4/8 PRENDRE LE DROIT DE JUGER ( roman sentimental n 4/8 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
suite n 4/7 de Prendre le droit de juger
les fêtes de fin d'année nous gâtâmes. Le sapin
de Noël resplendit de lumières multicolore. Sylvie
garda sur son visage les marques que l'agresseur lui
eut infligé. Cela n'eut point freiner a nos sentiments
envers l'un et l'autre, les relations sexuelle nous
promirent de combler notre famille d'un nouveau
venu pour les mois suivant.
suite n 4/7 de Prendre le droit de juger
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les fêtes de fin d'année nous gâtâmes. Le sapin
de Noël resplendit de lumières multicolore. Sylvie
garda sur son visage les marques que l'agresseur lui
eut infligé. Cela n'eut point freiner a nos sentiments
envers l'un et l'autre, les relations sexuelle nous
promirent de combler notre famille d'un nouveau
venu pour les mois suivant.
Sylvie poursuivit son travail chez Monsieur Léon
avec le petit Claude en milieux de semaine. Elle y fit
le ménage . Le petit Claude adore l’accompagner car
il reçut des jouets de Monsieur Léon qu'il appela
tonton. Monsieur aima l'entendre l'appeler tonton.
avec le petit Claude en milieux de semaine. Elle y fit
le ménage . Le petit Claude adore l’accompagner car
il reçut des jouets de Monsieur Léon qu'il appela
tonton. Monsieur aima l'entendre l'appeler tonton.
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Ma vie actif fut prometteuse, je gagnais
convenablement ma vie. Le patron apprécia mes
capacités de mon savoir faire. Il me proposa de passer
mon permit de conduire pour le camion de l'entreprise.
Je le passai sans complication.
convenablement ma vie. Le patron apprécia mes
capacités de mon savoir faire. Il me proposa de passer
mon permit de conduire pour le camion de l'entreprise.
Je le passai sans complication.
Les mois passèrent et Sylvie prit du poids. Le petit
Claude attendit impatiemment le nouveau venu
comme nous autre. Il questionna sans relâche Sylvie
pour connaître comment cette enfant arrivait.
Claude attendit impatiemment le nouveau venu
comme nous autre. Il questionna sans relâche Sylvie
pour connaître comment cette enfant arrivait.
La fatigue de Sylvie augmentait, un premier signe
que la lourdeur de son ventre lui imposa. Cela fait
plus d'un mois qu'elle ne travaillait plus chez monsieur
Léon.
que la lourdeur de son ventre lui imposa. Cela fait
plus d'un mois qu'elle ne travaillait plus chez monsieur
Léon.
La valise fut prévu car nous prévoyons d'accouchement
a l’hôpital. Le moment venu la voisine nous proposa
de garder le petit Claude. Je désirai assister a ce
merveilleux événement de la vie. Sylvie eut approuvé
mes intentions. Ce fut dans la soirée que
j’accompagnai Sylvie a l’hôpital. Je paniquai, et
m’affolai même. En conduisant je fit quelques mégarde
a l’hôpital. Le moment venu la voisine nous proposa
de garder le petit Claude. Je désirai assister a ce
merveilleux événement de la vie. Sylvie eut approuvé
mes intentions. Ce fut dans la soirée que
j’accompagnai Sylvie a l’hôpital. Je paniquai, et
m’affolai même. En conduisant je fit quelques mégarde
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mais j'arrivai sans embrouille.
La sage femme fit allonger Sylvie sur un lit qui eut
a ses coté une drôle d’estrade prévu pour
'accouchement. Elle lui donna quelques piqûres,
deux autres personnes l'entourèrent. Je me trouvais sur
sa droite et lui tins fortement sa main tout en essuyant
son front qui transpira. La sage femme répéta,
a ses coté une drôle d’estrade prévu pour
'accouchement. Elle lui donna quelques piqûres,
deux autres personnes l'entourèrent. Je me trouvais sur
sa droite et lui tins fortement sa main tout en essuyant
son front qui transpira. La sage femme répéta,
- respirez, poussez, respirer, poussez, respirez, poussez.
