La clarté de la nuit 12/15 ( roman sentimental, La vie de ? )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
12/15 La clarté de la nuit.
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Quelle belle nuit que de s'endormir avec dans sa main une
autre main . Malgré que certain ronfleurs nous obligeaient
a rester éveille. Du moins ce que je dis pour couvrir nos
sentiments.
Au petit déjeunée nos figures, définissaient notre absence
de repos. Pas de probleme on a de quoi s'excuser, les
ronfleurs en sont les responsabilité, ce que l'on se dit.
L'amour a certain mérite, celui de croire en l'autre sans
renier a sa promesse. Je décide de rester fidèle a Romance
tout en donnant de l'espoir a celle qui me tient compagnie.
Je suis un peu replié sur moi même mais mon infidélité
peut disloquer l'amour que je garde dans le fond de mon
coeur, surtout celui d'être père de l'enfant que porte.
Romance.
Mon beau frère eut beau dire que Romance doit se marier
avec l'un de ses cousins, je n'y crois pas et espère encore
de la retrouver.
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Le petit déjeunée se termine mais la journée du dimanche
permet de continuer notre rapproche. L'on décide de
rejoindre le Markstein en groupe, ce qui ne nous laisse pas
beaucoup d'intimité pour approfondir notre union. Mais
Monica tente par tous les moyens que je me rapproche d'elle.
Il y a peut de bosquet où nous pourrions nous cacher au
yeux du groupe. Cela n'empêche pas qu'au tournant de la
piste, nos corps se rejoignent pour s'enlacer. Quelle aubaine
je ne repousse aucunes de ses intentions et la laisse me
fleurter comme bon lui semble.
Nous arrivons a l'endroit défini et le groupe se regroupe.
Personne ne manque, nous pouvons rebrousser chemin.
Pour le retour nous contournons le Markstein ce qui permet
de regarder sur le coté du département des Vosges. je
demande a Monica,
- Monica es tu encore là le dimanche prochain ?
Elle me regarde d'un air étonné, puis fait un signe a une
personne qui nous accompagne, je répète ma question,
- Monica reste t'elle jusqu'au dimanche prochain ?
- Non, Monica termine ses vacances au milieu de la
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semaine, mais elle reviendra l'année prochaine au
printemps.
- Merci madame.
Je ne dit plus grand chose et classe cette aventure comme
un amour d'automne. La personne explique a Monica que
je ne serais plus la ce soir car je dois reprendre mon
travaille lundi.
Cette remarque glace les sentiments que Monica eut pour
moi et sur le chemin du retour, cet amour n'éclaire plus
le même charme.
Nous arrivons prêt du chalet du Treh et notre enthousiasme
n'a plus le même impacte, l'on se promet qu'a la prochaine
rencontre nous reprendrons a nos sentiments. Pour cela,
il faudra attendre l'année prochaine.
Nous laissons le groupe s'éloigner , autour de nous les
oiseaux sifflent comme pour nous épier. Je tente de
l'embraser une dernière fois. Pas de chance, elle n'approuve
pas et je reste sur ses intentions. Amour de passage n'a de
valeur que dans les souvenirs.
Lorsque j'arrive au chalet, le père de Monica me fait signe.
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Cette attention me donne des frisons, que vais je recevoir
comme remarque ?
- Je vous remercie Jean d'avoir donné de l'importance a notre
fille, car elle n'a jamais eut le courage de s'accrocher et de
parler a un garçon.
- Merci monsieur pour votre attention, mais je repart ce soir
car je travail et je ne suis ici pour pour les fins de semaine.
- Je le sais, Monica me la fait savoir, elle est déçus que cette
rencontre prenne fin.
- Je le sais, mais a la prochaine venue, je garderais un bon
contacte avec elle , c'est promis.
Sur cette remarque je repart un peu dessus avec nostalgie .
La semaine de travail se passe admirablement, malgré que
mon chagrin sentimentale ne m'a point lâché.
la semaine de travail se passe sans complication, nos
chantiers restent dans la région. Pour y accéder nous
traversons la plaine d'Alsace et les nappes de brouillard.
Sur notre parcours, matinale il arrive que nous apercevons
des hordes de biches qui fouillent sur les champs de mais
récolté. Ils y chapardent des graines oublier.
