
impuissance. Oncle Pauli atterré, reconnu qu'il n'y
eut plus d'avenir dans la cité d'urgence. Nous ne
voulions demander de l'aide a la commission et
décidons de contacter l'italien. Sylvie l'eus contacté
pour que nous le rencontrons le samedi .
Se samedi là, je prêta attention a ce personnage
qui nous fit rêver avec tous le baratin qu'il nous
embobina. Il nous fit comprendre que toutes les
maisons disparaîtront. On ce rendis compte et nous
acceptions sens revendication sa proposition. Nous
sympathisions avec beaucoup de remord et le suivions
pas a pas . Oncle Pauli écouta attentivement et se
laissa embobiner comme nous tous. Seulement d'après
les plans il n'y eu qu'un logement pour une personne
car nous trois nous n’eurent pas droit. Ce ne fut qu' un
petit résidu de 12 mètres carré et pas plus.
- Mais, monsieur, où pouvons nous dormir a quatre
dans ce logement ?
conditions,
- Laquelle,
- Que Sylve accepte de me rendre service de temps
a autre.
Je regarde Sylvie d'un air questionneur et dis,
- qu'en penses tu Sylvie , serais tu d’accord ?
- Je suite prête a accepter.
- Je vous donnerais des nouvelles d'ici peu.
Le bruit des pelleteuses détruisirent presque tous
autour de nous, la vue sur le nouveau chantier fut
grandissante. les vents s’engouffrèrent et l'hiver
approcha rapidement. Notre impatience nous joua des
tours, et plus personne ne vient nous rendre visite.
Dans les ruelles de grande flac d'eau jaunâtre se
multiplièrent, Devant la porte une mare d'eau nous
incommoda. Le jardin servait aux gros engins pour
y stationner , comme nos amies et amis surent sur
notre départ, plus personne pour nous entourer. Il fut
temps que nous puissions quitter ce lieu malsain, mis
embarrassant.
La santé du petit Claude se dégrada, l'oncle Pauli
en prit conscience et chercha a contacter au plus vite
l’italien. Quant nous dûment contactais un médecin
pour qu'il ausculta le petit Claude très fiévreux. Puis
il remplissait une ordonnance pour que nous pouvons
acheter les médicaments. Il me demandât
- Avez vous vos papiers de la sécurité social ?
- Non,
- Vous travaillez,
- Oui comme maçon depuis mes 14 ans,
- Le jour de votre embauche ne vous a il pas déclaré ?
- Il m'a expliqué que le jour où j'aurais quelque besoin
médical on pourra toujours m'assurer.
- Bon, il faut envoyer cette ordonnance a la caisse
d'assurance maladie et mentionner chez qui vous
travailler.
- Merci docteur.
L'oncle Pauli ne fut pas avec nous chez le médecin,
volontaire ou involontaire. Il ne le sut . Nous fume dans
une impasse, pas de poste officiel donc pas de couverture
social, il faut que notre patron nous enregistre au plus
vite. Pas étonnant que la société nous oublie pour
trouver un logement.
Dans nos rêves, un nouveau logement serait le bien
venu, il ressemblerait a un appartement confortable
où nous quatre pourrions y vivre aisément.
L'oncle Pauli avait pendant ce temps retrouvé notre
Italien, qui nous invitât dans un restaurant de la ville
un samedi soir.
Quelle nouveauté pour nous ,de pouvoir manger
dans un restaurant et qu'elle honneur. J'eus une
certaine réticence mais, il faut que je lui accordais
mon attention, j'eus fait confiance a mon patron et
voila que je ne fus pas en règle pour quelle raison
ne ferais pas confiance a l'italien ?
J'enfermai , au fond de moi une certaine fierté, ma
démarche sembla le dénoncer. Je devin comme eux,
restaurant huppé, là où les lumières multicolore
attirèrent les papillons de nuit et là où les amoureux
s'enlacèrent rien qu'avec le regard de leur yeux
brillant d'intentions. Le petit Claude suivit les
lumières comme moi.Me voila entrain d'égarer mon
attention sur les appliques émettant des lumières rouge
tamisé. Cette lueur romantique qui émet une sympathie.
Une odeur d'huile d'olive, laissa s'échapper un
parfum alléchant rappelant la cuisine de Tante
Nina. Chaque table fut marqué comme réservé .
Certaines a deux place et d'autres plus grande.
Je ressentis, au fond de moi une certaine fierté,
mon comportement le dénonça. Le repas se passa
correctement, on ne parla pas grand chose de peur
que nous ne pouvions suivre les manières raisonnable
pour un lieu aussi chique.
