6/8 PRENDRE LE DROIT DE JUGER (roman sentimental n 6/8 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
Suite n 6/8 de Prendre le droit
de juger
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Mes incapacités me suivirent jusqu’à la porte
du printemps. Je m'occupai temps bien que mal
de mes enfants, qui me firent oublier mes
douleurs. Mon énergie de jadis fut oublié et
les remarques de mon patron pas très
encourageante. notre compte en banque
du printemps. Je m'occupai temps bien que mal
de mes enfants, qui me firent oublier mes
douleurs. Mon énergie de jadis fut oublié et
les remarques de mon patron pas très
encourageante. notre compte en banque
fut vide et construire une maison pour nous
autre, il n’en fut plus question. En route vers
autre, il n’en fut plus question. En route vers
une défaite, mais qui resta un projet future.
Le petit Jean reçut ses 2 ans , il fut propre
et polie, un savoir vivre comme c'est écrit.
et polie, un savoir vivre comme c'est écrit.
Les voisins le clamèrent a chaque rencontre.
Claude suivit admirablement en classes.
Claude suivit admirablement en classes.
Sylvie tenta de trouver un emploi, pas facile
en ce tant là. Nous nous eûmes dit que la
en ce tant là. Nous nous eûmes dit que la
marque sur son visage fut la raison de sa
défaite. A chaque entretien, le regard des
défaite. A chaque entretien, le regard des
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employeurs la dévisagèrent. Après chaque
défaite elle rentra en larme et désespéré, cela
défaite elle rentra en larme et désespéré, cela
ce lut sur son visage. Une blessure ne veut pas
dire que le restant de la personne émet
dire que le restant de la personne émet
cette désinvolture dans les restant de son
comportement. Au fond de son cœur y règne
comportement. Au fond de son cœur y règne
le partage d'une tendresse sans pareille.
Cette remarque fut interprété par une dame qui
lui proposa de venir faire le ménage dans son
magasin de vêtements le soir après sa fermeture.
La vie reprit son cour, nous arrivâmes par dépenser
moi que ce que l'on gagnais. La formule de la
richesse en somme, ce qui redonna vie a nos projets.
Cette remarque fut interprété par une dame qui
lui proposa de venir faire le ménage dans son
magasin de vêtements le soir après sa fermeture.
La vie reprit son cour, nous arrivâmes par dépenser
moi que ce que l'on gagnais. La formule de la
richesse en somme, ce qui redonna vie a nos projets.
Les grande vacance nous ouvrèrent leur bras, je
conclus de ne pas travailler et je pris des vacances
comme tout le monde. Nous appréciâmes ce passage
plus que tout et profitâmes pleinement de ce rêve qui
nous enlaça.
conclus de ne pas travailler et je pris des vacances
comme tout le monde. Nous appréciâmes ce passage
plus que tout et profitâmes pleinement de ce rêve qui
nous enlaça.
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Avec la joie, les jours passèrent plus rapidement
cela se ressent. Nous reprîmes la routine du travail et
tous les aléas qui le façonne.
cela se ressent. Nous reprîmes la routine du travail et
tous les aléas qui le façonne.
Jean se plut a l'école maternelle, pour sa première
année. Il nous raconta ses journées d'une manière
surprenante. Claude montât d'un classe et suivit ses
coures avec attention. Sylvie continua son travail
chez cette dame gentille et loyal.
année. Il nous raconta ses journées d'une manière
surprenante. Claude montât d'un classe et suivit ses
coures avec attention. Sylvie continua son travail
chez cette dame gentille et loyal.
Avec ce roulement la vie devint une routine aucune
embûche ne vint nous encombrer. Le déroulement
de la vie nous traîna vers l'hiver et ses vigueurs. Un
froid rigoureux qui n'aménagea pas mon dos. Des
journées de convalescence m’engluèrent au lit a
embûche ne vint nous encombrer. Le déroulement
de la vie nous traîna vers l'hiver et ses vigueurs. Un
froid rigoureux qui n'aménagea pas mon dos. Des
journées de convalescence m’engluèrent au lit a
la maison. La neige tomba et les intempéries
limitèrent nos déplacements.
limitèrent nos déplacements.
Noel remplit de bonheur notre famille
En janvier, les soirées carnavalesque bâtèrent
bon train. Ce fut une manière de chasser les mois
d'hiver. Cette animation ne fut jamais dans nos
habitudes mais a partir de là nous fêtâmes comme les
patronne de Sylvie que nous fûmes engagé dans une
soirée. Elle l'eut organisé dans une salle de fête
de la ville et nous donna des invitations. Notre
hésitation l'inquiéta elle demanda le pourquoi. De
nature curieuse elle questionna Sylvie. La timidité
de Sylvie eut hâte a répondre, mais elle lui expliqua
que nos finances ne répondirent point pour un extra
indispensable. Il nous fallut emprunter des costumes
de déguisement et ce fut là notre faiblesse. Elle
proposa a Sylvie une robe qu'eut porté une de ses
filles a un balle masqué et a moi un costume de pirate
que son mari porta l'année passé, il m'alla a merveille.