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Durant le parcours, qui dure environs 1 heure, nous
évoquons nos conquêtes et les actions que nous eûmes
entamé. Je suis fière de ce que je raconte a mes
compagnons de chantiers.
Arrivé sur les hauteurs du lieu de travail, une vue
magnifique permet de voir le Rhin et la central
hydraulique, par temps claire, et en face de nous
Vieux Brisach qui se trouve en Allemagne.
Nous partageons nos repas dans un restaurant de la ville
fortifier de Neuf Brisach . Le restaurant donne des repas
du jour commun destiné aux d'ouvriers. Il propose des
plats courant régional. Notre équipe occupe une place
attitrés car avant de commencer notre travail nous avions
confirmé notre venu.
Aujourd'hui du boudin se trouve sur la liste, j'aime bien
comme mes collègues origines de la région. Dans notre
équipe de 5 personnes, nous avons un Portugais et un
Algérien qui ont du mal a parler Français. Au repas,
l'Algérien ne consomme pas le boudin et se garde de ne
manger que les pommes de terre . Le Portugais hésite aussi
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et me donne sont boudin. Une petite conversation fait que
des attribues sur l'origine de la façon que sont fait les
boudins en fut la raison, nous avions exagéré sur la
manière de le façonner. Le portugais n'est pas bien dans
sa peau et nous regarde manger avec mépris.
Le boudin est une peau en forme de saucisse remplie de
sang assaisonné. Il est cuit dans une poile, retourné a
plusieurs reprises. Cette action fait que sa peau par endroit
craque et le sang devient une matière granulée. Pour ne
point perdre le moindre morceau, je prend la partie de
la peau du boudin en bouche, puis, je ressort cette peau
après l'avoir bien mâché, sur non assiette. Le portugais
me regarde attentivement, avec un certain mépris , Je fais
comme si je devais rendre au moment où je sort de ma
bouche les reste du boudin. Le portugais se lève et cour
dans les toilettes, il eut envie de rendre le peu qu'il eut
mangé. L'Algérien a compris notre exagération, par contre
il se rabat sur le plateau de fromage qu'il vide sans
ménagement.
La fin de semaine arrive et mon impatience de retourner
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le samedi matin au chalet du Treh, me redonne de la joie.
J'arrive sur l'emplacement du packing qui se trouve
au-dessus du chalet. Un petit souffle de vent joue avec
mes cheveux. Je suis arrivé en décapotable. A ma
venu, une jeune fille se trouve assis sur un roché et
m'observe attentivement. Je referme le toit de la Floride S
puis me dirige vers le chalet.
- Bonjour monsieur.
- Bonjour mademoiselle.
Son sourire a tout pour plaire et sa forme aussi. Son visage
me comble autant. Je lui sourie a mon tour comme pour la
remercier de son accueille. Son chemisier parsemé de fleurs
donne une valeur a cette fin de saison, et sa mini jupe laisse
apparaitre de belle jambes Un béguin n'ait entre nous
comme ci le destin l'eut programmé. Je la regarde de
nouveau et , mon regard trouve un retour réconfortant. Au
fond de moi, j'ai une impression de reconquête, un renouveau
qui emballe mon coeur. Mais que m'arrive t'il ? On dis bien
une de perdu et dix de retrouvés ?
Ses yeux me fixent sans me perdre de vue et a mon tour je
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reste hypnotise par émerveillement. Un moment se passe
sans que nous parlons un mot de plus, puis nous descendant
dans le chalet.
Je salue toutes les personnes présente et demande a mes
parents c'ils leur manquent quelque chose ?
la jeune fille de la semaine dernière, a qui il a fallu des
médicaments pour la tension, me dit ,
- Bonjour , Jean, j'aurais besoin des mémés médicaments
que la semaine dernière.
- Pas de probleme, avec l'ordonnance je redescend dans la
plaine pour chercher ce qu'il manque. Il y t'il autre chose
a ramener ?
Je reçois une multitude de demandes par écrit sur une
feuille de papier. Les personnes présente savaient que je
serais de retour et il ont anticipés leur besoins.
