Un mouvement social en 1989 1/10 ( roman social )
Mirage au dessus des nuages sages n 1
Roman écrit d'après des faits réelle mais
entourées de fictions.
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Premier jour de la semaine du conflit.
Lundi 4 septembre 1989
Matin
Ma journée de travail habituel, consiste de me lever
a 3 heures 45 pour prendre le bus a 4 heures du matin
dans ma commune ou se trouve un arrêt de bus couvert.
J'y rencontre mes camarades de travail qui sont au
nombre de 5 personnes. Nous partageons quelques mots
pour nous donner du bon train. En premier nos vacances
qui viennent de ce terminer et en second, les revendications
salariale.
- Que penses tu de l'augmentation de salaire qui vient de
s'attribuer le numéraux 1 de la société Peugeot ?
- Il c'est attribué 46 % de salaire en plus, je n'est
revient pas, pourtant nous avions suivie les restrictions
en faisans ceinture sur notre revenu pour que la société
se relève de son manque a gagner ?
Plus personne ne dit un mot, le bus arrive, nous prenons
place a nos emplacement habituel et ramassons d'autres
personnes.
Le parcours dure 20 minutes, puis nous pénétrons par
l'entrée Sud ou les barrières sont levé par un service de
gardiennage que l'on appel les Chums.
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L'usine c'étale sur plus de 400 hectares et il y a trois portes
d'entrées qui se trouvent l'une au SUD l'autre au NORD et
la troisièmes a la Gefco qui demande de traverser la barrière
de la voie ferrer. Il y a 36 km de routes et une avenue de 4
voies et de 4 km se trouve en son centre entre la porte SUD
et La porte NORD.
Cette avenu central possède 8 routes départagé en deux par
un parking servant aux voitures du personnels. Trois autre
routes, perpendiculaire a l'allé central permette de desservir
les usines repartie en 3 rangées. L'une de ce routes longe les
usines de montage de carrosserie, de mis en peinture des
voitures, de la tôlerie qui consiste a assembler les éléments
frape dans l'usine de presse et des presses. Chacune de ces
usines possède un restaurant. Entre cette route et l'avenu,
un autre parking permet de placer les voitures particulière.
Au changement de tournée, les parkings sont remplie.
Nous somme 12000 salaries.
Nous rentrons par la porte du SUD et nous engageons
a notre droite pour marquer un arrêt devant l'usine de
câblerie et laisser descente les personnes qui y travail.
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Le second arrêt se trouve a mon poste de travail, il
est 4 heures 20.
Le flue des 30 bus, de la première tournée se passe
bien pas de retard ni de bouchons. Un second flue de
30 bus entre 15 minutes plus tard en faisan la déposition
des salaries coté montage de voitures. Les bus ramassent
les salaries dans le haut Rhin et au alentour. Il y a plus
de 2500 ouvriers par tourné qui compte 3 équipes,
L'usine ressent 12 000 salaries et ceux qui ne
viennent pas en bus arrivent par leur propre moyen sois
en voiture et pour les sportifs a vélos.
Le fluide de rentré des 60 bus et des voitures privés
se passent correctement . Il y a un décalage de 15
minutes entre les usines sur la droites et les usines qui
se trouve sur la gauche. J'occupe la ligne des usines de
droite qui englobe la mécanique A, les service MSTG ,
L'outillage central, la fonderie , le labos , puis la
mécanique B et la forge. Puis le bus sort par la portière
Nord.
les bus qui entre par la portière Nord suit le parcoure
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opposé et ressort par la portière du SUD après avoir
déposé le personnel devant chaque atelier.
Je descendre a la hauteur de la mécanique A et me
retrouve dans la section de l'MSTG où se trouve les
ateliers de création de robots mécanique, l'entretient
des bâtiments le service du transport avec son garage.
d'entretient des véhicules de services.
Nous somme le lundi 4 septembres 1989 et je fais
comme tous les lundis matin de la semaine le ramassage
des personnes cadres qui partent pour des réunions a
Paris par l'intermédierai de l'aéroport de Bale Mulhouse.
