Le printemps d'un homme et d'une femme ( roman sentimental 9/10 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
Nous dégustons cette sorte de brioche
avec attention, accompagné d'une gorgé
de Gewurztraminer vendange tardive. Ce
breuvage garde sur mes lèvres le gout de
la grappe et du soleil qui la caressé. Je
n'oubli pas le terroirs d'où il provient car
la démarque de sa fluidité possède les
saveurs velouté des pieds des Vosges.
Ce passage cède place a la suite de notre
conversation,
- Je vous remercie tous pour votre
réception, mais une suite de notre
histoire mérite d’être connu. J'aimera
connaitre l'adresse de Cécile et son
témoignage téléphonique.
- Marc, avant que je te donne l'adresse de
Cécile , tu dois écouter l'enregistrement
que ma mère ma confié, ensuite sellons
ton jugement je te donnera son adresse.
pressé excuse moi. Serait il possible
que j'écoute cette enregistrement chez
moi pour ne pas vous importuner.
- Oui Marc, cette initiative est bonne je te
donne une copie de l'enregistrement
recopié sur un CD. Par la suite je
contacterais Cécile pour lui demander
ci elle accepte que je lui donne son
adresse.
- Je suis de ton avis Véronique et d'après
les donnés que Cécile a évoquées je
donnerais suite sur mes intentions.
Je vous remercie tous de m'avoir reçu
avec honneur. Même le chien m'a
accueilli avec respect la preuve il me
suit partout.
Je rejoins la voiture et Véronique
m'accompagne. On se fais une dernière
bise. En les quittant je ressent une nostalgie
le témoignage de Cécile. Sur le chemin du
retour, aucune possibilité d'écouter le CD
dans la voiture, il faut que le l'écoute chez
moi sur mon ordinateur.
Le chemin sillonne a travers les sous bois
du Sundgau, je pense a l'enregistrement .
Je suis persuadé que le témoignage de
Cécile n'est pas contradictoire a celui que
j'ai donné a Véronique notre fille, car elle
ne m'aurais pas reçu aussi aimablement.
Cette réponse je peux la connaitre ce soir,
j'ai hâte de rentrer.
Arrivé chez moi, je ne parle pas grand
chose avec mes proches et j'attend le soir
pour écouter l'enregistrement. Le premier
son est,
- Une sonnerie, puis une autre, et une
autre,
- Allô qui est au bout ?
notaire de Ferrette et je suis née en
avril 1971.
Un temps mort se fait, plus de son,
Véronique dit,
- Allô vous êtes encore la ?
Une voix de femme un peu saccadé dit ,
- Mais je ne connais pas de Véronique
notaire a Ferrette ?
- Ferrette vous dit quelque chose Cécile ?
- Bien sur que je connais Ferrette j'y ai
passé mon adolescence.
- Et de l'orphelinat de Ferrette avez vous
des souvenirs ?
- Oui madame la notaire.
- Et de Stéphanie, vous souvenez vous
d'elle ?
- Oui madame, c'était ma meilleur amie
et je n'ais plus de nouvelle d'elle.
- C'est grâce a Stéphanie , votre amie
emmené, lorsqu'elle eut fugué,
toutes les adresses des filles mère de
l'orphelinat qui durent laisser sous X
leurs enfants ainsi que les noms des
familles qui adoptèrent un enfant.
Comme ces nouveaux née n'ont de
prénom ni de nom, les familles les
baissaient a la naissance le jour même
de l'abandons. Tous cela conseillé par
les bonnes sœurs de la DDASS. C'est
le notaire de Ferrette qui m'a donné mon
prénom et plus tard son nom de famille
en m'adoptant.
Un vide se fait puis Cécile dit,
- Je n’en reviens pas, est ce possible que
l'on ma retrouvé , les bonnes sœurs
m'eurent dit que tous sera oublié car il
ne restera plus de trace de l'origine de
l'enfant classé sous X.
- Oui madame Véronique, cela fait
longtemps que Marc ne vie plus, il est
mort en 1970 suite a un accident de
voiture, mon frère et ma belle sœur me
l'on confirmé.
- Non Cécile, Marc n'est pas mort, il est
marié et père de deux enfants.
- Je suis sur une autre planète madame
Véronique, comment est ce possible de
retrouver ses parents, est ce un rêve ou
une arnaque en forme de chantage ?
