La clarté de la nuit 14/15 ( roman sentimental, La vie de ? )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
14/15 La clarté de la nuit
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Arrive a la table, où Mila se trouve, ses copines reste enchanté
par ma présence et l'une d'elle , Camélia lui dit,
- Tu avais peur de ne rencontrer personne je te félicite Mila.
Camélia doit être la plus âgé, je pense car toutes la considère
comme telle. Je tente de me rapprocher de la table . Camélia
me dit,
- Venez, vous été le bien venu.
- Merci de votre accueille.
Je me place a un bout de la table a coté de Mila. A ses coté se
trouve une autre copine. celle ci me demande,
- Je suis Pamela et vous comment ont vous appelé ?
- Jean.
- Que faite vous dans la vie Jean ?
- Je travail sur les chantier, je suis couvreur charpentier et vous ?
- Je travaille dans une banque et je suis une copine voisine de
Mila.
Je regarde la quatrième filles qui me scrute sans me perdre de
vue. Je la questionne,
- Et vous, comment vous appelle t'on ?
- Je suis Simone je suis une copine de quartier de Mila depuis
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que nous allons ensemble en classe de couture. Je travaille
dans un magasin de vêtement comme retoucheuse. Peut on se
tutoyer Jean ?
- Oui pas de problème.
Je pense avoir acquit leur confiance ce qui permet de m'attacher
dans leur groupe.
Francis a de son coté trouve une son attache dans le groupe où
se trouve sa cavalière.
La lumière se met en pose et une série de slow commence, je ne
tarde pas , et prendre Mila par la main pour nous diriger vers la
piste de danse.
Cette marche provoque une émotion telle que le battement de
mon cœur me gratifie de bonheur. Ce qui ressemble a une sorte
bénéfique pour toutes les sensations naturelle de l'humain. Un
homme a une particularité, il l'exprime par ,
- Jean qu'as tu dans ta poche droit, est ce ton portefeuille ?
- C'il te gène je le déplace.
Je fais en sorte que mon outil masculin reste au milieu.
Le slow continue et nos corps se serrent de plus en plus fort
l'un contre l'autre.
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L'on se laisse entrainer par ce fluide sentimental qui rassemble
les amoureux, l'on s'embrasse sans tenir compte du temps qui
nous dépasse.
La deuxième série de slow commence, on reste encore stationné
avec notre bise qui nous colle sans s'égarer. Les danseurs tournent
autour de nous comme pour nous admirer ? On reprend le rythme
du slow avec une intention certaine , celle de proclamer que nous
somme fait pour nous aimer mutuellement.
Le slow se termine et avant même que le chanteur eut dit ,
- Remercier votre cavalières et votre cavaliers en vous
s'embrassent.
Nous restons collé l'une a l'autre.
Le troisième slow a démarrer sans que l'on se rendons compte.
De petits pas en petits pas on s'enlace.
- Embrassez vous cavaliers et cavalières.
Le bal se termine a 2 heures du matin, les musiciens rangent
leur instruments et je demande a Mila ,
- Vous entez venu par quel moyen de locomotion ?
- Nous avions prit le tram pour venir comme la fête se termine a
2 heures et qu'il n'y a plus de transport, nous rentrons a pied.
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- Vous habitez dans quel quartier de Mulhouse les filles ?
- Dans le quartier de Dornach, il faut traverser la ville par son
centre, ce qui fait bien 6 km de la place du 14 juillet.
- Acceptez vous que je vous accompagne ?
- On n'a rien contre, mais toi Jean tu habite où ?
- Pas loin d'ici, a 1 km, je dois revenir sur mes pas en rentrant
mais cela ne fait rien , quant on aime on ne compte pas sur
l'efforts fournie.
Les lumière s'éteigne et le bruit de la fête foraine se tut. Les
rues de la ville sont éclairée avec des lanternes qui scintillent.
Nous somme 5 personnes et je suis le seul homme. Cette
attention me donne une démarche fière et ambitieux. Je crois
que cette fois si je touche la bonne étoile, ca j'en suis serin.
6 km ce n'est pas la porte a coté.
Dans notre déplacements, je discute avec les filles qui
trouvent dans notre engagement un comportement honnête.
- Que fais tu comme métier Camélia ?
- Je suis couturière comme Mila et Simone et je travaille
dans une maison de couture et je suis la plus âgé car j'ai
20 ans.
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- Tu as le même âge que moi.
- Comme je suis la plus âge je porte la responsabilité sur
mes copines avec l'accord de leurs parents ce qui veut
dire que je dois faire attention sur Mila et les autres, ne
fait pas de coup vache a Mila, je n'aimerais pas ca et je
serais en guerre contre toi.
