Un mouvement social 1989 10/10 ( roman social )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
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Nous envisageons de continuer la lutte avec d'autres
usines du groupe Peugeot-Citroen et faisons passer
l'information.
( Plus ont a de la voix plus notre démarche prendra de
l'importance. En forge ils ne lâchent rien et continuent
leur lutte , la direction maintient son chiffre de
1,5 % d'augmentation. )
Mercredi le 8 novembre 1989
AP
Je retrouve mon arrêt de bus dans mon village et fait le
conseilleur sur les faits que nous avons concrétisé a la CGT.
L'absence du forgerons Fernand reste normal, les autres
camarades sont tous là. Je rempli ma feuille au fur et a
mesure que nous progressons vers l'usine. L'ensemble des
collègues n'a pas de comportement ambitieux, je constat
que ce combat continue sur son élancé.
Me voila a mon atelier prêt a partager ce que je sais. Mes
collègues de la CGT ont imprimer des tractes pour amplifier
le mouvement aux autres usines du groupe.
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( Plus ont a de la voix plus notre démarche prendra de
l'importance. En forge ils ne lâchent rien et continuent
leur lutte , la direction maintient son chiffre de
1,5 % d'augmentation. )
Apprêt mes salutations je leur dis ,
- Les négociations ont de mal a trouver une entente équilibré.
Cela devient un échec sur toutes les lignes. Les grévistes
maintiennent leur lutte malgré que des délégués les
représente.
Cette réponse ne change rien dans le comportement des 1000
grévistes qui sont a Mulhouse. Le chiffre est approximatif car
des personnes portée malade en temps de grève, sont compté
parmi les grévistes. Je remarque que pas mal de camarade ont
trouvé un autre travail, beaucoup sont partie en Suisse.
Je continue mon programme et rejoins la mécanique B . La
porte s'ouvre a ma venu, car Sam m'a attendu . En entrant je
dis de ma fenêtre ouverte,
- Salut Sam, merci d'avoir ouvert la porte du SAS.
- Salut Jean , de rien .
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J'entre comme un chef et dressant de ma cabine. Je sers la
main de SAM.
- Alors Jean ca n'a rient donné a la réunion a Paris a ce que j'ai
lut sur les différant tractes c'est juste ?
- Oui Sam ils sont borner et ne veulent rien entendre de 1500
francs d'augmentation de salaire pour tous. Ma conclusion
est la suivante, ci chacun obtient une somme fix la différance
entre niveau d'étude ne se remarquera que peux avec le
revenue. Exemple, un OS 1 aura 1500 Francs comme un
cadre supérieure. Par contre ci cette augmentation se chiffre
en % l'écart entre salarier se concrétise .
- Je comprend la raison pour lequel les cadres et futures
cadres entourent ceux qui luttent pour un meilleur salaire Jean.
- Ceux qui ont compris se tournent vers une entreprise autre
que Peugeot-Citroen . Pas mal de mes camarades ont trouvé
une place .
Je quitte la mécanique B pour rejoindre la carrosserie. Sur le
parking une petite foule attend . Nous échangeons quelques
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mots. J'aperçois Rosalie, qui tient en émois, une foule qui
l'entour . Je suis moi meme hypnotise par sa fermer de discoure
pour continuer de mener la lutte . Son ardeur ne laisse personne
a l'écart elle nous persuade tous.
- Les menasses de la direction ne fait qu'amplifier notre lutte
poursuivons la tous.
Je décharge mon semis et continue vers le SAS de la tôlerie.
La porte s'ouvre car Chibanis m'a veut venir.
- Salut Chibanis merci pour l'ouverture de la porte.
- Salut Jean, quant on peut rendre service on le fait.
Me voila sur le parc des presses, la, les camarades reste sur
le qui-vive de la lutte des grévistes. Pas de doute, ils
soutiennent la suite de cette lutte, il faut reconnaitre qu'ils sont
a leur poste de travail mais ne produise pas comme d'habitude.
Je continue mon programme, change de véhicule , et charge
les lettres pour le centre de trie de la poste central de Mulhouse.
Il y a une montagne de lettres recommandé de licenciements .
Après avoir pris un cadre qui attendait au bâtiment de la
direction a l usine, je prend la direction de l'aéroport de
Bâle-Mulhouse.
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la journée se termine sens plus de changement, la lutte continue.
Jeudi le 9 novembre 1989
AP
Les passagers du bus de ramassage ne sont pas tous présent,
et il y a des ralentissements sur la route, on accumule un lège
retard . L'habitude, de ne pas être a l'heure, devient une routine.