On demanda a ma sœurde garder les enfants. Pour
elle se fut un honneur. Sylvie fut radieuse et les enfants
très marrant comme des princes charment devant leur
maman.
Pour faire valoir son costume elle sortie un collier
de sa collection. Elle l'eut mise autour de son coup,
une belle bague a sa main et une gourmette en or
beauté et la grâce sans pareille. Personne ne remarqua
sa cicatrise, mais toutes et tous restèrent ébloui par
les bijoux. Le scintillement émit par ses bijoux attira
la curiosité de sa patronne. Pour moi ils n'eurent que
peut de valeur. Mais la patronne de Sylvie fut
comme attiré. Dire que nous côtoyons des personnes
aisé et que notre niveau resta a désirer. Je ne fut
pas rassuré certainement que cela se voyait sur mon
comportement. Quant a Sylvie elle fit signe de les
éviter, j'eus réfléchir, mais oui, elle eut du les
reconnaître du temps de son travail chez l'Italien.
Ce fut une agréable soirée, mais comme se fut notre
première sortie, une peur naquit, on pensa a nos
enfants. Des préoccupations nous obligea de couper
cour avant la fin de la soirée. Pour ne pas se faire
remarquer, nous quittâmes le balle en même temps
qu'un autre couple. Il fut 3 heures du matin que nous
découvrîmes nos enfants plongé dans un profond
sommeil ainsi que ma sœur allongé sur le canapé.
beaucoup d’entrain j'eus commencé chez mon patron.
Le portail restât clos et l'ensemble de mes
compagnons de travail se trouvèrent devant
l’entreprise. L'établissement n'eut plus de signe de
vie. Une étrange préoccupation ne donna rien de
concret il fut 11 heures le regroupement se dissipa petit
a petit. Nous retournâmes a nos foyers.
Une lettre recommandé avança nos préoccupations
car nous sûmes que les dés furent jeté. Ma
stupéfaction fut grande en apprenant mon licenciement.
Une colère grogna en moi, elle vint de je ne sais où.
Mon cœur s’emballa et une chaleur me fit
transpirer. Toutes mes pensées ciblèrent l'injustice
patronal. Avec la tête bien basse que je fit part de mon
désarroi a Sylvie.
Quelques jours plus tard je pointai au bureau de
ANPE . Je récoltai une petite somme d'argent non pas
sans peine.Cela ne peut durer et je tendais de retrouver
un autre travail quitte a changer de branche même avec
Ce que Sylvie gagna ne suffit point. Cela fit pas mal
de temps que ma voiture fut vendu. Payer le loyer
devient impensable.
La dame qui employa Sylvie où des écots de notre
pauvreté. Elle convoqua Sylvie pour lui faire une
proposition de prêt pour nous dépanner. Cette solution
nous attira mais qu'allons nous lui donner en gage pour
la somme qu'elle nous mit a disposition ? Sylvie proposa
de lui donner la parure qu'elle eut porté le soir du
balle masqué. La patronne accepta ce que nous lui
proposâmes. Elle admira cette parure et proposa a Sylvie
de lui donner 20000 francs supplémentaire car cette pièce
le valut bien plus. Notre étonnement nous émerveilla.
La patronne nous fit comprendre que 20000 francs ne
représenta que le tiers de la valeur du bijou et quelle lui
donnera que le lendemain la somme proposé J'eus calculé
et, me rendis compte que cela représenta la valeur de
deux années de travail. Nous n'en revenions point et j'eus
pleuré de joie. Dire que plusieurs autres bijoux restèrent
valeur que lui eut donné Monsieur Léon dans des
boites approprié et dans les quelles un papier justifiant
les coordonnées de la propriétaire. Heureusement que
nous eûmes gardé tous les bijoux. Cette semaine là
tous marcha sur de bonne roulettes car j'eus trouvé un
emplois de chauffeur livreur dans un magasin de pièce
détaché.
Avec un J7 Peugeot je sillonnais notre région. La vie
devient enchanteresse, nous pûmes se permettre tous
nos envie et envisageâmes de construire notre maison.
Durant mes tournées je ne ressenti n'y la fatigue et
les douleurs. Ma guérison transforma mon moral et
la gaieté mon bien être. J'eu envie d'exprimer mon
bonheur avec autrui, j’emmenai avec moi des
auto-stoppeuses ou auto-stoppeurs.
J’appris a connaître ma région. Parfois d'apportai
des pièces a des centre de personnes handicapées.
Leur retard mental les limitèrent sur certaines actions.
les instructeurs me firent comprendre que ces personnes
Les pièces ne furent pas lourde et n'importe qui put
en porter plusieurs a la fois. Une personne a l’allure
bizarre, aida a décharger la marchandise. En le
regardant faire un doute sur ses capacités mentale
m’intriquèrent. Il n'eut pris qu'un petit objet a
chaque allée et venu. Son langage, a peine
compréhensible me dit,
- As tu une cigarette ?
- Non, je ne fume pas lui dis je
Il revient et me redemanda,
- As tu une cigarette?