- Ne t'on fait pas Carmen, je respecte les consignes. La
probabilité d'être appelé sous les drapeaux peut couper
cour a ma présence parmi vous.
la consigne reste clair, il faut la respecter et je tiendrais
compte a Mila lorsque je serai seul avec elle.
Mila n'a pas ses 18 ans que dans un mois, Simone et
Pamela viennent de les avoir leur 18 ans. La majorité ne
sera qu'a 21 ans . La fermentées des autorités ne nous
laisse de chance pour ignorer cette loi. Donc, respectons
en là car ci une jeune fille tomberait enceinte, elle se
retrouverait dans une maison correctionnelle des bonnes
sœurs jusqu'à ses 21 ans.
La traversée de Mulhouse se passe a merveille, pas une
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voiture de police ne circule ni même d'autres personnes. les
dernier becs de gaz aux emblèmes de Mulhouse éclaire les
petite ruelle. Ils sont modifier car, ce sont des lampes
électrique qui illuminent les ruelles.
Nous arrivons par la rue de Hirsingue. Mila me dit,
- On y est presque Jean, ca fait une trotte de traverser toute
la ville.
- Oui tu as raison Mila, il nous faudrait une voiture pour
mieux se rencontrer, comme la mienne le moteur a rendu
l'âme, je vais en acheter une autre d'occasion et pas chère.
Nous arrivons devant la porte d'entrée de Mila qui habite
au 4 -ème étage d'un immeuble dans se quartier de Dornach.
Nous discutons encoure quelques mots, sans que les autres
filles nous entende.
- Peut on se revoir Mila ?
- Oui Jean, demain je travail comme fille de salle a l'hôpital
civil de Mulhouse et je termine a 19 heures, tu peux
m'attendre en bas a l'entrée de l'hôpital du Hasenrain près
du fleuriste le vendredis soir.
- Promis je t'attend a 19 heures comme convenu.
Le lundi je reprend le travail ma joie profonde provoque une
effervescence de nouvelles a distribuer. Sur le parcours allant
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a notre lieu de travail je raconte les exploit de ma conquête.
- J'ai rencontré une jeune fille de 17 ans au bal samedi soir,
elle répond a mes rêves. En plus j'ai un rende vous en fin de
semaine avec elle.
- Mais Jean, tu vas la perdre car tu par d'ici quelques temps a
l'armée comme appelé.
- Je le sais, elle m'a promis qu'elle restera avec moi même
lorsque j'y serais.
Un Italien qui a renforcé l'équipe me dit,
- Moi j'ai quitté mon pays pour ne pas faire l'armée, c'est une
perte de temps.
- Le Portugais en dit autant.
Mon collègue Français du même âge que moi me taquine avec,
- Comme je suis soutient de famille je n'est pas besoin de le
faire ce qui ma permis de faire un prêt et acheter une Renauld
16 TS.
L'Algérien me nargue a son tour,
- Quant tu seras a l'armée, nous on s'occupera de ta femme et de
ton poste de travail ne t'en fait pas. Quant a nous, pour avoir la
double nationalité, il suffit de faire 3 jours de formation d'ici
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quelque temp.
Breffe tous tentent de me décourager de mes engagements
sentimental et surtout des 12 mois que je dois faire durant l'armé.
Les taquineries durent toute la semaine . Au vendredi venu, je
part retrouver Mila a l'heure et l'endroit prévu. Pour que je sois
présentable et bien chaussé, je m'achète une pert de chaussure
avec une semelle en cuir et des chaussettes dans une boutique
bien classé; puis je choisie un pantalon a la mode et je passe
chez le coiffeur pour couper ma tignasse et la rendre plus
présentable.
Je parcoure la distance a pied et arrivé devant le fleuriste, je
m'assois sur le banc car des ampoules aux pieds me fonts des
misères. J'enlève mes chaussures, ce qui me soulage.
Enfin, la voilà, avec son vélomoteur bleu Peugeot 104. Je
remet mes chaussures et fait comme si rien n'était.
- Bonsoir Mila, tu as passé une bonne semaine ?
- Oui merci Jean et toi ? Tu as changé avec ta coupe de cheveux,
elle te vas bien.
- T'on attention me fait plaisir, je l'ai fait pour que je ressemble a
une personne présentable, tu le veux bien. Au travail les
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collègues mon nargué toute la semaine pour me faire comprendre
que les amitiés avec une femme ont tous tendances a s'effacer
durant le service militaire.
