La clarté de la nuit 10/15 ( roman sentimental , La vie de ? )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
10/15 La clarté de la nuit.
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Nous arrivons au sommet du col du Bonhomme, le jour montre
toutes ses dents, le soleil sa chaleur et la voiture devient un fourre.
Nous roulons les fenêtres grande ouverte.
Cela fait 2 heures que nous roulons et l'ambiance per sa valeur .
Lunéville , on passe, Nancy de même, et enfin Metz. Mais, où
se trouve ce petit village de Laquenexy ? Nous tournons autour de
Metz et questionnons les personnes a notre rencontre. Leurs
indications nous faisaient tournez en rond si bien que notre
confiance nous abandonne.
On s'arrête devant une cabine téléphonique, et, l'on fait le
numéraux de se fameux restaurant épicerie a Laquenexy.
Christine, fait le numéraux pour appeler son parrain.
- Allo tonton ont est a Metz, mais on ne trouve pas la route
peux tu nous l'indiquer ?
- Vous avez presque trouvez, il ne reste plus que 10 km tout
droit en prenant la première a droite.
- Merci tonton.
Nous suivons les indications et arrivons devant ce fameux
restaurant planté au milieux d'un petit village de 200 âmes.
Les maisons sont vétuste et rien ne nous impressionne.
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Pourtant Christine nous a bien expliqué que ce village est
magnifique ainsi que le restaurant hôtel épicier de son oncle ?
La pauvreté des habitations grise nous impressionne en rien
Quant nous parvenons devant le fameux restaurant épicerie ,
notre ambition , d'avoir su combler le désir de Christine ,
nous émerveillé mais déstabilise les descriptions de Christine.
Le résonnement de la cloche du village tonne 12 fois. Avec
l'écots s'envole cette bonne foi. Une personne qui vient d'en
sortir , elle arrive a notre auteur. Questions la ,
- Bonjour Madame, est ce bien le restaurant Le vole au vent ?
- Oui c'est bien Le vole au vent.
- Merci madame et bon dimanche.
Donc on est arrivé, il suffit d'y pénétrer.
Christine a l'honneur d'ouvrir cette porte d'entrée. La faim
et la soiffe commence a réveiller nos estomacs qui créaient
famine. Personne dans ce petit établissement, pas plus grand
que la chambre que je partage avec mon frère . Christine
nous regarde et se sent offensé par les descriptions qu'elle
nous eut partagé.
- Vous savez, la dernière fois que je fus ici avec mon père je
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n'avait que 2 ans.
Elle c'est rendu compte que son imagination ne répondais
pas a la réalité et tente de s'excuser. Dans cette pièce, 2 tables
et 10 chaises s'y trouvent. Un comptoir adossé au mur et sur
le coté droit une ouverture vers une autre pièce qui sert
d'épicerie. En ouvrant la porte, le tintamarrât d'une clochette
signale notre venu. Un grand personnage autoritaire et
impressionnant arrive de l'épicerie.
- Bonjour mon oncle parrain, je suis Christine ta nièce.
- Bonjour Christine, tu es la bien venu, cela fait un bail que
l'on a partagé une rencontre.
- Oui je sais mais comme tu es le frère jumeau de mon père
j'avais envie de te revoir en souvenir de mon père disparu.
- Tu es venu avec pas mal de copines et copains a ce que je
voie ?
- On avais envie de faire une balade et c'est moi qui a donné
l'idée de te rendre visite. C'est une occasion pour moi de
montrer a mon amoureux a quoi ressemblait mon père.
- Venez tous, j'ai une grande photo accroché au mur de
l'épicerie ou ton père eut reçu sa promotion d'adjudant
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chef a la légion étrangère en Algérie.
Nous voila devant la photo du père a Christine qui ressemble
comme une goute d'eau a son ongle, même la moustache est
taillé de la même manière.
Christine se laisse plongé dans ses souvenir et quelques
larme humifie sons visage. Elle prend son oncle dans ses bras
et le sert fortement. Une minute de silence se fait.
- Oncle peut on manger ici ce midi ?
- Oui vous êtes les bien venu, mais je m'attendais pas a ce
qu'une aussi grande foule débarque ? Je ne sais pas ci j'ai
a manger pour vous tous ?
Heureusement que mes parents m'ont donné de quoi manger.
Il nous propose des œufs dure, des chips, de la salades et de la
limonade ainsi que de la bière que nous mitigeons en panaché.
Manger a la bonne franquette c'est partager ce que l'on a .
Le fait d'occuper cette pièce aussi nombreux, fait monter la
température. On a beau laisser la porte d'entrée grande ouverte
rien n y fait la chaleur nous envahie.
Il est 16 heures, il faut programmons notre retour.
Nous voila sur le retour mais avec comme objectif la maison.
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Cette destination confle notre satisfaction qui nous redonne de
l'ambition. La satisfaction d'avoir fait se chemin fut pour que
Christine retrouve un peu de son passé.
Les explications de son oncle nous permette de diminuer
notre parcoure. Nous suivons une 4L immatriculé dans le 68
sur la route du Bonhomme. Ce sorte de poursuite fut une
partie de rigolade car la 4L voulait nous semer. L'Ariane n'a
pas de faiblesse et la suit jusqu'au sommet du Col du
Bonhomme.
