7/8 PRENDRE LE DROIT DE JUGER ( roman sentimental n 7/8 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
suite 7/8 de PRENDRE LE DROIT
DE JUGER
144
La tourné des journées et des mois
défilèrent a grand pas. La fin de l'année fut proche
et Sylvie organisa comme de coutume une belle
soirée et tous les préparatifs habituelles. Tante Nina
restât gravé dans nos souvenirs et nos cœurs. Le
sapin fut garnie de guirlande,de boules de
mandarines,de chocolats, de paquets multicolores.
Le brillant des yeux des enfants refléta mille joies.
L’impatience joua des tours, les enfants n'eurent pas
faim ce qu'ils voulurent ce fut l'ouverture des paquets.
pour me la remettre elle préféra attendre la fin de la
soirée lorsque les enfants savourèrent leur nuit de
rêves. Mais ils ne voulurent point se coucher de si
tôt et lorsque minuit sonna leur ardeur resta intacte.
Ce fut a deux heures du matin que leur besoin de
dormir les assaillit. Mon impatience alla connaître
ma surprise qui resta sous le sapin. Pour ce fait,
j'ouvris une bouteille de champagne. Pendant que
je rempli les verres, Sylvie chercha les relevées de
nos compte en banque.
- Voila la surprise
Elle prononça cela d'un air enchanté. Je fus
étonné et me demandai ce qui valut d'exceptionnelle
ces deux morceaux de papier.
Mon étonnement en fut comblé, j'appris que la
somme équivalente a la moitie de la valeur d'une
maison neuve se trouvai répartie entre nos différant
comptes en banque ? Cela me paru bizarre, d'où
promenai toute cette valeur, aurai elle gagner a
renseignements sur la personne que j'eus transporté ?
Dans ce cour instant mes idées transformèrent mon
état d'esprit, je pris peur.
- Qu'as tu Jean, tu es tout blanc ?
- C'est un choque que de voir toute cette somme la,
- J'ai décidé de mettre en vente tous mes bijoux et cela
ma rapporté toute cette valeur que nous possédâmes
sur nos compte en banque.
Je n'en revient pas et l'embrassa aussi fort que
l'amour que nous nous partageons.
- Mais Jean, j'ai une autre surprises bien plus grande
que celle ci.
Elle repartit vers la commode et en sortit un autre
bout de papier. Je restai dans mes songes comme dans
une bulle impatient d'apprendre la suite. Elle
m'annonça qu'un troisième enfant fut en route.
- Alors là, je tombe du ciel, un bonheur aussi beau
c'est le plus des cadeaux sur terre.
La joie se lut sur nos visages, je l'eus pris des mes
Ma peur eut suivi une autre route, je ne pensai plus
a cette triste affaire. Le futur eu plus de valeur que le
passé.
Dans l'entreprise où j'eus travaillé, ils
recherchèrent un magasiner. Cela tomba a pic, car,
j'acceptai sens hésitation. Avec ce travail sur place
plus besoin de se déplacer et la hantises de se laisser
amadoué par des auto-stoppeurs que je risquai de
prendre en charge.Partir en déplacement me donna le
cafard.
Me voilà dans un grand hangar où les
multiple étagères représentèrent les arbres, les allées
les routes et l'écot de ce vide les vallées. Donc je ne fut
pas perdu ni enchaîné entre des murs. Cette illusion
je me l'ai imaginée et trouva mon équilibre sans trots
déstabilisé. Je ne fut pas seul car 5 personnes
s'occupèrent de ce grand magasin. Mes collègues
promenèrent de différente région de France. La
sympathie fut une devise où tout échange de discutions
Dans mon projet familiale nous eûmes prit
possession d'un terrain viabilisé pour construire notre
habitation et il se trouva pas loin de mon lieux de
travail. Je possédai du temps libre pour faire une
grande partie de la construction.
Avec les semaines qui passèrent les briques se
montèrent et la maison pris forme comme au temps de
mon ancien travail de maçon, je n'eus pas perdu la main
et me réjouissais de ce savoir faire que m'eus appris
l'oncle Pauli. Il arriva que l'un de mes
collègues de travail me donna un coup de main.
Cette attention me donna du courage malgré que leur
savoir faire n'eut de qualité manuel ni technique mais
le fait de me prêter main forte suffît. Durant les pauses
nous nous retrouvâmes autour d'une table avec du
café. Les discutions allèrent bon train. On y pris coût
et cela devient un rituel. Nous enchaînâmes sur
l'actualité qui parla de politique et de faits divers, de
ce fait, je leur apportai le journal. Certaines discutions
cela qui pas ses manières en firent un tombeur de fille.
Il s'en venta ci bien qu'il nous fit comprendre que plus il y
eut de relations et plus de filles tombèrent sous son
charme. Pour moi cette attitude ne répondit point a ma
raison de vivre en couple. Je ne fus pas seul car cette
attention plaça de mon coté un homme d'un demis siècle
bien sonné. Pourtant il fut un camarade
de travail très conviviale. Il eut terminé son service
militaire en ayant fait un devancement d'appel, cela
luit permis d'ouvrir la porte de son avenir. Il fut de
quatre années plus jeunes que moi. Je reconnu que
son physique de tombeur de filles rima avec ses
expressions. Pourtant, je trouvai que la manière qu'il
se venta fit ressentir en moi une supercherie.
Son imagination fabuleuse suivirent ses multiples
conquêtes. Souvent nous racontâmes nos anecdotes
durant les poses. Je restai en retrait, car vis-a-vis des
autres magasinés, je n'eus qu'une conquête et ce fut la
plus belle de mes recettes, un grand amour qui dure
une autre. Je ne voulus leur divulguer toutes mes
aventures et me gardai de rester sage. Par contre
j'écoutai avec philosophie leurs prouesses et leur défies.
