Le printemps d'un homme et d'une femme ( roman sentimental 5/10 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
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Le printemps d'un homme
et d'une femme
On discute de l'avenir comme pour mettre en
place un futur prometteur. Ma tente demande,
- Quant allez vous vous marier ?
- Cécile aura ses 21 ans dans 8 mois, c'est a
partir de là que les bonnes sœurs lui
accorderont le droit.
- Mais toi Marc tu n'as que tes 21 ans
dans 20 mois, t’accorderont ils le droit de
marier Cécile ?
- On fera notre possible, ma sœur a bien
eut le droit d'épouser Pierrot ?
- Certainement que tes parents ont donné le
consentement Marc.
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Mon ongle est ravie d’apprendre cela, il me
dit d'un air pleine de joie,
- Pour ton mariage je te ferais part d'une
chambre a couché. Quant penses tu Marc ?
- Tu as le cœur sous la main, je te remercie
mon ongle.
Cécile écoute avec attention et dit,
- C'est bien d'avoir une famille prête a
s'entraider, je n'ai que mon frère et ma mère
qui pourraient soutenir mon mariage.
- Ce n'est pas grave Cécile, j'ai de quoi acheter
tous ce qu'il faut pour fonder un foyer. J'ai
réussie a faire fructifier mon argent.
Ce soir là nous dormons chez mon ongle sur le
canapé lit. Quelle bonheur, l'amour a des ondes
bénéfique car nous évoquons le bien de se
mélanger comme un besoin de manger. On dit
que l'on peut vivre d'amour et d'eau fraîche
voila la raison de nos intentions qui dépassent
celui des obligations imposé par les bonne sœurs
de la DDASS
dans le chalet des bonne sœurs. Lorsque nous
passons prêt de la foret où se trouve la clairière
une halte s'impose. Ce lieu devient notre chez
sois. De caresses en relations notre unions
gonfle nos sentiments.
La semaine se passe, mon ongle me fait savoir
que ma candidature est accepté, je peux commencer
comme conducteur de ligne dans l'industrie
automobile. Cette semaine là, ma sœur me fait
savoir que Cécile ne peut quitter le chalet des
bonnes sœurs.
Je me prépare pour faire les papiers et prend
mon solde de tout compte auprès de mon patron.
Je finance un pot de départ avec l'équipe que
j'eus accompagné.
Dans l'usine où je travail, on a des horaires
d'équipe et un salaire moindre qu’auparavant mais
pas de déplacement et de danger de chute. La vie
devient régulière et ordonné. A tel heure la pose,
matin, qui démarre a 4 heures 30 et termine a 13
heures, je dispose du restant de la journée. Un
vrais bonheur.
Arrive ma première fin de semaine où je peux
rencontrer Cécile. Les semaine passent il ne reste
plus que 7 mois jusqu'à ce qu'elle a sa majorité
et moi 19 mois.
Comme d'habitude je l'attend dans la rue de Lucelle
au croisement pour que le regard des autres ne puisse
nous croiser.
Cécile arrive radieuse et souriante de bonheur. Je le
suis aussi a tel point que je cour a sa rencontre. Des
baisés font notre bonheur.
Nous repartons sur Mulhouse a travers le Sundgau
a travers la fameuse foret où se trouve notre point
sentimentale. Mon cœur bas la chamade au tant
que celui de Cécile, une vibration dans notre corps
fructifie nos rapports. L'amour est magique quant
l'un et l'autre vibre des sentiments de satisfaction.
planète, la où les interdictions riment avec oublie et
bonheur.
L'on se lave avec l'eau du petit ruisseau, puis nous
continuons la route sur Mulhouse. En chemin je
lui demande,
- Pour quelle raison n'as tu put venir la semaine
dernière Cécile ?
- Je ne me sentait pas bien pour cette raison j'ai
appelé ta sœur a son travail.
- J'eus peur que les bonnes sœurs ont découvert
notre union et quelle t'interdissent de sortir.
- Marc, je dois passer chez le docteur Monsieur
Miller au courant de la semaine le vendredi
après midi, veux tu m’accompagner ?
- Oui je suis libre l'après midi, car je travail
du matin.
- Il se trouve au centre de Ferrette .