- Tu sais Jean, ma mère a un compagnon de 3 ans plus âgé que
toi et il a fait son service militaire pendant que j'ai du m'occuper
de mon frères et de mon demis frère ainsi que de ma sœurs et
de ma demis sœurs. Ce demis père a pris la place de mon père
qui eut perdu sa vie dans un accident de travail lorsque j'avais
12 ans.
- Ca fait une grande différance d'âge entre eux ?
- Oui, 15 ans et j'ai une demis sœur et un demis frère , nous somme
5 enfants en tout je suis la plus âgé une sœur me suit puis un frère.
- Diras tu a tes parents que tu m'a rencontré au bal ?
- Bien sur, mais, ils mon fait comprendre que je dois faire attention .
je ne leur dirai pas tout de suite sois patient Jean, et a demain
sous le préau de la pharmacie rue Fénelon.
Cette fureur de se revoir me donne de l'ambition et je rachète
une P 60 Simca a mon voisin. Le bleu de la carrosserie ressemble a
la Peugeot 104 de Mila. Je la retrouve le lendemain rue Fénelon
comme prévu et l'invite a me suivre sur le parking où se trouve
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la voiture.
- Elle est a toi, Jean ?
- Oui, je l'ai acheté a mon voisin , je me suis mis d'accord avec ma
sœur qu'elle me la rachètera et qu'elle me redonnera l'argent
au fur et a mesure par mois lorsque je serai a l'armé.
- Tu as bien calculé , c'est pas mal une voiture une sorte de chez
sois .
Nous discutons de ceci puis de cela, au bout de 15 minutes Mila me
fait comprendre qu'elle doit rentrer, elle est troublé,
- Il ne faut pas que j' accumule trop de retard, mes parents risquent
de me faire des remontrances. Bonne soirée Jean .
- Mila, tu leur dira que ta m'a rencontré ?
- Oui c'est promis, a demain.
Ca peur la détannise, cela se vois.
La journée de travail se passe sans trop de remarque décevantes je
me suis abstenus de raconter mes éloges sentimentale.
Le soir venu, je la rencontre a l'emplacement prévue. L'on s'embrasse
comme des amoureux.
- Mila as tu dit a tes parents que tu m'a rencontré ?
- C'est un peut trot top Jean, il faut que je demande a Camélia ce
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qu'elle en pense. Tu sais mes parents sont très a cheval sur les
interdictions leur méfiance a ses limites, ils risquent de m'interdire
que je sorte avec mes copines.
- Tu sais ce que l'on vas faire, je t'invite au cinémas Rio pour ce
samedi soir, tu emmèneras très copines. Puis l'on demandera
a Camélia qu'elle parle diplomatiquement de notre rencontre
avec tes parents, qu'en penses tu Mila ?
- C'est une bonne idée, j'ai un peu peur de leur en parler avec
Camélia j'ai plus de courage.
- A samedi soir Mila.
Sur le parking habituel je retrouve les 4 filles qui m'attendent
patiemment. Le fait d'avoir une voiture a disposition devient un
évènement. Mila se place a coté de moi et les 3 autres copines
a l'arrière. Nous arrivons au cinémas Rio, j'ai placé la voiture
sur la route qui se trouve a l'arrière , là où il y a la sortie de
secoure que l'on ouvre quant le film est terminé.
Au retour nous discutons avec Camélia pour qu'elle disse au
parent de Mila
- Camélia, peux tu demander aux parents de Mila ci je peu me
présenter, car Mila a peur de leur faire part de ta demande ?
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- Je vais faire mon possible, tu sais Jean il y a une manière de
poser la question, je sais que Mila a peur que des retombées la
bloque pour ses sorties. C'est pour cette raison qu'elle hésite.
- Je compte sur toi Camélia .
Je reste devant la porte d'entrée et attend que l'on me fait signe de
monter. Cette attente me donne du mourons, vont t elles réussir a
ce que je puisse me présenter ?
J'attend quelques minutes, puis, du balcon Mila me fait signe
de monter . J'accède rapidement au 4 étages, et arrive essouffle.
Mila se trouve sur le palier. Son visage souriant et éveillé.
- Vient Jean, je te présente a mes parents es tu prêt a les rencontrer ?
Mon stress inonde mon comportement, je suis comme tétanisé
par cette rencontre.
- Je suis prêt a les rencontrer Mila.
Je reste ému mais intentionné pour me faire connaitre. L'on se
fait la bise pour nous encourager.
Je pénètre dans le couloir par la porte resté grande ouverte et
traverse le couloir pour rejoindre la salle a manger dans laquelle
se trouve un ensemble de meuble de style chippendale vernie .
Autour de la table, bien lisse, les parents sont assit cote a cote
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et regarde une émission de la télévision .
