La clarté de la nuit n 3/15 ( roman sentimental, La vie de ? )
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LA CLARTÉ DE LA NUIT
Dans le quartier, des démolissions suivent il y a
du changement. Le bâtiment des bains ne fait
plus qu'un tas de grava. L'on peut apercevoir des
habitions inconnu a notre vue. Leurs façades grise
laissent apparaître des fragments de briques rouge.
Qui aurait cru que la face caché de ces habitations
sont ci vétuste ?
Le quartier devient plus maussade. Par contre
cette démolition nous donne une place de jeux où
nous pouvons jouer au ballons et a d 'autre
divertissements.
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Marguerite a trouvé de qui viennent les ananas.
Comme elle travail a Bâle chez la tante Margrite
comme cuisinière pendant 3 heures par jour dans
son usine de verreries, elle eut expliqué a Margrite,
- Margrite, nous recevons des coolies en provenance
d'Afrique avec des ananas et je ne sais pas qui
pourrait nous les envoyer ?
- Mais, les collies viennent de ma sœur qui a une
plantation d'ananas en Cote d’Ivoire, ne t’inquiète
pas , elle le fait en remerciement pour les cours de
français que tu lui a donné durant ta présence
parmi nous.
Je suis fasciné par les filmes de David Croquette
qui passent a la télévision. La fourrure qu'il porte
sur sa tête me nargue, j’aimerais posséder le même.
Pour cela il me faut de la fourrure. Je me souviens
que ma mère eut gardé le manteau de fourrure de
Pauline et qu'elle a rangé dans un coin de notre
grande armoire.
- Maman, puis je avoir la fourrure que Pauline portait ?
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- Que veux tu en faire Jean ?
- Un chapeau comme David Croquette avec une queue
de renard. Comme je sais que tu as dit que tu ne le
mettrait pas j'aimerais le transformer en chapeau de
fourrure avec une queue comme un renard ?
- Oui tu peux la prendre.
Quelle joie, je fais un essais avec du carton, pour
avoir une idée. Je coupe la fourrure avec des ciseaux.
Quelle poise, il y a des poiles partout et je n'ai fait
qu'une petite partie. Il faut que je m’applique autrement.
Je retourne la peau pour la couper avec une lame de
rasoir, puis je le coud a l'envers . Ma réalisation me va
a merveille et j'en suis fière. Les copines et les copains
trouvent que ma réalisation est parfaite.
Les journées ont diminué et la fin de l'année se
rapproche. Notre faible budget n’empêche la mis en
place d'un sapin de Noel. Ma mère et mon père, poseur,
on fait de leur mieux pour que l'on n'a plus besoin de
se cacher, la situation financière suit le bon sens.
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1961
Mon parrain tombe malade, son état de santé devient
critique et son hospitalisation nécessite des soins
important . Je lui rend visite a l’hôpital et la première
réponse a mes questions est,
- Je veux rentrer chez moi, je ne suis pas bien a l’hôpital.
Je ne peu lui répondre et l'écoute avec attention
comme ma mère.
Enfin, il peut retourner dans sa famille, ce qui me
permet de lui rendre visite, comme bon me semble. Le
jour de ma visite, il me dit,
- Tu travailles bien en classe Jean ?
- Oui parrain , j'arrive a suivre.
- Lorsque tu auras ton certificat d'étude, je t’achète
une radio portatif.
Je reste surprit par cette révélation et lui promet,
- Je vais faire tout mon possible pour l’obtenir.
Quelques jours plus tard, il nous quitte suite a un
arrêt cardiaque et laisse sa femme ma tante avec
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9 enfants.
En classe nous mâchons des boules de papier
que l'on projette sur le plafond avec l'aide d'un
élastique et de nos doigts. Lorsque La boule
reste collé on marque un point. Le plafond a de
nombreux impactes .
L'année scolaire se termine, je monte au C M 2.
Pour nos vacances nous élaborons un projet qui
consiste d'explorer une montagne de cendre de
charbon provenant des haut fourneaux des
usines de Mulhouse.
Cette montagne, appelé Kocrourie avait
une hauteur de 40 mètres, une longueur de 300
mètres, et un largeur de bien 100 mètres. Dans
son coeur serpente des souterrains construit
durant la seconde guerre mondiale et qui on
servie a abriter les ouvriers quant il y eut des
alertes.