- Pas mal de chose a ce que je vois, mais allez seul dans les
magasins avec autant de commende, je ne vais plus m'en
sortir. Qui voudrait m'accompagner ?
La jeune fille a la mini jupe se propose,
- Je veux bien vous accompagner Jean.
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- C'est bon, mais tu t'appelles comment ?
- Je suis Astrid .
- C'est Astrid, on y vas .
Nous retournons sur le parking l'un a coté de l'autre en
gardant un certain égard .
- Astrid, veux tu que l'empreinte le chemin qui passe dans
la foret, ou la route national ?
- Je préfère le chemin c'est plus romantique.
Je décapote la voiture, puis je me dirige sur le chemin
chaotique qui nous permet de se diriger vers la route
départementale qui nous même dans la vallée de St Amarin.
Ce chemin caillouteux et entouré de sapins, nous laisse
rêvasser. Astrid se rapproche du levier de la boite de vitesse
que je tient entre ma main, puis elle me la caresse pour que
je lui prête attention. Le chemin, dangereux ne permet en
aucun cas de m'abstenir de vigilance. J'arrêt la voiture entre
l'ombre de 2 hauts sapins. Cette intention ne rencontre de
contradiction et a peine arrêté, Astrid m'embrasse sans tarder.
L'étincelante de ses yeux bleu, réveille l'instinct sentimental
que conjugue des amoureux. Son corp , au ondulations bien
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proportionné, attire mes mains qui ne cessent de la caresser. Je
ne rencontre aucune interdiction, même que son déplacement
vers moi, consiste a faciliter mes intentions.
Un marcheur se trouve a notre hauteur pour nous dépasser.
Sa venu coupe cour a nos intentions, nous répondons a sa
politesse ; puis nous reprenons notre route.
Arrivé devant les magasins , l'on sort de la voiture puis
par un mécanisme sentimentale nous nous tenons par les mains.
La chaleur des amoureux nous donne une fière démarche.
l'on agis comme de vieille connaissance. Les personnes de
l'épiceries par politesse nous dissent,
- Bonjour madame et messieurs.
- Bonjour mes dames.
- Que puis je vous servir ?
- Voila la liste des achats que nous devons faire pour les amies
de la nature .
- Je vais vous préparer cela.
Je patiente, et sans perte de temps, une nouvelle valse de bisous
demande de nous enlacer. Je suis sur un nuage où la joie épouse
le bonheur. Ce bonheur se partage a telle point que nous oublions
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que nous somme devant le comptoir de l'épicerie.
- Voila votre commande et la facture .
- Merci madame, je vous règle de suite.
- Bonne journée madame et a bientôt.
- A vous aussi le amoureux une bonne continuation.
Nous portons les 2 sacs vers le coffre de la voiture qui se trouve
a l'avant, je l'ouvre et y dépose nos achats. Au moment où
je referme le coffre, Astrid m'enlace de nouveau. Je ne refuse
aucun des ses engagements et le conjugue comme une aubaine .
Cette alimentation amoureuse fait monter notre adrénaline
a tel point que nos pôles se colle sans se délasser. Plus rien
d'autre que nous, représentons une importance sur cette terre.
Je suis entrain de vivre une nouvelle aventure amoureuse;
pourtant dans mon coeur , Romance garde une place qui me
chagrine. Je suis entrain de tirailler ma promesse de toujours
rester fidèle a Romance
Nous arrivons devant la pharmacie, main dans la main. La
clochette résonne en ouvrant la porte.
- Bonjour madame et messieurs,
Nous dit la Pharmacienne.
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- Bonjour madame, je vient pour les mêmes médicament que
samedi dernier.
- Oui je me souviens de vous, dois je vous raccompagner au
Treh ?
- Non merci madame j'ai ma voiture.
Elle me fait un clin d'œil et un sourire qui en dit long.
Nous reprenons la monté par le chemin qui nous a permis de
accéder dans la vallée. La voiture saute sur les pierres et a la
sortie des nies de boules. Je change souvent de vitesse et la
main de ma passagère accompagne mes mains. Dans ce
contacte passe le message d'une envie, une certaine dose
d'adrénaline nous inonde. Je me gare sur le coté car la voiture
vient de tomber en panne. Je n'ai plus d'accélérateur, le câble
vient de ce détacher . Je ne suis pas a ma première intervention
et mon habitude de le remettre en place ne m'intrigue pas.
