Le printemps d'un homme et d'une femme ( roman sentimental 6/10 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
Le printemps d'un homme
et d'une femme.
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- Oui Stéphanie tu seras notre témoin, promise
de moi Marc et de Cécile, n'est ce pas Cécile ?
Un sourire embellie son visage en larme et Cécile
dit,
dit,
- Bien entendu Stéphanie, je te remercie de nous
accorder cette gratitude.
accorder cette gratitude.
Cécile ne cesse de pleurer puis elle me demande,
- Ramène nous au chalet des bonnes sœurs Marc
il se fait tard
- Je vous raccompagne pas de problème
Comme convenu je les dépose rue de Lucelle au
départ de la rue qui les même au chalet. Je les
quitte avec des bises habituelle et les regarde
s'éloigner d'un air triste.
sens que je suis un perdant sans assise. Cette
journée m'a troublé plus que tout, plus rien ne par
dans le bon sens et toutes ses interférences
détiennent des contradictions. Le visage de Céline
fut anxieux, pas besoin d’être un spécialiste pour
le deviner. Cette fin de semaine se termine avec du
traqua, pour chacun d'entre nous, sans l'un
l'autre n'est rien
A mon poste de travail tous se déroule bien, je
conduit ma ligne de transfert comme un connaisseur,
je suis capable de régler les outilles sans comparateur
a l’œil au 1/10 -ème. Cette performance me permet de
- Ramène nous au chalet des bonnes sœurs Marc
il se fait tard
- Je vous raccompagne pas de problème
Comme convenu je les dépose rue de Lucelle au
départ de la rue qui les même au chalet. Je les
quitte avec des bises habituelle et les regarde
s'éloigner d'un air triste.
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Cette séparation transforme mon caractère, jesens que je suis un perdant sans assise. Cette
journée m'a troublé plus que tout, plus rien ne par
dans le bon sens et toutes ses interférences
détiennent des contradictions. Le visage de Céline
fut anxieux, pas besoin d’être un spécialiste pour
le deviner. Cette fin de semaine se termine avec du
traqua, pour chacun d'entre nous, sans l'un
l'autre n'est rien
A mon poste de travail tous se déroule bien, je
conduit ma ligne de transfert comme un connaisseur,
je suis capable de régler les outilles sans comparateur
a l’œil au 1/10 -ème. Cette performance me permet de
gagner du temps sur mes heures de travail.
La semaine de travail se termine, nous somme
vendredi après midi. Comme promis je retourne sur
Ferrette. Je rentre dans la boulangerie pâtisserie
pour acheter quelques friandises comme je l'eus
promis à Stéphanie. Dans le magasin il y a juste
Stéphanie et moi.
de tarte a la myrtille s'il vous plaît.
- Bonjour Marc, oui je te sert trois parts de tartes
a la myrtille.
Elle emballe ces tartelettes dans une petit boite
en carton, la ficelle avec des bandes de papier en
couleur qu'elle frotte avec les tranchants des lames
du ciseau. Celui ci s’enroule comme des cheveux
frisé.
- Cela fait combien Stéphanie ?
- Je te l’offre Marc.
- Merci Stéphanie, n'y a t'il personne dans le
magasin ?
- Non je suis seule, le patron a confiance en
moi . Comme il a une réunion extraordinaire
a la mairie je gère la boulangerie tapisserie.
- As tu des nouvelles de Cécile au sujet de sa
santé ?
- Cécile ne se trouve plus au chalet, elle a dut
quitter le chalet le lundi matin avec toutes ses
les filles mère . Avant de partir elle m'a donné
une lettre a ton adresse, je l'ai posté le lundi
même. Elle ne voulais pas l'envoyer a son
frère car elle m'a dit qu'elle ne peut avoir
confiance en lui.
- Sais tu où elle habite maintenant ?
- C'est écrit dans la lettre, Cécile ne m'a dévoilé
l'adresse. Personne ne doit savoir dans quelle
maison de fille mère elle sera muté. Les bonnes
sœur procèdent toujours de cette manière. Vite
fais ne laisse de trace.
- Ce que tu viens de me dire Stéphanie me fait
mal au cœur, il faut que je trouve ces bonnes
sœurs pour leur demander des explications,
elles n'ont pas le droit de faire disparaître une
personne de cette façon.
