La clarté de la nuit n 1/15( roman sentimental, La vie de ? )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
LA CLARTÉ DE LA NUIT
Préface
Sortir de l'obscurité, pour retrouver la jour, ma poussé
a rédiger mon passé. Le premier obstacle, réapprendre
a écrire. Suite a un comma ou le bruit parlait d’espoir
mon premier combat fut de sortir de l’éternel.
Personne n'a voulu débrancher car l'amour pour l'un
comme pour l'autre produit une sorte de rayonnement
que l'on maçonne pour la vie a l'age de nos 23 ans.
JJM
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1951
Le jeudi du mois de mars 1951 naît un garçon dans
la clinique du Saint Sauveur a Mulhouse.
- Quel beau garçon, avec ses trois kg 900.
Disaient les bonnes Sœurs de la maternité.
- Il faut le baptiser au plus vite, comme c'est le jour de
Jean de Dieu, on l’appellera Jean.
Ma maman venait d'avoir ses 21 printemps et je suis
son premier enfant. Mon papa Jean n'est pas présent, il
fait son service militaire comme appelé .
Dans la petite chapelle, entouré d'arbres centenaire
les bonne sœurs baptisaient Jean avec la présence
de son parrain, un beau frère du père, et la marraine
une sœur du père et ma grand mère maternel.
Au retour dans la citée ouvrière de Dornach ma
maman reflétait de fierté ainsi que ma grand mère.
Le voisinage, se pressait pour le voir par curiosité.
Les racontars font le tour du voisinage, car avoir
un enfant sans être marié est un sortilège. Une
honte pour la famille.
Il reste encore une année jusqu'au retour de
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de Jean le père. La belle mère de Marguerite
n'aime pas que l'on lui en parle et la rejetait.
Marguerite avait de la peine jusqu'au retour du
père qui le reconnu a la permission 8 mois plus tard.
A sa venu il fut question de se marier le jour de mon
premier anniversaire .
1952
Mariage rime avec un appartement pour le couple
ce qui se fait. Une chambre meublé dans une ferme
leur permis de s’installer. Situé a une distance de
1500 mètres de la cité ouvrière cette chance permit
de retrouver ma grand mère pour quel puise me
garder pendant que Marguerite travail dans la filature.
La chambre, situé au dessus d'une étable, comporte
une pièce de 5 mètres sur 5. IL fallut chercher de
l'eau dans l'étable et pour les besoins journalier se
fut au dessus de la fosse a purin dans un recoin.
Le tas de fumier s'étale devant la fenêtre de la
chambre. Une forte odeur particulière nous enivrait.
de son parfum.
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Je marche correctement a 1 ans, ce qui donne a
ma personne une particularité .
- Quel prodigieux garçon que tu as Marguerite.
- Merci madame la boulangère.
- Jean arrive a chercher le pain tout seul j'en suis
persuadé, tu peu me l'envoyer .
- On fera un essai demain.
Comme la boulangerie se trouve a la sortie de la
ferme, je n'ai pas loin pour chercher du pain, ce que
je fis le lendemain.
La gentille boulangère m 'accueilli avec joie et me dit,
- veux tu un morceau de chocolat et du pain ?
Je hochais avec la tête vers le bas et le haut et reparti
avec dans mes mains le pain et du chocolat a mon
goûte.
Le mariage fut célébré dans la semaine de mon
anniversaire.
Un soir, mon père m'apporta mon premier jouet.
- voila pour ton anniversaire, je l'ai taillé dans un
morceau de chêne.
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Ma joie fut plus explicite que mes paroles . Cette
merveille m’éblouissait avec sa voile fait d'écorce.
Il avait ne odeur particulière, elle demande a mon
père.
- Pourquoi sent il comme cela Jacqui ?
Demanda Marguerite.
- Je l'ai imbibé d'huile d'olive que j'ai pris de la
boite de sardines de mon repas.
