Le printemps d'un homme et d'une femme ( roman sentimental 3/10 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
mots et des signes d'affections ; Hammed
vient retrouver notre voiture.
- Les amoureux, les brochettes sont
prêtent.
Exprime t'il a basse voix
- J'arrive Hammed.
Je sort de la voiture et l’accompagne, il
me dis sur le chemin,
- Marc tu as bon goût en plus elle est
jolie.
- Merci Hammed pour tes compliments.
Les pochettes sont dans le récipient
qu'ont a apporté ?
- Oui comme convenu. Je te donne un
paquet de chips grande taille sans sel
- Oui Hammed.
retrouve Cécile. Sans perdre de temps
nous retournons chez ma sœur.
La table est préparé, et nous passons
un agréable dimanche. Un peut vite mais
avec de l'évolution.
Je la raccompagne a la gare de Mulhouse
et la regarde partir. Une onde de nostalgie
m'envahis et me rend triste.
Cette semaine de travail, me parut
longue, le fait de penser a elle me perturbe.
Enfin, le samedi matin a 10 heure je peux
la retrouve a la gare de Mulhouse.
Au courant de la semaine, j'ai mis en
place un programme permettant de visiter
certain endroit de Mulhouse. Je suis fière
de ma ville et la faire découvrir a d'autres
me comble.
Mon beau frère me fait confiance , je peux
la cherche seul comme un grand amoureux.
Ma joie est immense a telle point que mon
regarde devant le reflet des vitrines pour
rectifie mes vêtements.
Il reste 10 minutes jusqu’à l'arrivé du train
qui provient d'Altkirch. Cécile n'est pas tenu
au courant que je la recherche seul. Une
double joie avec cette surprise.
Le train arrive a l'heure, Cécile avance vers
moi a grand pas. Sans tarder on s'embrasse
longuement. La patience d'attendre l'autre
multiplie les germes de l'amour. S'aimer
fructifie la volonté de se revoir pour se
chouchouter. Tous les voyageurs ont quitté
la halle d'arrivé. Nous nous tenon encore
dans nos bras enlacé. Quant on aime, on
ne fait attention au temps qui passe, le
présent n'a pas d’espace. Puis, on
commence a se parler quelques mots de
compliment. Ensuite je propose a Cécile,
- Cécile j'ai une surprise pour toi, avec
zoo de Mulhouse. Il se trouve pas loin
de la gare qu'en penses tu de ma
proposition ?
- Je ne connais pas le zoo de Mulhouse,
t'on idée Marc est bonne, je suis prête
et d'’accord pour le découvrir.
Fièrement je porte son sac et nous
traversons la gare comme un couple
heureux de s'aimer.
A l'entrée du zoo je passe en premier
parmi les fleurs aux plusieurs senteurs.
Leur parfum nous enivre, serais se ça
qui nous attire l'un a l'autre ou la beauté
des fleurs ?
Nous continuons de nous promener
jusqu’à un banc où nos corps se frottent
l'un a l'autre. Le samedi matin il y a peu
de visiteur, au zoo nous somme presque
seul.
je demande a Cécile,
- Que penses tu de ce zoo Cécile ?
- Magnifique, tu as eu une bonne idée
pour me faire découvrir cet endroit.
Notre becté sentimentale ressemble au
comportement de ces oiseaux qui se
nourrissent enchanté de se breuvage de
fruits.
de ma sœur où notre appétit sentimentale
s'égare avec un repas copieux.
Quant l'amour prend racine, il cultive des
besoins qui effacent l’appétit. N'est ce pas
cette manne de bonheur qui comble nos
cœurs ?
Il est 16 heures, ma sœurs et mon beau
frère doivent faire des achats en ville.
Nous disposons de l'appartement. Cette
acte est une aubaine pour Cécile et moi.
Etre ensemble sous le regard rien que de
nous deux cultive une conspiration. Les
interdictions et les recommandations
sont dans les oubliettes. L'avenir sera
notre juge.
La lumière éclaire l'appartement ce qui
rend nos intentions visible de l'extérieur.
Qui sais, dés on dit pourrais dénoncer
notre relation auprès des bonne sœurs.
prend place sur le canapé. Nos caresses
et nos sentiments nous engagent
instinctivement vers des actes inconnu.
- Cécile as tu déjà fait l'amour ?
- Non Marc et toi ?
- Jamais.
- Tu en aurais envie Marc ?
- Oui Cécile.