- Elle est en panne la voiture Jean ?
- Une petite réparation qui ne demande pas beaucoup de temps
ne t'inquiète pas Astrid.
Je la regarde, hypnotisé par sa beauté et le charme qu'elle me
transmet. Ma main droite se trouve sur le levier de vitesse, la
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sienne la détourne de son emplacement pour la diriger sous
sa minijupe. La volonté de poursuivre son indication entraine
mon besoin de visiter. Ses jambes s'écartent et ma main droite
plonge entre ses seins. Le battement de son coeur virevolte de
bonheur, comme le mien qui active le même rythme. Mon
touché ressent une humidité entre ses jambes. Les sièges
se placent en couchette et nos cops s'allongent machinalement.
Je tente de me placer sur elle, avec peine. Lorsque nous
trouvons la bonne position, un marcheur au loin ,interrompe nos
intentions. Cette arrêt brusque coupe cour nos intentions. Serais
ce une personne du Treh ?
Je soulève le coffre arrière pour remettre en place le câble
d'accélération. Puis nous continuons notre route jusqu'au Treh.
Durant le chemin Astrid me dit,
- Ce soir, on le fera dans la voiture sur le parking.
- Je suis de ton opinons j'en ai l'eau a la bouche Astrid.
Nous débarquons toutes les marchandises et les remettons aux
personnes concernée. J'arrive auprès de la jeune fille ,
- Voila vos médicaments mademoiselle.
- Merci monsieur, on vous appel comment ?
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- Jean .
- Moi c'est Isabelle, pourrais d'on se revoir a Mulhouse ?
Je me met a réfléchir, et me dis mais que m'arrive t'il, encore
une personne qui veut me tenir compagnie ? Elle n'est pas mal
mais sortir avec plusieurs jeune filles je n'y arriverai pas , je
vais le tenter.
- Isabelle je vous donnerai un rendez vous a Mulhouse .
Elle me donne son adresse sur un morceau de papier, je fais
de même.
- Isabelle, je suis fiancé je ne peux pas vous le caché.
- Cela ne fait rien, on restera amis.
Le soir arrive et la fraicheur d'automne m'oblige de fermer
le toit de la voiture. Au loin les lumière des villes de la plaine
d'Alsace scintillent. Astrid ses trouve a coté de moi dans une
jupe et un pullovers violet. Elle dégrafe sa jupe pour faire
apparaitre son entrejambe sans culote. Je suis surpris par cette
réaction, qu'elle eut prémédité mais apprécie son acte comme
un pas vers le besoin de se mélanger. Le claire de lune reflète
sur ses sens qu'elle eut mis a nue. Elle repose sa tête sur le
pullovers . J'ai enlevé mon pantalon et mon slip puis je me
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couche sur elle tend bien que mal, dans la voiture il y a peu
de place, même le levier de vitesse devient chaînant.
Nous voila a l'acte principal, et le vas et vient de nos
tentions nous comble de bonheur et de sentiment révélateur.
Un froid glace mon dos,
- Astrid as tu froid ?
- Non je suis au ange et ton corp me réchauffe.
- Je le suis aussi, mais il vaut mien retourner dans le
chalet pour nous réchauffer et prendre une douche.
On prend notre douche, puis on rejoins la salle où des jeux
de toutes sortes sont organisé. Puis, au milieux de la nuit,
nous rejoignons les combles où nous pouvons dormir.
- Alors Jean tu as une autre compagne pour cette nuit ?
- Oui, Leon, quant on aime on ne compte pas .
Pas mal de monde son allongé, il faut traverser les dormeurs
avec attention.
Enfin, nous nous trouvons a notre place et enfilons nos sac
a couché. Main dans la main ont tente de s'endormir mais
comme la fois d'avant des ronfleurs nous interpellent.
J'ai du mal a dormir et regarde ,a travers la lucarne , la lune
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qui me nargue chaque fois qu'elle apparait, suite au passage
d'un nuage.
Nous somme les derniers a se réveiller ce qui fait que l'apéro
se distribut dans la salle avec les éclats de rires qui en dissent
long.