Dans le local où l'on se change, nous discutons de ceci ou de
cela. Il arrive que l'un d'entre nous apporte des donneur Kebab
que l'on réchauffe dans notre four du réfectoire. l'apprend que
ce soir nous avons cela. Pour que nous puissions manger
ensemble je devrais mettre le four électrique manuellement en
route au moment ou je change de véhicule pour ramassé le
courier pour la poste centrale de Mulhouse. Chaque donneurs
Kebab est emballé dans du papier aluminium. Malgré ce papier,
le parfum des oignions et de la viande se repend dans le couloir.
lorsque le four les réchauffe. Laissons cela de coté pour ce soir
et continuons mon programme.
Je rejoint mon semis pour me diriger vers la mécanique B, je
croise des déléguées de la CGT qui reviennent a pied du
restaurant des cadres . Leurs discutions sont sur les futures
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négociations des salaires.
- Nous voulons 1500 France de plus par mois pas 1,5% de plus
sur notre salaire.
Les demandes sont loyale et légale, le bénéfice engendré par
la société de Peugeot-Citroen n'a jamais été aussi haut. Cette
remarque se trouve sur les tractes , j'ai prend une poigné.
Je quitte le parking devant le local syndicale et prend la route
de la mécanique B . Je ne sais pas ci l'occupation de la forge se
déroule encor , il m'est impossible de regarder sur ma droite
car une longue bâche cache la forge de ma vue.
J'arrive en mécanique B , malgré le froid, la porte du SAS est
grande ouverte. J'y entre et croise de mon regard, Sam , assis
derrière sont bureau sur une chaise réhaussé. Il me fait signe
rejoint la touche pour ferme la grande porte de SAS.
- Salut Sam merci pour l'ouverture de la porte, mais le froid
rentre, tu n'a pas froid ?
- Salut Jean, de rien cela me fait plaisir , non je n'ai pas froid,
l'air chaud soufflé par le ventilateur est diriger pour éviter
que le froid ne pénétré dans le SAS.
- Ten Sam, je te donne les tractes que l'on distribue
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Je me dirige vers la cafeté et la trouve fermé, suet j'ai
oublier que c'est l'heure de nettoyage et que la personne qui
s'occupe de sa propreté la ferme .
Je revient dans le SAS et Sam a tout chargé et déchargé, je
peux reprendre mon circuit et me dirige vers la carrosserie
pour m'arrête sur le parking habituel .
Les grévistes sont regroupé autour de Rosalie, elle parle a
haute voix pour lire les tractes sous des banderoles géantes
qui flotte au vent avec comme demandant, ( 1500 Francs
d'augmentation de salaire pour tous ) Rosalie lit les tractes car
beaucoup de salarier viennent de déférant pays ne savaient
pas lire le Français.
Je patiente, les chargement se fait, je rejoint le SAS de la
Tôlerie avec un petit retard. J'ouvre la porte du SAS et y
pénètre . Je salut l'ensemble des caristes comme il se doit
le respect vas de sois puis leur donne les tractes qui me
reste. Cette politesse met en valeur l'être humain , sens cela
je devrais attendre comme tous les autres semis venant des
pays d'Europe.
La continuation de mon programme me conduit au parc des
presses.
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La rencontre avec les caristes, en pose volontaire, se passe
bien. Je les salue comme de coutume et partage les derniers
tractes qui me reste. Il faut que je retourne dans l'atelier et
change de véhicule. Non disposons de 40 différents véhicules
de service qui sont a notre disposition. Je prend une familiale
car le coffre est plus grand pour pouvoir y placer le courier
qui est important ces derniers temps.
Effectivement, j'ai pas mal de lettres recommandées et
d'autres lettres pour Paris. Lorsque je suis a la poste , les
postiers sont sympas avec moi et aime savoir ce qui se passe
a l'usine Peugeot-Citroen. Il y a un délégué a qui je donne un
tracte, je n'en ais plus. Ce dernier me dis ,
- Salut Jean tu es délégué chez Peugeot-Citroen ?
- Salut postier, oui je délégué CGT du personnel mais aussi
représentant du personnel dans le CHSCT. Et toi tu as quoi
comme fonction ?
- Je suis représentant du personnel dans deux syndicats ce
qui me permet d'avoir plus d'heures de délégation, pourquoi
ne le fais tu pas comme moi Jean ?
- Je trouve que sa n'a pas la meme valeur que de représenter
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deux syndicats en meme temps. Bonne fin de journée, et a
plus ,il me reste 2 voyages a faire pour Bâle-Mulhouse.
Je suis pressé car je dois actionner le boutons qui met en
route le four électrique ou il y a 7 donner kebab emballé dans
du papier d'aluminium.