- Tu as raison Marc, mais ne dit a personne que
tu me connais cela pourrais couper cour a nos
relations.
ne suis pas pris au dépourvus, Cécile me l'avait fait
savoir qu'en cas de crosses elle sera dirigé dans une
maison de redressement pour filles mères.
- Je sent une tension dans mes intentions, je part
retrouver les bonnes sœurs pour leur demande
des explications. Le te tiens au courant de ce
quelles m'aurons fait savoir ce soir a la fin de
ton travail Stéphanie.
- N oubliez pas votre commande monsieur.
Une personne vient de rentrer dans la
boulangerie pâtisserie.
- Oui Stéphanie, cela fait combien ?
- C'est déjà payé monsieur.
- Merci Stéphanie je suis perturbé j'ai oublié.
J'ouvre la porte vitré de la sortie , celle ci fait sonné un
tintamarre de sons dut a des liges d'aciers qui s'entrechoque. J'en
dose ma volonté de combattre des montagnes de contradiction et
monte au chalet des bonnes sœurs. Je suis prêt a affronter le plus
dur des obstacles, celui de découvrir ce qui se cache derrière cette
DDASS ou bien des bonnes sœurs ?
Me voila devant le fameux chalet de l'orphelinat. Cette grande
battisse en bois de mélèze étale sont ombre sur le parking. Une
grande porte de bois double, en cour l'entrée. Sur la porte une
corde relie une boule en fer polie. Un carré de fer permet de
cogner la boule pour s’annoncer. J'empoigne cette boule et la
laisse rebondir sur le fer carré. La force qu’emmagasine mon
intention la fait rebondir bien 4 fois. Cette action résonne dans
le couloir comme les cloches dans les alpages. Je patient, aucune
personne ne vient, je renouvelle mon acte avec un peu plus
d'enthousiasme. Ma rage me fait hommage . Rien , personne ne
vient. Je répète de plus belle a plusieurs reprises comme un
déchaîné car je suis fâché. Enfin, derrière le judas une bonne
sœur se présente en apparats.
- C'est a quel sujet monsieur ?
- Ma sœur, j'aimerais avoir des nouvelles de mademoiselle
Cécile ?
- Pouvez vous vous présenter monsieur ?
- Je suis le beau frère de Cécile, et ne plus avoir de ses nouvelles
- Monsieur, il n'y a pas de Cécile dans l'orphelinat je ne sais pas
de qui vous parlez.
Elle ferme le judas avec ardeur comme pour me faire comprendre
que je suis gênant. Je m'y risque une nouvelle fois et répète mon
geste a plusieurs reprises. Enfin, une personne ouvre le judas,
me regarde puis ouvre la porte en grand. Me voila devant un
homme avec une corpulence qui ressemble a celui d'un forgeron.
- Monsieur, ici ce n'est pas un endroit pour chercher une
personne perdu, allez plutôt au poste de la police.
- Oui monsieur, je suis votre conseil, je n'ai rien a me reprocher.
La porte se referme avec ardeur. Je poursuis ma recherche et part
au poste de la police. Je retourne dans Ferrette a la mairie. Le poste
de police occupe une pièce au ré de chaussé car une indication m'y
conduit.
J'ai un mal fou de trouver un emplacement pour garer ma voiture
enfin, je peux me placer. Je monte les marches de pierre rouge usé
pour parvenir jusqu’à la porte du poste de police. Avec politesse je
frappe sur la porte vitrée. Le policier un peu surpris me regarde
d'un air ahurie. Je dois certainement l'importuner ?
la disparition de ma belle sœur qui habitait chez les bonnes
sœurs au chalet des orphelins ?
- C'est monsieur comment ?
- Je m'appelle Marc et je suis son beau frère.
Je lui montre mes papiers.
- Monsieur Marc, je peux vous certifier qu'il n'y a jamais eut
de Cécile chez les bonnes sœurs de l'orphelinat , je ne peu
prendre de déposition de recherche.
- Pourtant c'est ma belle sœur et la semaine dernière je me
trouvais avec elle chez le médecin monsieur Miller qui pratique
a Ferrette, je n'en revient pas, il n'est impossible quelle ne se
trouve plus la ?
Je garde un moment de recueille pour ma réflexion et me dis
que c'est bizarre sa réponse. Comment ce fait il qu'il connait le nom
de la personne que je recherche sans que je lui ai soufflé mot ?
- Bon, merci monsieur de votre attention monsieur l'agent de la
police et au revoir .