- Je pensais la même chose Cécile quant
Stéphanie nous a fait part de sa
découverte. Elle a réussi de nous trouver
tous grâce a mon ADN, et est revenu du
Texas, deux mois plus tard pour nous
informer de sa découverte.
- Je bafouille et suis un peu désemparé
madame Véronique, je ne sais plus sur
- Non Cécile c'est la vérité, j'ai contacté
mon père Marc, il fut ravie de savoir
que je suis vivante et aimerait avoir de
tes nouvelles ainsi que ton adresse.
Votre séparation lui eut fait beaucoup de
tord. Il n'a jamais oublié notre amour.
- Véronique, je reconnais que notre amour
fut sincère et grandiose, magique et
magnifique. On a passé de bon moment
ensemble malgré que des obstacles
limitaient notre union. Les interdictions
que nous imposaient les bonnes sœurs
de la DDASS donnaient un cachet a notre
amour, car quant je pouvais contourner
leurs indications je fus satisfaite comme
le firent toutes les filles de l'orphelinat.
Chacune réveillait aux autres les ébats
amoureux en étant de sortie ce qui eut
amplifié nos envies. Certaines filles
vantaient. Elles ne ressentaient aucune
attache a leur rencontre. Je fus la seule
qui accordait mes sentiments a une
personne, Marc. Et nos intentions de se
marier furent sincère.
Cécile fit une pause puis reprit,
- Je perdis contacte avec Marc a partir du
moment où les sœurs ont apprissent que
je portais un enfant. Le médecin de Ferrette
monsieur Miller leur fit part de mon état de
grossesse. A partir de la je dus quitter
l'orphelinat rapidement. J'ai réussie a écrire
deux lettres que j'eu remis a Stéphanie pour
qu'elle les envoi, une pour mon frère et
l'autre aux parents de Marc. Dans les
lettres je leur indique où je suis envoyé,
une maison familiale a Saint Louis en
Alsace. Personne ne ma répondu, je fut
triste et dépourvu de repère. Cette perte
que la famille d'accueille m'a soutenue. Les
bonnes sœurs eurent donné comme
consigne que je dois resté confiné chez
eux sans avoir de contacte avec l'extérieur.
Une sorte de prison familiale. Les suivies
médicaux se déroulaient a l’hôpital de Saint
Louis jusqu’à la naissance de l'enfant. Mon
inquiétude de devoir accoucher seule sans
le soutient d'un proche me démoralisait
plus que tout. En plus de cela, les bonnes
sœurs vinrent régulièrement me rendre
visite et me faire comprendre que c'est un
enfant sans parent et qu'il faudra le placer
sous X. Je n'avais de soutient que la famille
d'accueille qui m'eut dorloté avec les plus
grandes attention, je les remercie et leur
suis reconnaissante a ce jour. Une future
maman laissé a l'abandon cherche par tous
les moyens de trouver une attache
famille qui m'a délaissé. Quant ce fut le
moment d’accoucher, la femme, madame
Bernard, de la maison d’accueil m'a
accompagné dans la salle d’accouchement.
Elle eut soutenu mon travail jusqu’à la fin.
Sa présence fit de moi une personne
importante car madame Bernard m'eut
considéré comme une femme mère. Cette
étape se termina avec l' effacement des
douleurs quant ont me dit que l'enfant est
une fille en bonne santé. Je refusais de la
prendre dans mes bras car comme il fut
convenu avec les bonnes sœurs de la
DDASS, qu'il ne fallu pas la prendre dans
les bras pour ne plus avoir d'attache. Ce
donc je me souvient, c'est que les bonnes
sœurs l'on bâtisse dans les minutes qui
suivent. Quelques jours après, comme je
fut majeur, une lettre de mon frère me fit
mariage avec un de mes cousins Kabyle
et que mon mariage se fera dans le Sud
de la France. Cette une bonne action que
je fais car le cousin pourra obtenir la double
nationalité, Française et Algérienne. En plus
il ne sera pas obligé de faire l'armée en
Algérie et en France non plus. Je quittais
la famille d'accueil de Saint Louis avec
peine car elle m'eut partagé son amour. Je
me suis pas rendu compte que la région
d'Alsace est ci belle.
Le téléphone marque un arrêt.
- Allô Cécile, tu es encore là ?