Au pied de cette colline, une grande déchetterie
plonge dans un bras de la rivière, l'Ill. De l'autre
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coté le lit principale de l'Ill, ce qui fait de cette
colline une île . Le bras du cour d'eau servent a
alimenter les usines .
Du haut de cette colline on peut apercevoir
tout Mulhouse d'un coté et de l'autre le début
du Jura, avec a ses pieds le canal du
Rhône au Rhin et entre les deux les Vogues .
L'on peut apercevoir l’hôpital civile et sa tour
entouré de maisons huppé. L'un d'entre nous
dit,
- Découverte faite, allons de l'avant et
intéressons nous a cette rivière qui vient du
Jura et la région de Sundgau, que pensez
vous ?
L'équipe bien une bonne part et ensemble
l'on décide de construire un radeau pour
remonter le cour d'eau. Je dis d'un air intéressé,
- Pour cela, il nous faut un capitaine, qui veut
l’être ?
Plusieurs personnes se présentent mais pour
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connaitre la bonne, il faut passer un obstacle.
L'on décide que celui qui a ramené le plus
grand nombre de bouchons de chambre a air
de voitures, sera le capitaine. Je réussi avec
l'aide de mon frère Christian de rassembler
90 bouchons de chambre a air. Le suivant en
a récolté 50 et tous les autres frôle les 30.
Me voilà le chef de l équipe, je présente un
Plan qui consiste à récupérer des chambres
a air dans les garages et des planches à
au dépotoirs.
Nous construisons cette embarcation dans
la cour d'une habitation abandonné. Sa
grandeur nécessite une remorque pour le
déplacer. Certain font la remarque suivante,
- Misse Cokrouri ( c'est une personne que
la société a rejeté et qui vit sur la rue ) a
aussi ses besoins journalier dans un
landau faisons la même chose.
- Oui , on fait la construction d'une remorque
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avec l'aide de roues que l'on trouve dans
la dépotoir sauvage.
Et dix jours plus tard, nous voila en route
vers notre port de départ. Il se trouve sous
la passerelle que l'on appelé le chapeau
Chinois. Nous y parvenons temps bien
que mal et y amarrons notre bateau après
des essais favorable.
Le jeudi suivant, en retournant a son
emplacement , il a disparu. Nous voila dans
de beau draps. Notre déception nous guide
vers le bistro appelé ( Tous va bien ) situé
a la place Kléber . On y joue des parties de
baby foute.
Pour le jeudi suivant nous orientons
notre action de découverte vers le dépotoirs.
là, des découvertes sont a faire malgré que
l'odeur et la fumée des matières en
décomposition nargue nos narine. Une
multitude les mouches, moustiques , oiseaux
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et les ras prolifèrent. Nous ne somme pas seul
car d'autres personnes tentent leur chance
dans les détritus.
Un collègue recherche des lampes a pétrole,
et des cartes postale un autre des outils et moi
je récupère du bois pour nous chauffer en hiver.
Une caisse en bois, bien fermé, attire notre
attention. Certainement qu'un trésor dois s'y
trouver ? Notre curiosité reste en éveille, il
faut l'ouvrir pour connaitre son chargement.
Une croix gammée la marque sur le coté.
Cette attention nous fait parler ,
- Et ci des munitions se trouvent a l'intérieur ?
- Peut être, il faut l'ouvrir pour en être certain.
- Il nous faut de l'outillage pour l'ouvrir,
revenons demain et cachons la caisse.
On la tir du dépotoir pour l’emmener dans
les souterrains du Cokrouri.
Le lendemain après l'école, nous tentons
d'ouvrir notre caisse en bois. Une personne doit
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faire la garde a l'entrée du souterrain pendant que
nous tentons de l'ouvrir. Notre marteau et notre
pied de biche entre en action. Un carton bitumé
noir entour la caisse. On déchire celui ci puis
on force sur le bois pour faire sauter les cadenas.
Une nouvelle couche de papier goudronné se
présente. On le déchirant un métal jaune très
brillant, nous émerveille,
- Viens voir ce que l'on a trouvé, ça brille comme
de l'or.
Celui qui garde l'entrée vient en courant,
- Pas mal, mais les cartouches sont comme
neuve.
Nous sortons les chaines de cartouche que
nous enroulons autour du cou pour ressembler a
des soldats.
- Que vas on faire de ces munitions ?
- On les ouvre pour en sortir la poudre, puis
l'étalons en une ligne que nous allumerons par
la suite.