- Bonsoir madame et monsieur, je suis Jean et aimerais vous
demander l'autorisation d'emmener Mila au cinéma. Ses
copines viennent avec. Puis je avoir votre permission ?
Je leur rapporte cette demande comme ci je cite une récitation .
Un Hoff de soulagement me donne une joie réquisitoire, j'ai réussi
a dépasser mon objectif.
La maman de Mila , plus grande qu'elle , a un corp élancé une
chevelure châtain et des yeux bleu. Elle a les corpulence d'un
mannequin. Je suis observé, comme ci cette personne tente de mieux
me juger. Puis, elle me regarde d'un air enchanté,
- Je veux bien vous la confier, mais il faudra me la ramener entière
sans la détourner de sa virginité.
Son demis père, d'une grandeur qui arrive a mon menton , me précise,
- Mila n'a pas sa majorité , on peut vous dénoncé comme détournement
de mineur, vous avez quel âge Jean ?
- J'ai vingt ans ,je n'est pas encore ma majorité . ( qui est a 21 ans )
Ce personnage presque du même âge ,tente de me donne des leçons,
restons serin, et gardon notre sang froid.
Un chiot d'environ 4 mois tente de jouer avec moi, il me mordille
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mon pantalon a patte d'éléphant. Je le caresse pour qu'il cesse.
- On l'appelle Tarzan Jean .
Me dit Mila
- Pas mal comme nom, qui a décidé de l'appeler ainsi ?
- C'est ma sœur avec l'accord de tous les autres.
Ses frères et sœurs se rapprochent de moi, la plus jeune se déplace
en se tenant a la table et le jeune des frère marche a 4 pattes.
- Bonjour les enfants .
Ils me regardent attentivement, comme ci je suis celui qui leur
apporte une nouveauté. Camélia se trouve a coté de Mila , elle
exprime une satisfaction que je capte avec attention, car grâce
a elle ce contacte a peut se faire.
- Jean il nous manque ma sœur Pamela elle ne vas pas tarder.
- Je suis patient et j'attend de toute façon on a de l'avance.
- On peut allé dans la cuisine, et l'attendre ?
- Comme tu veux Mila, .
Je sais que j'avais de l'avance, bon, entrons dans la cuisine où
Mila nous sert une café. Le chien, berge Allemand me renifler
les chaussures continuellement .
- D'habitude le chien n'aime pas les inconnues et il gronde ou
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aboie, mais là, Jean, il t'accepte a ce que je vois facilement. Lui
aussi t'a accepté.
La sonnerie donne, des écots se répartirent et le chien se met a
aboyer.
- Je pense que ce sont ma copine, je vais leur ouvrir maman.
- Dit leur qu'elles mondent Mila.
- Oui je leur dit.
L'ensemble de la troupe se trouve dans la cuisine, chacune
se sert de la cafetière Italienne. la maman de Mila vient nous
rejoindre et dit, d'un air bien ordonné,
- Tu fais attention a Mila, Camélia nous reposons notre confiance
en toi.
- Oui Madame je vous le promet.
Nous prenons le départ pour allez au cinéma et dépose les copines
de Mila puis je récupérer mon cousin Francis et sa copine comme
convenu dans la cité ouvrière.
Le film du Docteur Jivago passe, ce long métrage a du mérite.
Le mérite tient a sa longévité et au suspense qu'il émet. Cette
longévité rassemble les amoureux sans tenir compte du présent.
Nous profitons de cette pénombre pour flirter sans ménagement.
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Le film se termine et en sortant par l'arrière porte du cinémas
Rio, nous rejoignons la P 60 stationné pas loin. Francis me dit,
- Ramène Mila et ses copines, j'attend ici jusqu'à ce que tu revient
nous chercher.
- Entendu, Francis a plus.
Je raccompagne en premier ses copines puis reste stationné devant
l'adresse du bloc de Mila. Mais avant qu'elle sorte de la voiture, l'on
discute quelques instants puis l'on s'embrasse a plusieurs reprises.
Un véhicule, une 4 L de la police, vient nous contrôler. Leur
intention consiste de savoir ci effectivement notre véhicule est bien
le notre ?
Cette démarche engage du temps et nous immobilise plus d'une
heure. Enfin, je peu retrouve Francis qui avec sa copine Anne qui
grelote de froid. Mon retard les met en rogne.
- On a été contrôlé et la police a fait des démarches qui ne prenaient
pas fin Francis, je n'en peu rien.
- Mais Jean, j'ai pris froid dans cette ruelle en t'attendant ave Anne
En plus, on a pris peur .
