Le printemps d'un homme et d'une femme ( roman sentimental 2/10 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
- Cécile, qu'aimerais tu faire ce jours ci ?
- On pourrais allé au cinémas ?
- C'est une bonne intention, mais quel genre de
films? et ci ton frère veux bien.
- Le docteur Jivago, j'aime bien.Je demande, a
mon frère apprêt le repas de midi
- Tu la déjà vue le film Cécile ?
- Non mais j'en ai entendu parlé et mes
copines en étaient ravie.
cuisine faite pas ma sœur et Cécile mérite toutes
les bonnes remarques.
En prenants le café, nous envisageons de
parler du future mariage de ma sœur.
On énumère la liste des invitées, en premier
le parrain de ma sœur Jean Paul ainsi que sa
femme Christiane, sa marraine Marguerite veuve
depuis deux ans. Notre ongle Jean la tante
Caroline et leur fils Serge qui a 10 ans. Notre
petit frère patrice qui a 15 ans, la petite sœur
Pascale qui a 13 ans, une autre petite sœur Mila
qui a 11 ans un autre petit frère, Christian qui a
10. Ce qui fait 6 enfants et 11 grande personnes
adulte, 17 personnes en tout.
Il en sort la conclusion suivante, Cécile sera
le témoin du mariage de son frère, et moi le
témoin du mariage de ma sœur. La cérémonie
commencera le vendredi après midi dans un
mois. Tous les inscriptions sont en place.
dans l'église de notre quartier, St Geneviève.
Bref, toutes les préparatifs sont mis en route.
Nous somme tous d'accord sur le déroulement
de ce prochain mariage.
Cécile demande alors,
- Et ci se soir nous allions au cinéma Fabienne ?
- Oui Cécile c'est une bonne idée, quel film
allons nous voir ?
- Le docteur Jivago il passe en se moment au
Palace, la séance commence a 20 heures et c'est
un long métrage. Que pense Pierrot ?
- Oui je suis de votre avis.
Ce que mes intentions veulent mettre en place
se déroulent comme sur des roulettes. Je me
réjoui de plus belle.
Nous marchons vers le cinéma le Palace après
le repas du soir. Comme deux couples chacun se
tient la main. La fierté dans mon coeur je suis
comme une tourterelle roucoulant intérieurement
cette bulle l'ivresse d'un satisfait. Il fait bon dans
la rue, un air doux caresse les longues cheveux
châtain de Cécile. Les cheveux blond de ma sœur
suivent le même mouvement. Je retient ceux de
Cécile pour les rabattre vers la droite. Ce geste
freine son pas. Ma sœur continue de marcher
avec Pierrot.
Nos visages se trouvent face a face puis dans
un mouvement synchronisé, nos lèvres se
retrouvent.
Cette acte permet a ma sœur de faire plus de
10 pas. Nous reprenons notre marche avec dans
nos intentions de refaire une pause d'ici peut.
Plus besoin de bises pour bouger les cheveux
ma main les déplacent selon mes envies. Je suis
e bailli par cet acte a telle point que mes
intentions deviennent un code pour nous
rapprocher.
Cécile aime ma manière de procéder, ce qui
me rend charmeur. Les pensées d'un être
étourdie par l'amour consiste de prévoir une
suite plus rapproché. Mon coeur bat la chamade
certain que celui de Cécile aussi.
grand tableaux en papier de couleurs montrent
des scènes du film, ils sont accroché aux
murs de la façade et du couloir qui nous
mènent a la salle de projection.
Il faut monter quelques marches pour parvenir
a un palier, et là sur la droite une porte permet
d’accéder aux toilettes. Nous tournons sur la
gauche pour terminer la monté jusqu’à la salle
de projection.
A l'entrée, une jeune femme nous dirige vers
nos places. La courte jupe laisse apercevoir
le débuts de ses fesses. Je me laisse guider avec
joie. Je ne lâche pas la main de Cécile qui me
tient fortement.