Jérémie eut une certaine particularité pour s'exprimer
en amour d'après lui, cette acte ce concrétise comme
une distribution de boisson que l'on attribua à n'importe
quelle femme sans une distinction.
Résonnerait-il comme un animal ? Le partage
sentimental c'est tout autre chose, c'est pour moi la clé
d'une porte faite de réussite. Je ne dévoilerai aucun
complément imaginaire ni même réelle.
Ce qui fut notre amour tient toujours car le fruit de
cette valeur sut porté ses valeurs. Ce n'est pas en
forçant que l'on obtient le consentement mais belle et
bien en partageant nos sentiments réciproque.
Allez faire la morale ne rapporte que du banal ou même
l'immorale. Leur marcher sur leur convictions serait le
fruit d'une contradiction ce qui fera des opposants. Je
reste sur mes réflexions et nourrie ma philosophie.
tournèrent pas bien rond. A notre pose café des
chauffeurs vinrent s'y coller parfois nous fumes jusqu’à
10 personnes.
Ma petite famille se porta à merveille, surtout les
enfants qui s'étonnèrent de la grosseur de Sylvie qu'ils
questionnèrent sans relâche au sujet du sexe du futur
nouveau née. Leur curiosité ne récolta pas les bonnes
explications car Sylvie ne donna de réponse concrète.
Le sur poids de Sylvie devient la source d'une fatigue
gênante. Chacune de ses grossesses eut sa part de vérité
mais celle ci fut différente par les difficultés qu'elle
engendra. De nombreux repas absorbés revinrent sans
prévenir. Son visages se marqua de souffrance qu'elle
cacha sous un sourire éclatant. La grossesse ne
fut pas un châtiment mais belle et bien une action
sentimentale qui mérite d'être mené jusqu’à terme.
Sylvie représente la fleur qui veut éclore pour prouver
que le bonheur activa la créativité. J'eus pitié
quatrième fois ne sera pas un bon choix.
Cela fait bien trois mois que Sylvie ne travailla plus
chez sa patronne. Elle eut préféré renoncer car le
besoin continuelle de repos fut plus utile que le salaire.
Elle approcha du 7 em mois et la douleur devint plus
forte. Le médecin de famille la fit hospitaliser, il y eut
un danger. Un traitement de cheval lui fut imposé, des
piqûres à n'en pas finir et des médicaments à faire
rougir. Cette prescription eut duré trois semaines
accompagné de notre inquiétude a tous sans connaitre
au juste le pourquoi de cette hospitalisation. Suite a
notre mécontentement nous signâmes une décharge
pour retrouver notre part de liberté. Les enfants
conjuguèrent retrouvaille et joie pour que la santé de
leur maman les rende rassurant.
L'été brilla de toute sa chaleur comme le
savoir faire des professionnelles du bâtiment qui
réusinèrent leurs métiers. Notre future maison avança
empreinte. L'objectif de nos ambitions se fut que
la maison fut terminé à la naissance de notre futur
enfant. Notre imagination alla bien loin, nous sûmes
où l'emplacement de la balançoire prendra place.
Claude eut des projets qui firent en sorte qu'une pièce
pour jouer sois plaise prêt de la chaudière car dans
son imagination il prédit que se trouver prêt de la
chaleur réconfortante sera plus raisonnable en hiver.
Sylvie se préoccupa de l'emplacement des chambres à
coucher car quant le nouveau née sera là, elle
aimera l'avoir a droite de la chambre des garçons. Elle
fut persuadé que ce sera une petite fille. Je lui fis
confiance et travailla en sorte que tout mon petit monde
y trouve son bonheur.
Le mois de congé passa bien vite et le jour de la
naissance aussi. Sylvie eut du ma à bouger, il m'eut
semblé que sa grossesse fut plus prononcé que les deux
autres. Le médecin de famille l’encouragera de son
mieux et voulu à plusieurs reprise lui dévoiler le sexe de
préféra le découvrir le jour de la naissance. Les enfants
lui demandèrent a mainte reprise, même là, elle ne céda
pas.
Le jour temps attendu se manifesta, il fit une chaleur
étouffante et la nuit lourde et accablante. 22 heures ,
Sylvie ressentit des contractions comme prévu nous
eûmes contacté la voisine qui prit en charge les
enfants. Ce fut à 2 heures du matin que le travail
commença. Je pris la petite valise prête pour l’occasion.
Nous rejoignons la voiture avec hâte car le fait de
descendre les marches augmenta les risques. J'eus gardé
mon sang froid malgré que mon état nerveux me joua
des tours. Avec rapidité je pus rejoindre l'hôpital, pas
de ralentissement car peut de véhicule circulèrent. Mon
attention se partagea entre la route et Sylvie qui se
trouva à mes côté. Elle transpira et se tient son ventre.
J'implorai la chance comme d'autres leur Dieu pour
que nous arrivâmes sans embarra à l'hôpital.
Enfin, devant les portes du bâtiment de la maternité ;
minutes passèrent elles ressemblèrent a des heures.
Une seconde réplique, puis une autre et une autre,
rien . Sylvie s'eut adossé contre le mur, et elle eut dit,
- Je sens que le nouveau née arrive.
- Retiens le, j'entant des pas dans le couloir.
J'eus appuyé de nouveau sur la sonnette, personne
ne marcha dans le couloir je l'eus dit pour quelle garde
confiance. Puis, le mécanisme d'une serrure déclencha
l'ouverture de cette grande porte en chêne blanc.
Nous pénétrons dans ce grand couloir clair et suivîmes
cette personne vêtu d'une blouse blanche. Sylvie eut
de la peine a marcher, il fallut monter au premier sans
ascenseur, chaque marche fut une corvée. Arrivé à
l'étage, une seconde personne nous attendit.