- Marc cela fais que 3 fin de semaines
que nous nous connaissons n'est ce
pas un peu trots tôt ?
- C'est mon instinct qui demande cette
relation, tu dois aussi ressentir se
besoin Cécile, n'est ce pas ?
- Le besoin de faire l'amour active des
sensations qui risquent que je me
laisser entraîner par toi. Il me reste
10 mois jusqu’à ce que j'ai le droit et
pour toi 22 mois jusqu’à notre
patienter encore un peu Marc ? Les
bonnes sœurs m'ont mis en garde,
ci je fais l'amour avec un homme je
me retrouve dans une maison de
correction.
- Tu as raison Cécile, on se limiter a
des caresses ça les bonnes sœurs
ne remarquerons pas.
- Restons en là Marc, des caresses
sur nos corps pas plus.
Le vas et vient de nos mains se déplacent
sur nos corps nue. Ces mouvements nous
font plaisir, et nous étourdis plus que tous.
Se retenir demande une volonté pour ne
pas se laisser emporter par le besoin de
se mélanger.
Le temps passe vite, ma sœur et Pierrot
sont de retour. Heureusement que la porte
est fermé a clé. On se rhabille rapidement.
- Oui Pierrot le soleil reflète sur la télé,
on a fermé les volets pour cette raison.
- Ce soir on fait des crêpes, qu'en pensez
vous ?
- C'est une bonne idée, mais il faut
préparer la pâte en avance Pierrot, la
tu fais ?
- Ce matin Cécile elle est dans le
réfrigérateur.
Chacun d'entre nous s'occupe pour tous
marche au mieux. Je met le couvert ma
sœur s'occupe de la salade et du mélange
de saucisses, Cécile aide Pierrot pour faire
cuire et retourner les crêpes dans les poiles.
Une bonne odeur de cuisse flotte dans
l'air, on se sent comme a la maison chez
mes parents.
La soirée se passe admirablement et la
nuit rassemble les amoureux.
le matelas posé au sol. On se fait signe
que lorsque ma sœur et Pierrot dorment
que l'on se rejoint.
Mon impatience de retrouver Cécile
m'existe, plus que tout. Je ne suis pas seul
car elle m'attend. Des ronflements se font
entendre dans la chambre de ma sœur,
Le printemps d'un homme
et d'une femme 3/10
zoo de MULHOUSE |
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Le temps que l'on partage quelquesmots et des signes d'affections ; Hammed
vient retrouver notre voiture.
- Les amoureux, les brochettes sont
prêtent.
Exprime t'il a basse voix
- J'arrive Hammed.
Je sort de la voiture et l’accompagne, il
me dis sur le chemin,
- Marc tu as bon goût en plus elle est
jolie.
- Merci Hammed pour tes compliments.
Les pochettes sont dans le récipient
qu'ont a apporté ?
- Oui comme convenu. Je te donne un
paquet de chips grande taille sans sel
- Oui Hammed.
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Je règle la somme demandé puis jeretrouve Cécile. Sans perdre de temps
nous retournons chez ma sœur.
La table est préparé, et nous passons
un agréable dimanche. Un peut vite mais
avec de l'évolution.
Je la raccompagne a la gare de Mulhouse
et la regarde partir. Une onde de nostalgie
m'envahis et me rend triste.
Cette semaine de travail, me parut
longue, le fait de penser a elle me perturbe.
Enfin, le samedi matin a 10 heure je peux
la retrouve a la gare de Mulhouse.
Au courant de la semaine, j'ai mis en
place un programme permettant de visiter
certain endroit de Mulhouse. Je suis fière
de ma ville et la faire découvrir a d'autres
me comble.
Mon beau frère me fait confiance , je peux
la cherche seul comme un grand amoureux.
Ma joie est immense a telle point que mon
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bonheur transforme mon visage. Je meregarde devant le reflet des vitrines pour
rectifie mes vêtements.
Il reste 10 minutes jusqu’à l'arrivé du train
qui provient d'Altkirch. Cécile n'est pas tenu
au courant que je la recherche seul. Une
double joie avec cette surprise.
Le train arrive a l'heure, Cécile avance vers
moi a grand pas. Sans tarder on s'embrasse
longuement. La patience d'attendre l'autre
multiplie les germes de l'amour. S'aimer
fructifie la volonté de se revoir pour se
chouchouter. Tous les voyageurs ont quitté
la halle d'arrivé. Nous nous tenon encore
dans nos bras enlacé. Quant on aime, on
ne fait attention au temps qui passe, le
présent n'a pas d’espace. Puis, on
commence a se parler quelques mots de
compliment. Ensuite je propose a Cécile,
- Cécile j'ai une surprise pour toi, avec
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l'accord de te frère on peut visiter lezoo de Mulhouse. Il se trouve pas loin
de la gare qu'en penses tu de ma
proposition ?