Je me trouve dans la tourné UNE et du matin.
En premier je cherche un cadre supérieur qui occupe
le dixième poste principal du groupe Peugeot a son
domicile. Je le dépose au bâtiment de la direction où, il
cherche de la paperasserie. Je me dirige vers le garage pour
prendre un bus de 22 places, qui me sert a faire le
ramassage de personnes qui partent a l'aéroport de Bale
Mulhouse pour Paris. Je dépose ces personnes au point de
départ. J'attend des personnes de l'avion de Paris avec une
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pancarte sur lequel est marqué ( Peugeot Mulhouse ) . Je
retourne dans l'usine et dépose les personnes a l'endroit où
se déroule leur réunion.
Les clients ne sont pas causant, on dirait même que les
congés les ont fatigué.
Pourtant, les vacances viennent de se terminer et le moral
devrait être au beau fix ? Très peut de cadres discutent de
leur enchantent durant les vacances, et les informations qui
passent sur mon poste ne les soulage au contraire ils en
retiennent un chiffre , 8 milliards de bénéfice 46 %
d'augmentation pour le numéros 1 de la direction,
Jacques Calver ?
Je dépose les personnes au point départ de l'aéroport
puis retourne dans l'usine Peugeot pour reprendre la
continuité de mon poste.
Une deuxième transports permet d'acheminer d'autres
cadres a l'aéroport de Bale Mulhouse et de ramener ceux
qui viennent de Paris pour des réunions. Après ces
deux transports de 4 fois 35 km, je me prépare pour la mis
en route d' un semis remorque de 30 t qui fait le vas et
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vient entre les 13 ateliers qui ce trouvent dans l'usine
Peugeot de Mulhouse. Ceux qui me chargent les bacs
remplient des pièces, me font les salutations habituel mais
a une chose prêt, avec un mécontentement inhabituel ?
J'y rencontre des ouvriers de la mécanique B qui n'ont pas
l'air enchanté de cette annonce faite sur les réseaux de
télévisions et de radios et dans les journaux .
- Qu'en penses tu Jean de cette augmentation de salaire que
c'est accordé notre Numéraux 1 de Peugeot ?
- Je reconnait qu'il y vas fort, en s'attribuant une aussi grande
augmentation de salaire, mais, on peut rien n'y faire il faut
accepter ?
- Ce qui est lamentable c'est que les syndicats de dissent rien.
Je passe par la carrosserie , il est 9 heures du matin. je fais la
queue car de nombreux transporteurs stationnent. J' attend
mon tour pour que l'on me décharge certaines pièces et m'en
recharge d'autres. Le flue incessant des chariots élévateurs passe
d'un camion a l'autre pour rentrer la marchandise. Je reste a coté
de ma remorque , la bâche tiré, pour marquer ma présence. Je
fait des signes a celui qui dois me décharger.
- Je vient Jean, d'ici 10 minutes.
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- Je t'attend sans problème.
Je rejoins a pied la machine a café a l'intérieure de la carrosserie
et écoute les personnes qui discutent en cachette, car, avoir des
intentions attentifs réveille les révolutionnaires et pénalise les
augmentations de salaire pour ceux qui se font remarquer. Me
voyant arrive ils dissent tout bas,
- Il fait partie de la direction syndicale attention.
Je fais comme ci rien n'était et sort avec mon café pour le terminer
devant mon camion.
Sur le route qui longue l'avenue qui suit la carrosserie, un groupe
de 30 personnes arrivent derrières une pancarte aussi large que la
route sur lequel sons inscrit en majuscule leur revendications,
( UNE AUGMENTATION POUR NOTRE SALAIRE
de 1500 francs ).
Ce groupe venait de sortir de l'atelier des presses le dernier
de cette rangé d'ateliers. On reconnait d'apprêt la couleurs de leur
bleu de l'atelier l'origine de l'atelier et ci c'est un professionnel
ou un OS cette distinction permet de les retourner , apprêt le
retour du lavage, au bon endroit.