Ensemble nous rejoignîmes la salle d'accouchement.
prévu pour l'événement. La sage-femme contacta le
médecin de garde. Elle tenta de connaître, pars son
touché, dans quelle position se trouva l'enfant.
- C'est une routine, mais quand l'on n'est pas
- Avez -vous déjà accompagné votre femme à un
accouchement monsieur ?
- Oui madame.
- Ce que je peux vous dire c'est que l'enfant
sortira les pieds en premier, le risque que l'on
encoure c'est que l'enfant pourrait s'étouffer
sans l'aide d'une chirurgie, c'est cet acte-là qui
nécessite la présence d'un médecin.
Une sueur froide classa mon dos, car je ne m'attendis
pas a ce que des complications risquèrent de nuire
notre famille.
- Étiez-vous tenu au courant monsieur de ce
problème ,
- Non madame, je ne le savais pas.
- Votre femme ne vous l'avais pas dit ?
- Certainement qu'elle ne voulut m’inquiéter
madame ?
- Voulez- vous suivre l'accouchement monsieur ?
- Oui madame, je l'eus accompagné pour le
pas celui ci ?
- Le sang ne vous fait pas peur ?
- Non.
Je me trouvai sur une longueur d'onde qui déféra
des autres accouchements. La présence de sang n'eut
jamais marqué une naissance donc, je ne m'attendis
pas à ce que cette réflexion puisse porter un recule
de ma part sur l'accompagnement de Sylvie. Je la
suivrai jusqu'au bout quoi qu'il puisse arriver. le
regard de Sylvie croisa le mien et dans cette fraction
de seconde j'eus deviné qu'elle marqua une culpabilité
de ne point me l'avoir annoncé. Bref, maintenant il
faut gérer et tout espoir ouvre la porte de la victoire.
Malgré qu'une peur se manifesta nos engagements
suivirent notre volonté, celle de réussir. La venue
du médecin devient interminable, les minutes des
heures et le visage de Sylvie transpira de plus belle.
Ses gémissements furent soulagés par des piqûres qui
retardèrent l'accouchement. Le médecin arriva, enfin,
fatiguèrent Sylvie, le contrôle du travail ne fut plus
maîtrise et deux petits pieds sortirent sans tarder du
corps de Sylvie. Le mot poussé et aspirer se
conjuguèrent sans relâche. Je tiens une main de Sylvie
et avec l'autre je lui essuyai son front.
Je répétai ce que la sage-femme prononça et
l'encouragea sans relâche. Le rythme horloge de
pousser et d'inspirer suivi les mouvements car les pieds
devinrent plus long, son basin vint a l'air et le médecin
tient les cuisses du nouveau née. Ma curiosité
se plaça à, un jet d'urine atteignait le costume du
médecin qui n'eut pas le temps de se changer,
- C'est une petite fille Sylvie tu peux la sauver.
Le mot sauvé redonna une nouvelle force et le
travaille reprit du moins ce que je pensai car la tête
fut trop grande pour sortir de son emprisonnement.
Le médecin prit une sorte de couteau(scalpel) très
coupant qu'il clissa sur le ventre de Sylvie, lequel
s'agrandit sans résistance et avec peu de saignement.
se transforma en la couleur humaine. La chance fut
avec nous car le cordon ombilicale n'eut point étouffé le
nouveau-né. L'apparition du placenta permit enfin de
terminer le travail.
Les premiers cries de l'enfant nous enveloppèrent de
bonheur. Sylvie vient a nouveau de remporter une
bataille digne du plus grand général. La victoire se
refléta dans le brillant de nos yeux. Deux pinces
placé à un intervalle rapproché furent fixé sur le
cordon qui relia la mère a l'enfant. J'eus l'honneur de
couper ce lieu précieux. A la suite d'une piqûre
Sylvie fut reconnu pendant ce temps ; j'eus pris l'enfant
dans mes bras qui fut couché sur le ventre de Sylvie.
J'eus quitté cette salle tout en tenant cette petite créature,
enveloppé dans une couverture contre moi et me
plaça sur un banc du couloir. La joie de me retrouver a
nouveau père me redonna une fierté.
la personne qui la plaça dans une couveuse. Avec
hâte, je retrouvai mes enfants pour leur faire part
qu'une petite fille qui leur tiendra compagnie. Nous
décidions Sylvie et moi de l'appeler Claudine.
J'arrivai à 4 heures du main et les enfants dormirent,
je reportai à leur réveille la surprise. Il me resta
deux heures jusqu'à leur réveille. Je m'allongeai sur
le canapé et m'assoupissais au bout de peu de minutes.
Plongé dans mon sommeille, je ne m'eus rendu
compte que le temps eut passé. Ce fut Claude qui me
réveilla eu me disant qu'il alla être en retard pour
l'école. Je regardai ma montre et remarqua que je
viens de somnoler trois heures d'affilé.
- Claude, Jean dort'il encore ?
- Mais papa est ce un garçon ou une petite sœur ?
- C'est une petite sœur qui s’appellera Claudine.
La réponse que je lui dis ne l’impressionna nullement.
Il me fit comprendre, d'un air persuasif,
- Je le sus que ce sera une petite sœur qui comblera
- Comme tu es au courant savais tu qu'elle s'appelle
Claudine ?
- Qui papa mais je le gardais pour moi, tu as droits
aussi a une surprise.
La joie trôna dans mon coeur car ses yeux scintillèrent
de mille enchères comme des diamants de grande
valeur. Le regard de Claude réveilla en moi
l'intuition du même bonheur. On évoqua ensemble
la question,
- Que dira Jean a son réveille, lorsqu'il apprendre
que c'est une petite sœur ?