- Je ne connais pas le zoo de Mulhouse,
t'on idée Marc est bonne, je suis prête
et d'’accord pour le découvrir.
Fièrement je porte son sac et nous
traversons la gare comme un couple
heureux de s'aimer.
A l'entrée du zoo je passe en premier
parmi les fleurs aux plusieurs senteurs.
Leur parfum nous enivre, serais se ça
qui nous attire l'un a l'autre ou la beauté
des fleurs ?
Nous continuons de nous promener
jusqu’à un banc où nos corps se frottent
l'un a l'autre. Le samedi matin il y a peu
de visiteur, au zoo nous somme presque
seul.
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Cette promenade attise nos sentiments.je demande a Cécile,
- Que penses tu de ce zoo Cécile ?
- Magnifique, tu as eu une bonne idée
pour me faire découvrir cet endroit.
Notre becté sentimentale ressemble au
comportement de ces oiseaux qui se
nourrissent enchanté de se breuvage de
fruits.
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Il est 13 heures, on retrouve l'appartementde ma sœur où notre appétit sentimentale
s'égare avec un repas copieux.
Quant l'amour prend racine, il cultive des
besoins qui effacent l’appétit. N'est ce pas
cette manne de bonheur qui comble nos
cœurs ?
Il est 16 heures, ma sœurs et mon beau
frère doivent faire des achats en ville.
Nous disposons de l'appartement. Cette
acte est une aubaine pour Cécile et moi.
Etre ensemble sous le regard rien que de
nous deux cultive une conspiration. Les
interdictions et les recommandations
sont dans les oubliettes. L'avenir sera
notre juge.
La lumière éclaire l'appartement ce qui
rend nos intentions visible de l'extérieur.
Qui sais, dés on dit pourrais dénoncer
notre relation auprès des bonne sœurs.
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Je ferme les volets en plein jour. l'onprend place sur le canapé. Nos caresses
et nos sentiments nous engagent
instinctivement vers des actes inconnu.
- Cécile as tu déjà fait l'amour ?
- Non Marc et toi ?
- Jamais.
- Tu en aurais envie Marc ?
- Oui Cécile.
- Marc cela fais que 3 fin de semaines
que nous nous connaissons n'est ce
pas un peu trots tôt ?
- C'est mon instinct qui demande cette
relation, tu dois aussi ressentir se
besoin Cécile, n'est ce pas ?
- Le besoin de faire l'amour active des
sensations qui risquent que je me
laisser entraîner par toi. Il me reste
10 mois jusqu’à ce que j'ai le droit et
pour toi 22 mois jusqu’à notre
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majeurité. Ne devrons nous paspatienter encore un peu Marc ? Les
bonnes sœurs m'ont mis en garde,
ci je fais l'amour avec un homme je
me retrouve dans une maison de
correction.
- Tu as raison Cécile, on se limiter a
des caresses ça les bonnes sœurs
ne remarquerons pas.
- Restons en là Marc, des caresses
sur nos corps pas plus.
Le vas et vient de nos mains se déplacent
sur nos corps nue. Ces mouvements nous
font plaisir, et nous étourdis plus que tous.
Se retenir demande une volonté pour ne
pas se laisser emporter par le besoin de
se mélanger.
Le temps passe vite, ma sœur et Pierrot
sont de retour. Heureusement que la porte
est fermé a clé. On se rhabille rapidement.
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- Vous fermez les volets en plein jour ?- Oui Pierrot le soleil reflète sur la télé,
on a fermé les volets pour cette raison.
- Ce soir on fait des crêpes, qu'en pensez
vous ?
- C'est une bonne idée, mais il faut
préparer la pâte en avance Pierrot, la
tu fais ?
- Ce matin Cécile elle est dans le
réfrigérateur.
Chacun d'entre nous s'occupe pour tous
marche au mieux. Je met le couvert ma
sœur s'occupe de la salade et du mélange
de saucisses, Cécile aide Pierrot pour faire
cuire et retourner les crêpes dans les poiles.
Une bonne odeur de cuisse flotte dans
l'air, on se sent comme a la maison chez
mes parents.