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Notre région est de nouveau a notre porté et la suite
de nos aventure aussi.
Le gris bleu ne répond pas a nos jeune intentions et
l'ensemble du groupe décide d'opter pour une couler
plus flache. Donc nous décidons de la peintre en jaune
avec comme seconde couleur du noir mat sur le capot
et le coffre arrière. Une fille nous procure de la peinture
brillante jaune qui est prévue pour les murs d'une
cuisine.
La coordination du groupe se met au travail et chacun
ponce la voiture temps bien que mal. Puis nous
protégeons les éléments qui garde leurs origine avec du
papier autocollant. Une première couche d'apprêt la
rend blanche et prête a recevoir la peinture désiré. Nous
n'avons de cabine de peinture ce qui nous oblige de la
peindre a l'extérieur . En premier, nous la plaçons en
plein soleil pour que la carrosserie soit chaude pour
que la peinture adhère mieux. Puis entre deux murs et
abrité du vent nous entreprenons la peinture au pistolet.
Sur le sol du carton mouillé ,pour évité que de la
poussière se soulève et se repartie sur le sol enrobé.
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Le pistolet a la main je fait le vas et vient une première
foi de gauche a droite puis de haut en bas. La couleur
blanche accepte le jaune qui s'adhère sans problème.
La voiture devient de plus en plus flanchant. Cette
couleur attire une multitude d'insectes qui y restent
collé. Les enlever nous oblige d'endommager la
peinture. On décide de les laisser sur place puis de les
enlever quant la peinture sera sèche.
Dans les alentour avec ma voiture je fais du tabac et
sur les balles kermesse de même.
Un samedi matin, lorsque les filles viennent nous
proposer leur service pour nettoyer la voiture, Francis
et moi on leur propose de faire un tour dans les
environs, sans intention de drague . Notre proposition
ne trouve de refus.
Apres une balade de plus de 2 heures, nous revenons
au point de départ où le restant du groupe nous attente.
Il flotte dans l'air une atmosphère d'affrontement attisé
par la jalousie. Les discutions prenaient de la voix et
cette affrontement se termine par une bagarre.
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Le groupe se dissous et il ne reste plus que Francis et
moi.
Le travail a la tache rapporte grandement et l'on se
prive pas de manger dans les restaurants. L'on se fait
d'autre copains. L'un d'entre eux avait une DS 21 et
nous propose ce samedi soir d'aller manger dans un
restaurant de Bâle.
Un tronçons d'autoroute de 35 km vient de s'ouvrir a la
circulation il relie Rixheim a Bâle. Une belle occasion
de faire une pointe de vitesse. Je suis la DS 21 sans
difficulté.
Devant le restaurant a Bale l'on a de la difficulté pour
placer ma voiture plus longue que les emplacements
prévues. Faire une manœuvre fut impossible, je me suis
placé a coté de la place et avec mes copains on la
déplace en portant l'avant plus arrière a l'emplacement
prévus en la soulevant par les par choques résistant. Des
bandeaux en ont rient mais nous aussi.
Pour le chemin de retour, une partie de course poursuite.
Pied au planché, je tente de suivre la DS 21 qui disparait
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au loin. Il reste plus que 2 km et a ce moment, des
lumières rouges illumine mon tableau de bord et un bruit
de claquements se fait entendre, on dirais un moulin a
café. Du cabot s'élève une vapeur blanche. Le moteur
vient de rendu l'âme.
Je sort la vitesse et laisse terminer l'élancé qui nous
place sous le dernier pont, la fin de l'autoroute.
Par cette sortie nous rejoignons a pied Rixheim. En
faisans de l'auto stop on se retrouve a Mulhouse.
Le dimanche matin, je retrouve mon copain Henry
qui habite dans le même bâtiment, pour lui demander de
m'aider a rapatrier la voiture.
D'apprêt sa conclusion, le mieux fut de changer de
moteur que l'on peu trouver dans une casse d'autos, un
5 paliers de préférence.
Je ne per pas de temps et trouve un moteur qui me
revient au prix de 800 francs. L'avantage de ce moteur
c'est qu'il a 5 paliers. Pour le changer pas de problème,
il y a suffisamment de place sous le capot pour qu'une
personne puisse se placer de chaque coté du moteur .
J'ai la chance de pouvoir prendre en charge le toit du
bâtiment militaire de Mulhouse qu'une couverture en
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ardoises d' amiante ciment de 40cm sur 40 cm recouvre.
Comme le solde se fait a la tache je peux y travailler
comme bon me semble. Je propose a mon cousin
Francis c'il me prête un coup de main. Ne refusant pas
nous voila sur les railles d'un chantier imposant. La
couverture en quinconce ne nécessite pas autant de
matérielle qu'une couverte en ardoise a 4 recouvrements.
Pour monter le matérielle nous utilisons une corde a la
quelle nous attachons un sac où sont placé des ardoises .
Cette corde s'enroule sur une poulie qui se bloque a la
fin de chaque effort , un stop frein arrête. La poulie
dépasse de la corniche et surplombe le vide d'un mètre
grâce a une chèvre en bois.
Je suis celui qui tire sur cette épaisse corde pout faire
monter les ardoises nécessaire pour plusieurs journée de
travail. Francis les sorts du seau et les range sur la
corniche.
L'effort fournie demande une bonne résistance car
la corniche du toit se trouve a 25 mètres de hauteur.