- On fera comme d’habitude je t'attend au
même endroit dans la rue de Lucelle ?
- Oui je fais comme cela a 15 heures je serais
chez le docteur. Ce soir on passe chez des amis
de longue date pour leur annoncer notre
prochain mariage.
Cette fin de semaine nous la passons chez des amis de longue
date, pour leur annoncer que dans 7 mois nous allons nous
marier. C'est madame Frida et monsieur George, des rescapés
des camps de concentration comme le fut ma grand mère.
Notre annonce leur fait un grand honneur et pour nous
récompenser ils me font part,
- Comme tu aimes ce meuble de Louis 16 de notre salle a
manger nous vous en font une dote pour commencer
votre vie de couple.
- Merci madame Frida et monsieur George, vous avez
le cœur sous la main.
- Nous n'avons pas oublié que ta grand mère et ton
grand père nous ont aidé. Pour cette raison nous vous
aidons.
Je ne connais pas le fond de l’histoire mais une chose donc
vie.
Nous passons la nuit chez ma sœur et mon beau frère. Il
n'y a plus rien a cacher, c'est officielle que nous pouvons
dormir ensemble comme des fiancés.
Quelle bonheur de se sentir aimé et surtout se coller sans
aucune contrainte. Il nous reste 7 mois on touche bientôt la
date tend convoité.
Je ramène Cécile dans l’après midi et comme d'habitude
nous faisons notre arrêt habituelle dans la clairière. Cécile me
dit,
- Marc je dois voir le médecin qui s'occupe des enfants de
la DDASS, car je n'ai plus mes règles. Ce qui m'intrigue
beaucoup.
- Es tu certaine que ce n'est pas un retard qui te dérègle ?
- On peu avoir quelques jours de retard mais pas trois
semaines.
- Tu penses être enceinte Cécile ?
- Je le crois même car des nausées transforment mon
comportement.
Je suis tout surprit par cette annonce et ne sais plus que
répondre. Mes pensées emmagasine des doutes sur la
perturber. Attendons vendredi pour être rassuré.
La semaine commence avec une incertitude et en même
temps un bonheur car ci jamais cette éventualité venais a
être réalité, je serais papa, quel bonheur donc la semaine
s’annonce bien en fin de compte.
Le mercredi matin une convocation recommandé me
parvient. Elle consiste de passer trois jours a Commercie
pour la préparation au service militaire. Je dois m'y
présenter le mardi matin pour commencer les testes.
Pour cela un billet allé retour n'est attribué.
A cette obligation je n'avais pas songé, je pensais que
le service de l'armée m'eut oublié. Cette semaine me
joue des tours, que var 'il encore m'arriver ?
Nous voila au vendredi après midi, je retrouve Cécile
a l'endroit convenu, devant le cabinet du médecin le
docteur Miller. Cécile arrive vers moi, tout bouleversé,
- Marc je n'ai pas mes règles cela fait un mois passé.
- Ne sois pas inquiète Cécile attendons ce que dit le
docteur Miller. J'ai aussi une mauvaise nouvelle a
de l'armée Française. Je part pour trois jours a
Commercie.
- Marc, tu dois faire l'armé comme a dut le faire mon père ?
- Oui Cécile a cette obligation je n'y avait pas songé, qui
sais je pourrais m'exempter ce je dis que je suis un futur
papa ?
Le visage de Cécile devient en-cieux, son comportement l'est
aussi. Puis elle dis,
- D'accord Marc mais avec quoi allons nous vivre ? Mon
salaire c'est la DDASS qui le gère et toi tu auras une
solde minable comme appelé.
- Ne prend pas peur Cécile, attendons les résultats du
médecin monsieur Miller.
Je rentre dans la salle avec Cécile, elle est pleine a craquer.
Il y a peut de place je reste debout puis dis a Cécile,
- Je t'attend dehors Cécile avec toutes ces personnes je me
sent gênant.
- Oui tu as raison, .
le courage vient a me manquer, je reconnais et préfère
devenais interminable, surtout l’impatience de connaître
le résultat.
Je regarde passer les voitures qui deviennent mon objet
d'attention, quant soudain, mon père passe avec la camionnette
de l'entreprise où il travail comme charpentier. je lui fais
signe , il s'arrête,
- Que fait tu là marc ? es tu en panne avec ta voiture ?