Je revient de mon premier transport de l'Aéroport et me met
a table , avec mes autres collègues . L'odeur du donner kebab
réveille celui des oignions et du piments , de la viande de
veau et du parfum des épices. Elle est si révélatrice que rien
qu'avec son odeur on en a l'eau a la bouche, ci on aime le
donner kebab. Je me regale et dois faire vite car mon second
voyage vers l'aéroport doit se faire.
Cette odeur du donner Kebab a imprégner mon haleine et mes
vêtements . Je n'y prête pas attention, mon passager le sent
certainement qu'il n'aime pas et en a le dégout ? Il me fait
cette remarque ,
- Il faut que je descente la vitre du véhicule, j'ai des nausées.
- Faite monsieur, cela ne me dérange pas.
Nous arrivons, il était temps car j'avais peur que le passage
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ne dégobe dans le véhicule.
vendredi le 10 novembres 1989.
AP
Je suis de bon train a mon arrêt de bus dans le village et sais
que d'ici peut la victoire pour une bonne augmentation de salaire
suivra. Cette sensation dois certainement se ressentirai aux
prêt des camarades qui prennent le bus. Je remarque qu'il ne
manque que Fernand le forgerons, il doit certainement occuper
la forge.
La route est saturé, au moment ou nous arrivons a l'entrée de
l'usine. Sur le bas coté de l'autoroute les banderoles nous
signale que les négociations salariales sont en cour.
Cette information nous redonne du tonus . Enfin je parvient
a mon atelier et le contre maitre me convoque pour me donner
une lettre venue officiellement de la direction. C'est pour faire
une formation syndical d'une semaine, du Lundi 13 novembres
au vendredi 17 novembre 1989. Cette convocation concerne
les négociations salarial. Me voila sur la ligne des négociations
pour une semaine complète.
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Cette convocation me fait plaisir et surtout me permet de
travailler en journée car du matin la fatigue nous étourdie rien
que de se lever a 4 heures du matin devient une corvée.
Je continue le roulement habituel et fais le premier arrêt
avec mon semis remorque en mécanique B. J'entre dans le
SAS ,
- Salut Sam, tu es en forme ?
- Salut Jean, oui je suis en pleine forme, la semaine se termine
et les négociations sont sur la bonne voie.
Je descend du tracteur et sert la main a Sam,
- Sam, la semaine prochaine je serai en formation syndical
pour les négociations, faudra que tu continue sens moi.
- Pas de problème Jean je pense que ton camarade Toussaint
est aussi avec toi ?
- Je ne sais pas mais c'est possible, je vais lui rendre visite le
temps que tu décharge et recharge la remorque.
Je me dirige vers la cafète , qui est fermé pour nettoyage,
pour rencontrer Toussaint.
Fidel a son poste, je le salut comme de coutume.
- Salut Toussaint,
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- Salut Jean, as tu reçu ta convocation syndical pour la
semaine prochaine ?
- Oui je l'ai reçu de la main de mon contre maitre.
- Alors bon pour les débats de la semaine prochaine ,
ensemble on est tout seul on n'est rien.
- l'Union fait la force et cette force des centurions remplie
d'espoir
Je suis le programme de mes chargements et me retrouve
sur le parking de la carrosserie, où j'attend que l'on
décharger les containers qui sont prévus. Comme d'habitude
Un regroupement se fait. Les banderoles sont préparé sur
des manches de ballets. Un feux de palette brule dans un
bidons métallique et les grévistes s'y réchauffent, les
casseurs de grèves tournent aussi autour de cette chaleur
gratuite et de valeur, par ce temps froid et humide.
Je fais un signe de la main a tout le monde avec mes
pouces en l'air.
Au bout d'un moment je continue jusqu'au SAS de la tôlerie
et mon clackson avertie Chibanis pour qu'il ouvre la porte.
Mon ensemble routier pénètre dans le Sas, c'est mieux que
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de stationner a l'extérieur par se temps froid et morose.
- Salut Chibanis, il fait plus chaud ici que sur le packing.
- Salut Jean, tu as du neuf ?
- oui, Chibanis je serais en formation durant toute la semaine
prochaine pour es négociations salariale .
- Ci tu veux, pour ce soir nous organisons des grillades avec
du bois de palettes dans un conteneur sur le parking a 19
heures nous comptons tous sur toi.
- Je ferais de mon mieux, pour manger avec vous tous.
Cette invitation me vas droit au cœur, ce qui fortifie notre
confiance.
Je continue mon parcours et me voila sur le parc des presses.
La aussi une ambiance de gagnant encadre les caristes et les
magasiniers.
- Salut les camarades , il ne fait pas chaud dans votre conteneur
et votre jaune ne réchauffe pas.
- Salut Jean, tu sais ici nous somme a l'abrite des regards des
casseurs de grèves.