L'on s'engage a travailler toute la journée les samedis .
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Pour cela, il fallu demander au lieutenant responsable
de la garde de cette caserne gardé.
Dans cette caserne, il n'y a pas grand monde juste
des rondes de garde qui de temps a autre font un passage.
Un samedi, a la fin de notre travail, nous descendant
dans le couloir par les marches de la caserne. On arrive
a la porte de sortie qui donne dans la coure, et la, elle ne
s'ouvre plus ?
Le changement de gardes l'ont fermé a clé sans tenir
compte de notre présence, nous voila retenu dans le grand
couloir menant sur notre toit. Francis me dit,
- Comment vas on descendre de ce toit qui se trouve
a 25 m de hauteur pour arriver dans le poste de garde ?
- Ne t'en fais Francis , il reste une solution, je descend
avec la corde de chanvre. épaisse qui ne laisse dans la
main plus d'espace.
Je prend la code et me laisse balancer dans le vide, puis,
je me met en position de descente et dis a Francis,
- Je n'utilise que mes mains pour freiner ma descente et
mes pieds resterons a l'extérieur, je fais le paris .
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- Tu crois que tu arrives Jeangie ?
- Oui Francis, il le faut. Puis je retrouve le poste de garde
pour qu'ils nous ouvrent la porte fermer a clé.
Je prend la corde dans mes mains, les pouces ne touchent
aucun doigts, et je me laisse basculer dans le vide. La poulie
crince et le balancement de mon corps suit un mouvement
de vas et vient. Je stabilise celui ci puis je descend lentement.
Les pavées du sol sont petit, si petit qu'ils ont l'air de cailloux.
Je tient mon parie, malgré que mes mains sont brulante,
enfin, je suis a 5 mètres du sol ? J'arrête de déplacer mes
bras car mes muscles se raidisse et continu ma descende rien
qu'en freinant avec me mains. Me voila au sol, mais la peau
de ma paume est brulé . Je tremble de tout mes membres . Je
regarde vers le haut et me rend compte que ce fut une auteur
impressionnante.
Me voila en route vers le poste de garde qui se trouve de
l'autre coté a une distance de plus de 300 m.
Ce chantier ma permis de m acheter le moteur de l' Ariane
dans une auto casse de la région au prix de 800 francs. Francis
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et moi nous le changeons avec l aide de mon voisin.
Nous voila prêt pour de nouvelle escapades.
Nous envisageons de se rendre en Suisse pour rendre visite
a notre tante qui habite prêt du lac de Constance a 300 km.
Nous emmenons un autre copain, Rémi.
Notre tante a le cœur sous la main et notre venu représente
une sorte de réconfort.
Nous voila pare pour une nouvelle aventure. Le moteur tourne
a merveilleusement ce qui nous encourage .
A l'arrivé notre venu fut reçu avec tout les hommages qui sont
de coutume.
Pour passer la nuit notre tante nous plaça sous la charpente, pas
bien haute, du grenier. Les planches, bien raboté, du toit font le
plafond. Une odeur de scierie de sapin laisse ses senteurs, j'aime
cela et me sent bien sous cette voute de bois qui travail en
continue .
Notre venu se remarque dans le voisinage par la
grandeur de la voiture et surtout sa couleur qui correspond
aux voitures et bus de la poste de la Suisse. Les Suissesses nous
appelaient l'Ariane, ( S'pochte vagué lie ) voiturette de la poste.
Cette remarque nous donne une certaine cotation et nous permis
de pouvoir faire des conquêtes. Nous emmenons 3 filles pour
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faire une promenade en direction du lac de Constance. Il y a
Annie Katie, Monica, et Jordie.
Pour y parvenir nous scionnons une route pittoresque qui
traverse des champs, et des forets. Notre enthousiasme de
conducteurs et dragueurs nous mena au sommet d'un
belvédère où un restaurant nous permet d'inviter les filles
pour y consommer un verre de boisson. De cet endroits
nous pouvons voir le lac de Constance a perte de vue. Dans
les champs les paysans fauchaient leur prées et d'autres
ramassaient la coupe des journées passé. Une odeur de
foins nous entourait et nous faisait toussé.
Pour notre retour, notre joie fut comblée en ce qui concerne
les touche de charmeur. Dans les virages la voiture se penche
docilement et retrouve son équilibre aisément.
Cette manière de conduite enchante nos passagères qui
en sont ébloui. Pour moi c'est une fierté de pouvoir les
impressionner. Je descide donc d'augmenter ma vitesse, pour
que le basculement des passagers suit les mouvements de la
voiture.
Quant la volonté d'augmenter les sensations de prend l'envie
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de faire de mieux en mieux, il arrive un moment donné où
je me fait surprendre par un virage en S . L'Ariane soulève
les roues d'un coté et bascule les passagers sur le coté opposé,
puis rapidement en reprenant le virage dans le nouveau sens
les roues se mettent a siffler et soulève la voiture de ce coté
en basculant les occupants . Je terminer le virage en S sur 2
roues tout en faisan siffler les pneus. Je garde mes réflexes
en éveille et cache ma peur acquise.
- Quelle sensation dans les virages que tu as pris , Jean
tu es un bon conducteur capable de pouvoir maîtriser
la voiture sur deux roues.
