Le printemps d'un homme et d'une femme ( roman sentimental 8/10 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
Le printemps d'un homme et d'une femme.
Un mois plus tard au moment où je travail
sur un tableau de marqueterie, qui représente
un château, le téléphone sonne. Je regarde
qui cela pourrait bien être ? C'est Véronique
qui m'appelle, je décroche et rapidement ,
une voix enchanté, me dis,
- Bonjour Marc, j'ai récolté des nouvelles de
Cécile.
Cette réponse réconfortante provoque un
sursaut .
- Bonjour Véronique, tous se passent bien
chez toi ? d’après ta voix et ton humeur
tes paroles me vont droit au coeur, es tu
en bonne santé ? Tu sais cela ma intrigué
de n'avoir plus de nouvelle de toi depuis
un mois.
fut aussi facile que cela; Marc , car du coté
de Cécile je suis tombé sur son mari pas
très commode. Je lui eu demandé ci Cécile
fut là pour que je puisse lui parler. Cela
ne lui a pas plus , il voulais en connaître la
raison et le sujet précis de ma requête. Le
mot Cabinet de Notaire sur le téléphone a
dut l'intriguer ? Puis il ma demandé ce je
pouvais lui préciser le sujet notariale
concernant ma recherches. Je me suis
abstenue de donner des précisions mais
lui ai fait part que l’importance de mes
recherches ne peut concerner que sa
femme Cécile. Son mari me fit comprendre
que sans son consentement sa femme ne
peut engager de suite a mon appelle. J'ai
répété mes appelles a plusieurs reprises
dans l’espoir de pouvoir la contacter
personnellement. Un jour, un de ses enfants
comprendre que ses parents sont absent.
Je lui explique que je dois parler qu'a sa
maman et que c'est important, seule elle a
le droit de connaître l'enjeu de ma
recherche. L'enfant, une fille, se mit
d'accord pour que sa maman Cécile me
rappelle a mon cabinet de Notaire a Ferrette
avec le téléphone de sa voisine car son
père ne veut pas que sa maman Cécile
touche le téléphone. Le jour suivant je reçois
l'appelle de Cécile qui provenais de sa
voisine. Je me présente a elle et lui explique
que j'ai laissé faire des recherches au USA
pour retrouver mes parents car je suis une
enfant placé sous X . C'est grâce a cette
technologie américaine que j'ai retrouvé
mes parents et leur adresses. Sur le moment
Cécile crue en un canulars, puis un vide se
fit, suivi des pleurs de joies. Je lui est fait
elle eut reconnu ta voix Marc. Ce moment
fut grandiose pour elle comme pour moi.
Puis elle a craqué et me précise qu'elle eut
une enfant fille qu'elle dut placer sous X
suite aux pressions des bonnes sœurs qui
l'on baptisé et lui on donné un nom que Cécile
ne connaît pas. L'enfant fut placé dans une
famille de la région de Ferrette.
Je suis surpris par cette annonce et ressent
en moi un bonheur retrouvé et une peine en
même temps. Rien que de savoir que Cécile
se trouve en vie, réveille ce fluide amoureux de
jadis.
- Ma curiosité n'a de limite, j'aimerais savoir
ci Cécile ne ma pas oublié ?
- Ma mère Cécile ne t'a pas oublié Marc, au
contraire le fait de savoir que tu es en vie
l'encourage aussi.
- Je suis surprit par cette réponse, mais pour
plus en vie ?
- Ton beau frère lui a fait croire cette histoire.
- Je n'en reviens pas Véronique, que lui a ton
dit au juste ? Serais se ça la raison qu'elle
disparue de ma vie ?
- Cécile explique dans l'enregistrement que
j'ai fait ce qui la obligé d’agir de la sorte,
Marc, qu'en penses-tu ci je te la fait écouter ?
- Véronique, le faire passer sur un téléphone
c'est le distribuer au grand jour, je
préférerais l’entendre avec toi ci tu le veux
et en même temps faire ta connaissance
car maintenant tu sais que ce fut notre
amour qui a permis de te crée.
- Je suis prête a faire ta connaissance Marc
et a réécouter l'enregistrement que ma
mère Cécile ma donné.
- Où pourrais je te trouver Véronique ?
- Tout simplement a l'endroit de la rue de
chemin qui mène au chalet anciennement
la maison des bonnes sœurs de la DDASS.
- Et quel jour Marc ?
- Un samedi après midi dans deux semaines
a 14 heures.
- Entendu Véronique, je serais a notre
rendez-vous.
Ce jour là je me suis trouvé a l'emplacement
convenu, ma joie est grande surtout de
retrouver cette fille que Cécile et moi avions
fait avec amour. Je connais Véronique par
sa photo qui se trouve en tête de ligne sur
chaque message.