Je ressenti une angoisse car souvent la jalousie
d'un enfant envers ses frères ou sœurs peut transformer
une vie en une mésentente continuelle. L'ensemble
de la famille pourrait en subir des conséquences. Je me
suis rapproché de sa chambre et ma surprise fut
grande car je découvris Jean accolé à la porte
entre ouverte entrain de suivre notre conversation.
- Où est maman ?
Le petit Jean fut grognant. Venais je de faire une
faute? Sut alors, je me rattrape et lui dis,
- Elle s'appelle Claudine ta petite sœur,
- J'aimerai voire ma petite sœur Claudine.
Je ne m'attendis pas à cette réflexion et Claude dit
- Il faut que nous allons à l'école Jean ensuite on ira
voir maman
- Tu as raison Claude, maman est fatigué, après
l'école on ira la trouver.
Je ne pensai pas me tirer à si bon compte et le file
de la journée fut longue. L'impatience sous la tutelle
de la curiosité fut le facteur de cet envoûtement.
L'instituteur me fit comprendre que Jean fut impatient
et incontrôlable. Je ne pris gars sur ses remarques et
passa l'éponge. Je fus enchanté que Jean tenu autant
d’import ace à voir sa maman et sa
petite sœur. ma fierté de pouvoir présenter Claudine
et sa maman a mes garçons me rendit heureux malgré
l’indiscrétion de mes enfants.
perdu le langage à la vue de leur sœur et leur maman.
L'émerveillement devant le berceau transparent les
rendit curieux et observateur. Sylvie garda une fatigue
sur son visage mais, a la vue de la joie qu'endossèrent
ses enfants elle reprit courage et effaça sa faiblesse.
Le retour dans mon lieu de travail renferma en moi
une certaine valeur celle de pouvoir raconter l'histoire
de la venu de Claudine. Avec cela, j'eus rapporté de
quoi arroser l'honneur que j'accordai a la naissance de
ma fille Claudine. Aucun d'entre eux ne put raconter
une aussi belle histoire qu'est la naissance d'un enfant.
Les dernières journées de cette année-là
magasinèrent une multitude de changement dans notre
vie. La maison fut habitable et il nous tarda de pouvoir
exprimer nôtres bonheur dans une nouvelle demeure.
Notre satisfaction se lut sur nos cœurs. Nous hume un
sapin de noël avec racine placé dans un sceau
rempli de terre. Il fut prévu de le planter dans le jardin
à la fin des fêtes. De cette manière il honora pendant
décimation accumula le savoir-faire de Sylvie
et bien entendu des enfants qui lui prêtèrent main forte.
Il y eut une multitude de guirlandes électrique ornée
de nombreuses couleurs qui l'enrichirent. A son pied,
fut éparpillé des paquets pour chacun d'entre nous.
Claudine y eut aussi droit. Ce fut a minuit que la
distribution se fit. Jean se proposa pour ouvrir le
paquet de Claudine car il nous fit comprendre qu'elle
fut trop petite pour se débrouiller seule. J'eus pensé
que sa curiosité fut le fruit de sa proposition car même
son propre paquet ne l'attira point il l'oublia.
Janvier, l'année reprint à mon lieu de travail avec
dans notre objectif d'une suite heureux événement que
l'on discuta à la pause du café. Jérémie nous eut étonné
avec une histoire de drague qu'il eut fait à une soirée
du nouvel an. Sous disant, il eut des relations
sexuelles avec deux femmes en même temps. Cette
exploit fit rêver certain d'entre nous car il exprima
pornographique et d'une manière telle que chaque
détaille fut évoqué. On resta bouche bai.
Petit a petit le groupe se dispersa, je restai près
pour ranger les ustensiles. Cette manœuvre fit partie
de ma curiosité pour lui poser quelques questions,
- Comment as tu fais Jérémie pour faire l'amour
avec deux femmes ?
Je n'obtiens de réponse concrété car, il bafouilla
continuellement. Son imagination ne trouva de réponse
à ma question. Je conclu qu'il tenta de nous brouiller
par ses commentaires. Pour moi, tous ce qu'il nous
eut dit ne fut qu'un leurre pour se valoriser. Je
remarqua que son comportement eut une drôle de
manière d'exprimer sa défaite, il rougit et prit ses doigts
en bouche pour ronger ses oncles. Je vins de découvrir
sa réaction en cas de mensonge.
Cette petite anecdote ne change rien a notre
train-train quotidien. La vie suivit son cour et les jours
enlacèrent les semaines. Les enfants se portèrent à
Notre maison eut pris une belle présentation avec
toutes les finitions, quant au jardin, les fleurs
l'embellirent de plus belle. Cette bienveillance fut
l'artiste de la maison qui par son savoir faire
jardinier en fit une valeur.
Les deux frères s'en donnèrent à coeur joie sur le
gazon comme sur les balançoires que je leur eu monté.
La petite Claudine couché dans son landau papota
des syllabes incompréhensible tout en tenant son
ourson en peluche.
suite au 8/8
Le roman est en cour de construction des changements
peuvent suivre.
défilèrent a grand pas. La fin de l'année fut proche
et Sylvie organisa comme de coutume une belle
soirée et tous les préparatifs habituelles. Tante Nina
restât gravé dans nos souvenirs et nos cœurs. Le
sapin fut garnie de guirlande,de boules de
mandarines,de chocolats, de paquets multicolores.
Le brillant des yeux des enfants refléta mille joies.
L’impatience joua des tours, les enfants n'eurent pas
faim ce qu'ils voulurent ce fut l'ouverture des paquets.