A la fin du copieux repas, il nous fit découvrir les
suites de nos engagement. Nous voilà sur le chemin
Sylvie de faire des extra le samedi soir dans ce
restaurant. Il n'eut pas de mauvais goût pour les filles
je le remarqua avec le personnelle qui fait le service
et surtout avec l'attention qu'il porta sur Sylvie. Il nous
proposa une embauche bien rémunéré pour Sylvie qui
accepta sans le questionner. Cette proposition nous
parus la bienvenu, une rentrée d'argent
supplémentaire c'est raisonnable. Nous concluons
cette offre.
Pour dimanche il nous proposa de visiter le
nouvelle appartement. Quelle aubaine, nos rêves se
concrétisèrent. Devant le bâtiment, j'eus remarqué
les belles voitures qui parquèrent tout autour. J'en fus
ébloui. Nous arrivâmes a l'étage, avec un ascenseur,
et devant une belle porte de bois. Il l’ouvrit et la, un
appartement confortable comme dans notre
imagination.
Je construit des habitations mais quant ce fut le
notre, la réalité fut toute autre. Trois chambres a
une salle de bain avec une baignoire douche, un
robinet d'eau chaude et un autre d'eau froide , des
toilettes. Le tout repartie sur 100 mètres carré.
Quelle changement pour nous tous, nous
l’acceptâmes et attendirent quelques jours pour
emménager.
Il ne resta plus que quelques jours pour terminer
l'année. On se souhaitèrent que la nouvelle sera
l'ouverture de nos 17 ans et 3 ans pour Claude. Se
Noël n'eut pas de sapin, juste une branche coupé
dans un jardin publique. Nous le fixons sur le mur de
l'entrer. Trois semaine passèrent, pas de nouvelle de
notre appartement. Heureusement que l'hiver ne fut
pas aussi rude que d’habitude nous purent travailler.
Puis, la troisième semaine de janvier, l'italien vint
nous trouver et proposa a Sylvie de faire un essais
au restaurant et ci la suite sera concluant, on aura
les clés de l’appartement.
Sylvie partis avec hantise. Le petit Claude versa des
larmes et oncle Pauli ne sut pas exactement ce qui se
déroula . Je ressentie personnellement une nostalgie
que de la voir partir, une sorte d’abandon. Ce qui vint
de se conclure doit être engagé.
La nuit devint longue et mon sommeil absent. Le
petite Claude plongea dans se rêves. l'amour
provoque de la jalousie, sera se cela qui m’intrigua?
Au petit matin Sylvie revint parmi nous. Elle
remplis la table de petits pains au chocolats. Je
remarqua qu'elle sentit comme un parfum de fleurs
du printemps. Elle fut attirant et séduisant par son
visage maquillé et les vêtements qu'elle eut porté.
Elle n'eut pas besoin de cacher son visage sous une
couche de couleur mais, certainement que le contra
le spécifiait. Mon amour pour elle n'a de limite, je
lui ai fait ressentir cet instant magique, mais, sa
fatigue ne suivait pas mon lyrique elle s’endorme
dans mes bras sous les draps. Elle se réveilla vers
du petit Claude. L'oncle Pauli n'est pas encore revenu
du café où il joue au tiercé, les trois numéraux qu'il
espère qu'un jour ils vont gagner. Le petit claude
s"amusait avec le sac a main de Sylvie. Sylvie m'eus
dit,
- Pardonnes moi Jean je garde pour toi tout mon
amour.
- De même Sylvie toute ma confiance repose sur
nous trois.
La journée se passa normalement, et au soir,
je lui demandais,
- Ton travail était il embarrassant ?
Son regard se détournait de mon visage, sa figure
rougissait puis suivait quelques minutes de réfections.
Elle répondait,
- Je suis partie samedi avec l'italien dans une belle
demeure , je pense que c'était un château. Sa
grandeur impressionnante comme son luxe
m’enivrait. D'autres filles de mon âge s'y
laissaient apparaître les formes de leur corps.
Certaine surface , a peine couverte dévoilait leurs
sous vêtements. Une gène prit place dans mes pensées,
je me sentait offensé. Ensemble on retrouvait une
grande salle, pas bien éclairé, où, de nombreuses
personnes masculins mangeaient. Tous étaient des
personnalités connu et ce fut les jeunes filles qui
me l'on indiqué. Ils parlaient un Français
autrement que nous autre. Leurs mains se
baladaient sous nos jupes sens demander notre avis.
Ils se permettaient bien des caprices, cela me
plaisait gère. Après le repas un orchestre jouait de
la musique pour que nous dansions. A peine que
la première musique commençais, l'italien venait
me trouver pour que je l'accompagne. Je ne
pouvais lui refuser et le suivais. Les filles m'avaient
averti, elle m'ont donné conseil car c'est toujours
avec la nouvelle venu qu'il ouvrait a sa façon le bal .
Il m’entraîna dans un recoin dissimulé derrière un
occupait la longueur d'un mur et sur les autres, des
miroirs a mis hauteur, au dessus des tableaux qui
évoquaient des scènes de vie. Je devenais froide de
tous sentiment envers celui qui m'y guide par profit.