Mais une photos reste inerte, pouvoir
dialoguer avec elle c'est vivre ce que l'on
aurait aimé dans le passé. Une question trouble
mes pensées, serait elle en rogne contre
moi et sa mère Cécile de l'avoir abandonné ?
dans son coeur ?
J'ai personnellement deux enfants, une fille
et un garçon devenu grand mais un peu plus
jeune que Véronique, je leur eut accordé toute
mon attention et affection ainsi que mes
loisirs pour qu'ils puissent suivre le droit
chemin.
Pour cette fille que je vais découvrir il me
manque l'envie de partager toute l'affection
que je n'ai su lui donner. Pourtant une autre
famille eut partager a ma place cette affection .
Certainement que cette famille , plus instruite
que moi, lui eut donné un savoir supérieur ?
Sur la route qui mène a Ferrette, je suis
passé dans la clairière où nos relations
trouvaient l'amour et les intentions de notre
union. Les sentiments reviennent et mon
coeur rajeunie. Un rayonnement embellie mon
visage je ne suis plus le même quelque chose
chevaux bleu que je découvre se changement .
J'eus tiré la toile du toit pour en faire une
décapotable. Le peu de cheveux qu'il me
reste se sont emmêlé, je n'ai rien pour me
coiffer, je ne suis pas présentable.
des vacanciers la regarde pour la
photographier. Je suis un peu curieux et a
mon tour j'en fais le tour.
Véronique n'est pas au point de notre
rendez-vous, je doute qu'elle ne vienne
certainement qu'elle a renoncé ou un
empêchement la retenue ?
Je tourne autour de la voiture rouge et
cherche a oublier le rendez-vous. Je tente
de comparer l'heure de la voiture rouge et
de ma montre. La mienne retarde de 15
minutes, est ce possible ?
Donc Véronique fut la avant moi et
comme j'ai du retard elle eut douté de ma
venu et est repartie.
Je suis déçus de ma personne mais je
reste un petit moment, qui sais, elle va
revenir ?
Une jeune femme bien habillé au cheveux
pas remarqué sur le moment mais quant
elle m'appelle et me dit a haute voix,
- Marc je suis là c'est Véronique.
Je me rapproche d'elle et mon coeur
virevolte de mille bonheur. Véronique
avance en même temps que moi. Puis on se
fait la bisse comme de
vrais amis habitué. Des larmes inondent les
joues de Véronique, moi je reste sec et
laisse couler mon bonheur dans le fond de
mon coeur.
non pas de peine mais de joie.
- Je suis enchanté de te rencontrer
Véronique, tu ressembles a ta mère
comme un reflet.
- Merci Marc, tu as toute les valeurs d'un
père et surtout d’être venu . Je ne
pensais pas que tu veux me rencontrer
car le retard m'a déstabilisé.
retard, mais reconnais que je suis
enchanté pour toutes les démarches que
tu as faite Véronique car je suis ravi
autant que ta mère Cécile.
- Marc, il y a trots de monde par ici,
allons sur le parking qui se trouve au
pied du château de Ferrette car le
chemin pour monter au sommet n'est
plus accessible en voiture.
Véronique prend sa voiture rouge et moi
je la suis. Nous stationnons sur le parking
prévu.
Avec son lecteur de CD Véronique et moi
nous empruntons le chemin qui mène
au Château. Devant nous la ville de Ferrette
étale ses maisons qui ont augmenté depuis
ma dernière visite. Sur le banc, du belvédère
Véronique me fait écouter l'enregistrement
du CD. Une voix connu réveille en moi
Cécile commence a parler, des promeneurs
interrompent notre écoute.
- Bonjour madame Véronique.
- Bonjour messieurs dames .
- Pourrais ont avoir un rendez-vous dans
votre cabinet ?
- Appelez moi sur le téléphone lundi matin
pour enregistrer votre demande et
consulter mon argentas.
- Merci madame la notaire et bonne
journée.
Véronique me regarde d'un air un peu
intimidé, puis elle me dit,
- Je crois Marc que cet endroit ne convient
pas a l'écoute de l'enregistrement, allons
faire la connaissance de mes parents
adoptif , je n'habite pas loin on sera plus
tranquille car ici il y a trots de personnes
qui passent.
plusieurs personnes nous salut avec respect.
Nous leur rendons poliment. Nous en route
pour Sondersdorf.
On arrive devant l'entrée grande ouverte
de la cour qui donne sur une spacieuse
maison de maître. Un chien vient a notre
rencontre pendant que la troisième porte
de garage s'ouvre automatiquement. Je
suis épaté et gare ma voiture sur le coté.
Une dame au grand âge arrive,
- Bonjour monsieur, je suis enchanté de
faire votre connaissance, je suis
Marguerite la maman adoptif de
Véronique.