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Chose dit et réalisé, après notre mis a feux il
nous reste un tas de douilles et des balles en
cuivre. On pris ce tas de munition pour le
dispatché a la volé dans la déchetterie. Mais
la caisse renferme encore d'autres munitions.
Le temps des vacances se termine et nous
voila a la rentrée des classes. J'ai changé de
rangé comme mes collègues et notre fierté
nous met en admiration, pour les filles qui se
trouvent sur notre coté gauche de la cour.
Le maître du CM2 a comme passion
archéologique. Il nous raconte de belle
histoires de découvertes faite dans le massif
Central. La peinture fait partie de ses
attentions car, comme j'aime peindre, je
récolte de bonne notes. Par contre pour les
fautes d’orthographe, il vous met en tenaille.
Pour chaque faute, il vous prend par les favoris
jusqu'au tableau pour que l'on récrit le mot
correctement.
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Le Mardis après midi, nous continuons de
rejoindre la piscine au centre de Mulhouse a
pied. Sur le parcours, des marchants exposent
leur fruits et légume contre le mur du trottoir
de l'épicerie. Quelques fruits disparaissent
dans les poches de certains d'entre nous.
Le mardi suivant, plus aucun fruit et légume
sur le trottoir, tout fut rangé.
Voila l'automne, le vert se marie avec le jaune
la couleur terre apparaît dans les feuillages
des arbres. Les journées laissent leur place a
la nuit , au brouillard et a l'humidité. Il ne fait
pas chaud, a peine que le jour disparaît le
froid nous enlace.
Un copain de classe habite avec son grand
père dans une ferme du Reberc, une colline
sur laquelle un belvédère donne une vue
imprenable sur Mulhouse et pas loin, le
zoo . Une grande foret entoure la ferme.
Pour y accéder on s'arme d'arc, de notre
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fabrication, de couteaux et d'épées en bois
ainsi que de nos déguisements. Pour partir
en exploration, il nous faut de quoi boire et
dans la grange du grand père se trouve la
réserve de bières, de limonades. Comme nous
somme au nombre de 8 explorateurs, il nous
faut, 4 bouteilles de bière et 4 bouteilles de
limonade. On pénètre dans cette foret qui
pour nous représente une découverte. La
hauteur des arbres m’impressionne a t'elle
point que j'ai l'impression de pénétrer dans
une toile d’araignée. De faible rayon de soleil
la traverse. L'impression de vivre dans un
conte de fées m’impressionne. Lorsque nous
crions, notre voix résonne et le bruit de nos
pas sur le tapis de feuilles mortes brise le
silence. L'odeur de l’humus nargue nos narines
comme celui des champignons. Je connais
cette foret car de temps a autre on y allais avec
mes parents , mais la, sans leur présence je
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suis une autre personne. Nous espérons
rencontrer des animaux sauvage, aucune
rencontre ne se fait, par contre les bouteilles de
bière et de limonade se sont vidé.
- N’oublions pas de ramener les bouteilles vide
elles sont consigné et mon grand père le
remarquera.
Le lendemain a la récréation, notre aventure
un peu déformé, devient le centre de notre
discutions. Notre imagination a mille facettes
mais la description de la foret et de son odeur
a tous les mérite de la réalité.
Le jeudi suivant nous reprenons le chemin
de la foret. Le programme change car l'on se
dirige vers un village du nom de Bruebach.
Une brume s’échappe du sol et le lointain ne
se trouve pas loin. Le froid humide nous
enlace. Mais notre intention suit son but rien
ne peut nous freiner.
Pour y parvenir un passage dans les vergers
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puis une traversé de champs avec une terre
instable car elle vient d’être retournée. Une
montagne de betterave sucrière se trouve a
coté d'un chemin.
- On peu en manger, mon grand père ne
dira rien.
Comme des gloutons on remplie l'estomac
malgré que nous nous somme déjà servie de
poires, de pommes et de quetsches du verger.
Notre estomac gloutonne de ce surplus de
fruit et nous déposons notre billant dans les
recoins sans tarder.
Le lendemain en classe, plusieurs d'entre
la perturbent par le vas et vient aux toilettes.
Notre ambition met en place une épreuve
qui consiste a faire valider notre courage. On
opte pour dormir une nuit dans la foret.
Pour avoir l’autorisation des parents on
leur explique que les grands parents de notre
copain nous invite a dormir dans la ferme pour
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une nuit.