D' une longueur de 15 centimètres on le fit
naviguer dans la bassine d'eau. Magique, il flotte
a merveille.
La santé de Marguerite ne détériore, et la fatigue
la fragilise, elle me dit,
- Je vais avoir un bébé Jean c'est pour cela que je
suis fatigué.
Je l'écoute sens une réflexion.
En fin de semaine nous faisons une sortie dans
les montagnes , les Vosges. Cette sortie se répétait
car le chauffeur de camion, de la ville de Mulhouse
y construisait un chalet. Comme mon père aimer
maçonner, son coup de main fut bien venu.
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J'adore ses sorties et un jour le bateau fit partie
de l'expédition. Je m'était venté au prêt du fils du
propriétaire qui a le même âge que moi. A coté du
chalet passe une cascade. Quelle aubaine mon
bateau peut faire un plus grand parcours que ma
bassine. On trouve une surface plane où le bateau
peut flotter. Mais il resta sur place ?
Marc le fils du propriétaire du chalet me dit,
- On vas le pousser un peu vers le courant.
- Oui Marc, je veux bien.
Chose dite et immédiatement réalisé.
Le prix de se sentir libre prend de la vitesse car
le voila partie dans le courant qui l’entraîne vers
la cascade. Le petit voilier disparût entre , orties
et les ronces évitant les rochets. Les hautes
herbes nous l'on caché plus moyens de le voir.
Je me mit a pleurer jusqu’à la fin de la journée.
A chaque allée ma joie de découverte amplifiait
mes expressions car chaque fois que je voyais
des canards sauvage sur les cours d'eau, je
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disais,
- Regardez , la, il y a des canards sauvage.
Tout le monde en riaient. La route fut longue
et les rencontres nombreuses. Un jour une
vapeur s’échappait du capot de la voiture, un
arrêt fut fait. Les occupants trouvais la une
récréation de plus de 15 minutes jusqu'au
refroidissement du véhicule.
Arrivé au milieux de mois, l'argent se compte
sur les bouts de doigts. Mon père, fumeur, n'eu
plus de quoi chercher un paquet de cigarettes.
En fouillant les poches une somme de 250
centimes de francs , ce qui suffit pour un petit
paquet de parisienne. La qualité modeste dans
le commerce.
Mon père, fière, ne voulu s’approvisionner
au bistros a 400 mètres de notre habitation et
me dit,
- Jean veux tu me chercher des parisiennes
dans le bistro ?
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- Oui je vais y aller.
Je fus fière de pouvoir lui rendre service et
partait et sautillant de joie. Sur le parcoure
la pièce de 50 centimes tomba dans le caniveau
roula jusqu'au siphon et s’engouffre dans ses
profondeurs. Je tente par mes moyens de plonger
ma petite main dans ce gouffre. Je ne parvient
pas et retourne la tête bien basse a la maison.
Mes larmes d'enfant en dirent long.
A la vue de mon retard, ma mère me dit,
- Que t'est il arrivé Jean ?
- J'ai perdu la pièce de 50 centimes de Francs
elle est tombé dans le caniveaux puis dans
les égouts de la ville. Je n'ai pas pu la
rattraper.
Avec mon père, on tenta de retrouver la pièce
mais on rentrait bredouille. Depuis là, mon
père n'a plus fumé de cigarette.
Les mois passent, la prochaine naissance
approche. Je dut rester un certain temps chez
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ma grand mère maternel, Ma-mama. Elle habitait
dans un logement de la citée ouvrière.
Cette habitation compose de 3 chambres a
couché, de toilette et d'une cuisine équipé d'une
cuisinière qui consommait du bois. Elle chauffait
toute la journée, même en été. Un récipient en
cuivre était plonge dans la cuisinière et restait
chaud. Quant il fallu de l'eau chaude pour le café
chicoré on y puisait. On respirais une odeur
agréable.