Le mal se transmit par la sueur qui coulèrent sur son
visage. Je suai a mon tour
visage. Je suai a mon tour
- respirez, poussez, respirez, poussez, respirez encore,
et poussez. le nouveau née ne vint pas et Sylvie se
fatiguait cela se voyait.
et poussez. le nouveau née ne vint pas et Sylvie se
fatiguait cela se voyait.
- respirez, poussez, respirez, poussez, respirez, poussez.
Sylvie hésita de suivre ce rythme fatigant et dépriment.
- respirez , poussez, respirez, poussez, respirez, poussez,
ne laissez pas l'enfant
ne laissez pas l'enfant
s'étouffer madame, respirez, poussez, respirez, poussez.
Je lui parlai tendrement tout en continuant d’essuyer
on front.
on front.
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- L'enfant n'est pas loin Sylvie, tu eus presque réussi,
respire une bonne fois et pousse,
respire une bonne fois et pousse,
respire et pousse, respire et pousse .
Toutes les personne présente l’encouragèrent ,
- allez Sylvie, tu eus presque réussi, respire et pousse,
respire et pousse.
respire et pousse.
Sylvie se découragea, elle fut comme cet artiste qui
devant le dernier acte de sa réussite arrêta son chef
oeuvre. Sylvie ressaisis toi tu réussis, respire Sylvie et
pousse, respire et pousse, respire et pousse.
devant le dernier acte de sa réussite arrêta son chef
oeuvre. Sylvie ressaisis toi tu réussis, respire Sylvie et
pousse, respire et pousse, respire et pousse.
L'une des assistante dit,
- la tête , la tête, là.
Sylvie reprit du courage et se remis a suivre les
respirations et les tractions de la poussé.
respirations et les tractions de la poussé.
Une nouvelle bataille humaine redémarra. Le mot
poussé trouva son importance car la tête apparu entre
les jambes de Sylvie. A partir de cette instant la vue
comme la vie suivirent le juste déroulement. la sage
femme accompagna la sortie du nouveau née avec
poussé trouva son importance car la tête apparu entre
les jambes de Sylvie. A partir de cette instant la vue
comme la vie suivirent le juste déroulement. la sage
femme accompagna la sortie du nouveau née avec
ses mains , puis le prit et le souleva par les pieds. Sa
a nous autres. Son premier pleure nous entoura de joie
et d'un nouvelle amour. Sylvie vint de remporter une
bataille digne d'un grand général.
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couleur grise se transforma rapidement pour ressemblera nous autres. Son premier pleure nous entoura de joie
et d'un nouvelle amour. Sylvie vint de remporter une
bataille digne d'un grand général.
- Mais, ce fut quoi, je ne fis pas attention a son sexe
car rapidement la sage femme l'emporta
car rapidement la sage femme l'emporta
- C'est un garçon monsieur.
Ce fut avec un bonheur plus que parfais que je quitta
l'hôpital. Il fut trois heure du matin.
l'hôpital. Il fut trois heure du matin.
Le lendemain, après le repas, je partais a la mairie
pour enregistrer le nouveau née.
La personne qui s'occupa de cela fut une autre
personne. Je lui donnai mon livret de famille,
- vous avez commenciez bien jeune .
Je me gardai de répondre et remplie la déclaration
de naissance au prénom de Jean et au mon de Droit.
Un mois eut passé, plus de signe de monsieur
Léon. Question, fut il jaloux de la naissance du petit
Jean ? J'eus proposé de lui rendre visite pour lui
présenter le petit Jean.
centenaire, nous restâmes devant le portail fermé.
J'eus actionné la cloche a mainte reprises. Étrange ,
personne ne donne un signe de vie, et tous les volets
furent clos. Au lendemain nous revînmes sur les lieux.