Nous voila dans notre chambre a couché,
improvisé. Les arbres paraissent plus haut que
dans la journée car leur cime ne sont plus
visible. Je me sent tout petit comme une
fourmis.
Au départ nos lampes de poche éclaire nos
pas et au bout de 10 minutes leur aide devient
inutile. Le silence prend le dessus, il nous
impressionne. De temps a autre des hulules
de chouettes nous effraye.
La sensibilité de notre écoute enregistre le
moindre bruit. Chaque craquement cultive
le décret de notre peur ce qui trouble notre
présence.
Notre preuve de courage ne tient que
jusqu’à 22 heures. L'on a comme excuse
que le froid devient le centre de notre
décision.
Le lendemain a la récréation on rajoute a
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notre aventure l'apparition de grands
animaux qui prennent peur a notre
présence et d'autres histoires qui créditent
le courage.
La semaine suivante une autre aventure
elle consiste a chevaucher la jument de la
ferme, un cheval de trais .
- C'est une Franc-Comtois .
Nous dit notre copain.
Elle se trouve dans le pré entrain de paître.
Très docile, notre venu ne la perturbe pas
au contraire a notre approche elle vient
sans hésiter. Pour la monter, on la rapproche
des barrières en bois puis en la tenant a la
crinière , l'un après l'autre nous la montons.
Nous voila au nombre de 4 personnes sur
son dos. La brave bête ne fait le moindre pas
nous voila dans de beau draps ? Bref, on
abandonne mais dans nos intentions nous
avons monté la jument. A la récréation nous
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improviserons en notre faveur.
Noel approche et nous avons eut une
invitation chez un oncle en Suisse. Il est
marié a une sœur de mon père et possède
une ferme dans les alpes Suisse prêt de Vill.
Pour financer le déplacement en train, ma
maman cherche a faire des heures de
nettoyage le soir. Elle trouve une place prêt
d'un médecin de famille. Ses origine de ce
médecin vienne d'Algérie. Rejeté par la guerre
il eut installé son cabinet au centre ville de
Mulhouse. Au bout d'une semaine de travail
ma maman demande son dut.
- Docteur pourrais je avoir mon dut ?
- Bien entendu, voila un morceau de pain
et 5 francs.
( les 100 francs sont devenu des francs
flottant )
- Monsieur le docteur ce que vous me donné
n'est pas un salaire, c'est une aumône.
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- La bas c'est le salaire d'une bonne et elle
ne réclament jamais, nous les pieds noir
on procède comme cela. La porte est grande
ouverte d'autres sont prête a vous remplacer.
Ma mère , déchu, nous explique sa mis a la
porte et le fameuse salaire de lance pierre.
Mon père lui répond,
- Cela ne m'étonne pas que l'Algérie demande
sa liberté pour ne plus être exploité.
Notre invitation chez ma tante dans la ferme
en Suisse a tenu bon, mes parents ont réunie
l'argent nécessaire pour le voyage. Le premier
train en France, est une locomotive a vapeur.
A Bâle, nous prenons un train électrique, une
nouveauté pour nous. Les bancs des wagons
sont en lattes de bois et il y a 3 sortes de
classe on occupe la troisième classe.
Ce jour la, la neige tombe a gros flocons et
tout autour de nous est blanc. Le froid fait
partie de l'environnement . Nos pulls, les
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bonnets, les gans et les chaussettes sont
tricoté par Marguerite. Malgré que nous
somme enveloppé dans du jacquard, le froid
nous domine. Enfin, arrivé dans les Alpes
Suisse a Kirchberg , où se trouve la ferme.
L'oncle nous accueille dans une grande
luge tiré par un cheval. La neige a bien 50
centimètres sur les cotés et reste sur la
route car aucun salage la fait fondre.
La ferme dénonce une ossature en colombage
une ressemblance avec les ancienne maisons
d'Alsace .
L'étable accole l'habitation, un tas de fumier,
éloigné de 30 mètres , laisse échapper une
vapeur produite par sa décomposition . Le
parfum que dégage l'étable. Nous pénétrons
par la basse porte d' entrée où les grande
personne sont obligé de se baisser. De la dans
un couloirs avec un fourneau en céramique vert
amande, tapisse le fond. Puis, sur notre droite
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l'entrée de la cuisine . Le même fourneau
céramique permet d'y fourrer son pain ou des
casseroles . Dans se couloir une porte en face
de la cuisine permet d'accéder dans l'étable.
