Le printemps d'un homme et d'une femme ( roman sentimental 1/10 )
Le printemps d'un homme
et d'une femme
I
Je suis plongé dans ma réalisation d'un tableau enmarqueterie. La présentation demande une attention
particulière.
Le téléphone sonne, une fois, deux fois, trois fois, quatre fois,
dois je y aller ? Mon hésitation se dissout , je me déplace
rapidement et, ouf je suis arrivé a temps. Je décroche,
- Bonjour c'est a quel sujet ?
- Bonjour monsieur, c'est bien monsieur Marc?
Me dit une voix de jeune femme.
- Oui madame, que désirez vous ? Me faire de la publicité
comme beaucoup d'autres démarcheurs téléphonique ?
Je regarde sur le téléphone son numéro s'affiche et en plus
un indicatif ( NOTAIRE DE FERRETTE )
II
- Non monsieur Marc, ma présence au téléphone est dut au sujetque je recherche mon père car je suis une enfant adopté par
une famille de Ferrette dans le Haut Rhin . En déposant mon
ADN dans le centre de recherche privé des Etats Unie, j'ai
découvert l'adresse de mon père, vous Monsieur Marc ainsi
que l'adresse de ma mère Cécile.
Cette réponse me choque, je réfléchit, puis, je lui dis,
- Mais madame vous avec quel age ?
- Je suis née au mois de mai 1971 donc j'ai 47 ans. Ce jour là je
fus classé sous X.
- Cette réponse me choque, vous avez 47 ans et moi j'ai 20 ans
de plus. Il faut que je me rappelle de ce moment, car 47 ans sont
passé et depuis j'ai fais ma vie de famille. Je n'en reviens pas, que
c'est possible de retrouver ses parents par cette filière ?
- La technologie de nos jours permet de retourner sur un grand
nombre de faits oublier, aussi bien sur des crimes que sur des
enfants classé sous X. L'état Français ne reconnait pas cette
recherche mais moi j'y crois et beaucoup d'autres personnes.
- Votre recherche est une bonne résolution madame, je suis fière
de vous retrouver car dans le passé toutes mes recherches m'ont
III
mené a rien. Avez vous contactez votre mère Cécile ?- Non pas encore car ci jamais j'apprend que vous l'avez violé a
l'époque, je prendrais sa défense monsieur mon père.
Cette jeune femme a du mordant,
- Ce n'est pas le cas madame ma fille, tout au contraire je vous
suis reconnaissant et prêt a vous raconter l'histoire de nos
relations et de notre amour entre Cécile et moi.
- Je le veux bien monsieur Marc, mais appelez moi par mon
prénom Véronique, je peu vous appelé Marc ?
- Oui Véronique, ne rentrons pas dans une bataille de
compromise et commentons par le début.
- Entendu Marc j'écoute votre aventure sentimental, je
l'enregistre pour la garder en témoignage, es tu d'accord
Marc ?
- Je l'accepte Véronique tu peux enregistrer ce que je te
raconte.
- Marc je met le magnétophone en route, tu peux
commencer l'histoire.
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Le lieu de la rencontre.
C'est bien par là que l'on commence
une histoire. Pour cela il faut connaître
les personnes présentent dans le
déroulement de ce roman. Je ne dis que
les prénoms de peur d’influencer certaines
personnes.
Comme tous les textes, écrit auparavant,
l'imagination détient la source. Certains
faits se sont passé au alentours des
années 1970.
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Mes parents organisent pour lesfiançailles de ma sœur Fabienne une
petite fête. Cette journée permet a nous
tous de rencontrer mon futur beau frère.
Je ne suis pas enchanté par cette fête et
m'y présente le cœur lourd de déception.
Je ne suis pas jaloux au contraire, mais
une onde contradictoire me détourne de
cette rencontre. Je connais mon beau
frère depuis pas mal de temps car je lui
eu accordé mon estime mais ce que je
leur reproche est la promesse non tenu
sur le remboursement de la somme que
je leur ais prêter pour qu'ils trouvent un
appartement .