- Bonjour madame, je suis Marc , le père
de Véronique que j’aurais aimé connaître
depuis sa naissance. Connaissez
vous les raisons qui nous ont séparé ?
- Oui monsieur Marc, on a écouté
qui l'eurent soutenu et conseillé dans ses
démarches. En écoutant votre témoignage
et celui de sa maman l'on c'est rendu
compte que les pratiques de l'époque
étaient intentionnelle. Comme nous ne
pouvions avoir d'enfant, le médecin
monsieur Miller avec l’accord des bonnes
sœurs nous ont dirigé vers l’adoption de
Véronique. Par la suite on a fait que
Véronique hérite de notre bien et du
cabinet de Notaire. Pour qu'elle hérite
de tout le bien elle a dut prendre notre
nom de famille.
Marguerite m'explique cela sur le parcours en
se dirigeant vers l'habitation. Elle parle comme
pour se défendre d'une éventuelle accusation.
Véronique marche a coté de nous et le chien
frotte sa tête contre mes genoux pour me faire
comprendre que je suis le bien venu. Je suis
et dis ,
- Je suis étourdie par l'ensemble de ce que
vous m'apprenez madame Marguerite. Je
trouve dans votre initiative de bonne
intentions, je ne vous en veux pas au
contraire et je suis ravie de retrouver
Véronique vivante et en bonne mains. A
l’époque j'eus du mal a supporter la
disparition de Cécile et de notre enfant
durant tout mon service militaire dans la
région a Altkirch. Je n'en reviens pas et
suis tout ému. Ma curiosité et l'amour que
je porte pour Cécile renaît. Mon impatience
de pouvoir la retrouver .
- Rentrez monsieur Marc, je vous présente mon
mari qui se déplace dans une chaise roulante.
- Oui madame Marguerite je vous suit votre
invitation.
Me voilà dans une grande salle de réception où
chaises capitonnés l'entourent. Sur la table un
magnifique bouquet de fleurs occupe un vase
en verre coloré, certainement qu'il provient de
la cristallerie de Baccarat dans les Vosges ? Le
chien nous a suivit, il m'apporte sa balle pour
que je joue avec lui. Je reste debout, Véronique
me présente,
- Voila mon vrai père, il s'appelle Marc.
Le père adoptif me regarde sympathiquement
puis me dit,
- Bonjour monsieur Marc, je suis enchante de
faire votre connaissance.
- Bonjour monsieur le notaire.
- Appelé moi Serge, Marc et prenez place où
bon vous semble. Je prend de l'âge et mes
réactions ne sont plus aussi réactif. Je vous
raconte pour quel raison nous décidions de
faire des recherches et le pourquoi. Un
jour de printemps une personne est venu se
début de l'année. Elle nous demanda ce
qu'est devenu la fille que l'on a adopté en 1971 ?
Je suis resté perplexe sur le coup et me suis
demandé ci c'était elle la maman de notre
fille, Véronique ? Je continuais de l'écouter
et une intrigue prit naissance en moi. Serais
ce la vraie maman de Véronique ? Je continua
de l'écouter. Elle me dit qu'elle eut séjourné
de 1960 a 1970 dans l'orphelinat des bonnes
sœurs de Ferrette et qu'elle recherche la mère
de cet enfant. Elle s'appelle Stéphanie et a fait
une fugue avec le pâtissier de la boulangerie
de Ferrette vers les USA. Sa copine lui est
très chère, comme elle est venu en vacance
dans la région elle aimerais avoir l'ADN de
notre fille adoptif ci elle veux bien car au USA
il est possible de retrouver les parents ce
qu'elle aimerait entreprendre. Ce qu'elle nous
eut révélé me parut étrange ? Je l'eus questionné
adopté ? Elle nous répondit qu'elle eut recopier
toutes les adresses des personnes qui se sont
proposé pour adopter un enfants d'une fille
mère. Les meneurs sont le docteur Miller maire
de Ferrette et la sœur responsable de la DDASS
qui géraient cela. Le docteur trouvais dans
cette combine des électeurs et la bonne sœur
fit d’après elle une bonne action. Les bonnes
sœurs n'avaient rien a se reprocher elles
montraient aux filles comment cacher une
grossesse le plus longtemps possible et avant
de mettre au monde elles les mutaient dans des
familles accueilles dispatcher autour de
l’orphelinat puis les filles mère accouchaient
dans les hôpitaux sous X sans donner de prénom.
Les bonnes sœurs avaient des relations avec
des familles maghrébine dans le sud de la France
là, elles les envoyaient pour que les filles mère
puissent marier un maghrébin, par cet action
Cette échange pouvais se faire par une sorte
de chantage car les bonnes sœurs faisaient
peur aux filles mère en les menaçant de les
envoyer dans des maisons de redressement.