Je reste étonné par cette action aussi bien que les caristes qui
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marquent l'arrêt a leur passage. Un petit groupe se forme et d'autres
salarier sortent du magasin de l'atelier de carrosserie.
Le groupe revendicateur se dirige vers le bâtiment de la
direction, appelé Building, qui se trouve sur la grande avenue de
4 km de longue et où la direction principal des directeurs du centre
de Peugeot Mulhouse tient son siège .
J' observe ce groupe se préparer pour se diriger devant l'entré
principal de la direction tenant la bannière bien élevé. Ils crient
tous a vive voix,
- On veux une augmentation de salaire de 1500 Francs pour tous.
Certaine voix rajoutent,
- Nous n'avons pas besoins de syndicat pour faire valeur nos droits,
Devant le magasin, ou je suis, le groupe de manifestant gonfle
comme une flambé de poudre, puis certains se disloque de se
rassemblement pour rejoindre leur poste de travail.
25 minutes passes, enfin l'on me décharge. je rejoins, avec mon
chargement, le magasin de la tôlerie où l'on m'attribue une porte
pour faire décharger mon semis.
Mon retard demande une explication car nous travaillons en
flue tendu. La réceptionniste, Natalie, me demande,
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- Pour quelle raison as tu du retard avec la livraison ?
- Trente personnes de l'atelier des presses ont manifesté avec
une bannière de revendication. Les caristes ont fait un temps
d'arrêt pour les soutenir.
- Et qu'elle syndicat ont ils mentionné ces 30 personnes ?
- Aucun .
Les caristes de la tôlerie, ont suivie mon récit et partent ébruité
ce que je vient de leur raconter.
Chibanis, le cariste qui se charge de moi m'a déchargé, puis
rechargé les pièces que je dois livrer a l'atelier des presses qui
se situe juste a 50 mètres dans le parc a coté.
le cariste qui reste sur le parc pour le bon fonctionnement du
flue a aussi des questions a me poser sur le retard que je viens
d'accumuler.
- Salut Jean. Pour quelle raison as tu du retard dans ta livraison ?
- Salut Léon , il y a 30 personnes qui viennent de débrayer des
presses et ils se sont dirigé vers le Building de la direction pour
demander plus de salaire. Les caristes les ont soutenus a l'atelier
de la carrosserie durant 20 minutes. Ils demandent 1500 francs
d'augmentation pour tous.
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- Merci je vais faire par a l'équipe a qui je dois livrer ces pièces
après d'avoir chargé en container vide et en pièces pour la
peinture.
Je quitte les presses et retrouve l'atelier de peinture où mon
retard c'est fait remarqué.
- Salue jean, tu as du retard, pour quelle raison ?
- Salut Philippe, tu n'as pas vue passer les 30 personnes qui
se sont dirigé vers le Building de la direction pour
revendiquer une augmentation de salaire de 1500 francs ?
- Non , tu sais je travail a l'intérieur du bâtiment de la peinture
je ne sort que quant tu vient me livrer en pièces.
Je repart avec mon chargement vers la forge qui a besoins des
containers vide. La aussi ils me questionnent sur mon retard.
- Salut Jean , tu as du retard aujourd'hui que t'est il arrivé ?
- Salut Fernand il y a eut un débrayage de 30 personnes qui
se sont dirigé vers le bâtiment de la direction avec une banderole
demandant 1500 Francs d'augmentation de salaire pour tous .
les caristes de la carrosserie ont marqué un temps d'arrêt pour les
soutenir.
Je retourne au garage car il est 11 heures passé. L'heure du repas
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peut être pris. Je déballe mon sac sur la table de notre réfectoire où
d'autres personnes mangent en même temps que moi. Personne ne
parle un mot sur les actualité, tous ont une peur de se sentir engagé
dans une suite de mouvement qui déplait a leur engagement.
Pourtant, comme je suis délégué syndicale de la CGT et un
grand nombre d'entre eux eurent voté pour moi ?