Il m'imposait des attouchements sur les quelles
j'aurais voulu renoncer. J'acceptais par force et
contre mon gré. Il l'eus remarqué car ils eu dit que
ci je résistait mon travail risque de s’arrêter. Je l'ai
laissé faire et ressentait un besoin de crier. Une
trahison venait de naître je n'étais plus moi même.
Je retournais auprès de mes collègues qui, a tour de
rôle partaient puis revenaient. Un autre personnage
qui pourrait être mon grand père , venait me trouver
pour m’entraîner dans un des nombreux recoins. Il
se contenta de fourrer ses mains hideuse sur mon
corps. Je me laissais faire comme ma conseillé
l'italien. Cette personne là fut satisfaite de mon
comportement, elle m'offrait une bague. Avant de
me quitter il m’avait demandé mon âge , je trichais
lui plaire car, il ne m'eut plus quitté de la soirée.
A ce moment là, Claude sortait de l'argent du sac de
Sylvie, rien que des billets de cent francs.
Je lui prenais ces papiers de valeur et remarquais qu'il
étaient au nombre de quatre. Je n'en revenais pas et
demandais a Sylvie,
- Mais, d'où as tu cette argent ?
- C'est ce vieille homme qui me la mit dans mon sac,
je ne l'ai pas contrôle.
A cette époque, mon salaire de maçon s'élevait a huit
cent franc par mois , pas plus pour des semaines de
45 heures. Je regarde Sylvie et on décida de ne souffler
mot a qui que ce sois.
Le lundi soir, l'italien venait nous trouver pour
remettre le salaire de Sylvie. Il lui donna une somme
de 150 francs. Nous ne soufflons un seul mot sur ce
qu'on a déjà reçu. Il nous dit,
- Tu as fait du bon travail Sylvie, les clients sont
puis voilà les clés de l'appartement vous pouvez
y habiter.
Avec l'aide du camion de l'entreprise, où je travail,
que nous déménageons. Notre richesse ne fut pas
grande un chargement suffisait. Le temps que nous
vidons la maison, une pelleteuse patientait. l'oncle
Pauli ne réalisait pas encore, puis, il donna l'ordre
de démolir la maison. Pour nous trois ce fut une fête
mais pour l'oncle Pauli une défaite. On quitta la cité
d'urgence sans regarder en arrière. Je me trouvais
assis sur la benne du camion berlier avec les meubles.
l'oncle Pauli dans la cabine avec le chauffeur, Sylvie
et le petit Claude. Le départ fut brusque je me tenais
tien bien que mal. Je regardais en arrière et sous un
nuage de poussière, s'envole les souvenir de jadis.
L'engin n'a pas fait long feux, 2 coups de pelles
mécanique et , plus de maison. Le camion prit un
virage qui me coupa de tout vue sur la cité d'urgence.
faisait petite a petit. A partir de là, Sylvie retrouvait
tous les samedis soir le restaurant privé. Son absence
devenait une routine comme cette venu de pourboire
qui relevait notre situation financière. Nous pouvions
acheter de nouveau meubles de première qualité.
Sylvie n'apportait pas que de l'argent, un bijou qui
ne venait pas de l'italien, mais, du vieille homme lui
faisait la cour a sa manière. Les samedi on jouais
aux jeux de cartes. Le petit Claude n'était plus
bouleversé sur l’absence de sa mère, il s'endormait
comme d’habitude.
Avec la routine, passe les jours , les semaines ,
voir les mois. Notre premier Noël dans l'appartement
se fêtait glorieusement. Le petit Claude parlait
correctement lui aussi fut de partie.
Une journée comme les autres avec la routine
qui fut des nôtres, sur le chantier d'un lotissement
je me trouvais devant la bétonneuse qui tournait
tout en grinçant. L'oncle Pauli crépissait avec
du matérielle, puis je repartais recharger la
bétonnière de sable, d'eau et se ciment. J'eus du mal
a suivre car sur l'échafaudage ils furent au nombre
de trois a crépir. Suivit un incident qui déstabilisa
l'ensemble des éléments métallique. Les trois maçons
furent déstabilisé , certains projeté a terre. Oncle Pauli
tomba pique sur un tas de briques, un autre sur un tas
de sable et le troisième, par un réflexe chanceux
s’agrippa a une fenêtre entrouverte. Je courais
rapidement vers oncle Pauli, il n'eut de réaction car
il ne bougea plus.
Je saisi une échelle pour venir en aide a celui qui
resta suspendu au deuxième étage. Je tremblais tout
en agissant rapidement. Le troisième sur le tas de
sable n'eut rien il se releva comme si rien ne fut.