- Non père, j'attends Cécile qui se trouve chez le médecin
pour connaître le résultat ci elle est enceinte ? Donc tu
seras grand père.
- C'est bon, on en parlera a la maison.
Sur le moment je me demande comment se fait il qu'il travail
aussi loin de Mulhouse ? Serait il venu pour moi ? Je reste
assis sur ce banc et regarde passer les patients qui rentrent et
ceux qui sortent. Je me demande, a quel rang se trouve Cécile ?
Pour ne pas rendre l'attente interminable je me suis démunie
de ma montre que j'eus placé dans le vide poche de la caravelle.
Il fait beau ce jour là et la capote de la voiture est rabattue.
Enfin, voilà Cécile qui sort du médecin, mon impatience est
elle ne prononce le moindre mot. Je la questionne,
- Cécile qu'a dit le médecin ?
- Il m'a dit que je suis enceinte de 5 semaines, mais pour en
être certain il fait suivre les analyses, la semaine prochaine
je dois revenir.
- Pas de problème Cécile, je reconnais l'enfant quitte a nous
marier.
- Et pour ta convocation au service militaire pour 12 mois
qu'en est il ?
- Je suis apte pour faire mon service militaire pour 12 mois.
Je me mord mes dents en guise d'insatisfaction.
- Mais quant devras tu faire ton service militaire ?
- Je ne sais pas Cécile ?
- Donc il me reste environ 7 mois jusqu’à ma majorité et
8 mois pour mon accouchement au mois d'avril. Tu ne
pourras m'accompagner le jour de la venu de l'enfant ce qui
me rend triste et incertaine sur notre avenir, je suis comme
abandonné par l'amour qui nous eut unie Marc. La société
nous joue des tours.
- Cécile je suis persuadé que nous arriverons a nous en sortir
malgré toutes ces contraires, crois en notre amour Cécile
contradictions.
- Je veux bien croire en tes arguments mais, tu as oublier
que je suis sous tutelle de mon frère, et des bonnes sœurs
qui m'ont avertie que ci j'ai des relations avec un homme je
serais muté dans une maison de redressement pour filles
mère.
- On a joué avec le feux mais pas avec nos intentions de
vivre une suite heureuse. Ne crois tu pas en ma bonne fois
Cécile ?
- Ci je crois en ton amour et ta bonne fois mais tu ne connais
pas la réaction des bonnes sœurs qui gèrent notre avenir.
J'ai peur quelles me font partir de Ferrette pour une maison
destiné aux filles mère.
- Cécile, je viens trouver les bonnes sœurs pour leur dire que
je suis honnête et travailleur et qu'elles n'ont pas besoin
d'avoir peur.
- Ne viens pas au chalet Marc, ça aggraverait ma position.
- Je revient la semaine prochaine pour avoir plus de détaille
a partir de là je les retrouve.
le docteur Miller.
- Je suis de ton avis Cécile on fait comme cela je te ramène
devant le chemin qui mène au chalet de l’orphelinat des
bonnes sœurs de la DDASS sur la route de Lucelle comme
d'habitude.
- Merci Marc ne m'en veux pas, je suis perturbé.
En se dirigeant vers la voiture, une copine de Cécile lui fait
signe et l'appelle,
- Cécile je peux venir avec vous ça m'évite de monter au
chalet a pied.
- Je demande a Marc s'il veut bien t’emmener,
Je suis la conversation et dis,
- Oui elle peut venir avec nous je ne voie pas d’inconvénient.
Nous voilà a trois dans la décapotable caravelle, la copine de
Cécile demande,
- Vous pouvez monter jusqu'au château de Ferrette Marc
ça me ferai plaisir de rouler en décapotable je n'ai jamais
eu cette possibilité.
- Bien sur cela me fait aussi plaisir de partager cette sensation.
même orphelinat que Cécile. Elle a bientôt sa majorité
dommage qu'elle vas nous quitter. On s'entendait bien
toutes les deux, n'est ce pas Cécile,
- Oui je reconnais que tu es ma meilleur amie dans le chalet
et tu es la seule a qui je peux faire confiance.
- Cécile, tu as l'air triste que t'arrive il ?