- Non je ne fume pas, lui dis je
A chaque venu il me posa la même question et ma
réponse devient un refrain. Je rentrai dans sa bulle
et me dit que pour arrêter ce questionnaire je lui
proposa une pièce de 5 Francs.
- Voilà 5 francs pour que tu t’achètes un paquet de
cigarette.
A l'époque avec 5 francs on put acheter 5 agglos de
Je lus dans son regard la naissance d'une joie et
surtout l'entrain qu'il mit dans son travail car il pris
deux paquets a la fois.
Les journées passèrent et les semaines suivirent
des rencontres et des aventures aussi. Les long trajets
fur rare mais il m'arriva qu'un déplacement traversa
la frontière. Je partie a Bonn en Allemagne. Ce
transport dura deux jours. J'emporta le nécessaire.
Je du la rassurer au mieux et avec peine elle accepta
ce déplacement.
Le temps sec et chaud fut de la partie. L'été fit
refléter ses rayons sur le béton des autoroutes. Mes
vitres entrouverte permirent de laisser entrer un peu
d'air. Au bout de 4 heures de route je fis un arrêt dans
un restaurant. J'eus du mal a m'exprimer en
Allemand et suivis la file dans le self-service. Une
personne devant moi demanda a la serveuse ce qu'il
désirait. Arriva mon tour, je lui fit
signe de servir la même chose. Mon plateau fut remplit:
cuite a l'eau, un gobelet en papier dans lequel se
trouva du café. On ci fait, il me resta encore 750 km a
rouler. Comme prévu sans trots de retard je pris
possession de la marchandise, deux caisses en bois
d'une longueur de 2 mètres et large de cinquante et
autant de hauteur chacune.
L'urgence de la marchandise m'obligea de reprendre
a route après l’arrêt obligatoire. Les hôtels n’eurent
plus de place je continua sur l'autoroute là je peut me
reposer sur les airs de repos. Arrivé a un air de repos
une personne y fit du stop. Sur son sac a dos il eut pris
place. La nuit tomba, peut de véhicules roulèrent.
Une pancarte indiqua la direction qu'il dut prendre.
Je m'arrêtai a sa hauteur pour lui demander s'il
aimerai rouler avec moi car j'allai dans cette
direction. Je pensai que cette personne me parla en
Allemand. Non, il me parla en anglais. Je tentai de
lui dire en Allemand que je ne parle pas l'anglais
mais le Français. Il me répondit en français mais un
quelques minutes de pose je repris la route et s'il veut
je lui permet de rentrer dans le J7.
Deux heures plus tard je voulu reprendre la route
lorsque il m'eut demandé si je peut emmener l'Anglais
qui attend là. Je n'eus que deux places mais, ci elle
accepte de s’asseoir sur les caisses pas de problème
je l’emmenai. Je lui fis confiance et il accepta mais
pour parler en Anglais le Canadien fit le
traducteur. Pour le retour il resta 700 km. Je sorti
de l’autoroute pour trouver un restaurant. Il n'y eut
peut de personne a table , la soirée se termina
allons nous recevoir a manger ? Comme la
fermeture fut proche elle nous proposa de la salade
de pomme de terre, une saucisse tiré de l'eau. En
discutant a table on en rîmes a force de traduire de
l'un a l'autre car aucun d'entre eu ne sut parler
allemand. Nous roulâmes une partie de la nuit puis
deux se couchèrent sur les caisses et moi je restai au
volant du J7. Nous repartions avec nos courbatures
La levé du soleil nous fit apercevoir la foret noir.
Le Canadien me demanda ci effectivement les planches
de ces forets furent noir. Je lui dit que les sapin d'ici
on la même couleur que chez lui. Avant d'arrivé a la
frontière , prêt de Mulhouse, je leur souhaita une
bonne continuation. Je suivi la file de véhicule que
contrôlèrent les douaniers. Je passa comme si rien
ne fut, je me suis dit mais, ci dans ces caisses il y eut
des armes,personne ne l'eut contrôlé.
A mon retour toute la famille me sauta au coup et
je me rendis compte que le plus beau des déplacements
ne veut pas une belle vie de famille.
Jean le petit bonhomme que j'appelai mon grand
champion progressa de jour en jour. Claude en fit
autant il vient de monter d'une classe. Sylvie me
parut de plus en plus belle, le sourire de son visage
cultiva l'amour que l'on partage en famille. Ma
satisfaction ressembla a une satisfaction digne d'un
L’automne présenta ses vœux par la diminution
des jours et par la perte des couleurs vertes des
feuilles, le brins devint la couleur principal avec
le gris du ciel. J'eus dans mon programme un
transport de pièce pour un,centre de réadaptation
qui se trouva prêt de Thann distant d'environ 30 km
de Mulhouse. Les feuilles morte jalonnai le sol, ils
se replièrent en tas sur les cotés de la route. Leur
légèreté les fit virevolter a mon passage. Je les
suivis dans mon rétroviseur et les vis tournoyer
en large cercle. Ils représentèrent vie juste pour le
plaisir de ma personne. Mon imagination se
plaça sur une autre idée, celle de copier les belles
maisons sur ma route.