Anne ne dis un mot et son visage tremble de froid. Dans la P 60
une chaleur douce, les réconforte, heureusement.
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Comme convenu, je les conduit dans la cité ouvrière. On sonne
pour que son père nous ouvre, puis l'on se dit aurevoir. Je roule
jusqu'au virage suivant m'arrête et laisse sortir Francis qui , grimpe
discrètement le long du mur sur la palissage de rosier grimpant.
Anne lui ouvre la fenêtre pour que Francis puise entrer sans que
son père , qui est veuf, sois tenu au courant.
Je dimanche après midi, je retrouve Mila. Nous décidons de
promener le chiot dans les alentours. Les parents de Mila ne sont
pas dans l'appartement car ils ont décidé de travailler auprès de la
maison qui se trouve en construction dans un village a 10 km de
Mulhouse. Comme Mila dois garder ses frères et sœur, nous les
emmenons. A 16 heures ont revient de notre balade. Un 4 heures
se partage, il consiste d'une brioche que Mila eut fait. Je suis ravis
de cette dégustation,
- Tu cuisines bien Mila, félicitation.
- Mais comment ce fait il que tu sais que je suis l'auteure de cette
brioche ?
- Ta sœur me la dit avec une fierté réconfortante.
La télévision passe des extrais de dessins animé ce qui ravi ses
sœurs et frères. Mila m'emmène dans sa chambre, que l'on ferme a
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clé pour avoir un peu d'intimité. Mila se couche sur le lit et mes
caresses font monter l'adrénaline sentimental. Quant une fille entraine
un garçon, le consentement se trouve sur la bonne longueur d'onde .
N'oublions pas la promesse que nous avions fait, je reste sur les
caresses malgré que mes envies d'aller plus loin me nargue.
8 heures 30, les parents sont de retour.
- Bonjour Madame et Monsieur, avez vous avancé dans vos travaux ?
La mère de Mila me fait comprendre,
- Oui, nous somme entrain de poncer les murs pour les peindre d'une
sous couche . La semaine prochaine on passera a la tapisserie dans
certaine pièces. le fait de poncer provoque de la poussiers et j'ai du
mal a nettoyer. Une aide serait la bien venu. Tu travail le samedi et
le dimanche prochain Mila ?
- Effectivement je travail l'après midi de dimanche et le matin de
samedi. Ci Jean veut bien me conduire samedi après midi a
Tagolsheim nous venons vous donner un coup de main. Quant
penses tu Jean ?
- Je suis de ton avis Mila et je viendrais pour samedi après midi.
La semaine se passe a merveille sur les chantiers, je ne souffle un
seul mot a mes collègues . Nous travaillons sur Altkirch, ce qui me
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permet de repérer Tagolsheim qui se trouve sur notre route. Le travail
consiste a monter un hangar pas loin de la cimenterie. Pour resserrer
les boulons qui tiennent ensemble les fermes, en H, on utilise une clé
dynamométrique surdimensionné. Ce qui présente une nouveauté
pour nous.
La semaine se termine et, le samedi après midi je récupère Mila
pour se rendre a Tagolsheim. Notre présence rend l'ambiance très
encourageante. Mila s'occupe de ses frères et sœurs et moi j'aide
a poser dans la tapisserie avec son demis père. Celui ci me dit,
- Ma propre famille a emmené la maman de Mila devant les
tribunaux pour détournements de mineur car je n'avais pas mes
18 ans et elle en avait 33 ans. Comme je connais les ennuis
que ca a engendrées je te dis de faire attention que Mila ne ,
tombe enceinte. Je suis honnête avec toi, reste le avec moi et
tous se déroulera normalement.
- On tiendra notre promesse comme dit.
- Jean, cette maison que je suis entrain de construire, c'est grace
a la somme d'argent qu'a reçu sa mère pour le décet de son père
en accident de travail. Je donnerais a Mila son dut a sa majorités
a condition qu'elle ne se marie pas jusqu'à là-bas et qu'elle ne demande
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pas son dut.
- Les remarques sont bien enregistré, je tiendrais compte de ce
complément.
Le meneur mène son troupeau a sa façon, le contredire serait nuire
notre liaison. Comme je tient a Mila, plus que tout, je me garde de
lui en parler.
Mon coup de main reste le bien venu et les travaux avance plus
rapidement.
Décembre, Les fêtes de fin d'année sont en route et les préparations
vont bon train. Je ne pense qu'au bonheur que l'on peu partager
et sur cette idée, je tente de trouver un bijou qui fera plaisir a Mila.