On se fait notre repas de midi qui consiste de puiser dans
la marmite des pates cuite par mes parents. Dans une autre
récipient, du hache de viande de beauf , et dans une casserole
une sauce de tomate venant de notre jardin.
La convivialité du repas a tout pour plaire et cette valeur
donne a nos sentiments celui d'une bonne humeur réconfortante
Durant notre balade, on se partage quelques adresse pour que
nous pouvons nous revoir au courant de la semaine.
- Je travail dans la filature et mon travail se termine a 17 heures
Jean.
- Et quel jour que l'on puisse se revoir Astrid ?
- Le vendredi me convient, l'on se donne rendez vous dans la rue
de Thann a Mulhouse, nous terminons plutôt ce jour et on
pourra se retrouver.
- Mais a quelle heure car je ne suis pas toujours aussi tôt a la
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maison car je suis souvent en déplacement.
- 19 heures, cela te convient Jean ?
- Je ferais en sorte que je serais là Astrid et l'on décidera ce que
l'on fera samedi soir, je te présentera mon cousin Francis qui
m'accompagne le samedi soir dans les bals.
- C'est bon, pour vendredi,
Je suis au ange et au passage je contacte mon cousin Francis
que j'ai un peu l'aisé de coté.
- Francis, j'ai une nouvelle copine elle est prête pour nous
accompagner le samedi soir dans les bals, qu'en penses tu ?
- C'est bien que tu as trouvé une copine, on sortira alors a 3.
- Ci tu veux, je te la présente le vendredi a 19 heures
Francis tu pourra me dire ce que tu penses.
Arrive le vendredi, je suis comme convenu a l'endroit prévu.
Nous somme un peu en avance, ce qui nous laisse observer
les vas et vient aux alentours. Une R8 bleue se place pas loin de
nous.
Sur le trottoir, a la lueur des lampadaires, Astrid arrive a petit
pas . Je sort de ma voiture et me dirige vers elle. Je marque un
arrêt . Son regard me dévisage d'un air, enchanté et étonné, puis
me dit,
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- Je doutais de ta venu Jean,
- Pour quelle raison Astrid, je suis prêt a te présenter mon cousin
comme convenu et qui m'accompagne les samedi soir au bal.
- J'ai eut des doutes sur ta franchise , ne te vexe pas si je te
présente mon fiancé qui se trouve dans l'R8 bleue.
Cette réponse freine mes ambitions, je suis comme hypnotisé
par sa réponse et bien sur la présence de son fiancé qui sort de
sa voiture. Il ne faut en aucun cas montrer sa défaite et faire vis
a vis de son fiancé que je suis un ami sans plus. Par contre ma
fierté a eut un remous de défaite, il ne faut en aucun cas le faire
voir a mon cousin . Je retourne dans ma voiture , après avoir
séré la main d'Astrid et de son compagnon.
- Tu l'as vue Francis ma copine ?
- Oui, mais elle n'est pas a toi, il y a un autre qui tourne autour
d'elle.
- Tu sais a notre rencontre elle ma dit qu'elle avait un copain , je
pensais que c'était fini entre eu quant elle a fait l'amour avec
moi ?
- Tu n'as rien compris Jean, les filles aiment changer de
partenaires , elles se vente même de leur exploits.
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Conclusion faite, une fille qui fait l'amour a la première
rencontre ca n'a rien de sérieux.
Le samedi soir, Francis et moi nous trâguons sur les bals des
alentours, a Eschenzwiller. Ils y en avait des filles de toutes
âges aussi ravissante l'une que l'autre. Mais, elles sont toutes
accompagné. A moins que nous tentons notre chance d'en
trouver .
Pour prouver a qui plaire, nous tentons d'en inviter pour
danser. Pour pouvoir accéder sur la place de danse les hommes
doivent donner un tiqueté au surveillant devant l'entré. Les
triquets furent acheté au bar en même temps que nos boissons.
Souvent ont nous donnais un tiquait pour selon notre achat de
boisson.
Le changement fréquent de partenaires ne nous permis de
trouver une compagne a nos pieds. Il fut plus facile d'en rêver
que de toucher la réalité. Francis et moi nous serpentons a
travers le tables et attendons qu'une bonne partie de danseurs
eut rejoint la piste. Puis nous observons une table où il reste
2 places occupé par des danseuses. L'on se rapproche d'elle puis.