- Oui véronique, je n'en reviens pas que ma
fille que j'ai bannie me téléphone.
- C'est pareille pour moi Cécile, je savais que je
suis adopté mais ne croyais pas que je
suis orpheline car dans mon cœur et mes
pensées trottent des ondes qui recherchent
n’existe pas. Quant Stéphanie ma donné vos
adresses je fus choqué sur le moment, il ma
fallu un grand courage pour vous contacter.
Ce sont mes parents adoptif qui ont soutenu
et encouragé mes démarches. Votre
témoignage m'a fait le plus grand bien.
Continue de raconter Cécile, j'aime entendre
la voix de ma mère comme celui de Marc mon
vrais père, ce sont des ondes positives.
- Ce que tu vient de me dire Véronique me donne
réconforte plus que tout. Je continue la suite
des obligations que l'on ma instauré. Le jour
du mariage avec mon cousin, Youssef, se passa
dans la communauté maghrébine d'une ville du
Sud de la France . Comme leur coutume l’oblige,
je fis comme les bonnes sœurs nous ont
expliqué et j'eus calculé le moment précis où
je me trouve dans les derniers jours de mes
règles pour qu'une trace de sang souille les
Youssef exclamèrent leur témoignage sous des
cries de joie en exposant les draps souillé. C'est
une preuve que se sont nos premiers rapports.
La mère de mon mari Youssef passa dans toute
les salles pour que les femmes et les hommes
ont la preuve de nos engagements. Je ne fus pas
fière et cacha la vérité sous une fausse joie. Les
festivités duraient trois jours.
Un vide se fit, le téléphone se tu. Véronique ne
trouble pas ce vide qui certainement doit permettre
a Cécile de récupérer en courage suite aux
émotions qu'elle eut subit en s’exprimant.
- Allô Cécile es tu là ?
- Oui Véronique, je suis là, je prend un verre
d'eau.
- Je viens de me rendre compte que certainement
a ta place j'en aurais fait au-temps , Cécile
aimerais tu connaitre ce qui c'est passé après
ma naissance ?
abandonné mais en écoutant ton histoire je
rattrape se vide qui ma fragilisé car souvent
la nuit je pensais a toi et te souhaitais le plus
grand bien.
- Ce que je te raconte Cécile, ce sont mes parents
adoptif qui me l'ont dit. Le jour de ma naissance
ils se sont déplacé a l’hôpital de Saint Louis en
Alsace pour venir me voir. Le service médicale
leur ont dit que c'est la première fois qu'un
aussi beau bébé reste sage. Ma grandeur de
48 cm et un poids de 3 kg 500 correspond a
la taille d'un enfant normal. Mes parents adoptif
furent ravie ils retrouvais dans la vie de couple
un renouveau. Enfin, ils ont un bébé et une fille
radieuse en plus. Mais je du rester une semaine
de plus que les autres enfants pour attendre
la décision de la DDASS . C'est un protocole
obligatoire. Tous les jours Marguerite ma
maman adoptif me rendit visite. La présence
Toutes les possibilités pour me montrer leur
affection suivait le droit chemin. J'eu une
belle chambre, des peluches, des jouais a
volonté, des copines et copains a n'en plus
compter. C'est a l'âge de 11 ans que je me
demandais pour quelle raison je ne porte
pas leur nom de famille? Cella m’intrigua,
- Maman Marguerite, pour quelle raison mon
nom de famille n'est pas le même ?
- Comme nous te l'avons dit de tout temps
tu es une enfant adopté ce n'est qu'a 18 ans
que tu pourras porter notre nom de famille
ci tu le veux. Alors tu seras notre héritière.
- Mais maman Marguerite que sont devenu
mes parents sont ils encore vivant ?
- Nous ne savons pas c'ils sont encore en
vie Véronique et ce qu'ils sont devenu. Le
service de la DDASS ne nous donne
aucune information a leur sujet.
ce manque de contacte réveille mes rêves. Des
engouasses saccagent mes nuits, je me
réveille plusieurs fois. Ce comportement eut
intrigué mes parents adoptif, eux aussi ne se
sentaient pas bien dans leur pensées. Je reçu
comme compagne une chienne au poils long
un berger d'Ecosse. Cette présence m'eut
soulagé, quelques temps. Puis revient cette onde
d'engouasse qui saccageait mes nuits. Pourtant
la chienne dormait au bas de mon lit sur un tapie.