Nous prenons nos places respective et la
jeune femme nous dit,
- Comme c'est un long métrage il y aura
deux pauses. Je serais a votre disposition
pour des popes cornes ou des glaces. Faite en
sorte que vous avez l'argent juste SVP.
reste allumé et l'on peut apercevoir les
personnes présente. Il reste encore 10 minutes
avant que la séance commence. Les strapontins
produisent des grincements a chaque
manipulation. Lorsque j'ai abaissé le mien je
n'est prêté attention mais maintenant au fur
et a mesure que les personnes prennent place, les
grincement se répètent. Au début, l'on regarde
qui est l'auteur, mais a force ce bruit ne nous
fait plus tourner la tête.
- La séance commence.
Nous dit notre guide. Le rideaux s'ouvre et
un prestidigitateur nous fait des démonstrations.
L'on se laisse impressionner puis après nos
applaudissements il disparaît par la droite
derrière le premier rideaux. Le second rideaux
s'ouvre et devant nous une grande étendu
blanche occupe le mur. Un passage sur
d'information actuelle passe, puis des dessins
sur le Bananier lui accorte du bien fait.
Quelques retardataires arrive encore et c'est a
l'aide d'une torche qu'ils sont placé.
Je tente de me rapprocher prêt de Cécile , car
devant moi, tous les couples font comme cela. Je
fais mes premiers pas donc j'observe les autres.
Cécile ne repousse mes intentions et nos mains
se blottissent l'une contre l'autre. Cette forme
de caresse est ce la bonne ?
Les présentations des noms se terminent sous
une musique original. La beauté du film nous
entraîne dans une aventure sentimental. Ébloui
par la présentation et le lieu de l'histoire notre
attention s'y accroche comme témoin. Ne
loupons rien, qui sais, les bonnes sœurs sont
capable de la questionner sur le film qui sais ?
Je garde moi même mon attention par respect
envers Cécile.
Devant moi les couplent s'enlacent, puis se
devant moi. Je le montre a Cécile qui, hoche la
tête en signe incompréhension, du moi je le
pense.
La première entracte s'annonce, la lumière
éclaire les gens qui pour certains sont enlacé
comme des harengs en boite. Les reposes
coudes sont relevé pour qu'ils puissent y parvenir.
Comme prévu, je fais signe a la jeune femme pour
qu'elle nous apporte quatre glaces emballé.
Certaines personnes sortent pour se diriger vers
un bar et y consommer de la boisson. Pour éviter
que la fumer des cigarettes coupe la projection une
interdiction formel est affiché. Deux pompiers de
garde surveillent la salle. Il arrive qu'ils obligent
un sectateur de fumer a l'extérieure.
La seconde partie commence, je reprend mes
habitudes un peux instable. Rester sur place sur un
strapontins en cuir dure, rend les fesses instable. Je
bouge sans arrêt pour me placer différemment.
rester sur place ne correspond a mes habitudes.
Le deuxième entracte s'annonce, la lumière
éclaire la salle. Cécile et moi nous nous levons pour
se diriger vers les toilettes. Notre rapidité et la place
que nous occupons nous permet d'être parmi les
premiers a se trouver devant les toilettes.
Une foule de personnes nous suivent .
Après cette besogne nous restons sur le palier et
expriment nos sentiments sous le regard des gens
qui nous dépassent. Aucune parole n'y règle ne
suis notre envoûtement. On s'embrasse comme
ci cet acte devient une raison d'être.
Le troisième acte commence. J'ai acheté deux
grand paquet de pope corne, un pour nous et
l'autre pour ma sœur.
Il faut chaud dans la salle malgré que le paysage
se passe dans la neige. Je transpire de plus belle
pas par la chaleur mais a mes intentions amoureuse.
retenons que quelques passages.
Sur la route du retour notre joie continue d'exercer
ce besoin continuel de se chérir.