Dans ce logement il y avait ma grand mère, mon
grand père et l'arrière grand père, ma tante
Pauline et mon ongle Pauli, et une tante du second
mariage, Monica. Les chambres a couché sont
répartie de la façon suivante, la chambre prêt
des toilettes pour les filles et la chambre du
centre pour les garçons. L'arrière grand père
occupait la première chambre a droite de la
porte d'entrée. Un couloir centrale permis de
d’accéder aux 6 portes. Entre la porte de la
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cuisine et de l'entré, un haut fourneau en fonte
noir brillant, permet de chauffer en hiver le restant
de l'appartement.
Mon oncle Pauli, avait une habitude de boire de
la chicoré après chaque repas et d'y tremper un
morceau de pain.
Un poste radio occupe une étagère de la cuisine .
Ma-mama aimait écouter, Edit Piaf. Parfois, elle
laissait s’échapper des larmes et me prenait dans
se bras. Les larmes furent ci profond que moi
même je pleurais.
- Qu'as tu Ma-mama pour que tu pleures ?
- Rien répondit elle, il me manque une de mes
filles.
L'arrière grand père, a la barbe blanche, me garde
pendant que les autres personnes sont absente. Je
me suit placé a droite de lui sur un seau retourné .
Le trottoir devant l'entré de notre habitation permis
de rencontrer chaque passant qui, nous parlaient.
Ils demandaient,
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- Pépé es tu de garde ?
- C'est ma relève pour le futur .
Cette remarque me gratifie, j'en fut fière. Son
grand âge a plus d'un tour et des secrets dans
ses pensées. Chaque question posé par un
passant eut du répondant. Tout le monde lui
accorde une attention particulaire. Dans sa main
un canif Suisse et dans l'autre une cane en bois
qu'il sculpte sans relâche.
- Qu'as tu fais grand père pour que tu connais tant
de chose ?
- Je gardais les montons dans les alpages et
j'observais la nature qui change.
- Mais la nature ne parle pas, comment a tu appris ?
- En retenant les leçons de la vie Jean.
- Quelle leçon fut la plus importante ?
- Contempler le ciel et toutes les étoiles.
- Grand père les étoiles ne parlent pas ?
- Les étoiles changent a chaque moment et ceux la
donnent l'heure.
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- Grand père combien y a t'il d'étoiles dans le ciel ?
- Prend une feuille et un crayon, fais autant de points
que tu peut faire, et tu auras un petit aperçu .
Il me prit mon doigt en direction d'un endroit du
ciel et me dit,
- A la tombé de la nuit tu verras mon étoile a cet
endroit.
- Ai je aussi une étoile Grand père ?
- Bien sur elle se trouve a coté de la mienne sur la
droite . Je te la montre quant il fera nuit.
Ce jour là j attendais impatiemment la venu de la
nuit.
Me voilà a coté de lui, il commence a faire nuit. Ma
curiosité va obtenir une réponse. Je regardais le ciel
comme une merveille et au fur et a mesure que les
étoiles apparaissent la nuit devint sombre. Toutes
ces multiple petite lumières sont magique.
- Grand père, quelle est ton étoile ?
Il prit sa cane la dirige dans une direction et me dit
- La Jean c'est mon étoile et la tienne est juste a
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coté de celle ci.
- Mais, elle est belle et lumineuse.
- La tienne reflète une tout autre clarté, celle d'un
avenir de pays et de loyauté.
1953
Marguerite met au monde une fille aussi bien
portante que moi même. Suite a cette naissance
j'ai passé mon temps chez Ma-mama avec mon
arrière grand père.
Je joue avec les enfants du voisinage et avec
un pavé je me blesse le pouce qui gonfla
rapidement. Une douleur profonde me fit hurler.
Ma-mama regarde le pouce et me dit,
- C'est un panaris, j'ai un remède pour le guérir
fais moi confiance.
Elle cuit des oignons dans une casserole en fonte
en les laissant bien mijoter. Puis elle les place sur
mon pouce enveloppé dans un chiffon .