- Je sort du cabinet du docteur monsieur Miller qui ma dit
que je suis enceinte d'environ 2 mois.
- Tu sais Cécile ce que fait le docteur Miller, il contacte les
bonnes sœurs de la DDASS pour leur dévoiler notre état de
santé, il est de mèche avec elles. C'est pour cette raison que
nous devons passer les examens chez lui et chez personne
d'autre. Et tu sais aussi que si nous tombons enceinte les
bonnes sœurs nous mutent dans un centre de filles mère,
ce n'est pas la joie la bas, c'est une maison de redressement.
Nous démarrons en direction du château, sur la route qui
mène au chalet. La copine de Cécile parle sans arrêt comme
Ferrette pour qu'elle puisse libérer son enthousiasme et son
envie de discuter. nous passons devant une boulangerie
- C'est là que je travail Marc.
- Merci de me l'avoir montré, la prochaine fois que je passe a
Ferrette j' achèterais des tartelettes Stéphanie.
On arrive sur les hauteurs du château sur les hauteurs de Ferrette
la clarté du jour laisse la place a la nuit qui cède en sourdine
la place a des lumières des magasins.
Nous avions pris place tous les trois sur un banc. Cécile pleure
et ne prononce plus un mot et moi, bloqué par la présence
de Stéphanie, je ne fais qu'observer la ville qui disparaît petit
a petit. Je prend Cécile dans mes bras et la sert fortement
malgré la présence de sa copine. Puis je l'embrase et lui dis,
- Cécile ne t'en fais pas, on se débrouillera , je vais demander
a ton frère de nous soutenir pour que nous puisions nous
marier rapidement, comme c'est lui le tuteur.
Stéphanie dit d'un air encourageant,
- Votre amour est magnifique et magique, l'un pour l'autre ça
me donne l'envie d'en faire autant et surtout de vous proposer
d'être le témoin de votre mariage, vous me le promettez ?
- Promis Stéphanie
suite au 6/10
Ce soir là nous dormons chez mon ongle sur le
canapé lit. Quelle bonheur, l'amour a des ondes
bénéfique car nous évoquons le bien de se
mélanger comme un besoin de manger. On dit
que l'on peut vivre d'amour et d'eau fraîche
voila la raison de nos intentions qui dépassent
celui des obligations imposé par les bonne sœurs
de la DDASS
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Le dimanche je raccompagne Cécile a Ferrettedans le chalet des bonne sœurs. Lorsque nous
passons prêt de la foret où se trouve la clairière
une halte s'impose. Ce lieu devient notre chez
sois. De caresses en relations notre unions
gonfle nos sentiments.
La semaine se passe, mon ongle me fait savoir
que ma candidature est accepté, je peux commencer
comme conducteur de ligne dans l'industrie
automobile. Cette semaine là, ma sœur me fait
savoir que Cécile ne peut quitter le chalet des
bonnes sœurs.
Je me prépare pour faire les papiers et prend
mon solde de tout compte auprès de mon patron.
Je finance un pot de départ avec l'équipe que
j'eus accompagné.
Dans l'usine où je travail, on a des horaires
d'équipe et un salaire moindre qu’auparavant mais
pas de déplacement et de danger de chute. La vie
devient régulière et ordonné. A tel heure la pose,
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puis le repas et la fin du travail. Avec l'équipe dumatin, qui démarre a 4 heures 30 et termine a 13
heures, je dispose du restant de la journée. Un
vrais bonheur.
Arrive ma première fin de semaine où je peux
rencontrer Cécile. Les semaine passent il ne reste
plus que 7 mois jusqu'à ce qu'elle a sa majorité
et moi 19 mois.
Comme d'habitude je l'attend dans la rue de Lucelle
au croisement pour que le regard des autres ne puisse
nous croiser.
Cécile arrive radieuse et souriante de bonheur. Je le
suis aussi a tel point que je cour a sa rencontre. Des
baisés font notre bonheur.
Nous repartons sur Mulhouse a travers le Sundgau
a travers la fameuse foret où se trouve notre point
sentimentale. Mon cœur bas la chamade au tant
que celui de Cécile, une vibration dans notre corps
fructifie nos rapports. L'amour est magique quant
l'un et l'autre vibre des sentiments de satisfaction.