L'ongle Erste, avec fierté dit,
- C'est par ici que sont mes autres femmes,
elles sont au nombre de 8 et chacune a un
nom.
Une odeur de fumier sorte de cette porte et une
chaleur animalière envahit la maison.
- Pour les chambre a coucher il faut passer par
les escaliers jusqu’à l’étage du dessus. On
verra cela plus tard. Pour demain, la veille de
noël ,je vous propose de faire une monté en
traîneau puis de redescendre vers la fin de
journée en flambeau .
Tout les projets me réjouies je me régale
d'avance.
Le lendemain, jour de noël, pour le repas, des
pommes de terre grillé, du lait fermenté et saupoudré
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de persil séché. Suit un gâteau au riz et du café
a la chicoré.
C'est le départ pour la monté, nous tirons nos
luges sans hésiter. Un vent froid glace nos oreilles
a t'elle points qu'elles rougissent.
Enfin, nous voila au sommet. Mon ongle Erste
se place en premier , puis attache toutes les autres
luges et nous allumons nos torches que porte le
second passager. Le départ donné, notre
queue -leu-leu dévalise la pente sans freiner.
Arrive le soir, la joie dans nos cœurs nous
honorons Noel avec des chants accompagné par
de la cithare a 15 cordes.
Nous y passons 3 jours puis l'on reprend le trajet
du retour en train jusqu’à Bâle. La, on retrouve notre
cousine Christine qui est encore sous la tutelle de
mon père. Elle habite chez des coussins du coté
de ma mère, les quel ont entamé la procédure
d'adoption. Après avoir passé une journée en
famille nos retrouvailles fond bon train. Je suis
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inviter pour passer le nouvelle ans avec eux.
Christine a grandie mais n'a pas oublié notre
passé, le fait de se revoir nous redonne du mouron.
et nous pouvons fêter ensemble la nouvelle année .
Les cousins qui veulent l’adopter nous laissent
seul et monte a l'étage du dessus pour festoyer.
Nous comme des grands on a décider de rester
seul dans l'appartement car on envisage de
se débrouiller de nous même.
Dans le réfrigérateur, une boite de conserve
d'ananas s'y trouve, elle nous attire. Ouverte ,
cette boite nous met l'eau a la bouche car je
dis a Christine ,
- L'ananas est délicieux il faut que tu en gouttes
Christine.
- D'accord Jean je veux bien en consommer.
Nous prenons deux assiettes et deux verres
puis nous blason une tranche d'ananas dans
chacune d'elle et un peu du sirop de la boite.
L'on déguste notre préparation avec
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satisfaction. Puis nous entamons des jeux et
des dessins.
Il faut que je vous fais une remarque, le gout
des ananas en boite ne peut se comparer avec
les frais que nous recevons d'Afrique.
Dans la soirée, les cousins de mes parents
nous retrouver et nous demande,
- Alors les enfants tous vas bien ?
- Oui, l'on a mangé des ananas de la boite de
conserve du frigo.
- C'est bien mais j'avais autre chose pour vous
un gâteau vous ne l'avez pas pris ?
- Non, on ne savais pas ?
- Ci quelque chose ne vas pas sonnez nous a
l'étage du dessus.
- Oui .
Les cousins repartent et nous on continue notre
soirée. Christine me dis,
- Tu sais Jean je n'aime pas aller chez les voisins
ils n'aiment pas les enfants.
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- C'est pour cela que l'on occupe seul cet
appartement ?
- Oui je l'ai demandé et j'aime ta présence Jean ,
comme je ne peux voir mon frère Christian, car
il est trop petit pour passer la soirée ensemble,
je me contente de ta venu. Nous fêterons
la nouvelle année a notre manière.
Plusieurs jeux de loisir nous occupent. Parfois
l'on fait des dessins et de la peinture.
Minuit somme et notre joie est grande, nous
montons a l'étage pour souhaiter la bonne année
a tout le monde.
L'on retrouve l’appartement du dessous avec
dans nos intention de prendre place dans nos lits.
car la fatigue nous y guide.
A peine couché, une brûlure frôle ma gorge. J'ai
soif et me lève pour retrouver la sale de bain.
En passant devant la chambre de Christine, je
remarque qu'elle aussi a du mal a s'endormir.