Cette mixture dégagea une odeur désagréable et
mélangé a la douleur cela ne fit pas la paire.
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Depuis là, je ne voulu plus mangeais d’oignon.
Marguerite vient nous rendre visite, la fraîcheur
de l’automne nécessite que l'on allume le fourneau
en fonte du couloir. Je joue autour de celui ci . Ma
mère dit a Ma-mama,
- Jean risque de se brûler il faut faire attention.
- Marguerite, il ne se brûlera qu'une seule fois.
Ma-mama me prit la main gauche et l'eu appuyée
contre fortement. De toute mes forces je la retire
sans crier ni pleurer. Cela ma servi de leçon.
L'arrière grand père, commence a faiblir. Son
grand âge, 97 ans, ne rassemble plus l’énergie
d'un gagnant mais la faiblesse d'un perdant. Il
me dit,
- Jean je vais rejoindre mon étoile, veille sur la
tienne jusqu’à ce que l'on se retrouve.
Il nous eut quitte et Marguerite lui avait fait une
promesse, qu'a son dernier jour il doit lui raser
sa longue barbe.
Une dame d'une quarantaine d’années, qui
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s'appelle Frida, se proposa de me garder les
jours qui suivent dans la chambre ou nous
habitons. De là on pouvait apercevoir le cortège
qui accompagne l'arrière grand père au cimetière.
Un cheval blanc tire un corbillard blanc et de
nombreuses personnes suivaient a pied.
- Jean c'est dans cette charrette noir que ton
arrière grand père fait son dernier voyage.
1954
La maladie prit possession de la santé de
Ma-mama. Cette obstacle résume une fin de vie.
au mois de février de cette année là.
Madame Frida revient me garder. Assis derrière
la fenêtre, nous regardons passer le corbillard.
noir tiré par un cheval blanc.
- Madame Frida, y t'il beaucoup de place là où
va le cortège ?
- Il y a de la place pour chacun d'entre nous.
Par la suite je passais mon temps chez
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madame Frida qui habitait dans une maison en
bois entouré d'un jardin. Il y avait un gros chien
poilu très sociable. Ses poiles lui couvraient ses
yeux. Il rentrait le journal et portait une corbeille
en osier pour y placer les achats.
J'eu l’occasion de l'accompagner a Mulhouse
en tram sur rails et électrifier. Il fallut faire
quelques trottes pour pouvoir le prendre.
Quelle aubaine, nous prenions toujours la place
a l'arrière, celle qui permettait d’être a l'air libre.
Au centre de la ville un magasin ( monoprix )
permis d'acheter différents articles de toutes
sortes. Un stands m’attire le plus, c'est , Tout
a 100 francs.
De nombreux jouets de toutes sortes me
margeaient par leurs couleurs et présentation.
Fait en plastique, la résistance des jouets
réponde aux enfants de mon âge. Je reviens
toujours avec un jouet, sois une voiture ou un
figurine d'indien ou de cow-boy .
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Sur le retour on passe devant une poissonnerie
ou l'on choisi une carpe vivante du bac d'eau.
Arrivé a la maison on la remis dans la baignoire
remplie d'eau. Elle fut vivante, on la mis dans la
baignoire remplie d'eau ; je suivi le vas et vient
de la carpe inlassablement.
Le mari de madame Frida travail dans la
comptabilité d'une grande société. Leur finance
dépasse notre train de vie.
Vers le milieu de l'année mon père trouve un
nouveau logement. Une petite maison dans le
centre de la ville de Mulhouse.
A l'aide d'une charrette a deux roues, Il emmena
notre avoir qui ne représentait pas grand chose.
Mon lit, une commode, 2 chaises une table et des
ustensiles de cuisine.
Arrivé dans cette maison, un palace pour nous,
le bonheur nous rendit heureux.