Ce fut en copiant que j'arrivai à reproduire les
bonnes idées sur notre future maison tout en
incrustant une originalité. Je me trouvai dans le
centre de institut où je du livrer ma marchandise.
Des personnes en formation me déchargèrent le
personne et ne prêta attention a leur comportement.
Parmi ce groupe de 10 personnes l'un d'entre eux
vint me remercier pour ce que je lui eut donné?
Sur le moment je pensai que lui donner de la
marchandise a échanger en fut la raison. A chaque
passage il me remercia, avec un sourire qui me fut
attribué. Je ne reconnu pas se visage qui me fut
inconnu. Il revint avec le même sourire de
remerciement et me dit,
- Merci pour les 5 francs je me suis acheté des
cigarettes.
Je me suis plus rappelé de son visage mais lui a gardé
en souvenir le mien.
Je quittai cet établissement avec beaucoup de pitié.
Je continuai ma route vers Guebwiller pour livrer le
restant de mon chargement puis jusqu’à Turckheim.
J'empruntai la route du vin. Les vendanges tassèrent
leur raisin et les coupeurs se donnèrent a cœur joie.
Le soleil eut son ardeur et le ciel sa belle couleur
et le travail portai se fruits.
Le vas et vient de cette foule fut impressionnant.
Toutes les personnes eurent le sourire la récolte dut être
bonne. J'eus de l'avance ce jour là, je m’arrêta par
moment. En se déplaçant, lentement le charme du
paysage m'étourdis de bonheur. Le long de l'accotement,
une personne marcha avec sur son dos un sac. Il me fit
le signe de auto-stoppeur. La cartée du soleil fit refléter
ses cheveux blond. Je ralentis et me plaçai a sa hauteur.
Ce fut un homme d'environ 30 ans, avec des yeux bleu
comme le reflet du ciel par beau temps. Il porta les
habilles du marcheur parfait. Il me demanda,en
Allemand ci je pus l’emmener a Séléstat, je l'aurai
emmené mais ce fut un détour pour moi. Je lui proposa
de l’emmener a Colmar qui se trouvai sur ma route.
Sur le chemin ma curiosité me donna le courage
d'entamer une conversation.Il ne fut pas bavard. Je
m'exprimai en Allemand. il comprit mes paroles et je
réinterrogea sur son parcoure, question de curiosité.
régionale des Vosges il put m'expliquer son parcoure.
Il m’indiqua que son départ eut comme point Belfort
et qu'il partie a 7 heures. Il traversa le ballon
d'Alsace puis le grand ballon pour terminer a
Turckheim a pied .
Je trouvai cette marche un peut longue, quelque
chose ne colla pas car il ne fut que 16 heures.
Certainement qu'il fit du vent pour se valoriser,
dans sa tenu militaire. Je n'eus pas réfléchir par
deux fois. Il n’arrêta plus de parler de ses exploits.
Je fis comme si j'acceptai ses supercheries et le
laissa continuer de parler comme si rien ne fut. Je
lui demandai s'il eut une voiture a Sélestat ? Il me
répondit que oui et que c'est une Audi 80 que des
amis lui eurent laissé prêt de la gare de Sélestat en
plus il ne connut pas l’immatriculation.
Le J7 continua sont chemin et les vignerons leur
besognes. Le soleil continua de nous envoyer ses
rayons et le ronronnement du moteur sa chanson.
qu'il vint de Bonn . IL me questionna a son tour
pour me demander d'où je vins sans hésité je lui eus
dit , de Mulhouse. Il ne connut pas cette ville et m'eut
questionné sur l'importance de la ville et ses
infrastructures. Par contre les petits villages des Vosges
il connu, blizzard. Dans ses explications il me fit
comprendre qu'il dut être le lendemain a Bonn. Je lui
eus partagé mon déplacement a Bonn et les auto
stoppeurs que j'eus transporté. Les bornes s'avalèrent
avec les paroles et nous arrivâmes a Colmar. Je le
déposai et récolta des remerciements de sa part. La
montre de la gare indiqua 16 heures 20. Je pris la
direction de Mulhouse pour y arriver vers 17 heures
et placer le J7 sur le parking de l'entreprise. J'eus hâte
de retrouver ma famille mais avant, j'eus lavé mon
véhicule a moi puis j'eus prit la route du retour. Ma
voiture fut équipé d'une radio, je la mis en route et
écoutai les informations qui passèrent en boucle.
J'eus passé derrière la gare de Mulhouse et là, la
corps fut trouvé dans le coffre d'une Audi 80
immatriculé en Allemagne. A ce moment là, je transpirai
de peur et d'incertitude. Mon imagination fit plus d'un
tour et ci ce fut la voiture que l'auto stoppeur eut dut
chercher a Sélestat ?
Les informations tournèrent même a la télévision ils
en parlèrent. Je suivi les information sans avoir faim.
L’importance de ce crime fut d'une gravité
sans pareille. le lendemain matin les journaux
écrivirent en première page la découverte de ce corps
dans une Audi 80. Ils lancèrent une recherche sur
d'éventuelle témoins qui eurent croisée des personnes
suspect. L’Allemagne offrit une importante prime pour
la personne qui les guiderait sur la piste des agresseurs.