( Prêter sans redonner devient une perte
sèche pour le préteur. Il faut reconnaître
que celui qui peut prêter est plus riche
que celui qui empreinte, mais aussi que
celui qui ne rend pas s'enrichi au détriment
de celui qui prête.)
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Je fait en sorte que mon mécontentementne se remarquer le moi possible. Bref, nous
somme une famille de 8 personnes. Il y a
ma mère Violette qui a 39 ans,
mon père Richard qui a 41 ans,
ma sœur Sabrina qui a 18 ans,
mon jeune frère Patrice qui a 15 ans,
une autre sœur Pascale, qui a 13 ans,
une autre sœur Mila qui a 11 ans
un autre frère Christian qui a 10 ans.
et moi , Marc, qui a 19 ans.
A cette petite fête se rajoute mon futur
beau frère qui s'appelle Pierre que l'on
nome Pierrot qui a 21 ans passé et sa
sœur Cécité qui a 20 ans . Aucune autre
personne s'y rajoute.
Je suis attiré par la sœur de mon beau
frère, Cécile qui comme par enchantement
se laisse séduire par mes intentions de
dragueur.
J'oublie les petits malentendu et me dit
que je ne perds pas au change car cette
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Cécile m'attire plus que tout. conclusionfaite, il faut que j'active mon flaire de
séduction avec tous les atouts en ma
possession.
Ma corpulence doit lui plaire car Cécile
ne refuse ma présence au contraire elle
se place a table juste a coté de moi.
Je suis un peut timide mais là, ma
faiblesse suit un autre cour. Je me sent
puissant, charmé et surtout enchanté par
cette belle jeune femme juste a coté de
moi. L'on ne parle un seul mot, juste le
regard en dit long.
Sous table, nos pieds se rejoignent et
nos sentiments cultivent certaines bonne
intentions. Les quelles me demandez
vous ? Ceux qui font tourné la tête des
futures amoureux. Je ne parle pas de ma
sœur mais de moi et de Cécile.
Le repas se termine et une petite
promenade s'impose. Cécile demande a
Pierrot,
- Pierrot puis je faire une promenade
seule avec Marc ?
- Cécile, tu es sous ma responsabilité
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et tu sais que c'est grâce a moi mêmeet ma signature que tu as pu sortir
de l'orphelinat des bonnes sœurs .
- Oui Pierrot, je ne frais pas de bêtise.
- Tu peux partir 15 minutes et pas une
minute de plus la DDASS contrôle
le compte rendu de la journée que je
dois leur remettre..
- N'ai pas peur Pierrot, je fait rien de
mal je vais juste prendre l'air et me
promener avec Marc.
- C'est bon tu peux partir te promener
Cécile.
Nous voilà seul avec une liberté
conquise, quelle joie et surtout une
route devant nous. Nos disposons de
15 minutes pour pouvoir communiquer
sans un observateur. Pour cela l'on
prend place sur un banc entre deux
peupliers a la vue de personne. Je lui
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demande,- Cécile que fait tu comme travail dans
ta vie et où habites tu ?
- Je suis dans un orphelinat géré par
des bonnes sœurs de la DDASS. Je
travaille dans une fabrique de montre
en Suisse. Mon salaire est aussi géré
par la DDASS.
- Donc ci je comprend bien La DDASS
garde ton salaire ?
- Oui mais il le gère pour qu'a mes 21
ans, quant je serais majeure j'aurais
une dote.
- Et pour Pierrot, c'était pareille ?
- Lui se trouvais dans une ferme, de la il
a peu apprendre boulanger. Comme
pour moi son salaire fut géré par la
DDASS pour que plus tard a sa
majorité 21 ans, une dote lui sera
remis.