Je décide de trouver le médecin monsieur Miller en personne et
arrive dans une salle d'attente, la salle est pleine. Je patiente un
- Bonjour madame, le docteur Miller est il là ?
- Non monsieur, c'est un remplaçant, aujourd'hui il se trouve
a la mairie, il y a une réunion avec l'ensemble des élues. Comme
il est maire de Ferrette sa présence est indispensable.
- Merci madame, ce n'est pas la peine que je continue mon attende
c'est monsieur Miller en personne que je voulais contacter
Je suis persuadé que ci je retourne a la mairie je risque de le
rencontrer ?
Me voila de nouveau sur le parking de la mairie, surchargé de
véhicules. Je retrouve ma place quelle chance . Pour me rassurer
que monsieur le docteur Miller se trouve a la réunion je demande
au portier garde champêtre.
- Bonjour monsieur le garde champêtre, pouvez vous me dire
ci monsieur le maire se trouve a la réunion dans la mairie ?
- Oui monsieur, il ne veut être dérangé, avant la fin de la réunion
car l'ensemble des élus s'y trouvent, il y a les adjoints au maire
le notaire, le curé et les responsables de l'institution des
orphelins de la patrie.
- La séance va elle durée longtemps ?
- Merci monsieur le garde champêtre.
Je retourne devant la boulangerie et attend impatiemment
Stéphanie pour lui faire par de ce que j'eu appris
Je patiente car sa journée de travail se termine dans environ
15 minutes. La voila, elle se rapproche de moi et monte dans la
voiture, nous prenons la direction de la route du chalet. En
prenant a gauche, on monte sur le belvédère devant le château de
Ferrette. Je lui rapporte le résultat que j'eu entrepris,
- En premier je suis allez au chalet, la bonne sœur ma dit qu'il
n'y a pas de Cécile dans le chalet, puis elle me ferma la porte
du judas avec ardeur. Je frappe de nouveau avec la boule de
métal sur le carre en acier a plusieurs reprises. Un individu se
présentât dans le judas, puis il ouvrit la grande porte d'entré
pour m'impressionner. Une odeur de savon de Marseille nargue
mes narines. Cet individu a la carrure d'un bûcheron.
- Ça c'est le jardinier Marc, il n'est pas commode et s'appelle
Etienne.
- Il ma fait comprendre que je dois m'adresser au poste de police
qui se trouve a la mairie. J'y suis allé et la aussi personne ne
engager de recherche. Ce qui me semblais bizarre c'est qu'il
prononçait le nom de Cécile sans que je lui en ait fait part ? Je
suis passé chez le médecin monsieur Miller qui ne fut pas la,
une réunion extraordinaire eut lieu a la mairie avec tous les
élus. Je suis retournée a la mairie dans l’espoir de le
rencontrer, le garde forestier ou champêtre ma fait comprendre
qu'il faut parfois attendre jusqu’à minuit pour le rencontrer car
la séance ne doit être interrompu. Voila le rapport de ma journée
Stéphanie.
- Marc il reste une solution pour savoir où Cécile se trouve sois
son frère qui peut te le dire ou alors de mon coté je fouille dans
les archives des dossiers de la DDASS . Je ferais mon possible
pour fouiller de ce coté la dans l'orphelinat. Nous devons
continuer de nous voir pour parvenir a découvrir ce que
pratiquent cet institue en envoyant les jeunes filles mère dans
des centres spécifique.
- Tu as raison Stéphanie, je reviendrais. Au faite, j'ai gardé la
tarte au myrtilles bien emballé, on partage ?
- Ci tu veux, on pourra continuer de discuter.
remarquer que tu rentre en retard.
- Oui je le sais, mais elles ne sont pas aussi vache que cela
souvent je dépasse les heures et elles ne me font pas de
remarque décevante car moi je n'ai personne qui se porte
garant, je suis une orpheline sans reperd. Mon astuce
consiste de dire que je suis passé a la bibliothèque pour
lire un livre et parfois d'en rapporter un. Certaines bonnes
sœurs aime feuilleter des livres bannie par la religion. Elles
dissent d'en ramener en cachette, pour cette raison je dispose
de certaine possibilité.
Nous savourons ces instants de dialogue en mangeant les
tartelettes que Stéphanie ma offert.
- Elles sont délicieuse tes tartelettes Stéphanie, elles ont du
mérite.