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Sylvie me réservai une grande surprise, mais,pour me la remettre elle préféra attendre la fin de la
soirée lorsque les enfants savourèrent leur nuit de
rêves. Mais ils ne voulurent point se coucher de si
tôt et lorsque minuit sonna leur ardeur resta intacte.
Ce fut a deux heures du matin que leur besoin de
dormir les assaillit. Mon impatience alla connaître
ma surprise qui resta sous le sapin. Pour ce fait,
j'ouvris une bouteille de champagne. Pendant que
je rempli les verres, Sylvie chercha les relevées de
nos compte en banque.
- Voila la surprise
Elle prononça cela d'un air enchanté. Je fus
étonné et me demandai ce qui valut d'exceptionnelle
ces deux morceaux de papier.
Mon étonnement en fut comblé, j'appris que la
somme équivalente a la moitie de la valeur d'une
maison neuve se trouvai répartie entre nos différant
comptes en banque ? Cela me paru bizarre, d'où
promenai toute cette valeur, aurai elle gagner a
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la loterie national ? ou a telle donné desrenseignements sur la personne que j'eus transporté ?
Dans ce cour instant mes idées transformèrent mon
état d'esprit, je pris peur.
- Qu'as tu Jean, tu es tout blanc ?
- C'est un choque que de voir toute cette somme la,
- J'ai décidé de mettre en vente tous mes bijoux et cela
ma rapporté toute cette valeur que nous possédâmes
sur nos compte en banque.
Je n'en revient pas et l'embrassa aussi fort que
l'amour que nous nous partageons.
- Mais Jean, j'ai une autre surprises bien plus grande
que celle ci.
Elle repartit vers la commode et en sortit un autre
bout de papier. Je restai dans mes songes comme dans
une bulle impatient d'apprendre la suite. Elle
m'annonça qu'un troisième enfant fut en route.
- Alors là, je tombe du ciel, un bonheur aussi beau
c'est le plus des cadeaux sur terre.
La joie se lut sur nos visages, je l'eus pris des mes
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bras en la serrant aussi fort que notre joie.Ma peur eut suivi une autre route, je ne pensai plus
a cette triste affaire. Le futur eu plus de valeur que le
passé.
Dans l'entreprise où j'eus travaillé, ils
recherchèrent un magasiner. Cela tomba a pic, car,
j'acceptai sens hésitation. Avec ce travail sur place
plus besoin de se déplacer et la hantises de se laisser
amadoué par des auto-stoppeurs que je risquai de
prendre en charge.Partir en déplacement me donna le
cafard.
Me voilà dans un grand hangar où les
multiple étagères représentèrent les arbres, les allées
les routes et l'écot de ce vide les vallées. Donc je ne fut
pas perdu ni enchaîné entre des murs. Cette illusion
je me l'ai imaginée et trouva mon équilibre sans trots
déstabilisé. Je ne fut pas seul car 5 personnes
s'occupèrent de ce grand magasin. Mes collègues
promenèrent de différente région de France. La
sympathie fut une devise où tout échange de discutions
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pris part dans nos réflexions. Chacune dissuada l'autre.Dans mon projet familiale nous eûmes prit
possession d'un terrain viabilisé pour construire notre
habitation et il se trouva pas loin de mon lieux de
travail. Je possédai du temps libre pour faire une
grande partie de la construction.
Avec les semaines qui passèrent les briques se
montèrent et la maison pris forme comme au temps de
mon ancien travail de maçon, je n'eus pas perdu la main
et me réjouissais de ce savoir faire que m'eus appris
l'oncle Pauli. Il arriva que l'un de mes
collègues de travail me donna un coup de main.
Cette attention me donna du courage malgré que leur
savoir faire n'eut de qualité manuel ni technique mais
le fait de me prêter main forte suffît. Durant les pauses
nous nous retrouvâmes autour d'une table avec du
café. Les discutions allèrent bon train. On y pris coût
et cela devient un rituel. Nous enchaînâmes sur
l'actualité qui parla de politique et de faits divers, de
ce fait, je leur apportai le journal. Certaines discutions
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parlèrent d'histoires sentimentales, Jérémie fut un decela qui pas ses manières en firent un tombeur de fille.
Il s'en venta ci bien qu'il nous fit comprendre que plus il y
eut de relations et plus de filles tombèrent sous son
charme. Pour moi cette attitude ne répondit point a ma
raison de vivre en couple. Je ne fus pas seul car cette
attention plaça de mon coté un homme d'un demis siècle
bien sonné. Pourtant il fut un camarade
de travail très conviviale. Il eut terminé son service
militaire en ayant fait un devancement d'appel, cela
luit permis d'ouvrir la porte de son avenir. Il fut de
quatre années plus jeunes que moi. Je reconnu que
son physique de tombeur de filles rima avec ses
expressions. Pourtant, je trouvai que la manière qu'il
se venta fit ressentir en moi une supercherie.
Son imagination fabuleuse suivirent ses multiples
conquêtes. Souvent nous racontâmes nos anecdotes
durant les poses. Je restai en retrait, car vis-a-vis des
autres magasinés, je n'eus qu'une conquête et ce fut la
plus belle de mes recettes, un grand amour qui dure
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toujours. Jamais il m'est venu a l’esprit de rencontrerune autre. Je ne voulus leur divulguer toutes mes
aventures et me gardai de rester sage. Par contre
j'écoutai avec philosophie leurs prouesses et leur défies.
Jérémie eut une certaine particularité pour s'exprimer
en amour d'après lui, cette acte ce concrétise comme
une distribution de boisson que l'on attribua à n'importe
quelle femme sans une distinction.
Résonnerait-il comme un animal ? Le partage
sentimental c'est tout autre chose, c'est pour moi la clé
d'une porte faite de réussite. Je ne dévoilerai aucun
complément imaginaire ni même réelle.