De réflexion en suppositions je ne fut plus la même
personne.
Les journées furent longue et qui aurai pu me
conseiller. Le soir venu je restai sans appétit, Sylvie
remarqua mon attitude. Je quittai la table et parti
garda le sommet de l’information. Ils précisèrent que de
nombreux automobilistes eurent témoigné au poste de
police que des auto-stoppeurs Allemand se trouvèrent
sur les routes d'Alsace. Leurs témoignages effaçai en
moi mes présomptions. Le lendemain Sylvie se réveilla
avec moi, elle s'eu inquiété de mon comportement et me
questionna sur mon comportement. Je lui rapportai
le parcoure et l'histoire de l'auto-stoppeur que j'eu
transporté.
Ai je bien fait d’entraîner une autre personne dans mes
suppositions ? Le soir venu nous suivirent les informations
sur la télé Allemande et là, pas de doute, la somme
proposé pour donner une information qui les guiderai
sur la piste sera récompensé d'une somme importante
en DM. Mais, mon hésitation se basa sur les faits de jadis
la où je fut accusé comme suspect dans la falsification
d'un chéquier volé car les juges ne me prendront pas
au sérieux en plus la sécurité de ma famille en dépendra
ne l’oublions pas. Deux personnes qui décidèrent ce fut
mieux qu'une seule.
suite au 7/8
Le roman est en cour de construction des changements
peuvent suivre.
bon train. Ce fut une manière de chasser les mois
d'hiver. Cette animation ne fut jamais dans nos
habitudes mais a partir de là nous fêtâmes comme les
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autres la venu du printemps. Ce fut grâce a lapatronne de Sylvie que nous fûmes engagé dans une
soirée. Elle l'eut organisé dans une salle de fête
de la ville et nous donna des invitations. Notre
hésitation l'inquiéta elle demanda le pourquoi. De
nature curieuse elle questionna Sylvie. La timidité
de Sylvie eut hâte a répondre, mais elle lui expliqua
que nos finances ne répondirent point pour un extra
indispensable. Il nous fallut emprunter des costumes
de déguisement et ce fut là notre faiblesse. Elle
proposa a Sylvie une robe qu'eut porté une de ses
filles a un balle masqué et a moi un costume de pirate
que son mari porta l'année passé, il m'alla a merveille.
On demanda a ma sœurde garder les enfants. Pour
elle se fut un honneur. Sylvie fut radieuse et les enfants
très marrant comme des princes charment devant leur
maman.
Pour faire valoir son costume elle sortie un collier
de sa collection. Elle l'eut mise autour de son coup,
une belle bague a sa main et une gourmette en or
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a un bras.Tous lui alla a merveille elle refléta labeauté et la grâce sans pareille. Personne ne remarqua
sa cicatrise, mais toutes et tous restèrent ébloui par
les bijoux. Le scintillement émit par ses bijoux attira
la curiosité de sa patronne. Pour moi ils n'eurent que
peut de valeur. Mais la patronne de Sylvie fut
comme attiré. Dire que nous côtoyons des personnes
aisé et que notre niveau resta a désirer. Je ne fut
pas rassuré certainement que cela se voyait sur mon
comportement. Quant a Sylvie elle fit signe de les
éviter, j'eus réfléchir, mais oui, elle eut du les
reconnaître du temps de son travail chez l'Italien.
Ce fut une agréable soirée, mais comme se fut notre
première sortie, une peur naquit, on pensa a nos
enfants. Des préoccupations nous obligea de couper
cour avant la fin de la soirée. Pour ne pas se faire
remarquer, nous quittâmes le balle en même temps
qu'un autre couple. Il fut 3 heures du matin que nous
découvrîmes nos enfants plongé dans un profond
sommeil ainsi que ma sœur allongé sur le canapé.
129
L'hiver disparut avec la venu du redoute. Avecbeaucoup d’entrain j'eus commencé chez mon patron.
Le portail restât clos et l'ensemble de mes
compagnons de travail se trouvèrent devant
l’entreprise. L'établissement n'eut plus de signe de
vie. Une étrange préoccupation ne donna rien de
concret il fut 11 heures le regroupement se dissipa petit
a petit. Nous retournâmes a nos foyers.
Une lettre recommandé avança nos préoccupations
car nous sûmes que les dés furent jeté. Ma
stupéfaction fut grande en apprenant mon licenciement.
Une colère grogna en moi, elle vint de je ne sais où.
Mon cœur s’emballa et une chaleur me fit
transpirer. Toutes mes pensées ciblèrent l'injustice
patronal. Avec la tête bien basse que je fit part de mon
désarroi a Sylvie.
Quelques jours plus tard je pointai au bureau de
ANPE . Je récoltai une petite somme d'argent non pas
sans peine.Cela ne peut durer et je tendais de retrouver
un autre travail quitte a changer de branche même avec
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une perte de salaire. Nos fond de caisse furent raclé.Ce que Sylvie gagna ne suffit point. Cela fit pas mal
de temps que ma voiture fut vendu. Payer le loyer
devient impensable.