- Je voulais vous faire voir de quoi je suis capable, vous
avez eu peur les filles ?
- Non mais on a été surprise de la façon que tu as pris
les virages. Félicitation pour cette démonstration.
Les garçons ne disaient rien, comme ci se que je fais
est normal. Pourtant le restant du chemin, je respectais
la limitation de vitesse car cette peur invisible a résonné
mon comportent. Sur le restant du retour, plus personne
ne se ventait en blagues ou autre manière de draguer.
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Souvent, on retourne chez notre tante pour la retrouver
et surtout pour les 3 copines. Nous les emmenons
faire une promenade autour du tour du lac de Constance.
Je stationne l'Ariane pour se promener au centre de la ville
Dans le parc, des promeneurs avec leurs chiens, certains
ont des vélos d'autres des Lanvaux. Au bord du lac il y
a une multitude de mouettes, des bateaux, Dans la ville
une ribambelle de magasins. Pour cette devise, il nous
fallait de l'argent, mais là c'est une autre per de manche.
D'argent, il n'y en avait pas beaucoup et l'on du se
limiter au minimum.
La transparence de l'eau nous pernet de voir les pierres
et poissons du fond, ce qui nous ravie . Toutes les
fontaines ont de l'eau buvable l'on ne sens prive pas.
La couleur bleu clair de cette étendu d'eau ammonisais
avec le paysage qui l'entoure et les chalets en bois.
Après avoir visité la ville, nous envisageons notre retour
et retrouvons le parking où se trouve l'Ariane. Je démarre
puis tente de retrouver la sortie de la ville de Constance.
A peine 2 km de parcourue, la pédale d'accélérateur ne
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répond plus. Nous voila dans de beau traps.
Nous repérons une cabine téléphonique puis contactons
un garage de dépannage qui nous envois un véhicule Rover
destiné au remorquage. L'aimabilité du mécanicien nous
fait comprendre,
- Bonjour les jeunes, je ne répare pas sur place et je vous
emmène dans mon garage, la j'ai ce qu'il faut sous la
main.
L'on se regarde d'un air ahurie et acceptons. Avec une
barre la Rover nous tire jusqu'au garage. Quelques mots
sont échangé dans l'Ariane pendant le trajet car notre
inquiétude sur le financement de cette panne nous
intrigue plus que tout.
Le mécanicien dirige l'Ariane dans l'air de lavage.
La lave aussi bien a l'extérieure qu'au niveau du moteur.
On prend peur de la facture qui suivra. Une bonne demi
heures passe et, dans la salle d'attende, nous rassemblons
l'argent qui se trouve dans nos poches.
Le mécaniciens par chercher des pièces de rechange et
revient 15 minutes plus tard. Il les monte sur l'Ariane puis
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dit d'un air enchanté,
- Votre voiture est réparé , vous pouvez passe chez
la personne qui encaisse.
- Merci monsieur, de votre aimabilité.
Nous somme entrain d'attendre la facture , notre espoir de
pouvoir la payer fragilise nos ambitions.
Il est 18 heures et le garage vas fermer. Le patron du
garage et le mécano se rapproche de nous, avec la facture
dans une main et la clé du véhicule dans l'autre. Ils viennent
a deux ce qui n'est pas bien encourageant. Le mécanicien me
donne les clés de la voiture et me dit,
- Vous pouvez sortir la voiture le garage vas fermer.
Je suis ses indications puis les retrouve. Le patron me dit,
- Voila la facture et passez de bonne vacance.
Je la regarde et stupéfié, je me retrouve avec une somme de
25 Francs Suisse, tous est comprit. J'ai bien plus dans ma
poche et l'ensemble de copines et copains nous retrouvons
notre bien être. Bon, comme Il reste de l'argent, faisons le
plein de carburant.
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Courir apprêt les filles en Suisse devenait couteux, la vie
aussi. Le salaire en ces temps fut de 1100 francs Français
mensuelle. De cette somme je recevait 200 francs d'argent
de poche et le reste mes parents le gardais. Avec ces 200
Francs Français je dois m'acheter mes habilles, payer mes
impôts et les charges de la voiture, rien que pour l'assurance
revenais a 800 Francs Français par an.
Je travaillais tous les samedis en heures supplémentaire
et me les faisais payer a part du salaire mensuelle. Cela me
permet d'avoir 80 Francs Français en main les samedis ou
je travail.
La consommation de carburant devenais couteuse car le
Franc Français ne plote plus aussi bien. Nous envisageons
de faire de l'auto stop pour retrouver notre tante et surtout
les copines de Suisse.
Je ne suis pas fière pour notre première expédition que
je fais avec Francis. Je me sent un peu désœuvré. Ce
samedi la , a 15 heures, a la sortie de Mulhouse, notre
pousse fut en l'air. Pour ne pas rester sur place on marche
tout en levant le pousse a la première voiture qui tente de
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nous dépasser. Certaines remarques des chauffeurs ne nous
encourage en rien au contraire ils nous font des signes
désobligeant.
Au bout de dix minutes, la première voiture s'arrête. Ce
fut une Volvo rouge a 4 portes et immatriculé en Suisse.
Elle nous emmène jusqu'à Zurich en plein centre ville. En
ville, faire du stop ne donne de résultat, nous traversons la
ville a pied en longeant le lac.