D'axiome la corde de la cloche qui retentit a travers le
parc du château. Sylvie partit retrouver la maison
voisine. J’attendis devant le portail . Elle revient
m’annoncer que Monsieur Léon eut un malaise
cérébrale et qu'il fut hospitalisé d'urgence dans une
clinique privée. Cette réponse ne nous encouragea
point. Je tirai a nouveau la corde de la cloche,
aucune réponse et les volets restèrent clos. L’ivresse
de notre joie pour lui présenter le petit Jean n'eut plus
la force du partage mais la tristesse du mauvais
présage. Où se trouve Monsieur Léon maintenant ?
Quelques jours plus tard, nous retournâmes dans
le quartier de monsieur Léon. Sylvie poussa le landau
et je tins Claude dans mes mains. Depuis que le petit
Jean fut là plus question de dire petit Claude, car il
Nous rencontrâmes une dame qui connut bien
monsieur Léon. Elle nous apprit que Monsieur Léon
se trouva dans un état critique et que le château fut
sous sellé car les héritiers devinrent tuteur de monsieur
Léon. Dans les jours qui suivirent nous reçûmes une
lettre recommandé pour nous faire savoir que le dit
appartement fut a vendre et que nous pûmes l’acquérir
pour une somme de 80 000 francs. Cette offre nous
allécha, mais, nos économies ne furent pas aussi
importante, nous décidâmes de faire les démarches
auprès d'une banque pour un prêt. Hélas, les facteurs
de notre famille de quatre personnes, pas marier et a
peine 18 ans c'est pas solvable. Nous décidâmes de se
lancer dans le prêt d'une habitation HLM. Les mêmes
critère nous furent imposé, plus le temps d'attente
interminable qui nous dûmes respecter. Un cauchemar
nous engluâmes .
A partir de ce moment là, démarra un chamboulement
profond . Ressentir un abandon de cette sorte nous
Une nouvelle chance nous donne la possibilité de
trouver un appartement grâce a l’annonce paru dans
un journal.
L'appartement ne fut pas la gloire, il fallu avec un
vouloir exceptionnelle le transformé de font en comble.
Une bonne partie de nos économies y passa. Ce
logement se situai dans une mansarde et comporta
quatre pièces plus une cuisine. Le chauffage centrale,
quel luxe pour ce taudis, en fit partie aussi qu'une
couche accolé aux toilettes. Notre nouveaux quartier
se situa a l'opposé de l'ancien dans une partie de la
ville où de nombreux commerces eurent pignon sur
rue. L'activité
pour enregistrer le nouveau née.
La personne qui s'occupa de cela fut une autre
personne. Je lui donnai mon livret de famille,
- vous avez commenciez bien jeune .
Je me gardai de répondre et remplie la déclaration
de naissance au prénom de Jean et au mon de Droit.
Un mois eut passé, plus de signe de monsieur
Léon. Question, fut il jaloux de la naissance du petit
Jean ? J'eus proposé de lui rendre visite pour lui
présenter le petit Jean.
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Devant cette grande bâtisse entouré d'arbrescentenaire, nous restâmes devant le portail fermé.
J'eus actionné la cloche a mainte reprises. Étrange ,
personne ne donne un signe de vie, et tous les volets
furent clos. Au lendemain nous revînmes sur les lieux.
D'axiome la corde de la cloche qui retentit a travers le
parc du château. Sylvie partit retrouver la maison
voisine. J’attendis devant le portail . Elle revient
m’annoncer que Monsieur Léon eut un malaise
cérébrale et qu'il fut hospitalisé d'urgence dans une
clinique privée. Cette réponse ne nous encouragea
point. Je tirai a nouveau la corde de la cloche,
aucune réponse et les volets restèrent clos. L’ivresse
de notre joie pour lui présenter le petit Jean n'eut plus
la force du partage mais la tristesse du mauvais
présage. Où se trouve Monsieur Léon maintenant ?