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S'assembler et s'aimer c'est voyager sur une autreplanète, la où les interdictions riment avec oublie et
bonheur.
L'on se lave avec l'eau du petit ruisseau, puis nous
continuons la route sur Mulhouse. En chemin je
lui demande,
- Pour quelle raison n'as tu put venir la semaine
dernière Cécile ?
- Je ne me sentait pas bien pour cette raison j'ai
appelé ta sœur a son travail.
- J'eus peur que les bonnes sœurs ont découvert
notre union et quelle t'interdissent de sortir.
- Marc, je dois passer chez le docteur Monsieur
Miller au courant de la semaine le vendredi
après midi, veux tu m’accompagner ?
- Oui je suis libre l'après midi, car je travail
du matin.
- Il se trouve au centre de Ferrette .
- On fera comme d’habitude je t'attend au
même endroit dans la rue de Lucelle ?
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- Non Marc, viens chez le médecin .- Oui je fais comme cela a 15 heures je serais
chez le docteur. Ce soir on passe chez des amis
de longue date pour leur annoncer notre
prochain mariage.
Cette fin de semaine nous la passons chez des amis de longue
date, pour leur annoncer que dans 7 mois nous allons nous
marier. C'est madame Frida et monsieur George, des rescapés
des camps de concentration comme le fut ma grand mère.
Notre annonce leur fait un grand honneur et pour nous
récompenser ils me font part,
- Comme tu aimes ce meuble de Louis 16 de notre salle a
manger nous vous en font une dote pour commencer
votre vie de couple.
- Merci madame Frida et monsieur George, vous avez
le cœur sous la main.
- Nous n'avons pas oublié que ta grand mère et ton
grand père nous ont aidé. Pour cette raison nous vous
aidons.
Je ne connais pas le fond de l’histoire mais une chose donc
62
je me rappelle, de tout temps leur amitié eut marqué mavie.
Nous passons la nuit chez ma sœur et mon beau frère. Il
n'y a plus rien a cacher, c'est officielle que nous pouvons
dormir ensemble comme des fiancés.
Quelle bonheur de se sentir aimé et surtout se coller sans
aucune contrainte. Il nous reste 7 mois on touche bientôt la
date tend convoité.
Je ramène Cécile dans l’après midi et comme d'habitude
nous faisons notre arrêt habituelle dans la clairière. Cécile me
dit,
- Marc je dois voir le médecin qui s'occupe des enfants de
la DDASS, car je n'ai plus mes règles. Ce qui m'intrigue
beaucoup.
- Es tu certaine que ce n'est pas un retard qui te dérègle ?
- On peu avoir quelques jours de retard mais pas trois
semaines.
- Tu penses être enceinte Cécile ?
- Je le crois même car des nausées transforment mon
comportement.
Je suis tout surprit par cette annonce et ne sais plus que
répondre. Mes pensées emmagasine des doutes sur la
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réalité, pour moi le facteur du retard qui vient laperturber. Attendons vendredi pour être rassuré.
La semaine commence avec une incertitude et en même
temps un bonheur car ci jamais cette éventualité venais a
être réalité, je serais papa, quel bonheur donc la semaine
s’annonce bien en fin de compte.
Le mercredi matin une convocation recommandé me
parvient. Elle consiste de passer trois jours a Commercie
pour la préparation au service militaire. Je dois m'y
présenter le mardi matin pour commencer les testes.
Pour cela un billet allé retour n'est attribué.
A cette obligation je n'avais pas songé, je pensais que
le service de l'armée m'eut oublié. Cette semaine me
joue des tours, que var 'il encore m'arriver ?
Nous voila au vendredi après midi, je retrouve Cécile
a l'endroit convenu, devant le cabinet du médecin le
docteur Miller. Cécile arrive vers moi, tout bouleversé,
- Marc je n'ai pas mes règles cela fait un mois passé.
- Ne sois pas inquiète Cécile attendons ce que dit le
docteur Miller. J'ai aussi une mauvaise nouvelle a
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t’annoncer, je dois passer les testes pour le servicede l'armée Française. Je part pour trois jours a
Commercie.
- Marc, tu dois faire l'armé comme a dut le faire mon père ?