La grandeur des habitations et le luxe de l'entourage nos
impression. La renommé de ce quartier de banquiers nous
fait rêver surtout quant des voitures de grosse cylindrée
passent a nos cotées. Mon Ariane peut resté caché.
A la sortie de la ville, au bout de 5 minutes une voiture
américaine, une Chevrolet, nous emmène jusqu'à Vill. Le
conforte et la puissance nous émerveille. Gardons les
pieds sur terre et laissons nos rêves nous emporter. les
personne qui nous sont sympathique et nous échangeons
des réponses a leurs questions .Nous leur faisons comprendre
que nous somme des étudiants et que nous faisons se voyage
pour retrouver notre tante.
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Avec les copines nous envisageons de passer notre journée
de dimanche au bord de l'eau, puis de repartir en auto stop
vers 18 heures.
Cette proposition ne trouve de refus et nous voila a 5
personnes en piquenique. Notre langage d'Alsacien plait aux
filles qui trouvent dans nos expressions une certaine
admiration. Pour notre corpulence sportif il y vas de même
mais cette admiration se partage entre elles et nous car l'on
reste en admiration devant leur corps qui nous charme. Je
retient que leurs cheveux blond et long leur vont a merveille
quant a leur yeux d'un bleu ciel ils centralise un visage de
bonheur. Elles ont tous pour plaire et c'est cette attention
qui nous attire dans leur région. L'excuse de rendre visite a
la tante est une réaction qui permet , lorsque l'on passe la
frontière , je justifier un acte familiale.
L'auto stop fonctionne bien en Suisse et notre aventure
continue toute l'été chaque samedi après midi.
Un samedi, une jeune femme nous emmène dans une
porche 911 , a 3 il n'y eut pas beaucoup de place celui qui
se place sur la banquette arrière se trouve sérer comme une
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sardine. Par contre, chaque fois qu'elle manipule le levier
de vitesse, sa main vient frotter mes pieds. Cette attention
fait monter mes instincts sentimentaux. Mes pensées se
laissent emporter dans une parodie où l'imagination me
donne des ficelles de conquérant. Mais restons sur terre et
apprécions le fait de nous transporter comme une aubaine.
Une autre fois, sur le retour, un couple au grand âge, nous
raconte que leur fille a rejoint le Suède en auto stop et que
pour lui porter chance ils emmènent des autos stoppeurs.
Leurs bonté est sans pareille car ils firent un grand détour
sur leur destination pour nous amener a la frontière de
Saint Louis en France.
Le plus souvent nous arrivons a faire le parcours en 2
heures, sois a l'allé ou au retour. Mais il arriva que nous
dûmes le faire en 6 heures.
Un dimanche, nous décidons de rentrer plus tôt et le
temps maussade en fut la raison. Une voiture nous permet
de traverser Zurich puis de faire du stop a la sortie sur
un axe fréquenté. Nous attendons plus de 20 minutes ce
qui fut rare avec une circulation dance. Le soleil nous
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fait honneur , heureusement.
L'on occupait un emplacement prêt d'un croisement
gérer par des feux tricolore. Un bus d'Anglais marque
l'arrêt car un bouchon les retient.
Remplie de filles de notre âges, elles nous narguaient
durant cette attente. Toutes se mettaient aux vitres pour
nous impressionner et nous parlent en Anglais.
Elles paraissaient sympathique mais notre manque de
communication , car l'on se parlait pas l'Anglais, frêne
la correspondance. On réussie a échanger nos prenons
sans plus. Puis au bout de 10 minutes, enfin les
véhicules reprennent les cadences.
2 minutes plus tard une forte mustang blanche
décapotable nous prend en charge. Le conducteur a le
même âge que moi. Il nous dit,
- La façon donc nous faisions la cour aux filles du bus
Anglais, ma fait rire surtout les gestes qui furent
explicatif aussi bien coté bus que pour vous. Pour
narguer les filles, je vais prendre un raccourci puis
vous déposer un peu plus loin où il y a plus de
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chance pour trouver une voiture qui vous emmènera
sur Bâle.
Son attention nous enchante et il nous fait passer par
de petite route sinueuse jusqu'à un point ou la grande
route permet de se placer pour refaire de l'auto stop.
La un feu tricolore oblige les véhicule de s'arrêter.
Effectivement, le bus Anglais arrive un peu plus tard
marque l'arrêt devant nous. Les filles du bus nous
reconnaissent et nous continuons de les narguer comme
elles l'on fait.
A leur arrivé, notre joie de les contacter fait monter
notre adrénalines.
Septembre fut la , et le fait de faire de l'auto stop ne
nous enchante plus. Les journées sont plus courte et la
chaleur s'en est allé.
Octobre, une nostalgie nous donne des envies de
refaire du stop. Nous voila en route pour Vill un samedi
a 18 heures. La nuit commence par enlacer le jour.
Nous emportons des sacs de couchage au cas ou l'auto
stop ne porte de fruits .
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Nous arrivons a la frontière de Bâle. Les douaniers
nous demandent nos papiers d'identité. Mon cousin ne
l'avait pas sur lui et nous la cherchions dans nos bagages.
21 heures, les douaniers nous font un papier provisoire
pour traverser la Suisse au prix de 5 francs Suisse.
Ce retard ne fut pas un bon signe pour nous car il n'y
a plus grand monde sur les routes.