La pièce se vide, et je suis seul avec un de mes collègues qui
me demande,
- Quel syndicat dirige cette démarche Jean ?
- Aucun syndicat, ils l'ont fait de leur propre grés.
Je termine ma journée avec des ramassages de cadres avec
un minibus de 12 places a l'électricité. Un bus d'essais que l'on
teste depuis plus de 5 ans dans l'usine
Les passages qui y entrent sont des cadres, des chefs d'équipes
des secrétaires, qui vont manger dans le restaurant du Building .
réservé aux cadres. Ne mélangeons pas les ouvriers et les cadres.
La radio du minibus passe des informations sur la région mais
parle de l'augmentation de revenu du numéraux 1 de Peugeot .
Je dépose les personnes devant le restaurant et repart pour en
chercher d'autre. Je passe derrière le local des pompiers, tourne
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sur ma droite et longe le packing où vont stationner les bus pour
le changement de tournée. Pour l'instant il n'y a pas de bus, il
est 12 heures 40. Par contre les 30 personnes avec leur bannière
sont là leur revendications a bout de bras.
Je termine ma journée de travail, il est 13 heures 15. Je rejoins
le bus pour le chemin du retour. Les chauffeurs des bus attendent
15 minutes puis reprennent le ramassage des salarier qui attentent
devant les ateliers. Durant ce ramassage nous croisons la banderole
qui revendique 1500 Francs d'augmentation de salaire pour tous
un acte mis en place par un groupe de 30 personnes non syndiqué.
Sur le retour la tension a monté d'un grands, on en parle dans
les bus de ramassage. Dans tous les ateliers de l'usine Peugeot
Mulhouse les salarier se seraient ils réveillé ?
Deuxième journée de grève.
mardi 5 septembre 1989
MT
Je suis le rythme de mes habitudes, arrive a l'usine , et, prépare
le mini bus pour ramasser le personnel . Je ne cherche pas le n 2
du groupe Peugeot Citroën car il reste a Paris jusqu'à vendredi.
Cela me permet de prendre un café au distributeur où pas mal
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de personnes discutent. Puis, l'un d'entre eux me dit,
- Jean quel syndicat a poussé les ouvriers a débraillé ?
- Les 30 salaries l'on fait de leur propre grés, ils demandent une
réévaluation de leur salaire de 1500 francs.
- Pour quelle raison, vous la CGT vous n'avais pas poussé les
ouvriers a manifester ?
- Je vous avais demandé qui viendrait avec moi devant la chambre
de commerce pour faire une démonstration de force pour une
augmentation de salaire, sur la question tout le monde avait dit
oui. J'avais fait les démarches nécessaire et vous ai donné un
rendez vous la semaine dernière devant la chambre patronal de
Mulhouse. Je me suis retrouvé seul, pas mal de temps, puis le
camarades MUTH délégué ma retrouvé. A 2 personnes et 4
motards de la polices pour faire justifier nos revendications,
nous ne faisions pas le poids. Il faut que je parte, je dois
chercher les cadres qui m'attendent au bâtiment de la direction,
a plus tard.
Je prend la direction du bâtiment de la direction, et, croise un
petit groupe de salaries qui se regroupent devant la carrosserie. Il
est 5 heures du matin. Je fait rentrer les personnes qui m'attendent
pour l'aéroport de Bale Mulhouse puis les déposer au point de
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décollage. Il est 5 heures 30 du matin.
Je revient a l'usine pour chercher ceux qui prennent le deuxième
vole. Il est 6 heures du matin. Il n'y a plus personne qui manifeste
regroupé, devant la carrosserie, où sont ils passé ? Je repart vers
l'aéroport et attend l'arrivé d'un avion qui a du retard.
Il est 7 heures 10 du matin, lorsque je rentre dans l'usine. A cette
heure ci, l'équipe qui travail en temps normal arrive, ce qui fait un
embouteille. La plus part des personnes qui travail en journée, ne
sont pas des ouvriers. Le ralentissement est provoqué par des
groupes de salarier qui brandissent une banderole demandant une
augmentation de salaire de 1500 francs ( ce qui fait environs 360
euro ) leur salaire est de 4500 francs sois ( 1030 ) euro.