Je m'arrête chez Capricia, sur la place de la République et me laisse
émerveiller par cette bijouterie où mes yeux se laisse émerveillé par
la beauté lumineuse des décorations et surtout par le nombres de
bracelets en or qui scintillent du reflet qu' ils répercutent.
J'entre dans cette bijouterie et demande,
- J'aimerais offrir un bracelet a ma copine pour Noel, je dispose de
300 francs, que me conseillez vous ?
- Vous avez un choix important de bracelets qui sont en or , mais a
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ce prix là, le bracelet ne sera pas bien lourd. Par contre en plaqué
or, son volume sera plus important . Je vous montre quelques
exemples.
Elle me déballe un nombre impressionnant de bracelets tous me
font rêver. Devant ce trésor je ne sus quoi choisir et reste hypnotisé
par un bracelet ciselet d'une largeur importante. De quoi faire envier
les plus belle femmes du monde, ce que je retient, c'est que le reflet
de ce bracelet se répercute sur le regard de cette hôtesse comme
dans le fond de mon cœur. Pas de toute ce bracelet correspond a mes
exigences.
- Madame, pouvez vous me l'emballer dans un écrin ?
- De toute façon nous emballons toujours les bijoux dans leur écrin
destiné.
Je suis émerveillé comme ci se bijou me revenais , mais , là où il
sera il compilera Mila .
Le tout fut emballé dans du papier de Noel ce qui augmente la
chaleur du partage . La bijouterie, me fait un autre paquet, dans lequel
se trouve un peigne doré, emballé dans du papier de Noel.
Nous avons prévu, Mila et moi, que je la présente a mes parents avant
la fête de Noel. Ce moment là je lui ferais la surprise.
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L'on se retrouve le dimanche prévue où je lui présente ma famille.
Ma famille la reçoive avec tous les honneurs qu'ils se doit. Je décide
de lui donner les 2 paquets doré, pas du premier coup, mais un après
l'autre. Je tend le paquet rallongé Mila l'ouvre et , exprime un profond
enchantement ,
- Que c'est magnifique ce peigne en or, merci Jean pour ce partage.
L'émerveillement me comble d'un baissé réconfortant.
- Jean, je ne peu rien t'offrir, je suis profondément dessus, je dois donner
mon salaire a mes parents.
- Je ne m'attendais pas a ce que tu m'offres quoi que ce sois ton amour
a les valeurs du plus beau partage. Mais j'ai encore un autre paquet
pour toi.
Je lui tend l'écrin emballé dans sont papier d'orée. Elle l'ouvre et
stupéfait par sa beauté elle me regarde un peu débouclée des habitues .
- Quelle beau bracelet, je ne peu accepter ceci, tu me gâte de trot Jean.
- Comme tu n'as pas d'argent pour m'offrir un paquet, je te demande de
m'acheter une montre qui résiste a l'eau, pour cela nous la chercherons
dans la même bijouterie d'où viennent les bijoux que je t'ai offert et
c'est moi qui financera l'achat.
Mon père et ma mère sont émerveille par ce que je vient d' offrir a Mila.
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Cette action les rend jaloux, et mon père me dit,
- Ce que tu viens d'acheter a beaucoup de valeur, tu sais Jean souvent les
filles laissent tomber leur amoureux durant le service militaire. Il ne
fallait pas dépenser ton argent tu en aura besoin durant ton service
militaire.
- Je n'est pas peur qu'il me manquera de l'argent car j'ai vendu la voiture
a ma sœur qu'elle me remboursera en 12 versements durant mon service
militaire.
Ce décembre là mon treizième mois de salaire fut copieux , par les nombreux
chantiers que nous eûmes réalisé. Donc pour fêter la nouvelle année nous
convenons de passer le réveillons dans une colonie de vacance et louant deux
nuits pour fêter la nouvelle année. Pour que Mila puise venir avec nous, j'ai
du demander l'autorisation a ses parents qui mon dit,
- On accepte que Mila fête la nouvelle année avec vous Jean, mais, elle doit
être de retour avant 6 heures du matin, sans cela, nous portons plainte pour
détournement de mineur.
- Je respecte votre remarque et raccompagne Mila pour 6 heures du main.
La fête se déroule dans une colonie de vacance prêt de Guebwiller dans le
haut Rhin et il faut une demie heure de route pour y accéder.
Ce soir là je cherche Mila a 18 heures et rejoint notre groupe comme
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convenu dans la colonie de vacance du Rimlishof prêt de Buhl dans le Haut
Rhin.
Cette colonie se trouve dans une petite vallée entouré de montagnes
avoisinantes les 1000 mètres. La route mène a l'Abbaye fortifier de Murbach
et passe devant l'Hôtel Saint Barnabé. La colonie de vacance, entouré de sapin,
majestueux, se trouve avant le Saint Barnabé. La verdure des arbres cache
l'endroit de la route qui rejoint l'Abbaye.