Un heure du matin, on arrive dans l'appartement de
ma sœur et du beau frère. Comme convenue, je peux
dormir sur le canapé et Cécile sur un matelas a mes
cotés.
Quant on aime et que la prénommé de nos amour se
trouve là, juste a coté, il vas de sois que l'un d'entre
nous rejoint l'autre.
Pour dormir a deux sur un canapé a une place il
faut se tenir l'un a l'autre pour ne pas tomber. Par
contre sur un lit d'un mètre de large il y a possibilité
de pouvoir s'y placer a deux en se couchant l'un
contre l'autre. Je patiente et ne m'engage dans une
éventuelle tentation.
Il doit être 2 heures du matin, le silence règne,
tout le monde dort, a part moi. Devrais je me laisser
glisser vers le martela de Cécile ?
personne a devoir l' accepter. J'hésite et retient mes
intentions. La nuit devient longue, car je ne dort pas.
La cloche de l'église donne trois sons. Je suis au
guet comme un garde de nuit attentif a la moindre
alerte. Mon manque de courage me condamne a
attendre, dois ou pas faire le premier pas pour me
blottir contre elle ?
Une main vient me guider, pour que je retrouve
Cécile sur son matelas. La nuit devient lumière et
mon cœur se comble de satisfactions. Je ne rêve plus
je suis ému. Enfin l'espérance tant convoité. Mes
rêves se réalisent et mes intentions se concrétise. Je
suis sur la bonne longueur d'onde, mes premiers pas
pour m'engager dans un accouplement vont bon
train.
En premier une bise, suivi de caresses qui se
partagent sans modération. Aucune parole ne donne
d'indication pour poursuivre ma mis a l'épreuve.
- C'est la première fois que je dort avec un homme.
- Et moi c'est aussi la première fois que je dort a
coté d'une femme.
Cette explication me fait tourner la tête, dire que
pour la première fois je suis avec une femme,
comment vais je devoir continuer ? Je fais glisser
ma main droite sur ses cheveux pour suivre son
corps jusqu'à,
- Ne vas pas plus loin Marc, la première fois on en
reste là. Je ne suis majeur que dans 11 mois et les
bonne sœurs ont bien précisé que ci je fais
l'amour avec un homme avant mes 21 ans elles me
muterons dans une maison de redressement.
- Tu as raison Cécile, restons en là et tenons nous
personne ne peut nous l'interdire.
Mes premiers pas vers l'avenir sentimentale sont
freiné par notre âge. Il reste 11 mois pour qu'elle a
sa majorité et pour moi 12 de plus, ça sera long.
patienterons. Notre fidélité sera le garant pour notre
avenir.
Au petit matin, devant notre déjeuné, nos regards
se croisent comme pour insinuer une certaine sagesse.
Ma sœur et mon beau frère demandent,
- Avez vous passez une bonne nuit ?
- Qui, on a dormis comme des loirs.
On arrête là, pas un mot de plus sur le déroulement
de la nuit. Je leur propose pour midi,
- On cherche des Brochettes dans la cité pour midi ?
- Tu as une bonne idée Marc ça nous évite de faire
a manger.
- Je les cherche avec Cécile .
- Oui tu peux y aller Marc.
Me dis Pierrot.
Enfin, durant cette course, je pourrais connaître
son adresse pour pouvoir lui écrire et qui sais,
peut être la raccompagner plus tard ? Il ne
faut pas que j'oublie de mettre en avance mes
projets .
attendre que nos brochettes sont préparé pour
mettre en place mon dragage .
Cécile ne voit pas cette sortie de la même façon
que moi, pour elle on peut se retrouve seul c'est
important.
Nous somme dans la rue de Strasbourg a
Mulhouse. Cette rue se trouve a 5 minutes en
voitures de la rue de Bâle. Donc, je commande
les brochettes pour quatre personnes par la
petite fenêtre donnant sur le trottoir.