Arrive l'âge de mon anniversaire de mes dix huit
ans. J'ai ma majorité. Mes parents adoptif me
posèrent cette question,
- Véronique veux tu que nous t'adoptons et que
tu portes notre nom de Famille ?
- Qui je le veux sans hésitation, maman Marguerite
et papa Serge, je ne connais que vous et c'est
vous deux qui m'apprirent et donné ce que j'ai
autour de moi.
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Nous dégustons cette sorte de brioche
avec attention, accompagné d'une gorgé
de Gewurztraminer vendange tardive. Ce
breuvage garde sur mes lèvres le gout de
la grappe et du soleil qui la caressé. Je
n'oubli pas le terroirs d'où il provient car
la démarque de sa fluidité possède les
saveurs velouté des pieds des Vosges.
Ce passage cède place a la suite de notre
conversation,
- Je vous remercie tous pour votre
réception, mais une suite de notre
histoire mérite d’être connu. J'aimera
connaitre l'adresse de Cécile et son
témoignage téléphonique.
- Marc, avant que je te donne l'adresse de
Cécile , tu dois écouter l'enregistrement
que ma mère ma confié, ensuite sellons
ton jugement je te donnera son adresse.
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- Oui c'est vrais Véronique, je suis un peupressé excuse moi. Serait il possible
que j'écoute cette enregistrement chez
moi pour ne pas vous importuner.
- Oui Marc, cette initiative est bonne je te
donne une copie de l'enregistrement
recopié sur un CD. Par la suite je
contacterais Cécile pour lui demander
ci elle accepte que je lui donne son
adresse.
- Je suis de ton avis Véronique et d'après
les donnés que Cécile a évoquées je
donnerais suite sur mes intentions.
Je vous remercie tous de m'avoir reçu
avec honneur. Même le chien m'a
accueilli avec respect la preuve il me
suit partout.
Je rejoins la voiture et Véronique
m'accompagne. On se fais une dernière
bise. En les quittant je ressent une nostalgie
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de les revoir au plus vite après avoir écoutéle témoignage de Cécile. Sur le chemin du
retour, aucune possibilité d'écouter le CD
dans la voiture, il faut que le l'écoute chez
moi sur mon ordinateur.
Le chemin sillonne a travers les sous bois
du Sundgau, je pense a l'enregistrement .
Je suis persuadé que le témoignage de
Cécile n'est pas contradictoire a celui que
j'ai donné a Véronique notre fille, car elle
ne m'aurais pas reçu aussi aimablement.
Cette réponse je peux la connaitre ce soir,
j'ai hâte de rentrer.
Arrivé chez moi, je ne parle pas grand
chose avec mes proches et j'attend le soir
pour écouter l'enregistrement. Le premier
son est,
- Une sonnerie, puis une autre, et une
autre,
- Allô qui est au bout ?
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- Bonjour Cécile, je suis Véronique lenotaire de Ferrette et je suis née en
avril 1971.
Un temps mort se fait, plus de son,
Véronique dit,
- Allô vous êtes encore la ?
Une voix de femme un peu saccadé dit ,
- Mais je ne connais pas de Véronique
notaire a Ferrette ?
- Ferrette vous dit quelque chose Cécile ?
- Bien sur que je connais Ferrette j'y ai
passé mon adolescence.
- Et de l'orphelinat de Ferrette avez vous
des souvenirs ?
- Oui madame la notaire.
- Et de Stéphanie, vous souvenez vous
d'elle ?
- Oui madame, c'était ma meilleur amie
et je n'ais plus de nouvelle d'elle.
- C'est grâce a Stéphanie , votre amie
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que je vous retrouve car elle eutemmené, lorsqu'elle eut fugué,
toutes les adresses des filles mère de
l'orphelinat qui durent laisser sous X
leurs enfants ainsi que les noms des
familles qui adoptèrent un enfant.
Comme ces nouveaux née n'ont de
prénom ni de nom, les familles les
baissaient a la naissance le jour même
de l'abandons. Tous cela conseillé par
les bonnes sœurs de la DDASS. C'est
le notaire de Ferrette qui m'a donné mon
prénom et plus tard son nom de famille
en m'adoptant.