Mila ne connais pas tous les invités ca qui me permet de la présenter avec
Fierté. Sur le parking un grand nombre de voitures l'occupe, nous n'ouvrons
pas la marche. Mila porte un ensemble rouge Bordeau qu'elle eut cousue. Le
bracelet qu'elle porte reflète de tous se éclats et quant a moi, avec la montre
de plongé, de Mila, je suis fière de ce que nous possédons.
Nous rencontrons une ambiance qui enivre un air encourageante, chacune
et chacun vas bon train. Nous voilà partie jusqu'à la nouvelle année. On se
retrouve a 20 personnes dans notre groupe.
Il y a un autre groupe, composé de marcheurs ils portent tous des
chaussures et l'équipement de marche.
Pour notre groupe, nous avons prévue une fondu savoyarde arrosé au
Quirche et comme desserre, deux foret noir que Mila eut préparé. Avants
d'arriver au repas, un apéritif décore la table, et des boisons nous sont
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proposé. Il y a des bouteilles de gréments d'Alsace , de la bière de l'amère
bière, du pastisse et des bouteilles d'eau. Au milieux de la table, des bougies
répartie sur la longue table de bois de sapin massif.
Chaque couple se trouve vis a vis de l'autre Cette répartissions permet
de puiser dans le caquelon de son conjoint et chaque fois que l'un d'entre
nous eut perdu son morceau de pain un gage fut annoncé. Très souvent il
fallu boire un verre de ta boisson préféré. Avec nous, il y avait Francis et
Anne, ainsi que mon voisin et voisine de Mulhouse, et souvent cette
dernière fut pénalisé par un verre de crèment d'Alsace .
Aux applaudissements du groupe elle dut boire son verre en une fois.
De mon coté, je fit en sorte qu'aucun gage ne m'oblige de boire plus que
de coutume, je sais que je dois retourner raccompagner Mila avant 6 heures
du matin.
La bonne humeur reste maitre des lieux a telle point que les rires ne
prenaient pas fin. Un tourne disque nous donnais de la musique en 45 tours
et souvent lorsque certains dansais , le disque sautait de ligne suite au
vibration du parquet en bois .Pour diminuer le travail on avait des assiettes
et des gobelets en papier jetable .
le groupe adverse passait d'autres styles de musiques que nous, l'on décida
de laisser passer tout les dix minutes leurs 45 tours .
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Minuit se rapproche, ce qui fait monter notre adrénaline. Mais le fait de
boire un peu plus que d'habitude, déstabilisait certaines personnes. Anne et
ma voisine tentait de retrouver leur chambre a couche, pour y faire un brin
de toilette, elles se sont trompé de porté dans les grande portes des placards.
Leur absence nous inquiétait car minuit approchait. Certains les
recherchaient dans les chambres a couché puis, enfin elles sortent des
armoires et sont de nouveau parmi nous
Le groupe de marcheur a décédé de prendre la route vers l'Abbaye et
terminer leur soirée dans l'église fortifier au son des prêches paroissial.
Nous on sorte notre arsenal de pétards qui éclatent par ci ou par là et nos
fusées qui illuminent le ciel . La nouvelle année se présente sous des
gerbes de couleurs et des pétarades de toutes sortes. Nous continuons
notre fête a l'intérieure de la colonie en chantant et en dansant .
Il faut que je prête mon attention au moment où je dois partir pour
ramener Mila car l'heure passe vraiment très vite dans cette nouvelle année
1972.
A 10 minute prêt, je dépose Mila comme promis.
Ce mois de Janvier 1972, le froid nous harcelait, il fait moins 20 degrés .
Sur les chantiers, des feux de fortune nous réchauffaient temp bien que mal.
Les poiles du nez se collaient avec le gèle et les oreilles son rouge comme
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notre bout du nez. On grelotant malgré la superposition de plusieurs
vêtements. Quant par une maladresse l'on se coupait a travers les gans avec
des bavures resté sur les travers métallique, aucune douleur se sentait
seul les couleurs du sang nous avertissaient. C'est en rendant au chand que
les douleurs se ressentaient.
Sur les chantiers, nous avons des latrines, qui se présente sous forme de
trou entouré de trois cloisons en bois et d'une porte qui se ferme avec un
clapet. Cette habitacle, a l'abrite du froid, nous permettait de trouver une
chaleur réconfortante. Un collègue y trouve l' habitude d'y passer une
partie de la journée, malgré que l'odeur de la décomposition y pris place .