- Oui Cécile a cette obligation je n'y avait pas songé, qui
sais je pourrais m'exempter ce je dis que je suis un futur
papa ?
Le visage de Cécile devient en-cieux, son comportement l'est
aussi. Puis elle dis,
- D'accord Marc mais avec quoi allons nous vivre ? Mon
salaire c'est la DDASS qui le gère et toi tu auras une
solde minable comme appelé.
- Ne prend pas peur Cécile, attendons les résultats du
médecin monsieur Miller.
Je rentre dans la salle avec Cécile, elle est pleine a craquer.
Il y a peut de place je reste debout puis dis a Cécile,
- Je t'attend dehors Cécile avec toutes ces personnes je me
sent gênant.
- Oui tu as raison, .
le courage vient a me manquer, je reconnais et préfère
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attendre sur le banc devant le cabinet du docteur. Le tempsdevenais interminable, surtout l’impatience de connaître
le résultat.
Je regarde passer les voitures qui deviennent mon objet
d'attention, quant soudain, mon père passe avec la camionnette
de l'entreprise où il travail comme charpentier. je lui fais
signe , il s'arrête,
- Que fait tu là marc ? es tu en panne avec ta voiture ?
- Non père, j'attends Cécile qui se trouve chez le médecin
pour connaître le résultat ci elle est enceinte ? Donc tu
seras grand père.
- C'est bon, on en parlera a la maison.
Sur le moment je me demande comment se fait il qu'il travail
aussi loin de Mulhouse ? Serait il venu pour moi ? Je reste
assis sur ce banc et regarde passer les patients qui rentrent et
ceux qui sortent. Je me demande, a quel rang se trouve Cécile ?
Pour ne pas rendre l'attente interminable je me suis démunie
de ma montre que j'eus placé dans le vide poche de la caravelle.
Il fait beau ce jour là et la capote de la voiture est rabattue.
Enfin, voilà Cécile qui sort du médecin, mon impatience est
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soulagé. Je me rapproche d'elle. Son visage reflet l'inquiétudeelle ne prononce le moindre mot. Je la questionne,
- Cécile qu'a dit le médecin ?
- Il m'a dit que je suis enceinte de 5 semaines, mais pour en
être certain il fait suivre les analyses, la semaine prochaine
je dois revenir.
- Pas de problème Cécile, je reconnais l'enfant quitte a nous
marier.
- Et pour ta convocation au service militaire pour 12 mois
qu'en est il ?
- Je suis apte pour faire mon service militaire pour 12 mois.
Je me mord mes dents en guise d'insatisfaction.
- Mais quant devras tu faire ton service militaire ?
- Je ne sais pas Cécile ?
- Donc il me reste environ 7 mois jusqu’à ma majorité et
8 mois pour mon accouchement au mois d'avril. Tu ne
pourras m'accompagner le jour de la venu de l'enfant ce qui
me rend triste et incertaine sur notre avenir, je suis comme
abandonné par l'amour qui nous eut unie Marc. La société
nous joue des tours.
- Cécile je suis persuadé que nous arriverons a nous en sortir
malgré toutes ces contraires, crois en notre amour Cécile
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comme je le crois et nous déplacerons des montagnes decontradictions.
- Je veux bien croire en tes arguments mais, tu as oublier
que je suis sous tutelle de mon frère, et des bonnes sœurs
qui m'ont avertie que ci j'ai des relations avec un homme je
serais muté dans une maison de redressement pour filles
mère.
- On a joué avec le feux mais pas avec nos intentions de
vivre une suite heureuse. Ne crois tu pas en ma bonne fois
Cécile ?
- Ci je crois en ton amour et ta bonne fois mais tu ne connais
pas la réaction des bonnes sœurs qui gèrent notre avenir.
J'ai peur quelles me font partir de Ferrette pour une maison
destiné aux filles mère.
- Cécile, je viens trouver les bonnes sœurs pour leur dire que
je suis honnête et travailleur et qu'elles n'ont pas besoin
d'avoir peur.
- Ne viens pas au chalet Marc, ça aggraverait ma position.
- Je revient la semaine prochaine pour avoir plus de détaille
a partir de là je les retrouve.
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- Oui tu as raison revient la semaine prochaine avec moi chezle docteur Miller.