La dame qui employa Sylvie où des écots de notre
pauvreté. Elle convoqua Sylvie pour lui faire une
proposition de prêt pour nous dépanner. Cette solution
nous attira mais qu'allons nous lui donner en gage pour
la somme qu'elle nous mit a disposition ? Sylvie proposa
de lui donner la parure qu'elle eut porté le soir du
balle masqué. La patronne accepta ce que nous lui
proposâmes. Elle admira cette parure et proposa a Sylvie
de lui donner 20000 francs supplémentaire car cette pièce
le valut bien plus. Notre étonnement nous émerveilla.
La patronne nous fit comprendre que 20000 francs ne
représenta que le tiers de la valeur du bijou et quelle lui
donnera que le lendemain la somme proposé J'eus calculé
et, me rendis compte que cela représenta la valeur de
deux années de travail. Nous n'en revenions point et j'eus
pleuré de joie. Dire que plusieurs autres bijoux restèrent
131
en notre possession ? Sylvie en fut étourdi, de toute cettevaleur que lui eut donné Monsieur Léon dans des
boites approprié et dans les quelles un papier justifiant
les coordonnées de la propriétaire. Heureusement que
nous eûmes gardé tous les bijoux. Cette semaine là
tous marcha sur de bonne roulettes car j'eus trouvé un
emplois de chauffeur livreur dans un magasin de pièce
détaché.
Avec un J7 Peugeot je sillonnais notre région. La vie
devient enchanteresse, nous pûmes se permettre tous
nos envie et envisageâmes de construire notre maison.
Durant mes tournées je ne ressenti n'y la fatigue et
les douleurs. Ma guérison transforma mon moral et
la gaieté mon bien être. J'eu envie d'exprimer mon
bonheur avec autrui, j’emmenai avec moi des
auto-stoppeuses ou auto-stoppeurs.
J’appris a connaître ma région. Parfois d'apportai
des pièces a des centre de personnes handicapées.
Leur retard mental les limitèrent sur certaines actions.
les instructeurs me firent comprendre que ces personnes
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là donnèrent un coup de main au déchargement.Les pièces ne furent pas lourde et n'importe qui put
en porter plusieurs a la fois. Une personne a l’allure
bizarre, aida a décharger la marchandise. En le
regardant faire un doute sur ses capacités mentale
m’intriquèrent. Il n'eut pris qu'un petit objet a
chaque allée et venu. Son langage, a peine
compréhensible me dit,
- As tu une cigarette ?
- Non, je ne fume pas lui dis je
Il revient et me redemanda,
- As tu une cigarette?
- Non je ne fume pas, lui dis je
A chaque venu il me posa la même question et ma
réponse devient un refrain. Je rentrai dans sa bulle
et me dit que pour arrêter ce questionnaire je lui
proposa une pièce de 5 Francs.
- Voilà 5 francs pour que tu t’achètes un paquet de
cigarette.
A l'époque avec 5 francs on put acheter 5 agglos de
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20-50-20 cm.Je lus dans son regard la naissance d'une joie et
surtout l'entrain qu'il mit dans son travail car il pris
deux paquets a la fois.
Les journées passèrent et les semaines suivirent
des rencontres et des aventures aussi. Les long trajets
fur rare mais il m'arriva qu'un déplacement traversa
la frontière. Je partie a Bonn en Allemagne. Ce
transport dura deux jours. J'emporta le nécessaire.
Je du la rassurer au mieux et avec peine elle accepta
ce déplacement.
Le temps sec et chaud fut de la partie. L'été fit
refléter ses rayons sur le béton des autoroutes. Mes
vitres entrouverte permirent de laisser entrer un peu
d'air. Au bout de 4 heures de route je fis un arrêt dans
un restaurant. J'eus du mal a m'exprimer en
Allemand et suivis la file dans le self-service. Une
personne devant moi demanda a la serveuse ce qu'il
désirait. Arriva mon tour, je lui fit
signe de servir la même chose. Mon plateau fut remplit:
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il y eut, de la salade de pomme de terre, une saucissecuite a l'eau, un gobelet en papier dans lequel se
trouva du café. On ci fait, il me resta encore 750 km a
rouler. Comme prévu sans trots de retard je pris
possession de la marchandise, deux caisses en bois
d'une longueur de 2 mètres et large de cinquante et
autant de hauteur chacune.
L'urgence de la marchandise m'obligea de reprendre
a route après l’arrêt obligatoire. Les hôtels n’eurent
plus de place je continua sur l'autoroute là je peut me
reposer sur les airs de repos. Arrivé a un air de repos
une personne y fit du stop. Sur son sac a dos il eut pris
place. La nuit tomba, peut de véhicules roulèrent.
Une pancarte indiqua la direction qu'il dut prendre.