- Je ne les ai pas faite, je suis que vendeuse, c'est au pâtissier
qu'il faut faire cette remarque. Lui aussi dépend des pouvoirs
de la DDASS, il occupe le poste d'apprentie pâtissier, je l'aime
bien et on navigue sur les mêmes intentions, ceux de dénoncer
leur exagérations.
pour retrouver les traces de Cécile et connaître où elle a passé.
Je te raccompagne au chalet des bonnes sœurs et ci tu le veux
on se révéra vendredi a la même heure.
- Oui Marc je ferais mon possible pour récolter plus de
renseignements sur Cécile et toutes les autres filles mère qui
sont envoyé a gauche et a droite.
- Moi de même je te donnerais tous ce que je sais Stéphanie
c'est promis.
Je dépose Stéphanie au croisement de la rue de Lucelle comme
je l'ai fait avec Cécile. Cet acte réveille mon passé, une peine réveille
mes pensées, je suis fort et rude mais là je me met a verser des
larmes. Stéphanie disparaît derrière le premier virage, je prend la
route sur Mulhouse. Je retrouve ma mère et la questionne,
- Maman as tu reçu une lettre pour moi ces dernier jours ?
- Non Marc, aucune lettre n'est parvenu a ton nom.
Cette réponse ne m'encourage pas au contraire elle me
La semaine de travail se termine, nous somme
vendredi après midi. Comme promis je retourne sur
Ferrette. Je rentre dans la boulangerie pâtisserie
pour acheter quelques friandises comme je l'eus
promis à Stéphanie. Dans le magasin il y a juste
Stéphanie et moi.
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- Bonjour Stéphanie, pourrais je avoir trois partde tarte a la myrtille s'il vous plaît.
- Bonjour Marc, oui je te sert trois parts de tartes
a la myrtille.
Elle emballe ces tartelettes dans une petit boite
en carton, la ficelle avec des bandes de papier en
couleur qu'elle frotte avec les tranchants des lames
du ciseau. Celui ci s’enroule comme des cheveux
frisé.
- Cela fait combien Stéphanie ?
- Je te l’offre Marc.
- Merci Stéphanie, n'y a t'il personne dans le
magasin ?
- Non je suis seule, le patron a confiance en
moi . Comme il a une réunion extraordinaire
a la mairie je gère la boulangerie tapisserie.
- As tu des nouvelles de Cécile au sujet de sa
santé ?
- Cécile ne se trouve plus au chalet, elle a dut
quitter le chalet le lundi matin avec toutes ses
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affaires. C'est le stratagème que subisse toutesles filles mère . Avant de partir elle m'a donné
une lettre a ton adresse, je l'ai posté le lundi
même. Elle ne voulais pas l'envoyer a son
frère car elle m'a dit qu'elle ne peut avoir
confiance en lui.
- Sais tu où elle habite maintenant ?
- C'est écrit dans la lettre, Cécile ne m'a dévoilé
l'adresse. Personne ne doit savoir dans quelle
maison de fille mère elle sera muté. Les bonnes
sœur procèdent toujours de cette manière. Vite
fais ne laisse de trace.
- Ce que tu viens de me dire Stéphanie me fait
mal au cœur, il faut que je trouve ces bonnes
sœurs pour leur demander des explications,
elles n'ont pas le droit de faire disparaître une
personne de cette façon.
- Tu as raison Marc, mais ne dit a personne que
tu me connais cela pourrais couper cour a nos
relations.
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Sur le moment mon attention prend un choc, jene suis pas pris au dépourvus, Cécile me l'avait fait
savoir qu'en cas de crosses elle sera dirigé dans une
maison de redressement pour filles mères.
- Je sent une tension dans mes intentions, je part
retrouver les bonnes sœurs pour leur demande
des explications. Le te tiens au courant de ce
quelles m'aurons fait savoir ce soir a la fin de
ton travail Stéphanie.
- N oubliez pas votre commande monsieur.
Une personne vient de rentrer dans la
boulangerie pâtisserie.
- Oui Stéphanie, cela fait combien ?
- C'est déjà payé monsieur.
- Merci Stéphanie je suis perturbé j'ai oublié.
J'ouvre la porte vitré de la sortie , celle ci fait sonné un
tintamarre de sons dut a des liges d'aciers qui s'entrechoque. J'en
dose ma volonté de combattre des montagnes de contradiction et
monte au chalet des bonnes sœurs. Je suis prêt a affronter le plus
dur des obstacles, celui de découvrir ce qui se cache derrière cette
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mascarade. Qui a le pouvoir d'agir de la sorte, vient il de laDDASS ou bien des bonnes sœurs ?