Ce qui fut notre amour tient toujours car le fruit de
cette valeur sut porté ses valeurs. Ce n'est pas en
forçant que l'on obtient le consentement mais belle et
bien en partageant nos sentiments réciproque.
Allez faire la morale ne rapporte que du banal ou même
l'immorale. Leur marcher sur leur convictions serait le
fruit d'une contradiction ce qui fera des opposants. Je
reste sur mes réflexions et nourrie ma philosophie.
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Je restai sur mes gardes car souvent leurs exploits netournèrent pas bien rond. A notre pose café des
chauffeurs vinrent s'y coller parfois nous fumes jusqu’à
10 personnes.
Ma petite famille se porta à merveille, surtout les
enfants qui s'étonnèrent de la grosseur de Sylvie qu'ils
questionnèrent sans relâche au sujet du sexe du futur
nouveau née. Leur curiosité ne récolta pas les bonnes
explications car Sylvie ne donna de réponse concrète.
Le sur poids de Sylvie devient la source d'une fatigue
gênante. Chacune de ses grossesses eut sa part de vérité
mais celle ci fut différente par les difficultés qu'elle
engendra. De nombreux repas absorbés revinrent sans
prévenir. Son visages se marqua de souffrance qu'elle
cacha sous un sourire éclatant. La grossesse ne
fut pas un châtiment mais belle et bien une action
sentimentale qui mérite d'être mené jusqu’à terme.
Sylvie représente la fleur qui veut éclore pour prouver
que le bonheur activa la créativité. J'eus pitié
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d'elle et me suis dit que de la voire souffrir unequatrième fois ne sera pas un bon choix.
Cela fait bien trois mois que Sylvie ne travailla plus
chez sa patronne. Elle eut préféré renoncer car le
besoin continuelle de repos fut plus utile que le salaire.
Elle approcha du 7 em mois et la douleur devint plus
forte. Le médecin de famille la fit hospitaliser, il y eut
un danger. Un traitement de cheval lui fut imposé, des
piqûres à n'en pas finir et des médicaments à faire
rougir. Cette prescription eut duré trois semaines
accompagné de notre inquiétude a tous sans connaitre
au juste le pourquoi de cette hospitalisation. Suite a
notre mécontentement nous signâmes une décharge
pour retrouver notre part de liberté. Les enfants
conjuguèrent retrouvaille et joie pour que la santé de
leur maman les rende rassurant.
L'été brilla de toute sa chaleur comme le
savoir faire des professionnelles du bâtiment qui
réusinèrent leurs métiers. Notre future maison avança
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a grand pas. Tous nos congés y marquèrent leurempreinte. L'objectif de nos ambitions se fut que
la maison fut terminé à la naissance de notre futur
enfant. Notre imagination alla bien loin, nous sûmes
où l'emplacement de la balançoire prendra place.
Claude eut des projets qui firent en sorte qu'une pièce
pour jouer sois plaise prêt de la chaudière car dans
son imagination il prédit que se trouver prêt de la
chaleur réconfortante sera plus raisonnable en hiver.
Sylvie se préoccupa de l'emplacement des chambres à
coucher car quant le nouveau née sera là, elle
aimera l'avoir a droite de la chambre des garçons. Elle
fut persuadé que ce sera une petite fille. Je lui fis
confiance et travailla en sorte que tout mon petit monde
y trouve son bonheur.
Le mois de congé passa bien vite et le jour de la
naissance aussi. Sylvie eut du ma à bouger, il m'eut
semblé que sa grossesse fut plus prononcé que les deux
autres. Le médecin de famille l’encouragera de son
mieux et voulu à plusieurs reprise lui dévoiler le sexe de
154
l'enfant, rien ni fit, elle se tenait à ses présomptions etpréféra le découvrir le jour de la naissance. Les enfants
lui demandèrent a mainte reprise, même là, elle ne céda
pas.
Le jour temps attendu se manifesta, il fit une chaleur
étouffante et la nuit lourde et accablante. 22 heures ,
Sylvie ressentit des contractions comme prévu nous
eûmes contacté la voisine qui prit en charge les
enfants. Ce fut à 2 heures du matin que le travail
commença. Je pris la petite valise prête pour l’occasion.
Nous rejoignons la voiture avec hâte car le fait de
descendre les marches augmenta les risques. J'eus gardé
mon sang froid malgré que mon état nerveux me joua
des tours. Avec rapidité je pus rejoindre l'hôpital, pas
de ralentissement car peut de véhicule circulèrent. Mon
attention se partagea entre la route et Sylvie qui se
trouva à mes côté. Elle transpira et se tient son ventre.
J'implorai la chance comme d'autres leur Dieu pour
que nous arrivâmes sans embarra à l'hôpital.
Enfin, devant les portes du bâtiment de la maternité ;
155
elle fut fermé. J'eus sonné , personne ne répondit, et, lesminutes passèrent elles ressemblèrent a des heures.
Une seconde réplique, puis une autre et une autre,
rien . Sylvie s'eut adossé contre le mur, et elle eut dit,
- Je sens que le nouveau née arrive.
- Retiens le, j'entant des pas dans le couloir.
J'eus appuyé de nouveau sur la sonnette, personne
ne marcha dans le couloir je l'eus dit pour quelle garde
confiance. Puis, le mécanisme d'une serrure déclencha
l'ouverture de cette grande porte en chêne blanc.
Nous pénétrons dans ce grand couloir clair et suivîmes
cette personne vêtu d'une blouse blanche. Sylvie eut
de la peine a marcher, il fallut monter au premier sans
ascenseur, chaque marche fut une corvée. Arrivé à
l'étage, une seconde personne nous attendit.