La maison rectangulaire de 7 mètres sur 8 se
compose de 3 pièces , 2 sont au rechaussé
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et une dans la mansarde, ne cuisine et un
rajout de 3 mètres sur 3 pour les toilettes
accolé a la maison.
Cette maison considéré comme habitation de
service car elle fit partie d'une grande maternel.
Sa façade grise, rugueuse et sale, reflète les
aléa d'un quartier industrielle. Son toit en tuile
mécanique fut rougeoyante car de la poussière
des cheminées a charbon la recouvrait. La rue
qui passe a une longueur de plus de 3 cents
mètres et une largueur de 5 mètres. Un trottoir
d'un mètre de chaque coté permet aux
passants d'éviter la route pour circuler. Cette
rue Saint Michel a deux intersections, l'une
donne dans la rue des bains et l'autre sur la
rue des serruriers. Elle commence a la rue du
manège pour terminer devant l'entré de
l'usine Citroën. Un haut mur de 8 mètres de
haut coupe notre vue en regardant par la
fenêtre qui donne sur la rue. Quant on regarde
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dans la maternel la cour a un grand espace.
L’odeur des hauts fourneaux surpasse celui
des saisons. La diminution des jours et la
tombée des feuilles morte nous servie
d'indice. Les maisons qui nous entourent
sont toutes plus grande que la notre. Peut
de rayon de soleil car même l'enceinte de
la maternel a une hauteur de 2,5 mètres.
Dans la coure de l'école de grand marronnier
centenaire , eurent pris assisse. Dans la
prolongation de l'enceinte, des tilleuls
poussent.
La surveillance de la maternel revenait
a une dame veuve qui habitait dans l'enceinte
de la maternel. Elle a un garçon de 12 ans.
Un peu plus loin, une autre école, désaffecté
plus grande que la notre, sert a abriter des
personnes a faible revenu. La renommé de
ce quartier fut, ( Un quartier haut les mains ).
Cette immeuble se trouve du même coté
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que notre maison. Leur cour, en vulgaire tout
venant, ne ressemble a la notre enrobé d'un
enrobé, macadam.
Le soir venu, sur le grand escalier en bois
de frêne vermoulu , les habitants jouent de
la musique avec des accordéons ou des
trompettes. Des couples dansent . Ma
certains se laissent entraîner par de la
consommation d’alcools . Des injures et
des bagarres suivent .
Sur le fenêtres peu de vitres, ce sont des
cartons qui remplacent le verre.
Septembre, mon père me propose de faire
un tour sur son vélos pour allumer les
lanternes a pétrole des chantiers. Quel
bonheur de pouvoir l'accompagner.
L'usine vient de reprendre son travail et les
machines donnent tout leur savoir faire par
le bruit de leur force de frappe et cela a partir
du matin a 7 heures. A midi une sirène hurle
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et annonce le repas de midi, 14 heures suit
la reprise jusqu'à 17 heures ou la sirène
annonce la fin de la journée. Une ribambelle
de vélos sortent.
Au bout de quelque jours je prend le pli
de cet engrenage.
La rentrée de classe sonne pour moi, vue
que je répond a toutes les conditions je suis
admis. Je retrouve un grand nombre d'enfants
de mon âge, des filles et des garçons. Je me
laisse séduire par la peinture et les dessins
comme pour les jeux de construction.
Le jeudi nous n'avions pas classe, et le
samedi après midi comme le dimanche.
Pauline vient nous rendre visite de temps
a autre. Une personne masculin, chaque fois
un autre, l'accompagne. Cette tante a tous les
atouts pour me plaire, la bonté et le partage .
J'avais droit a chaque visite un jouet. Elle
portait un manteau de fourrure en lapin. Ce
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qui retient mon attention, c'est qu'elle eut
envie de dormir dans notre chambre a couché
situé sur le coté rue. Les volets furent fermé.
Le caprice de l’envoûtement sentimental
marque un événement. Marguerite me dit,
- Jean il faut que tu places un morceau de
sucre sur le rebord de la fenêtre pour que
la cigogne nous apporte un bébé.