Je m'arrêtai a sa hauteur pour lui demander s'il
aimerai rouler avec moi car j'allai dans cette
direction. Je pensai que cette personne me parla en
Allemand. Non, il me parla en anglais. Je tentai de
lui dire en Allemand que je ne parle pas l'anglais
mais le Français. Il me répondit en français mais un
135
vieux français du Canada. Je lui expliqua qu'aprèsquelques minutes de pose je repris la route et s'il veut
je lui permet de rentrer dans le J7.
Deux heures plus tard je voulu reprendre la route
lorsque il m'eut demandé si je peut emmener l'Anglais
qui attend là. Je n'eus que deux places mais, ci elle
accepte de s’asseoir sur les caisses pas de problème
je l’emmenai. Je lui fis confiance et il accepta mais
pour parler en Anglais le Canadien fit le
traducteur. Pour le retour il resta 700 km. Je sorti
de l’autoroute pour trouver un restaurant. Il n'y eut
peut de personne a table , la soirée se termina
allons nous recevoir a manger ? Comme la
fermeture fut proche elle nous proposa de la salade
de pomme de terre, une saucisse tiré de l'eau. En
discutant a table on en rîmes a force de traduire de
l'un a l'autre car aucun d'entre eu ne sut parler
allemand. Nous roulâmes une partie de la nuit puis
deux se couchèrent sur les caisses et moi je restai au
volant du J7. Nous repartions avec nos courbatures
136
au petit matin.La levé du soleil nous fit apercevoir la foret noir.
Le Canadien me demanda ci effectivement les planches
de ces forets furent noir. Je lui dit que les sapin d'ici
on la même couleur que chez lui. Avant d'arrivé a la
frontière , prêt de Mulhouse, je leur souhaita une
bonne continuation. Je suivi la file de véhicule que
contrôlèrent les douaniers. Je passa comme si rien
ne fut, je me suis dit mais, ci dans ces caisses il y eut
des armes,personne ne l'eut contrôlé.
A mon retour toute la famille me sauta au coup et
je me rendis compte que le plus beau des déplacements
ne veut pas une belle vie de famille.
Jean le petit bonhomme que j'appelai mon grand
champion progressa de jour en jour. Claude en fit
autant il vient de monter d'une classe. Sylvie me
parut de plus en plus belle, le sourire de son visage
cultiva l'amour que l'on partage en famille. Ma
satisfaction ressembla a une satisfaction digne d'un
137
roi qui possède le plus beau pays du monde.L’automne présenta ses vœux par la diminution
des jours et par la perte des couleurs vertes des
feuilles, le brins devint la couleur principal avec
le gris du ciel. J'eus dans mon programme un
transport de pièce pour un,centre de réadaptation
qui se trouva prêt de Thann distant d'environ 30 km
de Mulhouse. Les feuilles morte jalonnai le sol, ils
se replièrent en tas sur les cotés de la route. Leur
légèreté les fit virevolter a mon passage. Je les
suivis dans mon rétroviseur et les vis tournoyer
en large cercle. Ils représentèrent vie juste pour le
plaisir de ma personne. Mon imagination se
plaça sur une autre idée, celle de copier les belles
maisons sur ma route.
Ce fut en copiant que j'arrivai à reproduire les
bonnes idées sur notre future maison tout en
incrustant une originalité. Je me trouvai dans le
centre de institut où je du livrer ma marchandise.
Des personnes en formation me déchargèrent le
138
véhicule. J'eus l’habitue de rencontrer cespersonne et ne prêta attention a leur comportement.
Parmi ce groupe de 10 personnes l'un d'entre eux
vint me remercier pour ce que je lui eut donné?
Sur le moment je pensai que lui donner de la
marchandise a échanger en fut la raison. A chaque
passage il me remercia, avec un sourire qui me fut
attribué. Je ne reconnu pas se visage qui me fut
inconnu. Il revint avec le même sourire de
remerciement et me dit,
- Merci pour les 5 francs je me suis acheté des
cigarettes.
Je me suis plus rappelé de son visage mais lui a gardé
en souvenir le mien.
Je quittai cet établissement avec beaucoup de pitié.
Je continuai ma route vers Guebwiller pour livrer le
restant de mon chargement puis jusqu’à Turckheim.
J'empruntai la route du vin. Les vendanges tassèrent
leur raisin et les coupeurs se donnèrent a cœur joie.
Le soleil eut son ardeur et le ciel sa belle couleur
139
bleu. Comme des fourmis, la chaîne s’enchaînaet le travail portai se fruits.
Le vas et vient de cette foule fut impressionnant.
Toutes les personnes eurent le sourire la récolte dut être
bonne. J'eus de l'avance ce jour là, je m’arrêta par
moment. En se déplaçant, lentement le charme du
paysage m'étourdis de bonheur. Le long de l'accotement,
une personne marcha avec sur son dos un sac. Il me fit
le signe de auto-stoppeur. La cartée du soleil fit refléter
ses cheveux blond. Je ralentis et me plaçai a sa hauteur.
Ce fut un homme d'environ 30 ans, avec des yeux bleu
comme le reflet du ciel par beau temps. Il porta les
habilles du marcheur parfait. Il me demanda,en
Allemand ci je pus l’emmener a Séléstat, je l'aurai
emmené mais ce fut un détour pour moi. Je lui proposa
de l’emmener a Colmar qui se trouvai sur ma route.