Nous voila autour de l'oncle Pauli, qui eut gardé
sa position. Les témoins de la maison en face,
appelèrent du secoure. Je me sentais responsable
de ce qui arriva . Je soupçonnais chaque manœuvre
l'ambulance. Les pompiers transportèrent oncle
Pauli avec attention comme celui qui fut tombé
sur le tas de sable. 17 heures passé, je suivais 48
l'ambulance dans la voiture du patron vers
l’hôpital. Sur le parcoure, le patron m'eut
questionné, je ne su lui répondre.
Je resta a l’hôpital, impatients et anxieux. Je ne
rencontrai personne qui put me donner de ses
nouvelles sur sa santé. Mes pensées me jouèrent
des tours, vers le tragique sans faire de détour.
Mes yeux s'unifièrent suis je entrain de pleurer
comme un enfant ? Il fallut que des larmes vidèrent
mon surplus de peine. Un médecin venu me trouvé
pour explique ce qui alla suivre. Je ne compris pas
grand chose a par qu'il n'y eut que l’espoir qui
nous sortira de ce trous noir. A cette instant il fit
sombre comme une ombre. Je quittai l'hôpital a
pied jusqu’à notre adresse, il n'y eut plus de
servitude en transport.
suite au n 3/8 de prendre le droit de juger
Le roman est en cour de construction des changements
peuvent suivre.
Suite 2/8de Prendre le droits de juger
chapitre numéro 2
57
Sylvie continua son travail de femme de
ménage bien sage tous ce qu'elle eut appris chez tante
Nina porta ses fruits. Elle s'y prêta merveilleusement,
quant a Claude il m'étonna de jour en jour, le vrais
fruit d'un grand amour. Il maîtrisa son langage
tel un grand enfant sage. Le draguer, d’origine
italiens, ne cessa de lui faire la coure a chaque
passage dans la cité. son audace alla jusqu’à lui
rendre visite a la maison lorsqu'elle fut seule.
J'eus aimé me trouver nez a nez avec lui lors de sa
visité. Hélasse, on ne sut jamais a quelle heure et
quel jour sera sa prochaine visite.
Les journée s’écoulèrent et le rythme infernal 58
de la vie effaça lentement l’absence de tante Nina.
Ce troisième Noël se solda par une belle et bonne
bûche de noël. L’absence d'une personne se
ressentit mais, malgré cela notre joie se trouva avec
nous car les préparatifs de Noël ressemblèrent aux
autres avec les petits gâteaux que Sylvie sut faire
comme cette bûche . Mais, de sapin il n' en eut .
Notre situation financière brilla car mon salaire fut
plus élevé que l’année passé.
Claude vint d'avoir son anniversaire, quelle belle
fête ce jour là pour tous les trois. l'hiver s'épanouit
laissant la place au printemps qui le surpasse. Les
journées augmentèrent comme le salaire. Malgré
cela, Oncle Pauli eut de la nostalgie et sa tristesse
le suivit. L'oublie d'un être aimé a du mal a se digérer,
il vint de perdre une moitie de lui même. Les samedi
soir on ressentirent cette retombée,tous change petit
a petit. Sa tête se trouva autre part.
Dans la cité d'urgence le pourcentage de français
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diminua, nous ne représentions plus que 5 pour centde la population. Il n'y eut plus de joueur de cartes
l’ambiance trouva une autre route. Un sentiment
étrange plana sur nous on se senti perdant car nous
allons nous retrouver parmi les derniers français
occupant de la cité d'urgence. Une drôle de mentalité
enlaça nos habitudes. nous dûment faire attention
sur tous, la propreté fut négligé, le vol un atout
majeur et la politesse oublié resta chez le facteur. La
sympathie du voisinage, oublié.
Le mot raciste sonna très souvent. De nombreuses
bagarres, parfois meurtrière, s'y pratiquèrent. La cité
ne dut durer que 15 ans au plus mais la reloge des
habitants laissa libre cour aux nouveaux habitants
venu de toute la terre. La plus part vinrent en
clandestin et ils fuirent leur pays. Les habitations
furent surpeuplé avec tous les enfants de tout âge qui
y logèrent. Il arriva que plus de 20 personnes vécurent
dans une habitation prévu pour 6. Souvent ils y
élevèrent des moutons et poules qui bataillèrent par
60
ci, par là. Quant ils tuèrent les bêtes, cela se fit enpublique, ils les dépecèrent en pleine rue. Le sang
coula dans les ruelles.
Une première commission vient nous consulter
pour nous proposer un autre logement. L'oncle
Pauli ne voulu rien savoir ce qu'il désira c'est
d'attendre sa mort dans la même maison que tante
Nina. Il représentait un père pour nous, et il ne fut
pas question de l'abandonner on désira aussi de
rester. Une autre question freina nos projets, comme
nous n’étions pas marie et avec 16 ans d'âge, il ne
fut pas possible d'obtenir un logement.