Quelques jours plus tard, nous retournâmes dans
le quartier de monsieur Léon. Sylvie poussa le landau
et je tins Claude dans mes mains. Depuis que le petit
Jean fut là plus question de dire petit Claude, car il
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nous eu fait comprendre qu'il fut grand maintenant.Nous rencontrâmes une dame qui connut bien
monsieur Léon. Elle nous apprit que Monsieur Léon
se trouva dans un état critique et que le château fut
sous sellé car les héritiers devinrent tuteur de monsieur
Léon. Dans les jours qui suivirent nous reçûmes une
lettre recommandé pour nous faire savoir que le dit
appartement fut a vendre et que nous pûmes l’acquérir
pour une somme de 80 000 francs. Cette offre nous
allécha, mais, nos économies ne furent pas aussi
importante, nous décidâmes de faire les démarches
auprès d'une banque pour un prêt. Hélas, les facteurs
de notre famille de quatre personnes, pas marier et a
peine 18 ans c'est pas solvable. Nous décidâmes de se
lancer dans le prêt d'une habitation HLM. Les mêmes
critère nous furent imposé, plus le temps d'attente
interminable qui nous dûmes respecter. Un cauchemar
nous engluâmes .
A partir de ce moment là, démarra un chamboulement
profond . Ressentir un abandon de cette sorte nous
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entraîne vers une défaite certaine.Une nouvelle chance nous donne la possibilité de
trouver un appartement grâce a l’annonce paru dans
un journal.
L'appartement ne fut pas la gloire, il fallu avec un
vouloir exceptionnelle le transformé de font en comble.
Une bonne partie de nos économies y passa. Ce
logement se situai dans une mansarde et comporta
quatre pièces plus une cuisine. Le chauffage centrale,
quel luxe pour ce taudis, en fit partie aussi qu'une
couche accolé aux toilettes. Notre nouveaux quartier
se situa a l'opposé de l'ancien dans une partie de la
ville où de nombreux commerces eurent pignon sur
rue. L'activité
bruyante rendis cette endroit pénible. Par contre dans
la coure a l'arrière de l’immeuble de quatre étages,
coupé de ce tintamarre animé , donna un repos
la coure a l'arrière de l’immeuble de quatre étages,
coupé de ce tintamarre animé , donna un repos
méritant pour les enfants quant ils y jouèrent.
Claude eut ses quatre ans et Sylvie ne trouva
peut de temps libre vue son occupation familiale.
signe de vie. Notre budget diminua grandement.
peut de temps libre vue son occupation familiale.
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Notre bienfaiteur, Monsieur Léon, ne donna plussigne de vie. Notre budget diminua grandement.
La longueur du jour laissa place a celui de la
nuit. Le froid s'inscrit dans nos critères. Peu de
travail sur les chantiers et la prudence de dépenser
nous abstenait de certaine habitudes. Je pris plaisir a
jouer avec les enfants. Cette richesse ne cultiva pas
notre allégresse, car notre pauvreté cultiva notre
nuit. Le froid s'inscrit dans nos critères. Peu de
travail sur les chantiers et la prudence de dépenser
nous abstenait de certaine habitudes. Je pris plaisir a
jouer avec les enfants. Cette richesse ne cultiva pas
notre allégresse, car notre pauvreté cultiva notre
faiblesse.
Le Noël de cette année là eut un sapin et le petit
Jean s'en émerveilla comme nous autre par le bonheur
de cette joie. Nous nous fîmes une promesse que
Jean s'en émerveilla comme nous autre par le bonheur
de cette joie. Nous nous fîmes une promesse que
l'année prochaine la richesse reviendra mais pour
le moment je mis en vente ma voiture bien coté pour
plus tard en racheter une autre plus abordable.
le moment je mis en vente ma voiture bien coté pour
plus tard en racheter une autre plus abordable.
suite de Prendre le droit de juger au n 5/8
Le roman est en cour de construction des changements
peuvent suivre.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
A ce jour, 26 02 2019, 109 675 lecteurs.
A ce jour, 26 10 2019, 116 744 lecteurs.
A ce jour, 26 02 2019, 109 675 lecteurs.
A ce jour, 26 10 2019, 116 744 lecteurs.
A ce jour, 21 05 2020, 121 611 lecteurs.
A ce jour, 21 01 2022, 165 722 lecteurs.
A ce jour, 19 10 2023, 185 522 lecteurs.
A ce jour, 15 12 2023, 191 lecteurs.
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