Nous passons notre premier Noel et des
ondes bénéfique envahir la maison . Notre
premier sapin de Noel, quelle merveille surtout
qu'a ces pieds des baquets de toutes sortes
l'entourent. Des bougies , que l'on du allumer
ornent les sapin.
1955
Ma première année de classe se termine
Les vacances sont là et le sucre eut porté ses
fruits. Un beau garçon se retrouve dans notre
famille. Nous voila au nombre de 5 personnes.
Le revenu de mon père ne suffisait pas. La
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restriction de viande, commence au milieu du
mois. Le pain et le lait fut notre repas principal.
Parfois, comme goutté, une tartine de saindoux
ou de moutarde. Pour chaque remarque ma
maman Marguerite parle fortement.
An début du mois, on a un repas avec de la
viande, souvent un rond de saucisse que l'on
fait relever dans une sauce a base d’oignons
bien cuit . Cela me rappela la mixture que
je portais autour de mon pouce. Je n'en voulais
et le refusa. Pour mon père c'est un morceau de
viande qui était cuit dans la même sauce épaissi
avec de la farine. Il dit ,
- Les enfants ont besoin de viande, partage
mon morceau, ils doivent grandir.
Pauline, a mis au monde une fille avant la
naissance de mon frère. Elle venait le jeudi
avec son enfant. Chaque fois, il y avait un petit
paquet pour nous.
Mon père pour arriver a boucler les fin de
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mois, travaille dans une boulangerie qui se
situe a l’intersection de la rue des bains et
de la rue Saint Michel. En plus de cela il
s’engage chez les pompiers volontaire de
Mulhouse et dans la fanfare .
Un jeudi, nous rendons visite a ma marraine
qui habitait une péniche sur le canal du Rhône
au Rhin. Il fait beau et jouer sur la berge une
aubaine. La péniche laisse un écart de 50
centimètres entre la berge . Je jouais avec
mes figurines quant ma sœur par mégarde
me fait perdre l'équilibre. Je tombe dans le
canal.
Me voilà plongé dans cette ténèbres froide
et sombre. Je manque d'air et retient ma
respiration par instinct . Je remonte a la
surface et reprend de l'air mais disparaît a
nouveau. Je gesticule de toutes mes forces.
A un moment donné, une main agrippe ma
chevelure frisée. Ma mère eut gardé son sang
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froid et ma sauvé.
Ma seconde rentrée en maternel me permis
de retrouver une partie de mes camarades de
classe.
On arrive a la fin de l'année et comme prévu
un sapin de noël marque notre bonheur.
Arrive l'épiphanie que l'on fête a l'école. Deux
grand gâteau découpé en 22 parts nous fut
attribué. Un fève se trouve caché dans une
des parts de chaque gâteau. La distribution se
fait, et dans le morceau qui me revient je vois
la fève. Un événement pour un enfant, je vais
être rois, super.
A coté de moi une voisine que j'aime bien
elle me dit,
- Jean j'aimerai devenir reine, peux tu me
donner la fève ?
- Ci tu veux oui, me prendra tu comme rois ?
- Bien sur.
Devenir rois avec l'accord d'une copine c'est
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mieux que de gagner la place de rois.
La maîtresse appel,
- Qui est devenu rois ou reine ?
- Moi madame.
- Et qui encore ?
- Moi madame.
- Nous avons un rois et une reine parfait pas
besoin d'en désigner.
Me voila sur les rangs pourtant je l'avais la
fève mais je l'ai donné a ma voisine.
Cette seconde année de maternel se termine.
Je viens d’acquérir un peu plus de sagesse .
Pour les vacances nous montons dans la
foret qui se trouve sur une colline qui domine
Mulhouse. Pour y accéder nous marchons en
poussant le landau de mon frère où nos
victuailles sont rangé. On arrive presque au
sommet, je regarde sur Mulhouse et observe
une multitude de chemines.