- J'ai du neuf pour vous, je ne serais pas là la semaine prochaine
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je suis en formation pour les négociations salariale. Bonne fin de
semaine a tous.
Il est 15 heure 45, le temps de changer de véhicule et de rejoindre
le centre de tris de l'usine pour charger les lettres que j'apporte a la
poste centrale. Il n'y a plus de transport, je n'st pas besoin de me
déplacer a l'aéroport de Bâle-Mulhouse. Comme promis, je passe
a 19 heures chez les tôliers qui font griller des saucisses halal
provenant d'un boucher Maroquin qui exerce sur le marcher de
Mulhouse.
Une fumée bleuté s'élève entre les cadres vide et ce panache se
distingue au loin malgré que la clarté du jour a diminué. Comme de
haut lampadaire éclaire l'usine, ce panage de fumée se fait voire
depuis le centre des pompiers de l'usine qui se trouve a coté du
bâtiment de la direction. Les pompiers arrivent en toute pompe
et nous surprennent entrain de griller nos saucisses.
Ce déplacement nécessite un rapport pas encourageant. Pourtant
les caristes ont toujours grillé les saucisses en fin de semaine
avec les conteneurs de lopins chand qui sortaient de la forge, et
ne se sont jamais fait remonté les bretelles par les pompiers ?
- La reprise de la forge nous permettra a nouveau de faire nos
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grillades.
S'écrit Chibanis d'un air taquin.
samedi le 11 novembre férie
dimanche le 12 novembre
lundi le 13 novembre
MT
Nous somme réuni hors de l usine pour commencer la mis en place
de l'organisation des négociations salariale . Nous somme plusieurs
délégués syndical de différentes usine du groupe. Chaque opignon
a sa valeur et mélanger ces valeurs donne une suite constructif
pour notre lutte .
mardi le 14 novembre
MT
reunion syndical
mercredi le 15 novembre
MT
réunion syndical
jeudi le 16 novembre
MT
réunion syndical
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vendredi le 17 novembre
MT
Reunion syndical
samedi le 18 novembre
dimanche le 19 novembre
lundi le 20 novembre
AP
Le roulement habituel du travail a repris, tous les occupants
du bus sont présent.
mardi le 21
AP
mercredi le 22
AP
jeudi le 23
AP
La négociation sur la reprise du travail sont votée. La retirance
de Sochaux lâche le 23 novembre 1989 et ils votent de la reprise .
Les salaires mini passe de 4033 F a 4400 F + 367 F .
Augmentation avec un mini de 250 F.
Un 13èmme mois en augmentation de 727 F .
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La fin de pénalité en cas de maladie. Intéressement augmenté de
60 % .
Versement d'un acompte de 500 a 1500 F au 1 12 1989. Lancement
de la Peugeot 605 Versement intégral aux grévistes de la prime de
500 F.
Annulation de toutes les sanctions et licenciements.
Décembre 1989
En décembre avec le CHSCT je fait la visite du bâtiment central
de la restauration de Mulhouse. Nous somme plusieurs syndicats et
un médecin de travail. J'ai rédigé une réclamation obligeant la
direction a désamianter du bâtiment principal.
Au moment ou je le dit a haute voix, mes collègues me regarde
bizarrement.
- Mais Jean es tu certain de t'on compte rendu sur le désamiantage
du Budling ?
Une honte m'envahis, mais je me dis je suis là pour sauver des
personnes pas pour les condamner. Dire que je me prend au
au bâtiment principal des cadres celui qu'ils vénère ?
- Es tu certain ce qui tu dit Jean, tu risques d'être viré du CHSCT ne
veut tu pas revenir sur ta déclaration ?
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- J'ai des preuves et ne veut pas revenir sur ma position , je signale
qu'il faut désamianter le bâtiment de la direction.
1990
Le bénéfice du groupe Peugeot-Citroën est en augmentation malgré
que 3 mois ont été chaotique. Le déficit des pièces mis au rebut permette
pendant 5 années de les réduire des revenue.
Le bâtiment de la direction central fut désamianté que quelques années
plus tard mais a crée de nombreux cas de cancers vue que les cadres
hésitaient de me prendre au sérieux.
L'opignon a sa juste valeur A la demande de ma retraite j'ai dus
travailler 3 mois de plus pour la période de grève mais on m'a proposé
de prendre mes RTT qui était de plus de 100 jours. Je suis resté présent
jusqu'au jour imposé et me suis fait pays mes RTT.
JJM
D'après un fait réelle où les dates et certaines remarques sont
de la fixtion.
Auteur Jean Jacques Mutz
A ce jour, 05 04 2023, 174 079, lecteurs.
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