23 heures 30, un taxi s'arrête.
- Je peux vous emmener jusqu'au village suivant.
- Merci madame, mais nous n'avons pas d'argent prévu
pour prendre le taxi.
- Je ne vous demande rien, c'est sur mon chemin.
La chance nous sourie, nous embarquons via le village
suivant. Cette proposition nous redonne du courage . Sa
sympathie nous soulage a telle point que nous discutons
d'un peu de tous.
Nous voila 10 km plus loin, prêt d'un carrefour qui
longe un parc. Il n'y a plus de circulation de véhicule et
nous optons de dormir dans ce parc sur un banc.
En Suisse, dormir a la belle étoile , en pleine ville, ne
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rentre dans les mœurs ce qui nous met dans une situation
critique. Notre volonté de continuer, réveille en nous de
l'adrénaline capable de surpasser l'interdit. Il y a des
contrôles de polices, mais aucun ne nous a groisé.
L'on envisage de rester ensemble prêt du même banc,
mais, lequel d'entre nous vat dormir sur le banc ?
Pour cela nous décidons de tirer a la coute paille. Me
voila allongé sous le banc.
Le sommeille nous emporte profondément dans nos sac
de couchage.
Dimanche matin, le bruit de la circulation retentie, il
nous réveille en sursaut, il est 5 heures du matin. l'on
se lave la figure a la fontaine puis nous rejoignons la
route le cheveux hérissé . La fraicheur d'un brin de
toilette nous redonne une part de noblesse, celui d'une
propreté .
Un camion Sautair, servant a ramasser le lait, s'arrête .
Après quelques explications il nous prend en charge.
Son volant de direction se trouve a droite, ce qui nous
surprend, car nous occupions la place du chauffeur.
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Le camion nous dépose une heure plus tard puis nous
reprenons la route dans une camionnette remplie de
saucissons fumées.
Le conducteur a environs le même âge que moi, sa
sympathie rime avec notre raison d'être. Comme il
n'y a qu'une place a coté du conducteur, il propose que
l'un d'entre nous se place dans le compartiment où sont
rangé les saucissons. Pour cela, nous façon, comme
pour le banc, tirer a la courte paille. Me voila a coté du
conducteur et Francis se trouve dans le compartiment
des saucissons.
Après l'avoir fait rentrée Francis dans se compartiment
il lui indique où il y a des coussins en toile de jute qui
lui permet de s'assoir. Puis il referme la porte de cette
camionnette.
Durant le voyage, cette odeur de fumée me met l'eau
a la bouche. D'après les explications du conducteur, son
père a une boucherie qui fume les saucissons et qu'il doit
les livrer a une kermesse.
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Je le questionne sur la façon comment ils font leurs
saucisses. Cette attention lui donne de l'importance et
suite a cela, quant nous descendons du véhicule, il nous
offre a chacun une père de saucissons fumée au bois de
hêtre. Mes questions ont porté ses fruits et notre estomac
a eut comble l'envie d'en gouter. l'On se retrouve a 20
hm de Will il est 11 heures.
Un appel téléphonique nous fait part de notre arrivé
et notre tante est prête a nous accueillir. Mais, la chance
ne nous sourie pas, aucune voiture nous prend en Stop.
Durant cette attente, Francis me dit,
- Tu sais Jean, pendant que tu parfais avec le conducteur
je me suis régalé et j'ai avalé 3 saucisses.
Il est 12 heures, une 4 L s'arrête et nous pouvons
continuer notre route. La religions nous porte chance.
Quel long trajet que ce jour là, ce fut le plus long.
A partir de là nos escapade se limite a notre région,
dans les villages voisinant. L'argent de poche avait prix
un sacret coup de grisou ce qui nous obligeais de faire
des restrictions sur pas mal de choses.
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Notre volonté de s'amuser et de draguer ne per pas sa
raison d'être. Nous fréquentions les balles des faites
foraines le samedi soir ou les guinguettes. Pour y
accéder nous devions débourser un prix d'entré et avec
un tampons on nous marquait sur la main comme quoi
que nous pouvons entrer et sortir. La boisson, pas donné
nous imposait d'en consommer le moi possible mais
notre réserve dans la voiture nous permis de se rassasier
comme bon nous semble. Le prix d'une canette fut triplé
par rapport au celui du commerce.
Pour le travail les chantiers en ville ne manquaient
pas, nous prenions notre petit déjeunée dans le cafés de
Mulhouse. Le patron venait avec nous et finançait la
consommation. On profitais de jouer au tiercés pour
tenter de ramasser le pactole. C'est avec l'aide d'un
poinçon que l'on marquait le numéraux du cheval ainsi
que celui de la course.
La chance ne frappais pas a notre porte a part quelques
menu somme qui remettait de l'entrain dans notre jeux.
303
L'hiver montre son caractère et la neige son manteau
blanc. Les intempéries nous privaient de travail et de
revenu. On avais des salaires mais payé en intempéries.
Ce qui diminuait notre revenu du bien 40 %.
Nous attendions le printemps avec attention.
Je pris en charge l'entretient des toitures en tuile plate
de l'hôpital de Mulhouse . Je deviens responsable
d'une équipe pas courageuse pour les efforts et avait un
faible pour la consommation excessive d'alcool. lorsque
je du rendre compte de nos réparations a l'architecte de
l'hôpital celui ci me demande,
- Vous mérité une meilleur équipe que celle ci car vous
savez travailler. Qu'envisagé vous pour votre avenir ?