- Qu'as tu Jean, tu n'arrives pas a dormir ?
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Me dit elle d'un air étonné.
- Oui Christine, mais toi aussi tu as du mal pour
t'endormir a ce que je vois ?
- J'ai une brûlure au fond de ma gorge, que peut
on faire pour l'atténuer ?
- C'est pareille pour moi, je vais boire un verre
d'eau .
- Je vais faire de même.
Ce verre d'eau n’arrête cette brûlure et nous
tentons de trouver une solution. Les adultes
continuent de festoyer, l'on ne pense pas a les
avertir. On veux jouer notre savoir faire et nous
puisons dans la boite des bonbons pour la toux.
Lorsqu'ils fondent dans notre bouche, une
fraîcheur attendu notre brûlure. Hélas cela ne
dure pas longtemps. Nous continuons notre
remède jusqu’à épuisement du stock dans la
boite.
Cette brûlure augmente de plus en plus et nous
tentons de trouver une autre solution. Rien ne
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peut atténuer notre brûlure, que faire ?
- Christine j'ai vue dans un film que l'on peut
quérir avec le lait qui provient des cactus quant
on les incise. Que penses tu on fait un essais
avec le grand cactus du couloir ?
- Oui Jean, car ça brûle de trop dans la gorge.
- Je vais inciser le cactus et récupérer le lait
qui en sort sur une petite cuillère a café.
Notre grand mère ma bien appris que l'on peut
soigner avec les plantes.
J'incise le cactus et effectivement un liquide blanc
coule, on dirais du lait ? Je remplis le contenu de
la petite cuillère a café et avale ce contenu. Sur le
moment la chaleur disparût.
Je remplie une autre petite cuillère a café et la
tend a Christine qui l'avale.
Nous retrouvons nos lits et plongeons dans un
sommeil profond.
Je dors tellement bien que je n'entend les autres
se déplacer dans l'appartement. Christine vient me
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retrouver.
- Jean, tu dors encore ?
Je suis surpris par sa présence et me réveille
avec peine.
- Oui Christine, j'ai rêvé de plein de chose cette
nuit, je suis encore étourdi. Et toi tu as bien
dormis ?
- Bien sur le lait fut efficace, il a supprimé cette
brûlure.
Christine me regarde et surprise me dit,
- Jean tu as plein de boutons dans la figure, que
c'est il passé ?
- Je ne sent rien Christine ?
- Regarde toi dans le miroir et tu verra a quoi tu
ressembles.
Je prend le miroir et stupéfie je remarque le
changement, que c'est il passé ?
- Que vous dire mes parents adoptif Jean ?
- Je ne sais pas, nous n'avons rien fait de mal
Christine.
Je me lève et retrouve les cousins de ma mère.
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qui me regardent tout étonné.
- Tu as mal Jean avec ces boutons sur ton visage
en as tu sur le restants de ton corps ?
- Oui sur tout mon corps mais je n'a pas mal et je
n'ai pas de fièvre.
- On avais prévus de vous emmener en montagne
pour faire de la luge, comme tu n'es pas en bonne
santé, on risque de se faire remarquer. On fera
en sorte que tu reprend des forces et que les
boutons sur ton corp disparaissent. Comme nous
somme en plein fête, il n'y a pas de médecin qui
peu nous venir en aide. Le mieux, te ramener a
la maison car en France tu es assuré.
Notre rencontre se termine, vite fait et je rejoins
mes parents. Ma mère demande,
- Tu as mal Jean ?
- Non, et je n'ai pas de fièvre, par contre j'ai des
boutons sur tout mon corp.
Pas fière de ma personne, je ne souffle le moindre
mot qui puisse entamer une défense. J'attend que
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les cousins de ma mère sont partie, puis je lui dit,
- On a mangé des ananas qui séjournaient dans le
frigo depuis quelques temps, c'est Christine qui
ma dit cela. Il se peut que leur fraicheur est
responsable.
Le roman est en cour de construction, la suivre au 4/15
pages 92, j'écrit au fur et a mesure.
JJM
Auteur Jean jacques Mutz.
A ce jour, 04 01 2022, 164 707 lecteurs
A ce jour, 20 01 2024, 191 308 lecteurs
A ce jour, 10 03 2024, 191 945 lecteurs.
A ce jour, 08 05 2024, 194 311 lecteurs.
A ce jour, 27 12 2024, 203 540 lecteurs.
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