La soirée se passe admirablement et la
nuit rassemble les amoureux.
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Je me retrouve sur le divan et Cécile surle matelas posé au sol. On se fait signe
que lorsque ma sœur et Pierrot dorment
que l'on se rejoint.
Mon impatience de retrouver Cécile
m'existe, plus que tout. Je ne suis pas seul
car elle m'attend. Des ronflements se font
entendre dans la chambre de ma sœur,
c'est bon je peux retrouver Cécile .
Je me colle contre son corps et je partage
ma chaleur avec elle. Comme promis on
en reste là. Le fait de la sentir prêt de moi
me glorifie de bonheur sentimentale.
Au petit déjeuné je propose,
- Et ci nous allons nous baigner dans
un lac, qu'en pensez vous ?
- C'est une bonne proposition, Marc
nous somme tous d’accord pour y allé.
- Tu as un maillot de bain Cécile ?
- Non, mais je me débrouillerais avec un
slips et un short ça fera l'affaire.
monde près des lacs on sera tranquille.
Nous voila partie dans les Vosges en
direction du lac d’Alfred.
On s’installe loin de la foule, sur les abords
du lac en foret. La vie est magnifique, pas de
gens autour de nous quatre. Ce petit
coin ressemble a un paradis il nous permet
de pique-niquer a notre aise. Le soleil a du mal
a traverser les feuillages des arbres, malgré cela
la température est agréable.
Après le repas nous entrons dans l'eau un
peu fraîche mais agréable. L’humidité colle
les tissus contre nos corps. Ce qui définir
plus amplement les formes humaine.
Cécile et moi nous gardons nos distance
de ma sœur et mon beau frère. Les rochers
dans l'eau nous obligent de prêter attention,
on risque de se coincer les pieds.
d'éviter le danger mais plus tôt pour
aiguiser notre attention sentimental. Se
tenir l'un contre l'autre est une forme
d’affection. Nous ne nous perdons pas de
vue et chaque occasion multiplie nos
sentiments envers l'autre. Ne somme nous
pas mur pour continuer notre relation
jusqu’à obtenir le bouquet final ? Non, il
y a la loi et les bonnes sœurs de la DDASS
qui nous surveillent.
L'après midi passe bien vite, je leur
propose,
- Je vous invite dans le relaie auberge
du lac d'Alfeld pour manger se soir
vous en pensé quoi ?
- C'est gentil de ta part Marc mais il
faut penser a ramener Cécile chez
les bonnes sœurs a la bonne heure.
Me dit ma sœur.
- On la ramène avec ma voiture qu'en
- C'est une bonne solution Marc je
suis d'accord avec sa on gagne du
temps.
Dans mes pensées je gagne sur mes
intentions qui sont de connaitre
l'adresse de Cécile. Enfin, je peu la
raccompagner.
L'on prend commande une grande
assiette de fromage de Munster et de
conté ainsi qu'une autre de lard .
Le pain en miche et en quantité fait
partie de notre commande. Du
panaché comme boisson pour les
hommes et de la mente pour les
femmes.
Il est 20 heures,
- Arrivons nous a l'heure pour
ramener Cécile ?
- Oui, il faut partir car la maison des
bonne sœurs se trouve a Ferrette.
puis nous arrivons au sommet de
Ferrette sur la rue de Lucelle. Il nous
a fallu 50 minutes. Nous avons 10
minutes d'avance. Durant tout le
chemin je roulais en décapotable
mais la fraîcheur m'oblige a tirer la
capote ce que nous faisons avant
d'arriver chez les bonnes sœurs.
C'est Pierrot qui a demandé de fermer
Je me colle contre son corps et je partage
ma chaleur avec elle. Comme promis on
en reste là. Le fait de la sentir prêt de moi
me glorifie de bonheur sentimentale.
Au petit déjeuné je propose,
- Et ci nous allons nous baigner dans
un lac, qu'en pensez vous ?
- C'est une bonne proposition, Marc
nous somme tous d’accord pour y allé.
- Tu as un maillot de bain Cécile ?
- Non, mais je me débrouillerais avec un
slips et un short ça fera l'affaire.
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- De toute façon il n'y a pas beaucoup demonde près des lacs on sera tranquille.
Nous voila partie dans les Vosges en
direction du lac d’Alfred.