- Continuer sur cette lancé, j'ai apprit ce métier pour
réparer ou construire des toits monsieur l'architecte.
Cette réflexion me donne de l'importance, il n'a pas
tord cet architecte et je garde de cette réflexion une
directive bien constructive. Je traine des personnes qui
préfèrent la boisson au travail. Je dois les surveiller, les
orienter et leur donne des ordres qu'ils n'acceptent pas.
304
Venu d'un plus jeune qu'eu ne rentre pas dans leur
mœurs, mon autorité per de son estime.
La fin de l'année approche et nous envisageons de
retrouver La tante en Suisse a Will. Pour notre voyage
nous emmenons la maman de Francis. Cette virée se
répète et un second véhicule nous accompagne. C'est
la sœur de Francis avec son mari. Il ont une Simca
1300 . La résolution de son moteur présente une
meilleur performance que l'Ariane.
Le départ se fait et le moral a tout pour plaire.
Notre tante de Suisse en est ravie. Cette escapade
ressemble a l'époque où nous étions 2 familles chez ma
tante et donc j'ai gardé que de bon souvenir.
16 heures, j'ai le devoir de partir en tête , ce qui donne
une responsabilité que j'apprécie. La neige se retrouve
cumulé sur les bas coté car les routes sont dégagé.
Nous serpentons a travers des paysages magnifique
qui sous cette neige paresse fantastique. Dans l'Ariane
la gaité rayonne de satisfaction. Au loin, un feux rouge
clignotant, signale que la barrière du passage a niveau
305
se ferme et qu'un train passe.
Au loin, les lumières de l'autorail scintille entre les
arbres et les maisons. Je prépare mon arrêt et appuis sur
la pétale de frein. La pression de mon pied ne trouve de
répondant . Le train se rapproche rapidement et l'Ariane
ne veux s'arrêter. Je tire sur le frein a main et d'un coup
de volant , je fais une tête a queue pour me retrouver en
sens inverse sur le bas coté.
La Simca 1300 se place a mes coté et nous contrôlons
les niveaux du réservoir des freins, vide ?
Conclusion faite, le circuit de freinage a lâché et toute
l'huile a disparu ?
Je prend le risque de continuer ma route rien qu'avec
le frein a main.
Nous arrivons chez notre tante qui nous accueille la
main sur le coeur. Nous , les jeunes dormions au grenier
sous la charpente . La neige recouvre le toit de bien 50
cm ce qui fait que ce silence nous plonge dans une litanie
où nos songes se mélange a des rêves agréable.
Au petit matin, de noël, du lait chaud nous attend
306
dans 2 pots différant. Dans un des pots, il y a du
chocolats et dans l'autre on y rajoute du café froid
selon nos envies. Des petits pains en forme de boules,
remplissent une corbeille ovale. Tout ce régale se
répartie sur une nappes aux paysages Alpin .
Avant chaque repas, l'ongle nous fait une prière
pour remercier l'anniversaire de se jours et du
repas que nous pouvons prendre ensemble. Pour
lui chaque nouveau jour a le mérite d'être honoré.
Nous ne proposions aucun mot et acceptons son
geste comme un remerciement.
Après le petit déjeuné l'oncle nous raconte des
histoires de montagne des phones et de la flore
qui s'y trouvent. Les couleurs qu'ils émette tiennent
le secret capable de guérison. Il nous ouvre une boite
métallique dans laquelle une multitude de fleures
séché y sont place dans de petit sac de toile de lin.
Sur chaque sac une inscription nous définie son
utilisation médicale.
307
Il nous raconte les périples qu'il a eut lorsqu'il
fit le gardien de vaches en pleine montagne, Ce
passage qu'il nous récite, lui donne une importance
teille que sa satisfaction le rend fière. Je lui posse
une question,
- Ongle Herste pour quelle raison aimes tu avoir
beaucoup de personnes avec toi a Noel ?
- Des textes de la bible, dissent que le partage entre
convives représente un don au Seigneur et que tous
les gens sur terre mérite de fêter ensemble le jour
de Noel.
Nous arrivons au repas du midi. Le plats, composé
de reuchties ( galette de pomme de terre râpé ) cuit
avec du gras d'oie., représente le repas principal. Et
comme boisson une vers de lait fumant.
Par la suite un café servie avec un petit verre de
gentiane.
Puis, il prend sa guitare pour accompagné les
chants de Noel. Nous partageons nos paquets en toute
simplicité avec dans nos cœurs une joie décuplée.
308
La nuit , un froid gèle la neige a telle point que
personne ne tente de placer un pied dans la neige.
Nous, tentons de profiter de cette aubaine pour tester
les capacité de nos véhicules. Sur les pneus, des clous
permette d'accrocher le verglas, du moins ce que nous
pension. Mais , des dérapages permettent de faire
plusieurs figures . Cette façon de manipuler la voiture
nous impressionnent.
Nous décidons de faire une course entre un village
définie puis de revenir le plus vite possible. Les
dérapages sont nombreux et notre intention de gagner
n'a de limite. Mon adversaire a des connaissances en
conduite ce qui m'oblige a augmenter mes réactions .