Ensemble nous rejoignîmes la salle d'accouchement.
prévu pour l'événement. La sage-femme contacta le
médecin de garde. Elle tenta de connaître, pars son
touché, dans quelle position se trouva l'enfant.
- C'est une routine, mais quand l'on n'est pas
156
certain on demande au médecin de garde.- Avez -vous déjà accompagné votre femme à un
accouchement monsieur ?
- Oui madame.
- Ce que je peux vous dire c'est que l'enfant
sortira les pieds en premier, le risque que l'on
encoure c'est que l'enfant pourrait s'étouffer
sans l'aide d'une chirurgie, c'est cet acte-là qui
nécessite la présence d'un médecin.
Une sueur froide classa mon dos, car je ne m'attendis
pas a ce que des complications risquèrent de nuire
notre famille.
- Étiez-vous tenu au courant monsieur de ce
problème ,
- Non madame, je ne le savais pas.
- Votre femme ne vous l'avais pas dit ?
- Certainement qu'elle ne voulut m’inquiéter
madame ?
- Voulez- vous suivre l'accouchement monsieur ?
- Oui madame, je l'eus accompagné pour le
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dernier, pour quelle raison ne suivrais jepas celui ci ?
- Le sang ne vous fait pas peur ?
- Non.
Je me trouvai sur une longueur d'onde qui déféra
des autres accouchements. La présence de sang n'eut
jamais marqué une naissance donc, je ne m'attendis
pas à ce que cette réflexion puisse porter un recule
de ma part sur l'accompagnement de Sylvie. Je la
suivrai jusqu'au bout quoi qu'il puisse arriver. le
regard de Sylvie croisa le mien et dans cette fraction
de seconde j'eus deviné qu'elle marqua une culpabilité
de ne point me l'avoir annoncé. Bref, maintenant il
faut gérer et tout espoir ouvre la porte de la victoire.
Malgré qu'une peur se manifesta nos engagements
suivirent notre volonté, celle de réussir. La venue
du médecin devient interminable, les minutes des
heures et le visage de Sylvie transpira de plus belle.
Ses gémissements furent soulagés par des piqûres qui
retardèrent l'accouchement. Le médecin arriva, enfin,
158
le travail put continuer. Les efforts et la souffrancefatiguèrent Sylvie, le contrôle du travail ne fut plus
maîtrise et deux petits pieds sortirent sans tarder du
corps de Sylvie. Le mot poussé et aspirer se
conjuguèrent sans relâche. Je tiens une main de Sylvie
et avec l'autre je lui essuyai son front.
Je répétai ce que la sage-femme prononça et
l'encouragea sans relâche. Le rythme horloge de
pousser et d'inspirer suivi les mouvements car les pieds
devinrent plus long, son basin vint a l'air et le médecin
tient les cuisses du nouveau née. Ma curiosité
se plaça à, un jet d'urine atteignait le costume du
médecin qui n'eut pas le temps de se changer,
- C'est une petite fille Sylvie tu peux la sauver.
Le mot sauvé redonna une nouvelle force et le
travaille reprit du moins ce que je pensai car la tête
fut trop grande pour sortir de son emprisonnement.
Le médecin prit une sorte de couteau(scalpel) très
coupant qu'il clissa sur le ventre de Sylvie, lequel
s'agrandit sans résistance et avec peu de saignement.
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L'enfant vie enfin le jour et la couleur grise de sa peause transforma en la couleur humaine. La chance fut
avec nous car le cordon ombilicale n'eut point étouffé le
nouveau-né. L'apparition du placenta permit enfin de
terminer le travail.
Les premiers cries de l'enfant nous enveloppèrent de
bonheur. Sylvie vient a nouveau de remporter une
bataille digne du plus grand général. La victoire se
refléta dans le brillant de nos yeux. Deux pinces
placé à un intervalle rapproché furent fixé sur le
cordon qui relia la mère a l'enfant. J'eus l'honneur de
couper ce lieu précieux. A la suite d'une piqûre
Sylvie fut reconnu pendant ce temps ; j'eus pris l'enfant
dans mes bras qui fut couché sur le ventre de Sylvie.
J'eus quitté cette salle tout en tenant cette petite créature,
enveloppé dans une couverture contre moi et me
plaça sur un banc du couloir. La joie de me retrouver a
nouveau père me redonna une fierté.
160
Dix minutes plus tard, je dus remettre l'enfant àla personne qui la plaça dans une couveuse. Avec
hâte, je retrouvai mes enfants pour leur faire part
qu'une petite fille qui leur tiendra compagnie. Nous
décidions Sylvie et moi de l'appeler Claudine.
J'arrivai à 4 heures du main et les enfants dormirent,
je reportai à leur réveille la surprise. Il me resta
deux heures jusqu'à leur réveille. Je m'allongeai sur
le canapé et m'assoupissais au bout de peu de minutes.
Plongé dans mon sommeille, je ne m'eus rendu
compte que le temps eut passé. Ce fut Claude qui me
réveilla eu me disant qu'il alla être en retard pour
l'école. Je regardai ma montre et remarqua que je
viens de somnoler trois heures d'affilé.
- Claude, Jean dort'il encore ?
- Mais papa est ce un garçon ou une petite sœur ?
- C'est une petite sœur qui s’appellera Claudine.
La réponse que je lui dis ne l’impressionna nullement.
Il me fit comprendre, d'un air persuasif,
- Je le sus que ce sera une petite sœur qui comblera
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notre famille.- Comme tu es au courant savais tu qu'elle s'appelle
Claudine ?
- Qui papa mais je le gardais pour moi, tu as droits
aussi a une surprise.