- Vous dansez mademoiselle ?
- Oui .
Réponde les deux.
- Peut on vous inviter a faire cette danse ?
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- Oui, merci pour votre invitation.
C'est une marche qui se déroule et la distance a respecter ne
rapproche les danseurs. Il y a 3 danses qui passent après chaque
entrée en piste. J'hésite de prononcer un mot avec ma cavalière,
et plus, je fais attention de ne point lui marcher sur les pieds
cela donnerais une mauvaise appréciation pour la suite de la
soirée.
L'attention parfaite me permet de terminer les 3 danses et de
la raccompagne a sa table. Francis vient par la suite, puis nous
retournons là où nos verres sont posé , sur un tonneau en chêne
sur lequel un numéroté est gravé. Nous l'occupons a 4 personnes,
avec des copains, des habitués.
Une nouvelle danse série de danse commence, ce sont des
Slows. Ce passage rapproche les corps, ce qui permet a certains
dragueur de faire valoir ses intentions. Je ne part pas sur le champ
a demander la même jeune fille pour l'inviter a danser. Francis
se remet vite a inviter sa danseuse. Je le suis , puis, me voila
entrain témoin que je viens de perdre mon temps, trop tard un
autre danseur la invité. Me voila leurré. Je retourne a notre
emplacement vide de ses occupants. Une série de paso doble
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commence, je rejoint vite ma danseuse et lui demande,
- Voulez vous danser cette série mademoiselle ?
- Bien sur, je suis ravie de votre invitation.
Nous approchons de la piste où il y a peut de personnes qui
danse. Cela ne fait rien au contraire on peux exprimer son savoir
faire sans rencontrer de danseurs gênant.
Francis ne danse pas , il s'occupe de déplacer nos verres
auprès de la table de nos compagnes et d'y placer 2 chaises,
cette action a son mérite. Je me place a leur table sans tarder
Des questions se partagent,
- De quel quoi venez vous ?
- Nous habitons, le 2 , a Montbéliard dans le Doubs.
- Ca fait une trotte pour venir danser dans le coin ? Nous on
habite a Mulhouse pas loin de l'autre. Je travail comme
couvreur et mon cousin Francis apprend orthopédiste.
- Nous somme aussi dans le médical, ma copine occupe un poste
de pharmacienne et moi je suis secrétaire médical au urgence
a Belfort. Quel est ton prénom ?
- L'on me dis Jean et toi ?
- Amélie et ma collègue Patricia.
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Un nouveau sicle de 3 marches commence.
- Puis je vous inviter Amélie pour cette danse ?
- Oui je suis ravie, merci Jean.
Nous voila sur la piste et , malgré que c'est une danse qui ne
rapproche pas les danseurs, nos corps ont tendance a se frotter.
Cette action me donne du rebond , mes pensées future sont
pour qu'a la prochaine série de Slows je pourrais tenir Amélie
dans mes bras.
Il n'y a personne qui tourne autour des filles depuis que nous
somme avec elles . La série de Slows arrive, enfin.
- Puis je vous invitez Amelie pour ces Slows ?
- Un moment, je les avais promis a une autre personne.
Effectivement une autre personne arrive , je suis plus ou moins
largué. Par contre pour Francis la chance se trouve a ses cotées
il danse bien rapproché. Je patiente sur place car le fais d'attendre
ne me laisse plus beaucoup de chance pour trouver une cavalière.
J'observe les couples danseurs et tente de retrouver Amélie. A la
voila, elle danse corps contre corp attaché entre leurs bras. Cette
position me rend jaloux, et me demande pour quelle raison m'a
t'elle pas accepté mon invitation ?
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Notre table retrouve ses occupants , je voilà plus fière lorsque
je suis accompagné.
Après quelques discutions, une série de marche commence. Je
ne prononce aucune demande d'invitation. Je reste en retrait et
attend que quelqu'un se présente pour inviter Amélie. le dancing
se remplie et nous, nous restons là comme des incompris. Je me
retient pour l'inviter, puis, avec un courage surmontant ma
jalousie, le lui demande,
- Vous lez vous danser cette série de marches avec moi Amélie ?