Cette course fait monter notre adrénaline et , suite a
un dérapage me voila coinsé dans un monticule de neige.
Il n'y a pas possibilité de me dégager, mon avance a
une chance, celle de retrouver mon poursuivant qui
avec une corde pourra me sortir de ce tas de neige.
Pas de poursuivant, on reste bloqué. De toute façon
j'ai perdu pas de doute je reconnais, mais rester là sans
309
bouger rafraichi nos pensées.
Quelques minutes passent puis, 2 personnes sur un
traineau tire par un cheval, arrivent. Elles doivent porter
le lait a la coopérative du village.
Elles s'arrêtent et nous propose de nous tirer de ce
talus de congère. Il n'y a pas de doute, l'instinct du bon
Saint Bernard s'encre dans leur mœurs.
Avec une épaisse corde de lin le cheval nous sort de
ce pétrin.
310
1970
La longueur de l'hiver dépasse les habitues. Les
intempéries durent 3 mois. Le revenu de notre salaire
maigris ce qui nous plonge dans une léthargie financière
sans ristourne.
Janvier se termine, et cette morosité de revenu me pousse
a chercher un autre emplois mieux réénumérée. Mais pour
cela il faut changer de métier. Travailler dans une usine
présente la solution idéale. A Mulhouse, l'usine Peugeot
recrute des ouvriers de fabrications sur machines .
Je fais une demande et rapidement j'obtient satisfaisante.
Je dois passer un teste puis l'on me propose un salaire
horaire de 7, 50 Francs de l'heure, une différance de 2, 40
Francs par heure pour un travail de 45 heures par semaine
avec la possibilité de travailler en équipe.
Il n' y a pas de doute, j'accepte cette proposition et fais
part a mon patron l'intention de le quitter en lui demandant
mes congés.
Cette attention le surprend, il me propose de réajuster mon
salaire a 10 centimes de l'heures en plus de celui que me
311
propose l'usine. Cette proposition ne m'a pas détourné de
l'intention de le quitter .
A partir de l'à, j'ai un salaire mensuel de 1100 Francs qui se
payer a chaque fin de semaine en argent liquide , pour une
somme de 275 Francs.
Pour commencer, je dois travailler de journée a l'essai .
L'horaire consiste de débuter a 7 heures et terminer a 17
heures . Il y a 1 heure non payé pour le repas que l'on peut
prendre dans une cantine. 2 posses de 10 minutes, font partie
du temps de travail.
Je me retrouve dans un laboratoire où aucune fatigue
musculaire se fait sentir en fin de journée. La propreté du lieu
n'a de reproche.
Mon travail consiste a manipuler du cyanure que je verse
dans un grand récipient chauffé a 750 degrés. Dans ce fluide
je trempe certaines petite pièces mécanique pour les rendre
plus résistante, puis je les refroidi dans de l'huile .
Pendant que je suis a mon poste, je peux voir de la fenêtre
la foret de la Hart, où une grande étendu de chênes et de
hêtres et autres arbres de toutes sortes marque ma vue.
312
Durant mon poste, je voie cette foret disparaître par hectare.
Les engins a chenilles poussent les arbres, avec leur racines,
sur un immense tas que des bucherons allument. Les fumées
épaisse montent bien haut dans le ciel. Ces feux durent durant
les 2 mois de ma tenue de poste. L'on me fait comprendre que
l'usine s'agrandi.
Au bout de mes 2 mois d'essais, j'ai la possibilité de changer
de poste et me retrouver dans de la mécanique où je travail en
équipe. Ce travail me permet d'arrondir les fin de mois car une
prime d'équipe remonte mes revenus.
Les impots me réclame le premier versement, avec mes 20
francs par semaine je ne m'en sortait pas. Je fais part de cela
a mes parents et leur propose de ne verser que 800 francs par
mois. Mes revendications ne servent a rien car ils font la
sourde oreille. Je tente de relancer ma proposition la semaine
suivante, elle ne trouve sa raison d'être. Mon père se met en
colère et me fait comprendre que je dois prendre ma valise.
Je le fais sur le champ. Elle ne renferme que peut de chose
car ce fut dans un sachet en plastique que je place dans
l'Ariane .
313
Je fis part de ce malentendu a la maman de Francis qui
est ma tante. Elle me propose de m'héberger sous son toit
malgré son veuvage et qu'elle garde les enfants qui sont
encore sous sont toit. Je lui propose 600 francs par mois
quelle accepte sans hésiter.
La chance trouve mon chemin et une proposition de
travailler en équipe entre en vigueur. Un bus me prend et
me ramène chaque jour.
Le poste consiste a diriger une chaine de ligne de transfert
qui taraude et planifie les boites de vitesse. Me voila monté
de grade je devient un ouvrier spécialisé.
Au son des grincements métallique et des sifflements, les
moteurs électrique tournent a merveille. Ils sont au nombre
de 30 et chaque moteur a une fonction particulière. Le
réglage des outilles nécessite de travailler au 10em prêt.
En changeons les outilles j'utilise des comparateurs. Pour
refroidir les forets, une huile blanche liquide coule sur
chaque foret et se retrouve dans un réservoir d'où une
pompe la remet dans le sicle.
A suivre au 314 11/15
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz.
roman en cour de construction la suite au 11/15
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