Ce n'est pas la première fois que je fais une
commande auprès de ce Marocain cuisinier et
bouché a la fois. On se salut comme il se doit.
puis il me dit,
- Dans dix minutes elles sont prête Marc.
- Prend ton temps Hammed , je peux draguer
ma copine pendant ce temps.
- Elle s’appelle comment ?
- Cécile,
elle de la région ?
- Non, son père vient d'Algérie du chtebel
et sa mère de la région. Elle est orpheline.
- Honneur a toi Marc de t'occuper d'une fille
sans parents.
- J'attend dans la décapotable Hammed
- Je vient te le dire quant c'est prêt.
Le charbon de bois transmet l'odeur des
grillades jusqu’à la voiture. J'entame mon
questionnaire,
- Cécile me donne tu ton adresse pour que je
puisse t'envoyer une carte postale d'ou je
travail ?
- Je ne peux pas te donner mon adresse, les
bonnes sœurs n'aiment pas que l'on recoin
du courrier. Tu peux envoyer le courrier a
l'adresse ou habite ta sœur et mon frère.
- C'est une bonne idée, tu peux faire de
même Cécile.
suite au 3/10
Le roman est en cour de construction des
changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
La ville de Ferrette existe dans une région de l'Alsace
appelé Sundgau, l'histoire est prise sur des faits passés
sans vouloir toucher les habitants de Ferrette, ce
n'est que de l'imagination. Petite anecdote, ce sont les
lutins de la crotte de Ferrette qui mon raconté l'histoire.
Le printemps d'un homme
et d'une femme.
16
- Cécile, qu'aimerais tu faire ce jours ci ?
- On pourrais allé au cinémas ?
- C'est une bonne intention, mais quel genre de
films? et ci ton frère veux bien.
- Le docteur Jivago, j'aime bien.Je demande, a
mon frère apprêt le repas de midi
- Non mais j'en ai entendu parlé et mes
copines en étaient ravie.
17
Le repas de midi se passe a merveille, lacuisine faite pas ma sœur et Cécile mérite toutes
les bonnes remarques.
En prenants le café, nous envisageons de
parler du future mariage de ma sœur.
On énumère la liste des invitées, en premier
le parrain de ma sœur Jean Paul ainsi que sa
femme Christiane, sa marraine Marguerite veuve
depuis deux ans. Notre ongle Jean la tante
Caroline et leur fils Serge qui a 10 ans. Notre
petit frère patrice qui a 15 ans, la petite sœur
Pascale qui a 13 ans, une autre petite sœur Mila
qui a 11 ans un autre petit frère, Christian qui a
10. Ce qui fait 6 enfants et 11 grande personnes
adulte, 17 personnes en tout.
Il en sort la conclusion suivante, Cécile sera
le témoin du mariage de son frère, et moi le
témoin du mariage de ma sœur. La cérémonie
commencera le vendredi après midi dans un
mois. Tous les inscriptions sont en place.
18
Ils se marieront a la mairie et le samedi quidans l'église de notre quartier, St Geneviève.
Bref, toutes les préparatifs sont mis en route.
Nous somme tous d'accord sur le déroulement
de ce prochain mariage.
Cécile demande alors,
- Et ci se soir nous allions au cinéma Fabienne ?
- Oui Cécile c'est une bonne idée, quel film
allons nous voir ?
- Le docteur Jivago il passe en se moment au
Palace, la séance commence a 20 heures et c'est
un long métrage. Que pense Pierrot ?
- Oui je suis de votre avis.
Ce que mes intentions veulent mettre en place
se déroulent comme sur des roulettes. Je me
réjoui de plus belle.