Les personnes que je transporte , pendant l'attende, me demandent,
- Que ce passe il chauffeur ?
- Une augmentation serait la bien venu, depuis que Monsieur
Calvet PDG numéraux 1 vient de s' attribue une hausse de 46
pourcent, en le clamant fort a la télévision et dans les journaux
cette nouvelle a fait du tord aux salaries qui eux n'aurons droit
qu'a 1,7 % d'augmentation salariale comment le n 1 l'a indiqué.
Je dépose les personnes a l aéroport sans obtenir une réponse.
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Une tension roc eut envahis le mini bus de 22 places. Je retourne
vers le garage mais empreinte volontairement la premiere avenu
pour combler ma curiosité qui tente de connaitre le nombre de
personnes qui manifestent sa l'autre porte de l'avenue ?
Mon étonnement voix au moins 100 personnes qui freinent la
circulation de l'arrivé de l'équipe du matin. J'arrive au garage et
mes supérieures me convoque,
- Jean est ce la CGT qui a déclenché cela ?
- Pas que je sage, ce sont les salaries qui ont distribués les tractes,
en voila un.
Le chef le lit a haute voix devant mes collègues.
- Ils veulent 1500 francs ( 360 euro ) pour tous d'augmentation ?
Je ne souffle un seul mot et me dis que l'actuel répartissions des
augmentations se déroulent de la manière suivante, une somme global
est distribué au contre maitre qui décide de le répartir en premier a
ces chefs d'équipes, puis au sous chef ou dépanneur puis aux salaries.
Avant que les salaries OS de la production n'obtiennent une avance il faut
monter pate blanche sur tous les obligations en premier sur la présence,
le retard, la maladie, le travail bien fait en plus, un ouvrier reçois un RTT
qu'apprêt avoir travaillé 3 samedis en heures supplémentaire . Par contre
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pour le chef d'équipe, et les cadres, une journée de travaillé égale une
journée de RTT.
Ce débraillage a fait ralentir la production, rien qu'une petite touffe de
salaries qui pensent trouver la bonne résolution ?
Je prend mon semis remorque et fait comme d'habitude en passant en
premier a la mécanique B pour prendre mon chargement. Le cariste fait
comme d'habitude, mais me fait savoir,
- Salut Jean, les ordres de la direction sont de laisser la porte du sas fermé
car ceux qui débraillent risque d'y rentrer pour faire leur démonstration.
- Salut Sam, la direction a peur des revendications ou que des ouvriers se
mêle a eux ?
- Je pense bien qu'ils ont peur que ceux qui défilent d'usine en usine en.
entraine d'autres. Tu sais Sam, je vais trouver mon camarade Toussaint
délégué de la CGT qui travaille dans cet atelier, tu sais quel poste il
occupe ?
- Oui il se trouve sur une machine pas loin d'ici, vas le trouver pendant
que je charge le véhicule.
Je quitte le sas et marche quelques pas pour retrouver Toussaint. A ma
venue, il me regarde d'un air enchanté, puis me dit,
- Je ne peux pas me déplacer, je suis bloqué, mais sait tu des nouvelles
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du débraillage qui se déroule ?
- Oui j'ai un chiffre qui doit correspondre au alentour de 1000 personnes ,
mais, il augmente de jour en jour. As tu reçus l'ordre d'encadrer les
éventuelles protestataire de la mécanique B ?
- Non, la CGT comme les autres syndicats n'ont pas reçus l'ordre de les
encadrer pour l'instant. La direction pense que se mouvement vas
s'étouffer.
Je reprend la direction du sas où mon semis remorque vient d'être
chargé. Je reprend mon circuit habituel et me dirige vers l'atelier de la
carrosserie. La, un regroupement de personnes se forme, ils sont au
moi 100 personnes. La plus part d'entre eux se trouve sur des chariots
servant a la distribution des pièces pour le montage des voitures.