On s’installe loin de la foule, sur les abords
du lac en foret. La vie est magnifique, pas de
gens autour de nous quatre. Ce petit
coin ressemble a un paradis il nous permet
de pique-niquer a notre aise. Le soleil a du mal
a traverser les feuillages des arbres, malgré cela
la température est agréable.
Après le repas nous entrons dans l'eau un
peu fraîche mais agréable. L’humidité colle
les tissus contre nos corps. Ce qui définir
plus amplement les formes humaine.
Cécile et moi nous gardons nos distance
de ma sœur et mon beau frère. Les rochers
dans l'eau nous obligent de prêter attention,
on risque de se coincer les pieds.
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Cette attention ne vas pas dans le sensd'éviter le danger mais plus tôt pour
aiguiser notre attention sentimental. Se
tenir l'un contre l'autre est une forme
d’affection. Nous ne nous perdons pas de
vue et chaque occasion multiplie nos
sentiments envers l'autre. Ne somme nous
pas mur pour continuer notre relation
jusqu’à obtenir le bouquet final ? Non, il
y a la loi et les bonnes sœurs de la DDASS
qui nous surveillent.
L'après midi passe bien vite, je leur
propose,
- Je vous invite dans le relaie auberge
du lac d'Alfeld pour manger se soir
vous en pensé quoi ?
- C'est gentil de ta part Marc mais il
faut penser a ramener Cécile chez
les bonnes sœurs a la bonne heure.
Me dit ma sœur.
- On la ramène avec ma voiture qu'en
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penses tu Pierrot ?- C'est une bonne solution Marc je
suis d'accord avec sa on gagne du
temps.
Dans mes pensées je gagne sur mes
intentions qui sont de connaitre
l'adresse de Cécile. Enfin, je peu la
raccompagner.
L'on prend commande une grande
assiette de fromage de Munster et de
conté ainsi qu'une autre de lard .
Le pain en miche et en quantité fait
partie de notre commande. Du
panaché comme boisson pour les
hommes et de la mente pour les
femmes.
Il est 20 heures,
- Arrivons nous a l'heure pour
ramener Cécile ?
- Oui, il faut partir car la maison des
bonne sœurs se trouve a Ferrette.
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On roule a travers le Jura Alsacienpuis nous arrivons au sommet de
Ferrette sur la rue de Lucelle. Il nous
a fallu 50 minutes. Nous avons 10
minutes d'avance. Durant tout le
chemin je roulais en décapotable
mais la fraîcheur m'oblige a tirer la
capote ce que nous faisons avant
d'arriver chez les bonnes sœurs.
C'est Pierrot qui a demandé de fermer
la capote de peur que les bonne sœurs
puisent nous voir. L'on stationne au bord
de la route de Lucelle, devant le chemin qui
puisent nous voir. L'on stationne au bord
de la route de Lucelle, devant le chemin qui
accède dans le chalet des bonne sœurs de la
DDASS.
Pierrot et Cécile sortent de la
voiture pour se diriger vers le chalet.
Aucun signe d’aurevoir n'est fait, on se
l'avait dit quant j'ai monté la capote.
de gagner une partie, je sais où Cécile
habite. Une joie rayonne dans mon cœur
celle d'avoir une attache pour mon bonheur.
La suite au 4/10
Le roman est en cour de construction, des
changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
La ville de Ferrette existe dans une région
de l'Alsace appelé Sundgau, l'histoire est prise
sur des faits passés sans vouloir toucher les
habitants de Ferrette, ce n'est que de
l'imagination. Petite anecdote, ce sont les
lutins de la crotte de Ferrette qui mon raconté
l'histoire.
Pierrot et Cécile sortent de la
voiture pour se diriger vers le chalet.
Aucun signe d’aurevoir n'est fait, on se
l'avait dit quant j'ai monté la capote.
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Malgré ses interdictions je viensde gagner une partie, je sais où Cécile
habite. Une joie rayonne dans mon cœur
celle d'avoir une attache pour mon bonheur.
La suite au 4/10
Le roman est en cour de construction, des
changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
La ville de Ferrette existe dans une région
de l'Alsace appelé Sundgau, l'histoire est prise
sur des faits passés sans vouloir toucher les
habitants de Ferrette, ce n'est que de
l'imagination. Petite anecdote, ce sont les
lutins de la crotte de Ferrette qui mon raconté
l'histoire.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz.
A ce jour, 12 06 2023, 177 568 lecteurs.
A ce jour, 18 08 2024, 200 535 lecteurs.
A ce jour, 09 01 2025, 203 683 lecteurs.
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