- La DDASS ont une organisation
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parfaite Cécile, je reconnais que leurattention pour les orphelins sont
remarquable. Mais pour quelle raison
vous n'avez plus de famille ?
- Nos origines viennent du Chébel en
Algérie, mon père y a ses racines et
notre mère est Française. Durant la
guerre d'Algérie il faisait partie de
l'armé Française. Vers la fin de la
guerre il fut tué. Depuis là nous
somme des pupilles de la nation
Française.
- Et ta maman qu'est elle devenu ?
- Elle n'a pas supporté la mort de notre
père et a engendré des dépressions .
Elle vie encore mais ne veux rien savoir
de nous.
Un vide se fait, nos intentions sont de se
connaître un peut plus. Oui mais pour cela
nos sentiments nous rapprochent l'un de
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l'autre et toujours un peut plus. Cécile medemande,
- Et toi Marc que fais tu comme travail ?
- Je suis monteur de lignes de haute
tentions. Je suis souvent en
déplacement et voyage d'un
départements a l'autre. Nos somme
une équipe de 5 personnes, 3
Français un Tunisien et un Portugais.
J'ai un bon salaire, 3 fois le revenu
d'un travailleur payé au SMIC et mon
repas comme le logement en
déplacement n'est pas retiré de
mon salaire.
- Mais cela te fais combien d'argent ?
- Le SMIC est a 600 francs donc je
touche 1800 francs par mois plus les
primes de hauteur qui double voir
triple les heures de montage selon
la hauteur. C'est a partir de 25 métrés
qu'une prime nous est donné. Mon
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record en hauteur fut 75 mètres.- Tu n'as pas le vertige a cette hauteur
Marc ?
- Non, avec une équipe qui se soutient
le vertige ne rentre en ligne. Cécile les
15 minutes sont passé, nous devons
rentrer.
- Tu as raison Marc, je risque d'avoir des
ennuies.
La maison de mes parents ne se trouve
pas loin, a 2 minutes ce qui nous permet
de continuer notre conversation.
- Cécile peut on se revoir avant le
mariage de ton frère ?
- Je veux bien Marc, mais ce n'est que
mon frère qui a le droit de me chercher
dans la maison des Bonnes sœurs car
je suis sous sa tutelle jusqu’à ma
majeure, 21 ans.
- Quelle pression qu’exerce les bonnes
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sœurs, ce n'est plus un orphelinatmais ça ressemble a une maison de
redressement. Tu sais Cécile, je n'ai
pas exercé de pression sur ma soeur
quant ton frère la draguait. Curieux
se raisonnement. Être sous tutelle
des Bonnes sœurs a beaucoup de
démérite.
- Je n'est connue aucune autre
instruction que celui de l’orphelinat
et des maisons familiale..
Nous arrivons dans la maison, son frère
regarde méchamment sur sa montre et
dit,
- Cécile tu es a l'heure mais fait très
attention l’orphelinat nous surveille.
Être pupille de la nation c'est devoir
suivre certaines contrainte.
- Je le sais Pierrot et je frais attention.
Nous devons rentrer pour quelle
heure ?
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- Tu dois être a l'orphelinat pour 21heures Cécile.
Je leur demande,
- Voulez vous que je vous ramène ?
Cela me ferait plaisir de pouvoir la
raccompagner Pierrot
Cette proposition a un raison car dans
mes pensées je me suis dit que ci je
connais son adresse, je pourrais la
retrouver éventuellement.
Le frère vois dans cette solution une
faille qui peut détruire le droit de pouvoir
la rechercher. Il m'explique,
- Les Bonnes sœurs sont très stricte
sur les obligations. Aucune fille n'a le
droit de fréquenter un garçon avant
leur majorité. Ci elles découvrent
que la fille a une fréquentation, la fille
sera muté dans un dispensaire qui
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équivaut a une maison où lesrèglements sont plus stricte, elles
appellent cela une maison de
redressement.
- D'accord, je retire ma proposition.