- Bien sur Jean j'attendais avec impatience.
Durant l'intervalle de la première danse, je la remercie et au
second je lui demande,
- Amélie, puis je réserver la prochain séries de Slow avec vous ?
- C'est promis Jean nous les danserons ensemble.
Cette réponse me redonne du mourons, je vient de placer mon
l'avenir sur une bonne longueur d'onde.
La série de Slows commence, je patiente. Francis accompagne
sa partenaire pour danser. Un personnage se rapproche, le mémé
qui eut invité Amélie a la dernière série de Slow. Il fait un signe
de la main pour qu'Adeline le suit. Cette attention manque de
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politesse, me suis je dis, faire un signe de la main au loin pour
allez danser ? Adeline le regard et fait a son tour un signe de
refus. Hof, elle a tenue parole mais a bien attendu pour le faire
comprendre a ce danseur. Je suis fière de pouvoir l'accompagner.
A partir de là, nous dansons ensemble jusqu'au petit matin. La
salle se vide et au fil des discutions nous nous donnons rendez
vous pour la fin de semaine prochaine a une fête foraine qui se
trouve dans le département voisin, le Territoire a Fontaine.
La semaine de travail continue a Neuf Brisach sur les trois
silos. Comme d'habitude, nous passons en premier dans le
restaurant pour réserver. Une pancarte nous indique qu'un
imprévu ne permet d'ouvrir le restaurant. Nous devons
en trouver un autre ?
Voila que celui qui peut nous recevoir a des Etoiles. Restaus
chique, restaus choque. en remarquant le pris du repas. Pour
une foi, prenons le comme acquit.
L'intérieure a tout pour plaire, nos vêtements de travail ne
réponde a la décoration, heureusement que nous somme a notre
premier jour de travail. Nous posons nos bleus sur des chaises
capitonné au tissu d'ameublement en velours coloré. Nos pieds
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équipé de grosse chaussures de sécurités s'enfoncent dans un
gros tapis de laine, quelle vaine. Pour donner une importance
a cette établissement, restons polie, ne faisons pas de blague a
haute voix et surtout vidons nos assiettes proprement, une sorte
de reconnaissance pour la qualité de leur menu.
En premier, un velouté de giroles servie dans une tasse en terre.
- Que dois dons prendre comme couverts ?
Demande le Portugais.
- Prend celui qui se trouve le plus prêt de la tasse en terre.
- Mais, c'est une cuillère a café en argent ?
- Oui c'est cela, prend là.
En quatre mouvements le volupté fut consommé. Pas mauvais
mais la quantité reste faible. On en aimerais encore. La serveuse
vient a table pour débarrasser.
- Mademoiselle, votre velouté a du mérite je l'avoues il est bon
mes collègues en pensent autant, pourrions nous avoir une
deuxième tournée ?
- Merci pour votre remarque messieurs, mais vous savez que
ce sont des dégustations que l'on vous sert ? Je vais demander
au cuisinier.
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On se regarde un peu étonné, je dis ,
- Ci la suite a le volume d'une dégustation, je compléterais
avec le pain qui me reste dans mon sac pour rempli mon
estomac.
Voila l'entrée, qui suit, des escargots sur un tapis de roquette.
Il y en a 6, mais délicieux. Le plat de résistance arrive, un cordon
bleu avec quelques frites, de petit légumes de toutes sortes . Disons
un jardin de légumes.
Au milieu de ce restaurant, une personne mange seule . Elle eut
commandé un pavé . La finesse de manger selon les régle nous laisse
en émois. Elle termine son repas et place ses couverts sur son assiette
dans laquelle elle n'eu consommé qu'une petite ^partie de son pavé.
Mon collègue me dit,
- Crois tu qu'elle as terminé ?
- Oui je pense.
- Mais la serveuse vas jeter le pavé quant elle ramasse l'assiette il
va falloir lui demander si je peux manger son reste de pavé.
Le collègue se lève et se dirige vert cette brave jeune fille,
- Bonjour mademoiselle, avez vous terminé avec le pavé ?
- Oui monsieur, il fut copieux.
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- Puis je le terminée mademoiselle ?