Me voila devant le fameux chalet de l'orphelinat. Cette grande
battisse en bois de mélèze étale sont ombre sur le parking. Une
grande porte de bois double, en cour l'entrée. Sur la porte une
corde relie une boule en fer polie. Un carré de fer permet de
cogner la boule pour s’annoncer. J'empoigne cette boule et la
laisse rebondir sur le fer carré. La force qu’emmagasine mon
intention la fait rebondir bien 4 fois. Cette action résonne dans
le couloir comme les cloches dans les alpages. Je patient, aucune
personne ne vient, je renouvelle mon acte avec un peu plus
d'enthousiasme. Ma rage me fait hommage . Rien , personne ne
vient. Je répète de plus belle a plusieurs reprises comme un
déchaîné car je suis fâché. Enfin, derrière le judas une bonne
sœur se présente en apparats.
- C'est a quel sujet monsieur ?
- Ma sœur, j'aimerais avoir des nouvelles de mademoiselle
Cécile ?
- Pouvez vous vous présenter monsieur ?
- Je suis le beau frère de Cécile, et ne plus avoir de ses nouvelles
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m’inquiète.- Monsieur, il n'y a pas de Cécile dans l'orphelinat je ne sais pas
de qui vous parlez.
Elle ferme le judas avec ardeur comme pour me faire comprendre
que je suis gênant. Je m'y risque une nouvelle fois et répète mon
geste a plusieurs reprises. Enfin, une personne ouvre le judas,
me regarde puis ouvre la porte en grand. Me voila devant un
homme avec une corpulence qui ressemble a celui d'un forgeron.
- Monsieur, ici ce n'est pas un endroit pour chercher une
personne perdu, allez plutôt au poste de la police.
- Oui monsieur, je suis votre conseil, je n'ai rien a me reprocher.
La porte se referme avec ardeur. Je poursuis ma recherche et part
au poste de la police. Je retourne dans Ferrette a la mairie. Le poste
de police occupe une pièce au ré de chaussé car une indication m'y
conduit.
J'ai un mal fou de trouver un emplacement pour garer ma voiture
enfin, je peux me placer. Je monte les marches de pierre rouge usé
pour parvenir jusqu’à la porte du poste de police. Avec politesse je
frappe sur la porte vitrée. Le policier un peu surpris me regarde
d'un air ahurie. Je dois certainement l'importuner ?
78
- Bonjour monsieur le policier, pouvez vous me renseigner surla disparition de ma belle sœur qui habitait chez les bonnes
sœurs au chalet des orphelins ?
- C'est monsieur comment ?
- Je m'appelle Marc et je suis son beau frère.
Je lui montre mes papiers.
- Monsieur Marc, je peux vous certifier qu'il n'y a jamais eut
de Cécile chez les bonnes sœurs de l'orphelinat , je ne peu
prendre de déposition de recherche.
- Pourtant c'est ma belle sœur et la semaine dernière je me
trouvais avec elle chez le médecin monsieur Miller qui pratique
a Ferrette, je n'en revient pas, il n'est impossible quelle ne se
trouve plus la ?
Je garde un moment de recueille pour ma réflexion et me dis
que c'est bizarre sa réponse. Comment ce fait il qu'il connait le nom
de la personne que je recherche sans que je lui ai soufflé mot ?
- Bon, merci monsieur de votre attention monsieur l'agent de la
police et au revoir .
Je décide de trouver le médecin monsieur Miller en personne et
arrive dans une salle d'attente, la salle est pleine. Je patiente un
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peu puis demande a ma voisine,- Bonjour madame, le docteur Miller est il là ?
- Non monsieur, c'est un remplaçant, aujourd'hui il se trouve
a la mairie, il y a une réunion avec l'ensemble des élues. Comme
il est maire de Ferrette sa présence est indispensable.
- Merci madame, ce n'est pas la peine que je continue mon attende
c'est monsieur Miller en personne que je voulais contacter
Je suis persuadé que ci je retourne a la mairie je risque de le
rencontrer ?
Me voila de nouveau sur le parking de la mairie, surchargé de
véhicules. Je retrouve ma place quelle chance . Pour me rassurer
que monsieur le docteur Miller se trouve a la réunion je demande
au portier garde champêtre.
- Bonjour monsieur le garde champêtre, pouvez vous me dire
ci monsieur le maire se trouve a la réunion dans la mairie ?