Un vide se fait puis Cécile dit,
- Je n’en reviens pas, est ce possible que
l'on ma retrouvé , les bonnes sœurs
m'eurent dit que tous sera oublié car il
ne restera plus de trace de l'origine de
l'enfant classé sous X.
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- Marc vous dit quelque chose Cécile ?- Oui madame Véronique, cela fait
longtemps que Marc ne vie plus, il est
mort en 1970 suite a un accident de
voiture, mon frère et ma belle sœur me
l'on confirmé.
- Non Cécile, Marc n'est pas mort, il est
marié et père de deux enfants.
- Je suis sur une autre planète madame
Véronique, comment est ce possible de
retrouver ses parents, est ce un rêve ou
une arnaque en forme de chantage ?
- Je pensais la même chose Cécile quant
Stéphanie nous a fait part de sa
découverte. Elle a réussi de nous trouver
tous grâce a mon ADN, et est revenu du
Texas, deux mois plus tard pour nous
informer de sa découverte.
- Je bafouille et suis un peu désemparé
madame Véronique, je ne sais plus sur
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quel pied danser.- Non Cécile c'est la vérité, j'ai contacté
mon père Marc, il fut ravie de savoir
que je suis vivante et aimerait avoir de
tes nouvelles ainsi que ton adresse.
Votre séparation lui eut fait beaucoup de
tord. Il n'a jamais oublié notre amour.
- Véronique, je reconnais que notre amour
fut sincère et grandiose, magique et
magnifique. On a passé de bon moment
ensemble malgré que des obstacles
limitaient notre union. Les interdictions
que nous imposaient les bonnes sœurs
de la DDASS donnaient un cachet a notre
amour, car quant je pouvais contourner
leurs indications je fus satisfaite comme
le firent toutes les filles de l'orphelinat.
Chacune réveillait aux autres les ébats
amoureux en étant de sortie ce qui eut
amplifié nos envies. Certaines filles
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sortaient avec plusieurs hommes et s'envantaient. Elles ne ressentaient aucune
attache a leur rencontre. Je fus la seule
qui accordait mes sentiments a une
personne, Marc. Et nos intentions de se
marier furent sincère.
Cécile fit une pause puis reprit,
- Je perdis contacte avec Marc a partir du
moment où les sœurs ont apprissent que
je portais un enfant. Le médecin de Ferrette
monsieur Miller leur fit part de mon état de
grossesse. A partir de la je dus quitter
l'orphelinat rapidement. J'ai réussie a écrire
deux lettres que j'eu remis a Stéphanie pour
qu'elle les envoi, une pour mon frère et
l'autre aux parents de Marc. Dans les
lettres je leur indique où je suis envoyé,
une maison familiale a Saint Louis en
Alsace. Personne ne ma répondu, je fut
triste et dépourvu de repère. Cette perte
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de contacte ma déprimé, heureusementque la famille d'accueille m'a soutenue. Les
bonnes sœurs eurent donné comme
consigne que je dois resté confiné chez
eux sans avoir de contacte avec l'extérieur.
Une sorte de prison familiale. Les suivies
médicaux se déroulaient a l’hôpital de Saint
Louis jusqu’à la naissance de l'enfant. Mon
inquiétude de devoir accoucher seule sans
le soutient d'un proche me démoralisait
plus que tout. En plus de cela, les bonnes
sœurs vinrent régulièrement me rendre
visite et me faire comprendre que c'est un
enfant sans parent et qu'il faudra le placer
sous X. Je n'avais de soutient que la famille
d'accueille qui m'eut dorloté avec les plus
grandes attention, je les remercie et leur
suis reconnaissante a ce jour. Une future
maman laissé a l'abandon cherche par tous
les moyens de trouver une attache
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sentimentale. J'ai perdu confiance a mafamille qui m'a délaissé. Quant ce fut le
moment d’accoucher, la femme, madame
Bernard, de la maison d’accueil m'a
accompagné dans la salle d’accouchement.
Elle eut soutenu mon travail jusqu’à la fin.