Sur le chemin ma curiosité me donna le courage
d'entamer une conversation.Il ne fut pas bavard. Je
m'exprimai en Allemand. il comprit mes paroles et je
réinterrogea sur son parcoure, question de curiosité.
140
Comme ce marcheur dut connaître le Parc naturelrégionale des Vosges il put m'expliquer son parcoure.
Il m’indiqua que son départ eut comme point Belfort
et qu'il partie a 7 heures. Il traversa le ballon
d'Alsace puis le grand ballon pour terminer a
Turckheim a pied .
Je trouvai cette marche un peut longue, quelque
chose ne colla pas car il ne fut que 16 heures.
Certainement qu'il fit du vent pour se valoriser,
dans sa tenu militaire. Je n'eus pas réfléchir par
deux fois. Il n’arrêta plus de parler de ses exploits.
Je fis comme si j'acceptai ses supercheries et le
laissa continuer de parler comme si rien ne fut. Je
lui demandai s'il eut une voiture a Sélestat ? Il me
répondit que oui et que c'est une Audi 80 que des
amis lui eurent laissé prêt de la gare de Sélestat en
plus il ne connut pas l’immatriculation.
Le J7 continua sont chemin et les vignerons leur
besognes. Le soleil continua de nous envoyer ses
rayons et le ronronnement du moteur sa chanson.
141
Je voulu connaitre sa ville où il résidait. J'apprisqu'il vint de Bonn . IL me questionna a son tour
pour me demander d'où je vins sans hésité je lui eus
dit , de Mulhouse. Il ne connut pas cette ville et m'eut
questionné sur l'importance de la ville et ses
infrastructures. Par contre les petits villages des Vosges
il connu, blizzard. Dans ses explications il me fit
comprendre qu'il dut être le lendemain a Bonn. Je lui
eus partagé mon déplacement a Bonn et les auto
stoppeurs que j'eus transporté. Les bornes s'avalèrent
avec les paroles et nous arrivâmes a Colmar. Je le
déposai et récolta des remerciements de sa part. La
montre de la gare indiqua 16 heures 20. Je pris la
direction de Mulhouse pour y arriver vers 17 heures
et placer le J7 sur le parking de l'entreprise. J'eus hâte
de retrouver ma famille mais avant, j'eus lavé mon
véhicule a moi puis j'eus prit la route du retour. Ma
voiture fut équipé d'une radio, je la mis en route et
écoutai les informations qui passèrent en boucle.
J'eus passé derrière la gare de Mulhouse et là, la
142
route fut bloqué. Au information l'on eu dis qu'uncorps fut trouvé dans le coffre d'une Audi 80
immatriculé en Allemagne. A ce moment là, je transpirai
de peur et d'incertitude. Mon imagination fit plus d'un
tour et ci ce fut la voiture que l'auto stoppeur eut dut
chercher a Sélestat ?
Les informations tournèrent même a la télévision ils
en parlèrent. Je suivi les information sans avoir faim.
L’importance de ce crime fut d'une gravité
sans pareille. le lendemain matin les journaux
écrivirent en première page la découverte de ce corps
dans une Audi 80. Ils lancèrent une recherche sur
d'éventuelle témoins qui eurent croisée des personnes
suspect. L’Allemagne offrit une importante prime pour
la personne qui les guiderait sur la piste des agresseurs.
De réflexion en suppositions je ne fut plus la même
personne.
Les journées furent longue et qui aurai pu me
conseiller. Le soir venu je restai sans appétit, Sylvie
remarqua mon attitude. Je quittai la table et parti
143
regarder les informations régional. Cette satané histoiregarda le sommet de l’information. Ils précisèrent que de
nombreux automobilistes eurent témoigné au poste de
police que des auto-stoppeurs Allemand se trouvèrent
sur les routes d'Alsace. Leurs témoignages effaçai en
moi mes présomptions. Le lendemain Sylvie se réveilla
avec moi, elle s'eu inquiété de mon comportement et me
questionna sur mon comportement. Je lui rapportai
le parcoure et l'histoire de l'auto-stoppeur que j'eu
transporté.
Ai je bien fait d’entraîner une autre personne dans mes
suppositions ? Le soir venu nous suivirent les informations
sur la télé Allemande et là, pas de doute, la somme
proposé pour donner une information qui les guiderai
sur la piste sera récompensé d'une somme importante
en DM. Mais, mon hésitation se basa sur les faits de jadis
la où je fut accusé comme suspect dans la falsification
d'un chéquier volé car les juges ne me prendront pas
au sérieux en plus la sécurité de ma famille en dépendra
ne l’oublions pas. Deux personnes qui décidèrent ce fut
mieux qu'une seule.
suite au 7/8
Le roman est en cour de construction des changements
peuvent suivre.
JJM
Ecrit le 05 07 2017 remis a jour le
26 02 2019
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
A ce jour, 26 02 2019, 109675 lecteurs.
A ce jour, 26 10 2019, 116744 lecteurs.
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