- Oui monsieur, il ne veut être dérangé, avant la fin de la réunion
car l'ensemble des élus s'y trouvent, il y a les adjoints au maire
le notaire, le curé et les responsables de l'institution des
orphelins de la patrie.
- La séance va elle durée longtemps ?
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- D'habitude ça termine a minuit.- Merci monsieur le garde champêtre.
Je retourne devant la boulangerie et attend impatiemment
Stéphanie pour lui faire par de ce que j'eu appris
Je patiente car sa journée de travail se termine dans environ
15 minutes. La voila, elle se rapproche de moi et monte dans la
voiture, nous prenons la direction de la route du chalet. En
prenant a gauche, on monte sur le belvédère devant le château de
Ferrette. Je lui rapporte le résultat que j'eu entrepris,
- En premier je suis allez au chalet, la bonne sœur ma dit qu'il
n'y a pas de Cécile dans le chalet, puis elle me ferma la porte
du judas avec ardeur. Je frappe de nouveau avec la boule de
métal sur le carre en acier a plusieurs reprises. Un individu se
présentât dans le judas, puis il ouvrit la grande porte d'entré
pour m'impressionner. Une odeur de savon de Marseille nargue
mes narines. Cet individu a la carrure d'un bûcheron.
- Ça c'est le jardinier Marc, il n'est pas commode et s'appelle
Etienne.
- Il ma fait comprendre que je dois m'adresser au poste de police
qui se trouve a la mairie. J'y suis allé et la aussi personne ne
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connais Cécile. Le policier ma fait comprendre qu'il ne peutengager de recherche. Ce qui me semblais bizarre c'est qu'il
prononçait le nom de Cécile sans que je lui en ait fait part ? Je
suis passé chez le médecin monsieur Miller qui ne fut pas la,
une réunion extraordinaire eut lieu a la mairie avec tous les
élus. Je suis retournée a la mairie dans l’espoir de le
rencontrer, le garde forestier ou champêtre ma fait comprendre
qu'il faut parfois attendre jusqu’à minuit pour le rencontrer car
la séance ne doit être interrompu. Voila le rapport de ma journée
Stéphanie.
- Marc il reste une solution pour savoir où Cécile se trouve sois
son frère qui peut te le dire ou alors de mon coté je fouille dans
les archives des dossiers de la DDASS . Je ferais mon possible
pour fouiller de ce coté la dans l'orphelinat. Nous devons
continuer de nous voir pour parvenir a découvrir ce que
pratiquent cet institue en envoyant les jeunes filles mère dans
des centres spécifique.
- Tu as raison Stéphanie, je reviendrais. Au faite, j'ai gardé la
tarte au myrtilles bien emballé, on partage ?
- Ci tu veux, on pourra continuer de discuter.
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- Stéphanie ne te met pas en danger, les bonnes sœurs vont leremarquer que tu rentre en retard.
- Oui je le sais, mais elles ne sont pas aussi vache que cela
souvent je dépasse les heures et elles ne me font pas de
remarque décevante car moi je n'ai personne qui se porte
garant, je suis une orpheline sans reperd. Mon astuce
consiste de dire que je suis passé a la bibliothèque pour
lire un livre et parfois d'en rapporter un. Certaines bonnes
sœurs aime feuilleter des livres bannie par la religion. Elles
dissent d'en ramener en cachette, pour cette raison je dispose
de certaine possibilité.
Nous savourons ces instants de dialogue en mangeant les
tartelettes que Stéphanie ma offert.
- Elles sont délicieuse tes tartelettes Stéphanie, elles ont du
mérite.
- Je ne les ai pas faite, je suis que vendeuse, c'est au pâtissier
qu'il faut faire cette remarque. Lui aussi dépend des pouvoirs
de la DDASS, il occupe le poste d'apprentie pâtissier, je l'aime
bien et on navigue sur les mêmes intentions, ceux de dénoncer
leur exagérations.
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- Tu sais Stéphanie je ne veux pas te draguer je suis venu pourpour retrouver les traces de Cécile et connaître où elle a passé.
Je te raccompagne au chalet des bonnes sœurs et ci tu le veux
on se révéra vendredi a la même heure.
- Oui Marc je ferais mon possible pour récolter plus de
renseignements sur Cécile et toutes les autres filles mère qui
sont envoyé a gauche et a droite.
- Moi de même je te donnerais tous ce que je sais Stéphanie
c'est promis.