- Je suis de ton avis Cécile on fait comme cela je te ramène
devant le chemin qui mène au chalet de l’orphelinat des
bonnes sœurs de la DDASS sur la route de Lucelle comme
d'habitude.
- Merci Marc ne m'en veux pas, je suis perturbé.
En se dirigeant vers la voiture, une copine de Cécile lui fait
signe et l'appelle,
- Cécile je peux venir avec vous ça m'évite de monter au
chalet a pied.
- Je demande a Marc s'il veut bien t’emmener,
Je suis la conversation et dis,
- Oui elle peut venir avec nous je ne voie pas d’inconvénient.
Nous voilà a trois dans la décapotable caravelle, la copine de
Cécile demande,
- Vous pouvez monter jusqu'au château de Ferrette Marc
ça me ferai plaisir de rouler en décapotable je n'ai jamais
eu cette possibilité.
- Bien sur cela me fait aussi plaisir de partager cette sensation.
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- Je m'appelle Stéphanie et j'ai 19 ans Marc je suis dans lemême orphelinat que Cécile. Elle a bientôt sa majorité
dommage qu'elle vas nous quitter. On s'entendait bien
toutes les deux, n'est ce pas Cécile,
- Oui je reconnais que tu es ma meilleur amie dans le chalet
et tu es la seule a qui je peux faire confiance.
- Cécile, tu as l'air triste que t'arrive il ?
- Je sort du cabinet du docteur monsieur Miller qui ma dit
que je suis enceinte d'environ 2 mois.
- Tu sais Cécile ce que fait le docteur Miller, il contacte les
bonnes sœurs de la DDASS pour leur dévoiler notre état de
santé, il est de mèche avec elles. C'est pour cette raison que
nous devons passer les examens chez lui et chez personne
d'autre. Et tu sais aussi que si nous tombons enceinte les
bonnes sœurs nous mutent dans un centre de filles mère,
ce n'est pas la joie la bas, c'est une maison de redressement.
Nous démarrons en direction du château, sur la route qui
mène au chalet. La copine de Cécile parle sans arrêt comme
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une poupée remonté a bloc. Je fais plusieurs fois le tour deFerrette pour qu'elle puisse libérer son enthousiasme et son
envie de discuter. nous passons devant une boulangerie
- C'est là que je travail Marc.
- Merci de me l'avoir montré, la prochaine fois que je passe a
Ferrette j' achèterais des tartelettes Stéphanie.
On arrive sur les hauteurs du château sur les hauteurs de Ferrette
la clarté du jour laisse la place a la nuit qui cède en sourdine
la place a des lumières des magasins.
Nous avions pris place tous les trois sur un banc. Cécile pleure
et ne prononce plus un mot et moi, bloqué par la présence
de Stéphanie, je ne fais qu'observer la ville qui disparaît petit
a petit. Je prend Cécile dans mes bras et la sert fortement
malgré la présence de sa copine. Puis je l'embrase et lui dis,
- Cécile ne t'en fais pas, on se débrouillera , je vais demander
a ton frère de nous soutenir pour que nous puisions nous
marier rapidement, comme c'est lui le tuteur.
Stéphanie dit d'un air encourageant,
- Votre amour est magnifique et magique, l'un pour l'autre ça
me donne l'envie d'en faire autant et surtout de vous proposer
d'être le témoin de votre mariage, vous me le promettez ?
- Promis Stéphanie
suite au 6/10
Le roman est en cour de construction des
changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
La ville de Ferrette existe dans une région de l'Alsace
appelé Sundgau, l'histoire est prise sur des faits passés
sans vouloir toucher les habitants de Ferrette, ce
n'est que de l'imagination. Petite anecdote, ce sont les
lutins de la crotte de Ferrette qui mon raconté l'histoire.
La ville de Ferrette existe dans une région de l'Alsace
appelé Sundgau, l'histoire est prise sur des faits passés
sans vouloir toucher les habitants de Ferrette, ce
n'est que de l'imagination. Petite anecdote, ce sont les
lutins de la crotte de Ferrette qui mon raconté l'histoire.
A ce jour, 18 08 2024, 200 535 lecteurs.
A ce jour, 10 01 2025, 203 690 lecteurs.
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