Cette hivers rude passât, les logements
ressortirent de terre comme des champignons. Nous
redevenions des hommes, notre compte en banque
augmenta. Notre spécialité, ce fut le crépissage. Un
vrais régale que de travailler avec lui, je suivis son
savoir comme un professionnelle plus comme un
apprentie. Mais, l'oncle Pauli eu souvent des lacunes.
61
Ses pensées voyagèrent autre part.L'italien continua ses avancées, ses anciens amies
et amis l'admirèrent bien plus qu'avant. Sa réussite
n'eut pas de toute je compris par la suite qu'il proposa
des appartements a sa disposition. Cette proposition
demanda une échange, des services pas bien
déterminé.
La commune eut engager une nouvelle méthode
pour limiter l'envahissement de ressortissants
clandestins, elle détruisit les maison de la cité
d'urgence chaque fois que l'occupant l'eus quitté.
Les démolisseurs rasèrent rapidement sans prêter
gars aux souvenirs de ces emplacements. Le
projet en vue fut de construire des habitation a étage ,
ce qui permettra d'accumuler plus de locataires.
La commission d’enquête fut revenu nous consulter,
L'oncle Pauli ne voulu rien savoir de toutes les belles
promesses que l'on nous proposa. Il leur répéta que
ses intentions furent, de terminer le restant de sa vie
dans cette cité d'urgence. Notre fidélité envers se brave
62
homme ne nous permit pas de le laisser seul, se sera unabandon. On eurent obtenir un appartement, mais deux
obstacles nous handicapait, le premier, nous ne fument
pas marier et le second ce fut notre jeune âge qui sans
l'accorde des parents ne valut pas un sou.
l'hiver se termina et des lotissements sortirent
de terre comme des champignons, nous devinrent des
hommes car notre compte en banque s'enrichissait.
l'oncle Pauli fut un surdoué pour la maçonnerie comme
pour le crépissage. Les façades des maisons devinrent
un régale pour les rendre lisse et droit. Dans le fond de
son cœur, une lumière manquait, celui d'une amour qui
sens fut allé. Très souvent il planait autre part, dans un
monde où le réelle ne marie pas l'actuelle.
Dans la cité d'urgence les ruelles devinrent chantier
et certain murs restaient debout comme pour nous
narguer. Oncle Pauli resta ferme , pas question de
partir. Le faîtage et le toit de la maison voisine
tomba son les griffes du pelleteur. De la poussière
63
envahit la maison, Sylvie n'arriva plus a gérer lapropreté, le soir elle nous informa de cette
impuissance. Oncle Pauli atterré, reconnu qu'il n'y
eut plus d'avenir dans la cité d'urgence. Nous ne
voulions demander de l'aide a la commission et
décidons de contacter l'italien. Sylvie l'eus contacté
pour que nous le rencontrons le samedi .
Se samedi là, je prêta attention a ce personnage
qui nous fit rêver avec tous le baratin qu'il nous
embobina. Il nous fit comprendre que toutes les
maisons disparaîtront. On ce rendis compte et nous
acceptions sens revendication sa proposition. Nous
sympathisions avec beaucoup de remord et le suivions
pas a pas . Oncle Pauli écouta attentivement et se
laissa embobiner comme nous tous. Seulement d'après
les plans il n'y eu qu'un logement pour une personne
car nous trois nous n’eurent pas droit. Ce ne fut qu' un
petit résidu de 12 mètres carré et pas plus.
- Mais, monsieur, où pouvons nous dormir a quatre
dans ce logement ?
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- Il y a possibilité de trouver plus grand, mais a uneconditions,
- Laquelle,
- Que Sylve accepte de me rendre service de temps
a autre.
Je regarde Sylvie d'un air questionneur et dis,
- qu'en penses tu Sylvie , serais tu d’accord ?
- Je suite prête a accepter.
- Je vous donnerais des nouvelles d'ici peu.
Le bruit des pelleteuses détruisirent presque tous
autour de nous, la vue sur le nouveau chantier fut
grandissante. les vents s’engouffrèrent et l'hiver
approcha rapidement. Notre impatience nous joua des
tours, et plus personne ne vient nous rendre visite.
Dans les ruelles de grande flac d'eau jaunâtre se
multiplièrent, Devant la porte une mare d'eau nous
incommoda. Le jardin servait aux gros engins pour
y stationner , comme nos amies et amis surent sur
notre départ, plus personne pour nous entourer. Il fut
temps que nous puissions quitter ce lieu malsain, mis
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volontairement en chantier. Tous devinèrentembarrassant.
La santé du petit Claude se dégrada, l'oncle Pauli
en prit conscience et chercha a contacter au plus vite
l’italien. Quant nous dûment contactais un médecin
pour qu'il ausculta le petit Claude très fiévreux. Puis
il remplissait une ordonnance pour que nous pouvons
acheter les médicaments. Il me demandât
- Avez vous vos papiers de la sécurité social ?