Ce sera pour une autre fois. Mais
pourrais je avoir son adresse
Pierrot ?
- Non elle ne peut pas recevoir de
courrier d'une personne étrangère.
Juste moi j'ai le droit de lui écrire.
On a la chance de passer quelques
instants ensemble ce qui permet de
renforcer nos sentiments. Pour cette
raison je rappelle a Cécile qu'il faut
suivre a la lettre les prescriptions.
des Bonnes sœurs de la DDASS.
Il nous reste qu'une demis heure pour
continuer de nous parler et de rêver d'un
monde meilleur. Il faut pour cela attendre
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nos 21 ans pour que puisse se réalisernos vœux.
A la fin de cette rencontre nous nous
embrassons sur la joue par deux fois.
Je reste étourdie par cette offrande venu
des sacrements de la naissance d'une
relation amoureuse.
Ce dimanche la, mon bonheur comble
ma joie, je me sent comme un roi riche
en sensations.
La semaine qui suit transforme mon
comportement. Je suis heureux comme
un loir et rêveur telle un poète qui
cherche la lumière dans un coin sombre
sans ombre. Mon cœur s’emballe et mon
impatience rallonge les jours sans faire
un détour.
Cécile revient en fin de semaine, pour
le samedi et le dimanche. Quelle chance
de pouvoir la retrouver je suis prêt a
affronter le pire des dangers pour nourrir
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se bonheur.Elle arrive a 11 heure a la gare de
Mulhouse. Je la cherche avec ma voiture
une décapotable, Renaud Caravelle bleu
ciel et accompagné de son frère.
Le beau temps permet d'ouvrir la capote.
Quelle aubaine, ça plaira certainement a
Cécile.
Pas de doute, lorsqu'elle nous aspersoirs,
sa joie se lit sur son visage. Elle n'est
pas seule car moi je vibre de bonheur.
L'on se fait la bise et Cécile se place a
mes coté, son frère sur la banquette arrière.
Le chemin parcourue parait long car nous
ne parlons un seul mot.
Enfin nous voilà arrivé dans l'appartement
de ma sœur et de son frère.
Je la questionne sur ce qu'elle eut fait
durant la semaine et surtout ci elle est
contente de non retrouver.
- Cécile es tu aussi heureuse que moi
pour nos retrouvailles ?
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- Bien entendu Marc, l'impatience mafait tourner la tête a force de savoir que
nous allons nous retrouver.
- Et les bonnes sœurs n'ont elles rien a
te reprocher Cécile ?
- Non, tout se passe normalement, Marc,
j'ai le droits de rester ce samedi et
dormir chez mon frère.
Cette nouvelle je m'en régale de toute
façons, je le savais et espérait qu'elle
vienne cette fin de semaine pour continuer
d'approfondir nos sentiments.
Dans mes pensées un objectif se met
en mouvement, celui de continuer de la
charmer. Mais je pense que les symptômes
du bonheur sont réunie pour encadrer nos
deux vies.
Son frère devient raisonnable, il n'a de
remord pour notre union, pour cette
raison il eut engagé sa responsabilité.
Suite au 2/10
le roman est en cour de construction des
changements vont suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
Ecrit le 01 09 2018.
La ville de Ferrette existe dans une région de l'Alsace
appelé Sundgau, l'histoire est prise sur des faits passés
sans vouloir toucher les habitants de Ferrette, ce n'est
que de l'imagination. Petite anecdote, ce sont les
lutins de la crotte de Ferrette qui mon raconté l'histoire.
A ce jour, 01 09 2019, 114 755 lecteurs.
A ce jour, 16 04 2020, 120 710 lecteurs.
A ce jour, 27 10 2020 133 047 lecteurs.
A ce jour, 12 06 2023, 177 562 lecteurs.
A ce jour, 18 08 2024, 200 531 lecteurs.
A ce jour, 10 01 2025 , 203 690 lecteurs.
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