Sa présence fit de moi une personne
importante car madame Bernard m'eut
considéré comme une femme mère. Cette
étape se termina avec l' effacement des
douleurs quant ont me dit que l'enfant est
une fille en bonne santé. Je refusais de la
prendre dans mes bras car comme il fut
convenu avec les bonnes sœurs de la
DDASS, qu'il ne fallu pas la prendre dans
les bras pour ne plus avoir d'attache. Ce
donc je me souvient, c'est que les bonnes
sœurs l'on bâtisse dans les minutes qui
suivent. Quelques jours après, comme je
fut majeur, une lettre de mon frère me fit
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comprendre que je suis promu pour unmariage avec un de mes cousins Kabyle
et que mon mariage se fera dans le Sud
de la France. Cette une bonne action que
je fais car le cousin pourra obtenir la double
nationalité, Française et Algérienne. En plus
il ne sera pas obligé de faire l'armée en
Algérie et en France non plus. Je quittais
la famille d'accueil de Saint Louis avec
peine car elle m'eut partagé son amour. Je
me suis pas rendu compte que la région
d'Alsace est ci belle.
Le téléphone marque un arrêt.
- Allô Cécile, tu es encore là ?
- Oui véronique, je n'en reviens pas que ma
fille que j'ai bannie me téléphone.
- C'est pareille pour moi Cécile, je savais que je
suis adopté mais ne croyais pas que je
suis orpheline car dans mon cœur et mes
pensées trottent des ondes qui recherchent
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la vérité. Etre un enfant de nul part celan’existe pas. Quant Stéphanie ma donné vos
adresses je fus choqué sur le moment, il ma
fallu un grand courage pour vous contacter.
Ce sont mes parents adoptif qui ont soutenu
et encouragé mes démarches. Votre
témoignage m'a fait le plus grand bien.
Continue de raconter Cécile, j'aime entendre
la voix de ma mère comme celui de Marc mon
vrais père, ce sont des ondes positives.
- Ce que tu vient de me dire Véronique me donne
réconforte plus que tout. Je continue la suite
des obligations que l'on ma instauré. Le jour
du mariage avec mon cousin, Youssef, se passa
dans la communauté maghrébine d'une ville du
Sud de la France . Comme leur coutume l’oblige,
je fis comme les bonnes sœurs nous ont
expliqué et j'eus calculé le moment précis où
je me trouve dans les derniers jours de mes
règles pour qu'une trace de sang souille les
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draps blanc du lit. Les tantes et la mère deYoussef exclamèrent leur témoignage sous des
cries de joie en exposant les draps souillé. C'est
une preuve que se sont nos premiers rapports.
La mère de mon mari Youssef passa dans toute
les salles pour que les femmes et les hommes
ont la preuve de nos engagements. Je ne fus pas
fière et cacha la vérité sous une fausse joie. Les
festivités duraient trois jours.
Un vide se fit, le téléphone se tu. Véronique ne
trouble pas ce vide qui certainement doit permettre
a Cécile de récupérer en courage suite aux
émotions qu'elle eut subit en s’exprimant.
- Allô Cécile es tu là ?
- Oui Véronique, je suis là, je prend un verre
d'eau.
- Je viens de me rendre compte que certainement
a ta place j'en aurais fait au-temps , Cécile
aimerais tu connaitre ce qui c'est passé après
ma naissance ?
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- Oui Véronique je m'en veux de t'avoirabandonné mais en écoutant ton histoire je
rattrape se vide qui ma fragilisé car souvent
la nuit je pensais a toi et te souhaitais le plus
grand bien.
- Ce que je te raconte Cécile, ce sont mes parents
adoptif qui me l'ont dit. Le jour de ma naissance
ils se sont déplacé a l’hôpital de Saint Louis en
Alsace pour venir me voir. Le service médicale
leur ont dit que c'est la première fois qu'un
aussi beau bébé reste sage. Ma grandeur de
48 cm et un poids de 3 kg 500 correspond a
la taille d'un enfant normal. Mes parents adoptif
furent ravie ils retrouvais dans la vie de couple
un renouveau. Enfin, ils ont un bébé et une fille
radieuse en plus. Mais je du rester une semaine
de plus que les autres enfants pour attendre
la décision de la DDASS . C'est un protocole
obligatoire. Tous les jours Marguerite ma
maman adoptif me rendit visite. La présence
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maternel et paternel m'entoure avec amour.Toutes les possibilités pour me montrer leur
affection suivait le droit chemin. J'eu une
belle chambre, des peluches, des jouais a
volonté, des copines et copains a n'en plus
compter. C'est a l'âge de 11 ans que je me
demandais pour quelle raison je ne porte
pas leur nom de famille? Cella m’intrigua,
- Maman Marguerite, pour quelle raison mon
nom de famille n'est pas le même ?