La joie trôna dans mon coeur car ses yeux scintillèrent
de mille enchères comme des diamants de grande
valeur. Le regard de Claude réveilla en moi
l'intuition du même bonheur. On évoqua ensemble
la question,
- Que dira Jean a son réveille, lorsqu'il apprendre
que c'est une petite sœur ?
Je ressenti une angoisse car souvent la jalousie
d'un enfant envers ses frères ou sœurs peut transformer
une vie en une mésentente continuelle. L'ensemble
de la famille pourrait en subir des conséquences. Je me
suis rapproché de sa chambre et ma surprise fut
grande car je découvris Jean accolé à la porte
entre ouverte entrain de suivre notre conversation.
- Où est maman ?
162
- Elle est resté à l’hôpital avec ta sœur.Le petit Jean fut grognant. Venais je de faire une
faute? Sut alors, je me rattrape et lui dis,
- Elle s'appelle Claudine ta petite sœur,
- J'aimerai voire ma petite sœur Claudine.
Je ne m'attendis pas à cette réflexion et Claude dit
- Il faut que nous allons à l'école Jean ensuite on ira
voir maman
- Tu as raison Claude, maman est fatigué, après
l'école on ira la trouver.
Je ne pensai pas me tirer à si bon compte et le file
de la journée fut longue. L'impatience sous la tutelle
de la curiosité fut le facteur de cet envoûtement.
L'instituteur me fit comprendre que Jean fut impatient
et incontrôlable. Je ne pris gars sur ses remarques et
passa l'éponge. Je fus enchanté que Jean tenu autant
d’import ace à voir sa maman et sa
petite sœur. ma fierté de pouvoir présenter Claudine
et sa maman a mes garçons me rendit heureux malgré
l’indiscrétion de mes enfants.
163
A l'hôpital leur réaction fut tranchante, car ils eurentperdu le langage à la vue de leur sœur et leur maman.
L'émerveillement devant le berceau transparent les
rendit curieux et observateur. Sylvie garda une fatigue
sur son visage mais, a la vue de la joie qu'endossèrent
ses enfants elle reprit courage et effaça sa faiblesse.
Le retour dans mon lieu de travail renferma en moi
une certaine valeur celle de pouvoir raconter l'histoire
de la venu de Claudine. Avec cela, j'eus rapporté de
quoi arroser l'honneur que j'accordai a la naissance de
ma fille Claudine. Aucun d'entre eux ne put raconter
une aussi belle histoire qu'est la naissance d'un enfant.
Les dernières journées de cette année-là
magasinèrent une multitude de changement dans notre
vie. La maison fut habitable et il nous tarda de pouvoir
exprimer nôtres bonheur dans une nouvelle demeure.
Notre satisfaction se lut sur nos cœurs. Nous hume un
sapin de noël avec racine placé dans un sceau
rempli de terre. Il fut prévu de le planter dans le jardin
à la fin des fêtes. De cette manière il honora pendant
164
toute notre vie notre premier réveillon a quatre. Sadécimation accumula le savoir-faire de Sylvie
et bien entendu des enfants qui lui prêtèrent main forte.
Il y eut une multitude de guirlandes électrique ornée
de nombreuses couleurs qui l'enrichirent. A son pied,
fut éparpillé des paquets pour chacun d'entre nous.
Claudine y eut aussi droit. Ce fut a minuit que la
distribution se fit. Jean se proposa pour ouvrir le
paquet de Claudine car il nous fit comprendre qu'elle
fut trop petite pour se débrouiller seule. J'eus pensé
que sa curiosité fut le fruit de sa proposition car même
son propre paquet ne l'attira point il l'oublia.
Janvier, l'année reprint à mon lieu de travail avec
dans notre objectif d'une suite heureux événement que
l'on discuta à la pause du café. Jérémie nous eut étonné
avec une histoire de drague qu'il eut fait à une soirée
du nouvel an. Sous disant, il eut des relations
sexuelles avec deux femmes en même temps. Cette
exploit fit rêver certain d'entre nous car il exprima
165
l'acte comme une action digne d'un résumépornographique et d'une manière telle que chaque
détaille fut évoqué. On resta bouche bai.
Petit a petit le groupe se dispersa, je restai près
pour ranger les ustensiles. Cette manœuvre fit partie
de ma curiosité pour lui poser quelques questions,
- Comment as tu fais Jérémie pour faire l'amour
avec deux femmes ?
Je n'obtiens de réponse concrété car, il bafouilla
continuellement. Son imagination ne trouva de réponse
à ma question. Je conclu qu'il tenta de nous brouiller
par ses commentaires. Pour moi, tous ce qu'il nous
eut dit ne fut qu'un leurre pour se valoriser. Je
remarqua que son comportement eut une drôle de
manière d'exprimer sa défaite, il rougit et prit ses doigts
en bouche pour ronger ses oncles. Je vins de découvrir
sa réaction en cas de mensonge.
Cette petite anecdote ne change rien a notre
train-train quotidien. La vie suivit son cour et les jours
enlacèrent les semaines. Les enfants se portèrent à
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merveille et Sylvie retrouva sa finesse d'autre fois.Notre maison eut pris une belle présentation avec
toutes les finitions, quant au jardin, les fleurs
l'embellirent de plus belle. Cette bienveillance fut
l'artiste de la maison qui par son savoir faire
jardinier en fit une valeur.
Les deux frères s'en donnèrent à coeur joie sur le
gazon comme sur les balançoires que je leur eu monté.
La petite Claudine couché dans son landau papota
des syllabes incompréhensible tout en tenant son
ourson en peluche.
suite au 8/8
Le roman est en cour de construction des changements
peuvent suivre.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
A ce jour, 26 10 2019, 116 744 lecteurs.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
A ce jour, 26 10 2019, 116 744 lecteurs.
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