Il y a pas mal de femmes qui conduisent de petits engin électrique
a 4 roues et qui tirent une petite remorque dans lequel sons préparer
les pièces pour monter un certain nombre de voitures.
La synchronisation du partage des pièces se calcule d'après le
besoin a la minute prêt. Comme il y a du retard sur le déchargement
leur présence a sa raison, mais dans leur intentions, elles aussi sont
pour le mouvement de ceux qui débraillent.
Je reste prêt de mon semis remorque avec d'autres chauffeurs de
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camions privé venant d'autres usines du groupe et qui attendent leur
tour pour être déchargé, eux aussi font partie le flue tendu.
J'échange quelques mots avec eux, ils me questionnent,
- Jean peux tu nous donner des pétitions ?
- Oui , tenez en voilà.
- Nous trouvons que cette action est une bonne chose nous allons
distribuer les tractes dans les autres usine.
Je leur donne une pile de tractes que les ouvriers ont édité sans
l'aide d'aucun syndicat. Les informations ne souffle un seul mot
de cette action. Les cadres ont un résonnement qui dit,
- Les temps sont dure actuellement, les ouvriers vont vite
déchanter. Surveillons leur augmentation de grévistes et c'il
diminue, c'est qu'ils abandonnent.
Ce résonnement ne fut pas bon, car le contraire se passe, plus les
journées de grève suivent et plus de personnes empreinte le
mouvement.
Je demande a Rosalie, une des convoyeuse de pièce ,
- Combien estimes tu le nombre de personnes dans le mouvement ?
- Il y a au moins 300 personnes. Mais trois cents personnes qui ne
travail pas, ca bloc une chaine de montage de la carrosserie. Il
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n'ont fait tournée qu'une chaine de montage.
11 heures, je dois faire la navette de ramassage des cadres qui
vont déjeuner dans le restaurant du bâtiment du building. A part,
un cadre ne mange pas avec un salarier de production.
- Bonjour mesdames et messieurs.
- Bonjour Jean.
Je termine le ramassage et lorsqu'ils descendent je leur dis,
- Bon appétit.
En continuant mon tour, j'évite pas mal de mouvement de
protestateurs qui brandissent leur pancartes d'augmentation de salaire.
Je fais un signe a Rosalie pour la féliciter. Elle porte le manche a balai
sur lequel flotte leur revendications.
Je recherche les cadres qui, ont l'air un peu inquiet ? Où peur être embêté
qui sait ? Toujours fut ils qu'ils me disse d'un certain air,
- D'ici la fin de semaine ils vont lâcher.
Je ne dis pas plus et sais que l'engagement de mes camarades ouvriers se
trouve sur une offensive qui ne lâchera rien.
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Troisièmes journée de grèves .
Mercredi 6 septembre 1989
Matin
Me voila a mon arrêt de bus, toutes les personnes ne sont pas là
comme d'habitude. Il manque Serge qui tous les matins nous prédit
le temps de la journée en levant son pouce qu'il humifié de sa
salive.
- Tient, Serge n'est pas là, il a prit des congés maladie je crois ?
- Certainement, il a dut prendre peur de la réaction des grévistes
lundi il reviendra certain .
Nous voila au nombre de 4 personnes qui prennent le départ de
mon arrêt de bus. Dans le bus, il manque d'autres personnes , au
fur et a mesure du ramassages, d'autres habitué sont absent. Au
dernier arrêt, je marque le nombre de personnes et me rend
compte qu'il me manque la moitié de ses habitué. Donc, la
conclusion reste la suivante, il y a des actions venant d'autres
usine de Mulhouse qui se prépare. Personne au retour n'eut
soufflé un seul mot.
Voulant entré par notre porte habituel , nous devions choisir
l'autre entré, ce qui a déstabilisé notre ponctualité.
En construction a suivre au 2/10 page 21
Le roman est une fiction réalisé avec un fait réelle.
1/10 a suivre au 2/10 page 21
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz.
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