- Comme nous te l'avons dit de tout temps
tu es une enfant adopté ce n'est qu'a 18 ans
que tu pourras porter notre nom de famille
ci tu le veux. Alors tu seras notre héritière.
- Mais maman Marguerite que sont devenu
mes parents sont ils encore vivant ?
- Nous ne savons pas c'ils sont encore en
vie Véronique et ce qu'ils sont devenu. Le
service de la DDASS ne nous donne
aucune information a leur sujet.
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Les journées passent et de temps a autrece manque de contacte réveille mes rêves. Des
engouasses saccagent mes nuits, je me
réveille plusieurs fois. Ce comportement eut
intrigué mes parents adoptif, eux aussi ne se
sentaient pas bien dans leur pensées. Je reçu
comme compagne une chienne au poils long
un berger d'Ecosse. Cette présence m'eut
soulagé, quelques temps. Puis revient cette onde
d'engouasse qui saccageait mes nuits. Pourtant
la chienne dormait au bas de mon lit sur un tapie.
Arrive l'âge de mon anniversaire de mes dix huit
ans. J'ai ma majorité. Mes parents adoptif me
posèrent cette question,
- Véronique veux tu que nous t'adoptons et que
tu portes notre nom de Famille ?
- Qui je le veux sans hésitation, maman Marguerite
et papa Serge, je ne connais que vous et c'est
vous deux qui m'apprirent et donné ce que j'ai
autour de moi.
137
A partir de mes dix huit ans je changeais denom de famille et continuais mes études. A ma
formation j'ai rencontré un garçon, notre fidélité
nous a unie pour le meilleur et le pire. J'ai deux
enfants, en premier une fille de 18 ans et un
garçon de 15 ans. Notre vie Familiale possèdent
tous les atouts d'une vie heureuse. Puis un
jour mes parents eurent la visite de Stéphanie
qui fut a la recherche de sa meilleur amie, toi
Cécile. C'est a partir de la que nous lui autorisons
d'engager des recherches. En premier je contacte
Marc qui m'a permis d'enregistrer ses souvenirs
et me faire comprendre que je suis née d'une
volonté sentimentale. J'aimerais te demander
Cécile, ci je peux donner ton adresse a Marc ?
Il aimerais te contacter Cécile.
- Il faut que je fasse attention Véronique, car
mon mari Youssef ne sais pas que j'ai une
fille et que je te téléphone, il est très jaloux.
suite au 10/10
Le roman est en cour de construction, des changements
peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
La ville de Ferrette existe dans une région de l'Alsace
appelé Sundgau, l'histoire est prise sur de faits passés
sans vouloir toucher les habitants de Ferrette, ce n'est
que de l'imagination. Petite anecdote, ce sont les
lutins de la grotte de Ferrette qui mon raconté l'Histoire.
formation j'ai rencontré un garçon, notre fidélité
nous a unie pour le meilleur et le pire. J'ai deux
enfants, en premier une fille de 18 ans et un
garçon de 15 ans. Notre vie Familiale possèdent
tous les atouts d'une vie heureuse. Puis un
jour mes parents eurent la visite de Stéphanie
qui fut a la recherche de sa meilleur amie, toi
Cécile. C'est a partir de la que nous lui autorisons
d'engager des recherches. En premier je contacte
Marc qui m'a permis d'enregistrer ses souvenirs
et me faire comprendre que je suis née d'une
volonté sentimentale. J'aimerais te demander
Cécile, ci je peux donner ton adresse a Marc ?
Il aimerais te contacter Cécile.
- Il faut que je fasse attention Véronique, car
mon mari Youssef ne sais pas que j'ai une
fille et que je te téléphone, il est très jaloux.
suite au 10/10
Le roman est en cour de construction, des changements
peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
La ville de Ferrette existe dans une région de l'Alsace
appelé Sundgau, l'histoire est prise sur de faits passés
sans vouloir toucher les habitants de Ferrette, ce n'est
que de l'imagination. Petite anecdote, ce sont les
lutins de la grotte de Ferrette qui mon raconté l'Histoire.
A ce jour, 18 08 2024, se sont 200 535 lecteurs .
A ce jour, 11 01 2025, se sont 203 750 lecteurs.
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