- Non,
- Vous travaillez,
- Oui comme maçon depuis mes 14 ans,
- Le jour de votre embauche ne vous a il pas déclaré ?
- Il m'a expliqué que le jour où j'aurais quelque besoin
médical on pourra toujours m'assurer.
- Bon, il faut envoyer cette ordonnance a la caisse
d'assurance maladie et mentionner chez qui vous
travailler.
- Merci docteur.
L'oncle Pauli ne fut pas avec nous chez le médecin,
66
connut il cet oubli ? Nous lui firmes part de cette lacunevolontaire ou involontaire. Il ne le sut . Nous fume dans
une impasse, pas de poste officiel donc pas de couverture
social, il faut que notre patron nous enregistre au plus
vite. Pas étonnant que la société nous oublie pour
trouver un logement.
Dans nos rêves, un nouveau logement serait le bien
venu, il ressemblerait a un appartement confortable
où nous quatre pourrions y vivre aisément.
L'oncle Pauli avait pendant ce temps retrouvé notre
Italien, qui nous invitât dans un restaurant de la ville
un samedi soir.
Quelle nouveauté pour nous ,de pouvoir manger
dans un restaurant et qu'elle honneur. J'eus une
certaine réticence mais, il faut que je lui accordais
mon attention, j'eus fait confiance a mon patron et
voila que je ne fus pas en règle pour quelle raison
ne ferais pas confiance a l'italien ?
J'enfermai , au fond de moi une certaine fierté, ma
démarche sembla le dénoncer. Je devin comme eux,
67
ceux qui ont la possibilité de manger dans unrestaurant huppé, là où les lumières multicolore
attirèrent les papillons de nuit et là où les amoureux
s'enlacèrent rien qu'avec le regard de leur yeux
brillant d'intentions. Le petit Claude suivit les
lumières comme moi.Me voila entrain d'égarer mon
attention sur les appliques émettant des lumières rouge
tamisé. Cette lueur romantique qui émet une sympathie.
Une odeur d'huile d'olive, laissa s'échapper un
parfum alléchant rappelant la cuisine de Tante
Nina. Chaque table fut marqué comme réservé .
Certaines a deux place et d'autres plus grande.
Je ressentis, au fond de moi une certaine fierté,
mon comportement le dénonça. Le repas se passa
correctement, on ne parla pas grand chose de peur
que nous ne pouvions suivre les manières raisonnable
pour un lieu aussi chique.
A la fin du copieux repas, il nous fit découvrir les
suites de nos engagement. Nous voilà sur le chemin
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de notre avenir. Pour le dédommager, il proposa aSylvie de faire des extra le samedi soir dans ce
restaurant. Il n'eut pas de mauvais goût pour les filles
je le remarqua avec le personnelle qui fait le service
et surtout avec l'attention qu'il porta sur Sylvie. Il nous
proposa une embauche bien rémunéré pour Sylvie qui
accepta sans le questionner. Cette proposition nous
parus la bienvenu, une rentrée d'argent
supplémentaire c'est raisonnable. Nous concluons
cette offre.
Pour dimanche il nous proposa de visiter le
nouvelle appartement. Quelle aubaine, nos rêves se
concrétisèrent. Devant le bâtiment, j'eus remarqué
les belles voitures qui parquèrent tout autour. J'en fus
ébloui. Nous arrivâmes a l'étage, avec un ascenseur,
et devant une belle porte de bois. Il l’ouvrit et la, un
appartement confortable comme dans notre
imagination.
Je construit des habitations mais quant ce fut le
notre, la réalité fut toute autre. Trois chambres a
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couché, une cuisine et une grande pièce de séjour,une salle de bain avec une baignoire douche, un
robinet d'eau chaude et un autre d'eau froide , des
toilettes. Le tout repartie sur 100 mètres carré.
Quelle changement pour nous tous, nous
l’acceptâmes et attendirent quelques jours pour
emménager.
Il ne resta plus que quelques jours pour terminer
l'année. On se souhaitèrent que la nouvelle sera
l'ouverture de nos 17 ans et 3 ans pour Claude. Se
Noël n'eut pas de sapin, juste une branche coupé
dans un jardin publique. Nous le fixons sur le mur de
l'entrer. Trois semaine passèrent, pas de nouvelle de
notre appartement. Heureusement que l'hiver ne fut
pas aussi rude que d’habitude nous purent travailler.
Puis, la troisième semaine de janvier, l'italien vint
nous trouver et proposa a Sylvie de faire un essais
au restaurant et ci la suite sera concluant, on aura
les clés de l’appartement.