Nous marchons vers le cinéma le Palace après
le repas du soir. Comme deux couples chacun se
tient la main. La fierté dans mon coeur je suis
comme une tourterelle roucoulant intérieurement
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un joie digne d'un amoureux. Je ressent danscette bulle l'ivresse d'un satisfait. Il fait bon dans
la rue, un air doux caresse les longues cheveux
châtain de Cécile. Les cheveux blond de ma sœur
suivent le même mouvement. Je retient ceux de
Cécile pour les rabattre vers la droite. Ce geste
freine son pas. Ma sœur continue de marcher
avec Pierrot.
Nos visages se trouvent face a face puis dans
un mouvement synchronisé, nos lèvres se
retrouvent.
Cette acte permet a ma sœur de faire plus de
10 pas. Nous reprenons notre marche avec dans
nos intentions de refaire une pause d'ici peut.
Plus besoin de bises pour bouger les cheveux
ma main les déplacent selon mes envies. Je suis
e bailli par cet acte a telle point que mes
intentions deviennent un code pour nous
rapprocher.
Cécile aime ma manière de procéder, ce qui
me rend charmeur. Les pensées d'un être
étourdie par l'amour consiste de prévoir une
suite plus rapproché. Mon coeur bat la chamade
certain que celui de Cécile aussi.
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On arrive devant le cinéma le Palace, où degrand tableaux en papier de couleurs montrent
des scènes du film, ils sont accroché aux
murs de la façade et du couloir qui nous
mènent a la salle de projection.
Il faut monter quelques marches pour parvenir
a un palier, et là sur la droite une porte permet
d’accéder aux toilettes. Nous tournons sur la
gauche pour terminer la monté jusqu’à la salle
de projection.
A l'entrée, une jeune femme nous dirige vers
nos places. La courte jupe laisse apercevoir
le débuts de ses fesses. Je me laisse guider avec
joie. Je ne lâche pas la main de Cécile qui me
tient fortement.
Nous prenons nos places respective et la
jeune femme nous dit,
- Comme c'est un long métrage il y aura
deux pauses. Je serais a votre disposition
pour des popes cornes ou des glaces. Faite en
sorte que vous avez l'argent juste SVP.
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Petit a petit la salle se remplie. La lumièrereste allumé et l'on peut apercevoir les
personnes présente. Il reste encore 10 minutes
avant que la séance commence. Les strapontins
produisent des grincements a chaque
manipulation. Lorsque j'ai abaissé le mien je
n'est prêté attention mais maintenant au fur
et a mesure que les personnes prennent place, les
grincement se répètent. Au début, l'on regarde
qui est l'auteur, mais a force ce bruit ne nous
fait plus tourner la tête.
- La séance commence.
Nous dit notre guide. Le rideaux s'ouvre et
un prestidigitateur nous fait des démonstrations.
L'on se laisse impressionner puis après nos
applaudissements il disparaît par la droite
derrière le premier rideaux. Le second rideaux
s'ouvre et devant nous une grande étendu
blanche occupe le mur. Un passage sur
d'information actuelle passe, puis des dessins
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animés s'y déroulent. Une dernière publicationsur le Bananier lui accorte du bien fait.
Quelques retardataires arrive encore et c'est a
l'aide d'une torche qu'ils sont placé.
Je tente de me rapprocher prêt de Cécile , car
devant moi, tous les couples font comme cela. Je
fais mes premiers pas donc j'observe les autres.
Cécile ne repousse mes intentions et nos mains
se blottissent l'une contre l'autre. Cette forme
de caresse est ce la bonne ?
Les présentations des noms se terminent sous
une musique original. La beauté du film nous
entraîne dans une aventure sentimental. Ébloui
par la présentation et le lieu de l'histoire notre
attention s'y accroche comme témoin. Ne
loupons rien, qui sais, les bonnes sœurs sont
capable de la questionner sur le film qui sais ?
Je garde moi même mon attention par respect
envers Cécile.
Devant moi les couplent s'enlacent, puis se
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caressent. Je ne voie que ceux qui sont justedevant moi. Je le montre a Cécile qui, hoche la
tête en signe incompréhension, du moi je le
pense.