Nous voila a la lisière de la foret où se
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trouve le jardin ouvrier. A l'ombre de grand
arbre des tables et des chaises et des bancs
permettent de pique-niquer. Des jeux pour
enfants sont organisé et la fanfare de mon
père exprime son savoir faire. L'ambiance
parfaite met en confiance les personnes qui
s'y trouvent.
Les jeux consiste de faire une course
dans des sacs de pomme de terre. Un autre
parcours consiste de le faire les yeux bandé.
A chaque réussite, un paquet de bombons
fut donné, même pour les perdants. Les
dimanches passent trop vite.
L'école reprend, je suis dans la 3 -ème
année, une fierté la grande classe. Je ne
retrouve plus les mêmes personnes le monde
bouge.
Noel, le sapin reluit a nouveau de ses
guirlandes. Un bonheur envahit notre maison.
J’obtiens un château fort. Mes parents l'avait
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acheté bien avant et l’ure caché dans une
armoire de la chambre a couché. Lorsque
je me trouve seul ma curiosité l'eu découvert.
Il ma fallu un tabouret pour entrevoir ce
fameux château fort.
1957
L'année commence froide et vigoureuse.
L'on dorme dans une chambre a couché pour
avoir plus chaud.
Enfin, le mois de mars nous redonne de la
gaieté, il fait plus chaud et les journées sont
plus longue. J'ai mon anniversaire et comme
d'habitude une petite fête s'organise. Il manque
une personne, ma tante ?
- Maman tante Pauline m'a t'elle oublier ?
- Non, elle se trouve a l’hôpital, elle attend
un enfant.
Le mois de mars se termine, ma tante Pauline
reste hospitalisé. La gravité de sa santé l'on
conduit a Colmar.
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Avril ouvre ses portes et mes parents partent
a Colmar pour rendre visite a Pauline. Le retour
de mes parents , très triste, et en sanglot ne
dirent pas un mot. Le lendemain ma mère me
dit,
- Pauline a rejoint les étoiles, elle n'avait que
21 ans. Elle a mis au monde un beau garçon
je suis sa marraine, ce qui veut dire qu'il
y aura un enfant de plus dans la famille.
- Je vais avoir un petit frère ?
- Oui nous l'avons adopté.
Madame Frida se trouve avec nous et nous
fait comprendre que Pauline a retrouvé son
étoile.
Après une bonne semaine mes parents
retournent a Colmar pour chercher le nouveau
née, Christian.
Nous voila au nombre de 5 enfants, 2 filles et
3 garçons car personne ne voulait adopter la
première fille de Pauline. Notre pouvoir d’achat
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diminue . Mes parents ne donne plus le même
partage d'affection. Il ne faut pas grand chose
pour faire bouillir la marmite et le moindre fausse
note.
Un soir, ma sœur eut fait des bêtises, elle fit
tomber une bouteille en verre de lait, laquelle
éclata .
- C'est Jean qui la fait tomber.
Dit elle .
Je reçus une correction si fort que je me suis
mis a pleurer recoquillé a même le sol.
Christine, la sœur adoptif vient prêt de moi et
me dit,
- Ce n'est pas moi qui a fait tomber la
bouteille, ni toi.
Elle se polit contre moi et m'embrasse sur la
joue.
Une visite de la famille en Suisse vient nous
proposer une aide. IL sont d'accord pour
adopter Christine.
A SUIVRE au n 31
2/15
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz
Ecrit en 1986, mon premier roman remis a jour.
Le roman est en cour de construction je n'ai
pas terminé merci pour votre compréhension
des changements peuvent suivre.
A ce jour, 04 01 2022, 164 707 lecteurs.
A ce jour, 20 01 2024, 191 308 lecteurs.
A ce jour, 10 03 2024, 191 945 lecteurs.
A ce jour, 08 05 2024, 194 314 lecteurs.
A ce jour, 27 12 2024, 203 540 lecteurs.
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