- Ne vous gêné pas servez vous.
Le collègue revient a table avec l'assiette de cette brave personne.
De mon coté je rougie. Le pavé fut partagé a deux ouvriers qui se
sont régalé.
Nous arrivons au plateau de fromage, sa présentation parfaite
nous pousse a puiser dans cette diversité comme des ogres qui
on faim. Le plateau fut vidé en un rien de temps. Après notre
petit café noir, nous retournons a notre poste de travail. Personne
ne dit un mot de travers sur les étoiles de ce restaurant de qualité.
Il y a juste le prix qui lui fut un peu salé.
On arrive en fin de semaine et nous voila, Francis et moi, dans
le territoire a Fontaine sur une kermesse. Nous attendons nos
copines de danses comme convenu. Elles doivent venir en Simca
1000. Elles sortent d'une 504 Peugeot bleu nuit, flambant neuve.
Nous les rejoignons pour les accueillir avec les honneurs de bien
venu. Avec elles, le conducteur, bien habillé, nous stop dans notre
élancé. Nous retenons nos intentions de les embrasses.
- Bonne soirée Amélie et Patricia, soyer les bien venu.
- Bonne soirée Jean et Francis, on vous présente notre voisin qui
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c'est proposé de nous accompagner. Il s'appelle Pierrot.
Nous lui serons la main sans oser lui parler. Francis me fait un
clin d'œil, et un hochement d'épaule. On se dirige vers l'entrée
du chapiteau de cette kermesse . Pierrot nous fait un signe de sa
main, puis il dit,
- Je règle tous, ne payer rien et nos places sont réservé.
Dans le chapiteau il n'y a presque de place , heureusement que
de l'avance fut entrepris.
Nous nous plaçons a une table en planche de bois de sapin raboté.
Deux bancs, en bois de sapin raboté nous permettent de prendre
place. Dans le chapiteau la fumée nous enivre, le son de l'orchestre
débite un volume qui ne permet point de discuter. Je tente de
communiquer ,
- Vous avez bien fait de réserver.
Les première série de roc commencent. les gens sont déchainé.
Je reste en retrait , et Pierrot aussi. Francis les accompagne. Comme
un vide nous entoure, je remercie Pierrot pour c'être occupé de cette
soirée.
- De tout cœur, je suis avec vous, ca ma fait plaisir de faire votre
connaissance.
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- A moi aussi, sont elles, Amélie et Patricia, de votre famille ?
- Non, pas du tout, ce sont des amies voisines, sans plus.
Cette réponse me redonne du mouron, je reprend confiance et
demande a Amélie,
- Qu'aura t-on comme prochaine danse Amélie ?
- Je pense que ca sera un twiste.
- Ente vous prise pour cette prochaine danse ?
- Non,
- Puis je vous inviter ?
- Bien entendu, je serais votre cavalière.
Je fais de mon mieux et termine cette danse avec hâte, car je
préfère les marches , les pasodobles ou les slows sans oublier
les tangos. Avant de prendre place je demande,
- Puis je vous inviter pour la prochaine série ?
- Je suis d'accord, mais laissons l'avantage a Pierrot on verra
bien par la suite.
Je patiente et la série de roc commence. Heureusement que je
reste a notre table seul car, sous les décibels de la musique des
filles ce tirent le chinions. Elles échangent des coups de points
et se déchirent les vêtements. Une ruade provoque un bordelle
382
monstre. Des bouteilles volent par ci, par là. Autour de moi, les
gens se cachent sous les tables pour se protéger. Avec peine notre
union se reconstruit. Pierrot dit ,
- Sortons d'ici, jusqu'à ce que le calme revient, , nous risquons
nos vies.
La bagarre ne trouve de fin. Un grand nombre de personnes
retrouvent leur voiture et quittent la kermesse. L'ambiance du
début ne correspond plus a une fêté mais a un règlement de
compte.
Pierrot nous fait une proposition,
- La fête se termine et ne retrouvera pas l'ambiance du début
il y aura des suites car d'ici peu la police nous questionnera .
Nous ne somme pas la raison de ce chahut, partons chez moi
a chatenois dans le Doubs.
En construction, fixions a suivre au 13 /15 page 383
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz.
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