La première entracte s'annonce, la lumière
éclaire les gens qui pour certains sont enlacé
comme des harengs en boite. Les reposes
coudes sont relevé pour qu'ils puissent y parvenir.
Comme prévu, je fais signe a la jeune femme pour
qu'elle nous apporte quatre glaces emballé.
Certaines personnes sortent pour se diriger vers
un bar et y consommer de la boisson. Pour éviter
que la fumer des cigarettes coupe la projection une
interdiction formel est affiché. Deux pompiers de
garde surveillent la salle. Il arrive qu'ils obligent
un sectateur de fumer a l'extérieure.
La seconde partie commence, je reprend mes
habitudes un peux instable. Rester sur place sur un
strapontins en cuir dure, rend les fesses instable. Je
bouge sans arrêt pour me placer différemment.
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Cécile remarque mon, instabilité. Je reconnais querester sur place ne correspond a mes habitudes.
Le deuxième entracte s'annonce, la lumière
éclaire la salle. Cécile et moi nous nous levons pour
se diriger vers les toilettes. Notre rapidité et la place
que nous occupons nous permet d'être parmi les
premiers a se trouver devant les toilettes.
Une foule de personnes nous suivent .
Après cette besogne nous restons sur le palier et
expriment nos sentiments sous le regard des gens
qui nous dépassent. Aucune parole n'y règle ne
suis notre envoûtement. On s'embrasse comme
ci cet acte devient une raison d'être.
Le troisième acte commence. J'ai acheté deux
grand paquet de pope corne, un pour nous et
l'autre pour ma sœur.
Il faut chaud dans la salle malgré que le paysage
se passe dans la neige. Je transpire de plus belle
pas par la chaleur mais a mes intentions amoureuse.
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Durant la bonne heure que déroule le film, nous n'enretenons que quelques passages.
Sur la route du retour notre joie continue d'exercer
ce besoin continuel de se chérir.
Un heure du matin, on arrive dans l'appartement de
ma sœur et du beau frère. Comme convenue, je peux
dormir sur le canapé et Cécile sur un matelas a mes
cotés.
Quant on aime et que la prénommé de nos amour se
trouve là, juste a coté, il vas de sois que l'un d'entre
nous rejoint l'autre.
Pour dormir a deux sur un canapé a une place il
faut se tenir l'un a l'autre pour ne pas tomber. Par
contre sur un lit d'un mètre de large il y a possibilité
de pouvoir s'y placer a deux en se couchant l'un
contre l'autre. Je patiente et ne m'engage dans une
éventuelle tentation.
Il doit être 2 heures du matin, le silence règne,
tout le monde dort, a part moi. Devrais je me laisser
glisser vers le martela de Cécile ?
26
Imposer ma présence serait obliger une autrepersonne a devoir l' accepter. J'hésite et retient mes
intentions. La nuit devient longue, car je ne dort pas.
La cloche de l'église donne trois sons. Je suis au
guet comme un garde de nuit attentif a la moindre
alerte. Mon manque de courage me condamne a
attendre, dois ou pas faire le premier pas pour me
blottir contre elle ?
Une main vient me guider, pour que je retrouve
Cécile sur son matelas. La nuit devient lumière et
mon cœur se comble de satisfactions. Je ne rêve plus
je suis ému. Enfin l'espérance tant convoité. Mes
rêves se réalisent et mes intentions se concrétise. Je
suis sur la bonne longueur d'onde, mes premiers pas
pour m'engager dans un accouplement vont bon
train.
En premier une bise, suivi de caresses qui se
partagent sans modération. Aucune parole ne donne
d'indication pour poursuivre ma mis a l'épreuve.
27
Cécile me chuchote,- C'est la première fois que je dort avec un homme.
- Et moi c'est aussi la première fois que je dort a
coté d'une femme.