Je dépose Stéphanie au croisement de la rue de Lucelle comme
je l'ai fait avec Cécile. Cet acte réveille mon passé, une peine réveille
mes pensées, je suis fort et rude mais là je me met a verser des
larmes. Stéphanie disparaît derrière le premier virage, je prend la
route sur Mulhouse. Je retrouve ma mère et la questionne,
- Maman as tu reçu une lettre pour moi ces dernier jours ?
- Non Marc, aucune lettre n'est parvenu a ton nom.
Cette réponse ne m'encourage pas au contraire elle me
bannie de toute espoir. Il se peut que la poste a du retard ?
Je retrouve l'appartement de ma sœur et son mari le samedi
matin. Je leur demande,
- Non Marc on n'a plus de nouvelle.
- Pourtant Pierrot tu es son frère et les bonnes sœurs ont du te
dirent ce qu'est devenu ta sœur Cécile ?
- Elles ne m'ont rien dit, je vais les contacter et te ferais part
de leur remarques.
- Merci Pierrot je compte sur toi.
Je retourne a la maison et redemande mes parents,
- Avez vous reçu une lettre de Cécile ?
- Non Marc.
Mon père vient de rentrer, il me regarde sèchement et dit,
- Sait elle écrire au moi cette fille ?
Cette remarque me vexe profondément .
- Oui elle a appris a l'école comme nous tous et a son certificat
d'étude.
- Ci elle tient a toi, elle t'écrira Marc.
Ma mère me regarde puis hoche la tête et dis, a son tour
- Certain elle t'écrira.
Ce sont les seules paroles qui englobent mes préoccupations. Mais
pour moi ces réponses ne vont pas dans le bon cens, aucune parole
confiance envers ceux qui m'entourent. Je ne dois lâcher prise et
m'engage a continuer ma recherche. Je n'ai pas perdu sur toutes les
faces, il me reste des possibilités que je n'eu exploité.
La semaine devient infernal et interminable. Il me tarde que
vendredi arrive et que Stéphanie me donne des nouvelles plus
concrète et encourageante.
Me voila a Ferrette, a 18 heures. Stéphanie sort de la boulangerie
et vient me rejoindre. Elle me dis,
- Bonsoir Marc, le pâtissier m'a donné des tartelettes de mirabelles
elles sont aussi bonne que celles de myrtilles, allons sur la
corniche du château, en passants d'abord a la bibliothèque.
Je suis ces conseilles, elle y entre rapidement pour en sortir un
gros livre qu'elle tient contre son corps.
- Viens Marc, on peut monter au château de Ferrette.
Je ne dis pas grand chose et suis ses instructions. Je coupe le
moteur de la voiture et garde la radio allumé. C'est Joe Dassin
qui évoque en chanson la joie et le bonheur d'être aimé. Je
retient, On ira où tu voudras, L'été indien, Aux champs Élise.
ces farandoles trottent dans ma tête durant tout le temps que
de bonheur n'est ce pas une manière d’effacer ce qui pesse
lourd sur ton cœur ?
Nous terminons de manger nos tartelettes avec une saveur
particulière, celle d'aimer ce que l'autre vient de partager.
- Merci Stéphanie pour ce partage, elles sont excellente les
tartelettes tu peux remercier le pâtissier de ma part.
- Je le lui ferais savoir Marc, j'ai a te dire que ce pâtissier
Pascal soutient nos recherches car il ne trouve pas ça
normal que des jeunes femmes disparaissent lorsqu’elles
sont enceinte.
- Une aide supplémentaire me fait du bien, je ne suis pas seul
a tenter de découvrir ce qui ce passe . Sur l'avis de ma
famille pas besoin de compter mon beau frère non plus il ne
sens soucie pas ainsi que ma sœur et mon père, j'ai
l’impression que ce qui m'arrive leur fait plaisir.
- Voila les adresses des villes où les jeunes filles mère sont
envoyé, il y a le dispensaire de Mulhouse, la maison de
correction de Modenheim dans le Haut Rhin, dans des régions
du Sud de la France où une communauté maghrébine
cherche des filles Française pour les marier a des maghrébins
pour qu'ils obtiennent la nationalité Française. Je te donne les
adresses mais je ne sais pas dans quel secteur Cécile se trouve
les noms des filles ne sont pas mentionné.