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Il vint la chercher un samedi vers la fin de journée,Sylvie partis avec hantise. Le petit Claude versa des
larmes et oncle Pauli ne sut pas exactement ce qui se
déroula . Je ressentie personnellement une nostalgie
que de la voir partir, une sorte d’abandon. Ce qui vint
de se conclure doit être engagé.
La nuit devint longue et mon sommeil absent. Le
petite Claude plongea dans se rêves. l'amour
provoque de la jalousie, sera se cela qui m’intrigua?
Au petit matin Sylvie revint parmi nous. Elle
remplis la table de petits pains au chocolats. Je
remarqua qu'elle sentit comme un parfum de fleurs
du printemps. Elle fut attirant et séduisant par son
visage maquillé et les vêtements qu'elle eut porté.
Elle n'eut pas besoin de cacher son visage sous une
couche de couleur mais, certainement que le contra
le spécifiait. Mon amour pour elle n'a de limite, je
lui ai fait ressentir cet instant magique, mais, sa
fatigue ne suivait pas mon lyrique elle s’endorme
dans mes bras sous les draps. Elle se réveilla vers
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les 13 heures, j'eus préparé le repas et me suis occupédu petit Claude. L'oncle Pauli n'est pas encore revenu
du café où il joue au tiercé, les trois numéraux qu'il
espère qu'un jour ils vont gagner. Le petit claude
s"amusait avec le sac a main de Sylvie. Sylvie m'eus
dit,
- Pardonnes moi Jean je garde pour toi tout mon
amour.
- De même Sylvie toute ma confiance repose sur
nous trois.
La journée se passa normalement, et au soir,
je lui demandais,
- Ton travail était il embarrassant ?
Son regard se détournait de mon visage, sa figure
rougissait puis suivait quelques minutes de réfections.
Elle répondait,
- Je suis partie samedi avec l'italien dans une belle
demeure , je pense que c'était un château. Sa
grandeur impressionnante comme son luxe
m’enivrait. D'autres filles de mon âge s'y
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trouvaient. Leur habilles moulé,laissaient apparaître les formes de leur corps.
Certaine surface , a peine couverte dévoilait leurs
sous vêtements. Une gène prit place dans mes pensées,
je me sentait offensé. Ensemble on retrouvait une
grande salle, pas bien éclairé, où, de nombreuses
personnes masculins mangeaient. Tous étaient des
personnalités connu et ce fut les jeunes filles qui
me l'on indiqué. Ils parlaient un Français
autrement que nous autre. Leurs mains se
baladaient sous nos jupes sens demander notre avis.
Ils se permettaient bien des caprices, cela me
plaisait gère. Après le repas un orchestre jouait de
la musique pour que nous dansions. A peine que
la première musique commençais, l'italien venait
me trouver pour que je l'accompagne. Je ne
pouvais lui refuser et le suivais. Les filles m'avaient
averti, elle m'ont donné conseil car c'est toujours
avec la nouvelle venu qu'il ouvrait a sa façon le bal .
Il m’entraîna dans un recoin dissimulé derrière un
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mur qui faisait office de porte .Un énorme divanoccupait la longueur d'un mur et sur les autres, des
miroirs a mis hauteur, au dessus des tableaux qui
évoquaient des scènes de vie. Je devenais froide de
tous sentiment envers celui qui m'y guide par profit.
Il m'imposait des attouchements sur les quelles
j'aurais voulu renoncer. J'acceptais par force et
contre mon gré. Il l'eus remarqué car ils eu dit que
ci je résistait mon travail risque de s’arrêter. Je l'ai
laissé faire et ressentait un besoin de crier. Une
trahison venait de naître je n'étais plus moi même.
Je retournais auprès de mes collègues qui, a tour de
rôle partaient puis revenaient. Un autre personnage
qui pourrait être mon grand père , venait me trouver
pour m’entraîner dans un des nombreux recoins. Il
se contenta de fourrer ses mains hideuse sur mon
corps. Je me laissais faire comme ma conseillé
l'italien. Cette personne là fut satisfaite de mon
comportement, elle m'offrait une bague. Avant de
me quitter il m’avait demandé mon âge , je trichais
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sur la réalité et me vieillissais de deux années. J'ai dului plaire car, il ne m'eut plus quitté de la soirée.
A ce moment là, Claude sortait de l'argent du sac de
Sylvie, rien que des billets de cent francs.
Je lui prenais ces papiers de valeur et remarquais qu'il
étaient au nombre de quatre. Je n'en revenais pas et
demandais a Sylvie,
- Mais, d'où as tu cette argent ?
- C'est ce vieille homme qui me la mit dans mon sac,
je ne l'ai pas contrôle.
A cette époque, mon salaire de maçon s'élevait a huit
cent franc par mois , pas plus pour des semaines de
45 heures. Je regarde Sylvie et on décida de ne souffler
mot a qui que ce sois.