Comme nous la déplaçons avec le camion grute de temps a autre, on
envisagea de lui donner une leçon. On attache les latrines a son sommet
et la soulevons pour la déplacer. Le collègue reste assit sur le troue de la
caisse en bois entrain de somnoler. Sur le moment, il ne se rendit pas
compte mais quant le froid lui rafraichi ses fesses il se réveille aussi tôt.
Nous en avion rie a telle point que les jours suivant il ne s'oubliait plus
sur les latrines.
Toujours pas de réponse de l' Armée pour y passer mon temps d'appelé.
M'aurait il oublié ?
Francis et Anne nous accompagne sur les bals du samedi soir . Comme
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ils n'ont pas de voiture je les cherche et les raccompagne. Un soir, Francis
me dit,
- Pourrais tu me prêter de l'argent pour payer les dépenses pour un
avortement en Suisse ? Anne ne veut pas passer par les fesseurs d'anges
en France c'est trop dangereux en plus une condamnation risque de nous
pénaliser . Ne le dit a personne sa doit rester confidentiel.
- Oui je te prête l'argent qu'il te faut, tu me le rendra pendant que je serais
a l'armée. Mais, comment allez vous procéder pour passer devant un
médecin Suisse ?
- Anne doit dire qu'elle a été violé par un inconnu et jurer devant le médecin
que ces indications sont exacte.
Me voila en route vert un hôpital privé de Suisse avec Anne et Francis.
l' hospitalisation ne dure qu'une heure et Anne et Francis sortent. Nous
passons par une pharmacie pour y acheter des pilules prescrit par la clinique.
Sur le chemin du retour, nous ne parlons pas beaucoup . J'avais moi même
hâte de rentrer.
Le mois de janvier touche sa fin, Toujours pas de réponse concernant mon
départ pour l'Armée. Mon anniversaire pour mes 21 ans se rapproche . Je
me demande c'il m'ont oublié car pas mal de mes copains de classe appelé,
sont déjà de retour ?
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Mila a organisé une rencontre avec ses parents pour leur faire comprendre
que nous restons fidèle quoi qu'il arrive. Ce jour là je fit connaissance de ses
frères et sœurs. Il sont au nombre de 5, 3 du premier mariage et les plus
jeune du second mariage. La curiosité des plus jeune les plaçait en première
ligne.
Sur les chantiers, la routine continu, nous travaillons sous les toits a l'abri
des courant d'air pour placer les sous plafonds. L'on se trouve dans une
salle de gymnastique ou, les instrument d'entrainement sont présent, il
y a la barre latérale aussi que l'arceau et des cerceaux.
L'ambiance vas bon train et notre plafond avance a grand pas.
L'échafaudage sur roulette permet d'avancer au fut et a mesure, parfois
nous devons déplacer les barres latérale.
- Sait tu ce qu'il font avec ces barres Jean ?
Me dit José le Portugais.
- Je te le montre, essai d'en faire autant.
Je me hisse sur la barre et fait une démonstration. Le collègue de travail
me regarde étonné et me dit,
- Mais c'est facile, je vais faire la même chose.
- Comme tu veux mais fait attention de bien te réceptionner en touchant
le sol José.
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- Ci toi tu peux le faire, moi aussi je peux le faire .
Il tente de se hisser sur la barre, un peut trop haute pour lui. Je lui
donne un coup de main pour qu'il parvient. Il soulève ses jambes pour
faire pivoter son corp autour de la barre, avec peine. Ne voulant se
sentir inférieure, par son incapacité, il continue le mouvement.
Le balancement , mal interprété, le déséquilibre. La force de ses bras
ne retient plus son poids . Le manque de coordination, lui fait lâche
prise. Le dos de son corps tombe sur le tapis, avec un bruit sourd et
inquiétant . Cette mauvaise réception nous inquiète tous. José , un peu
sonné, se relève du tapis amortissant.
- Ca vas José , tu n'as pas mal quelque part ?
- Non , mais j'ai eu peur.
- A nous aussi ta chute nous a inquiété.
l'impatience de ma sœur, pour prendre possession de la voiture P 60,
reste grande. Ils ont l'autre voiture l'Ariane qui sois disant demande des
travaux financièrement hors de leur budget. Comme cette importunité
d'avoir une autre voiture de ma part les nargues, elle me demande que
je leur prête la P 60. Ce que je fais, et au courant de la semaine ils ont
un PV pour le bruit du pots d'échappement qu'ils ont perdu. Le PV
me revient car je suis le propriétaire de la voiture.
A suivre au 15/15 page 443
en cour de montage
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz.
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