Cette explication me fait tourner la tête, dire que
pour la première fois je suis avec une femme,
comment vais je devoir continuer ? Je fais glisser
ma main droite sur ses cheveux pour suivre son
corps jusqu'à,
- Ne vas pas plus loin Marc, la première fois on en
reste là. Je ne suis majeur que dans 11 mois et les
bonne sœurs ont bien précisé que ci je fais
l'amour avec un homme avant mes 21 ans elles me
muterons dans une maison de redressement.
- Tu as raison Cécile, restons en là et tenons nous
personne ne peut nous l'interdire.
Mes premiers pas vers l'avenir sentimentale sont
freiné par notre âge. Il reste 11 mois pour qu'elle a
sa majorité et pour moi 12 de plus, ça sera long.
28
Je reste bien sage mais grâce a nos promesses nouspatienterons. Notre fidélité sera le garant pour notre
avenir.
Au petit matin, devant notre déjeuné, nos regards
se croisent comme pour insinuer une certaine sagesse.
Ma sœur et mon beau frère demandent,
- Avez vous passez une bonne nuit ?
- Qui, on a dormis comme des loirs.
On arrête là, pas un mot de plus sur le déroulement
de la nuit. Je leur propose pour midi,
- On cherche des Brochettes dans la cité pour midi ?
- Tu as une bonne idée Marc ça nous évite de faire
a manger.
- Je les cherche avec Cécile .
- Oui tu peux y aller Marc.
Me dis Pierrot.
Enfin, durant cette course, je pourrais connaître
son adresse pour pouvoir lui écrire et qui sais,
peut être la raccompagner plus tard ? Il ne
faut pas que j'oublie de mettre en avance mes
projets .
29
Je calcule le temps que je dispose pourattendre que nos brochettes sont préparé pour
mettre en place mon dragage .
Cécile ne voit pas cette sortie de la même façon
que moi, pour elle on peut se retrouve seul c'est
important.
Nous somme dans la rue de Strasbourg a
Mulhouse. Cette rue se trouve a 5 minutes en
voitures de la rue de Bâle. Donc, je commande
les brochettes pour quatre personnes par la
petite fenêtre donnant sur le trottoir.
Ce n'est pas la première fois que je fais une
commande auprès de ce Marocain cuisinier et
bouché a la fois. On se salut comme il se doit.
puis il me dit,
- Dans dix minutes elles sont prête Marc.
- Prend ton temps Hammed , je peux draguer
ma copine pendant ce temps.
- Elle s’appelle comment ?
- Cécile,
30
- Jolie comme prénom et ses origines sontelle de la région ?
- Non, son père vient d'Algérie du chtebel
et sa mère de la région. Elle est orpheline.
- Honneur a toi Marc de t'occuper d'une fille
sans parents.
- J'attend dans la décapotable Hammed
- Je vient te le dire quant c'est prêt.
Le charbon de bois transmet l'odeur des
grillades jusqu’à la voiture. J'entame mon
questionnaire,
- Cécile me donne tu ton adresse pour que je
puisse t'envoyer une carte postale d'ou je
travail ?
- Je ne peux pas te donner mon adresse, les
bonnes sœurs n'aiment pas que l'on recoin
du courrier. Tu peux envoyer le courrier a
l'adresse ou habite ta sœur et mon frère.
- C'est une bonne idée, tu peux faire de
même Cécile.
suite au 3/10
Le roman est en cour de construction des
changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
La ville de Ferrette existe dans une région de l'Alsace
appelé Sundgau, l'histoire est prise sur des faits passés
sans vouloir toucher les habitants de Ferrette, ce
n'est que de l'imagination. Petite anecdote, ce sont les
lutins de la crotte de Ferrette qui mon raconté l'histoire.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz
a ce jour, 12 06 2023, 177 562 lecteur .
A ce jour, 18 08 2024, 200 535 lecteurs.
A ce jour, 10 01 2025, 203 690 lecteurs.
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