Le lundi soir, l'italien venait nous trouver pour
remettre le salaire de Sylvie. Il lui donna une somme
de 150 francs. Nous ne soufflons un seul mot sur ce
qu'on a déjà reçu. Il nous dit,
- Tu as fait du bon travail Sylvie, les clients sont
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satisfait tu peux revenir le samedi prochain, etpuis voilà les clés de l'appartement vous pouvez
y habiter.
Avec l'aide du camion de l'entreprise, où je travail,
que nous déménageons. Notre richesse ne fut pas
grande un chargement suffisait. Le temps que nous
vidons la maison, une pelleteuse patientait. l'oncle
Pauli ne réalisait pas encore, puis, il donna l'ordre
de démolir la maison. Pour nous trois ce fut une fête
mais pour l'oncle Pauli une défaite. On quitta la cité
d'urgence sans regarder en arrière. Je me trouvais
assis sur la benne du camion berlier avec les meubles.
l'oncle Pauli dans la cabine avec le chauffeur, Sylvie
et le petit Claude. Le départ fut brusque je me tenais
tien bien que mal. Je regardais en arrière et sous un
nuage de poussière, s'envole les souvenir de jadis.
L'engin n'a pas fait long feux, 2 coups de pelles
mécanique et , plus de maison. Le camion prit un
virage qui me coupa de tout vue sur la cité d'urgence.
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l’installation dans notre nouvelle appartement sefaisait petite a petit. A partir de là, Sylvie retrouvait
tous les samedis soir le restaurant privé. Son absence
devenait une routine comme cette venu de pourboire
qui relevait notre situation financière. Nous pouvions
acheter de nouveau meubles de première qualité.
Sylvie n'apportait pas que de l'argent, un bijou qui
ne venait pas de l'italien, mais, du vieille homme lui
faisait la cour a sa manière. Les samedi on jouais
aux jeux de cartes. Le petit Claude n'était plus
bouleversé sur l’absence de sa mère, il s'endormait
comme d’habitude.
Avec la routine, passe les jours , les semaines ,
voir les mois. Notre premier Noël dans l'appartement
se fêtait glorieusement. Le petit Claude parlait
correctement lui aussi fut de partie.
Une journée comme les autres avec la routine
qui fut des nôtres, sur le chantier d'un lotissement
je me trouvais devant la bétonneuse qui tournait
tout en grinçant. L'oncle Pauli crépissait avec
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ardeur et savoir faire. Je lui montais fur et a mesuredu matérielle, puis je repartais recharger la
bétonnière de sable, d'eau et se ciment. J'eus du mal
a suivre car sur l'échafaudage ils furent au nombre
de trois a crépir. Suivit un incident qui déstabilisa
l'ensemble des éléments métallique. Les trois maçons
furent déstabilisé , certains projeté a terre. Oncle Pauli
tomba pique sur un tas de briques, un autre sur un tas
de sable et le troisième, par un réflexe chanceux
s’agrippa a une fenêtre entrouverte. Je courais
rapidement vers oncle Pauli, il n'eut de réaction car
il ne bougea plus.
Je saisi une échelle pour venir en aide a celui qui
resta suspendu au deuxième étage. Je tremblais tout
en agissant rapidement. Le troisième sur le tas de
sable n'eut rien il se releva comme si rien ne fut.
Nous voila autour de l'oncle Pauli, qui eut gardé
sa position. Les témoins de la maison en face,
appelèrent du secoure. Je me sentais responsable
de ce qui arriva . Je soupçonnais chaque manœuvre
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et objet quelconque. Notre patron arriva avantl'ambulance. Les pompiers transportèrent oncle
Pauli avec attention comme celui qui fut tombé
sur le tas de sable. 17 heures passé, je suivais 48
l'ambulance dans la voiture du patron vers
l’hôpital. Sur le parcoure, le patron m'eut
questionné, je ne su lui répondre.
Je resta a l’hôpital, impatients et anxieux. Je ne
rencontrai personne qui put me donner de ses
nouvelles sur sa santé. Mes pensées me jouèrent
des tours, vers le tragique sans faire de détour.
Mes yeux s'unifièrent suis je entrain de pleurer
comme un enfant ? Il fallut que des larmes vidèrent
mon surplus de peine. Un médecin venu me trouvé
pour explique ce qui alla suivre. Je ne compris pas
grand chose a par qu'il n'y eut que l’espoir qui
nous sortira de ce trous noir. A cette instant il fit
sombre comme une ombre. Je quittai l'hôpital a
pied jusqu’à notre adresse, il n'y eut plus de
servitude en transport.
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suite au n 3/8 de prendre le droit de juger
Ma raison d'être c'est de paraître.
Le roman est en cour de construction des changements
peuvent suivre.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
A ce jour, 21 01 2022, 165 722 lecteurs
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