A suivre au 7/10
le roman est en cour de construction, des changement
peuvent suivre
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
La ville de Ferrette existe dans une région de l'Alsace
appelé Sundgau, l'histoire est prise sur des faits passés
sans vouloir toucher les habitants de Ferrette, ce
n'est que de l'imagination. Petite anecdote, ce sont les
lutins de la crotte de Ferrette qui mon raconté l'histoire.
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- Avez vous des nouvelles de Cécile ?- Non Marc on n'a plus de nouvelle.
- Pourtant Pierrot tu es son frère et les bonnes sœurs ont du te
dirent ce qu'est devenu ta sœur Cécile ?
- Elles ne m'ont rien dit, je vais les contacter et te ferais part
de leur remarques.
- Merci Pierrot je compte sur toi.
Je retourne a la maison et redemande mes parents,
- Avez vous reçu une lettre de Cécile ?
- Non Marc.
Mon père vient de rentrer, il me regarde sèchement et dit,
- Sait elle écrire au moi cette fille ?
Cette remarque me vexe profondément .
- Oui elle a appris a l'école comme nous tous et a son certificat
d'étude.
- Ci elle tient a toi, elle t'écrira Marc.
Ma mère me regarde puis hoche la tête et dis, a son tour
- Certain elle t'écrira.
Ce sont les seules paroles qui englobent mes préoccupations. Mais
pour moi ces réponses ne vont pas dans le bon cens, aucune parole
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ne m'encourage je ressent une ingratitude qui déstabilise maconfiance envers ceux qui m'entourent. Je ne dois lâcher prise et
m'engage a continuer ma recherche. Je n'ai pas perdu sur toutes les
faces, il me reste des possibilités que je n'eu exploité.
La semaine devient infernal et interminable. Il me tarde que
vendredi arrive et que Stéphanie me donne des nouvelles plus
concrète et encourageante.
Me voila a Ferrette, a 18 heures. Stéphanie sort de la boulangerie
et vient me rejoindre. Elle me dis,
- Bonsoir Marc, le pâtissier m'a donné des tartelettes de mirabelles
elles sont aussi bonne que celles de myrtilles, allons sur la
corniche du château, en passants d'abord a la bibliothèque.
Je suis ces conseilles, elle y entre rapidement pour en sortir un
gros livre qu'elle tient contre son corps.
- Viens Marc, on peut monter au château de Ferrette.
Je ne dis pas grand chose et suis ses instructions. Je coupe le
moteur de la voiture et garde la radio allumé. C'est Joe Dassin
qui évoque en chanson la joie et le bonheur d'être aimé. Je
retient, On ira où tu voudras, L'été indien, Aux champs Élise.
ces farandoles trottent dans ma tête durant tout le temps que
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nous mangeons nos tartelettes. Ecoute de la musique qui parlede bonheur n'est ce pas une manière d’effacer ce qui pesse
lourd sur ton cœur ?
Nous terminons de manger nos tartelettes avec une saveur
particulière, celle d'aimer ce que l'autre vient de partager.
- Merci Stéphanie pour ce partage, elles sont excellente les
tartelettes tu peux remercier le pâtissier de ma part.
- Je le lui ferais savoir Marc, j'ai a te dire que ce pâtissier
Pascal soutient nos recherches car il ne trouve pas ça
normal que des jeunes femmes disparaissent lorsqu’elles
sont enceinte.
- Une aide supplémentaire me fait du bien, je ne suis pas seul
a tenter de découvrir ce qui ce passe . Sur l'avis de ma
famille pas besoin de compter mon beau frère non plus il ne
sens soucie pas ainsi que ma sœur et mon père, j'ai
l’impression que ce qui m'arrive leur fait plaisir.
- Voila les adresses des villes où les jeunes filles mère sont
envoyé, il y a le dispensaire de Mulhouse, la maison de
correction de Modenheim dans le Haut Rhin, dans des régions
du Sud de la France où une communauté maghrébine
cherche des filles Française pour les marier a des maghrébins
pour qu'ils obtiennent la nationalité Française. Je te donne les
adresses mais je ne sais pas dans quel secteur Cécile se trouve
les noms des filles ne sont pas mentionné.
A suivre au 7/10
le roman est en cour de construction, des changement
peuvent suivre
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
La ville de Ferrette existe dans une région de l'Alsace
appelé Sundgau, l'histoire est prise sur des faits passés
sans vouloir toucher les habitants de Ferrette, ce
n'est que de l'imagination. Petite anecdote, ce sont les
lutins de la crotte de Ferrette qui mon raconté l'histoire.
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