Toutes les filles mère prévue pour un mariage
avec un maghrébin devaient mimé d’être vierge.
Pour cela elles eurent comme consigne d'avoir
des relations avec l'élu du mariage le jour où
des traces de leur règles font croire qu'elle
ont leur premier rapport. Cette explication
nous eut donné l'envie d'entamer des
recherches avec l'ADN de Véronique pour
retrouver ses vrais parents. C'est pratique
n'est pas reconnu en France.
Monsieur Serge a du mal a continuer ses
explications, il a besoin de souffler un peu car
après avoir déchargé se qu'il avait sur le cœur,
une fatigue le domina. Je lui dis ,
- Monsieur Serge, je vous remercie pour vos
fille qui m'était inconnue. Sans cette recherche
et votre accord a tous nous aurions retrouvé
nos trace.
- Oui Serge, repose toi monsieur Marc a raison
tu as libéré le poids qui se trouvait dans ton
cœur.
Après cette remarque Véronique se lève pour
chercher des verres sur un plateau. Marguerite
apporte un kouglof, une sorte de brioche ronde
qu'elle place sur la table. Il doit être frais car un
parfum d'amandes chauffé émet son odeur. Elles
sont bronzé et brillante car Marguerite vient de le
poudrer d'un filet de sucre. On dirais qu'un peu de
neige le caresse. Véronique demande,
- Que peut on te servir Marc ?
- Je prend un verre de Gewurztraminer.
- Et toi Serge ?
- Oui c'est une bonne idée, je prend aussi un verre
de Gewurztraminer.
- Le vin blanc n'est pas ma boisson préféré, sert
moi un thé Véronique.
- Je fais comme toi Marguerite, je vais chercher de
l'eau chaude.
- Reste la Véronique, je m'occupe de la suite.
Plus personne ne parle, un vide se fait. Le chien
reste couché a mes pieds.
suite au 9/10
Le roman est en cour de construction, des changements
peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
La ville de Ferrette existe dans une région de l'Alsace
appelé Sundgau, l'histoire est prise sur des faits passés
sans vouloir toucher les habitants de Ferrette, ce
n'est que de l'imagination. Petite anecdote, ce sont les
lutins de la crotte de Ferrette qui mon raconté l'histoire.
101
Le printemps d'un homme et d'une femme.
Un mois plus tard au moment où je travail
sur un tableau de marqueterie, qui représente
un château, le téléphone sonne. Je regarde
qui cela pourrait bien être ? C'est Véronique
qui m'appelle, je décroche et rapidement ,
une voix enchanté, me dis,
- Bonjour Marc, j'ai récolté des nouvelles de
Cécile.
Cette réponse réconfortante provoque un
sursaut .
- Bonjour Véronique, tous se passent bien
chez toi ? d’après ta voix et ton humeur
tes paroles me vont droit au coeur, es tu
en bonne santé ? Tu sais cela ma intrigué
de n'avoir plus de nouvelle de toi depuis
un mois.
102
- Je m'en suis douté, mais mon enquête nefut aussi facile que cela; Marc , car du coté
de Cécile je suis tombé sur son mari pas
très commode. Je lui eu demandé ci Cécile
fut là pour que je puisse lui parler. Cela
ne lui a pas plus , il voulais en connaître la
raison et le sujet précis de ma requête. Le
mot Cabinet de Notaire sur le téléphone a
dut l'intriguer ? Puis il ma demandé ce je
pouvais lui préciser le sujet notariale
concernant ma recherches. Je me suis
abstenue de donner des précisions mais
lui ai fait part que l’importance de mes
recherches ne peut concerner que sa
femme Cécile. Son mari me fit comprendre
que sans son consentement sa femme ne
peut engager de suite a mon appelle. J'ai
répété mes appelles a plusieurs reprises
dans l’espoir de pouvoir la contacter
personnellement. Un jour, un de ses enfants
103
eut décroché le téléphone. Elle me fitcomprendre que ses parents sont absent.
Je lui explique que je dois parler qu'a sa
maman et que c'est important, seule elle a
le droit de connaître l'enjeu de ma
recherche. L'enfant, une fille, se mit
d'accord pour que sa maman Cécile me
rappelle a mon cabinet de Notaire a Ferrette
avec le téléphone de sa voisine car son
père ne veut pas que sa maman Cécile
touche le téléphone. Le jour suivant je reçois
l'appelle de Cécile qui provenais de sa
voisine. Je me présente a elle et lui explique
que j'ai laissé faire des recherches au USA
pour retrouver mes parents car je suis une
enfant placé sous X . C'est grâce a cette
technologie américaine que j'ai retrouvé
mes parents et leur adresses. Sur le moment
Cécile crue en un canulars, puis un vide se
fit, suivi des pleurs de joies. Je lui est fait
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écouter une partie de mon enregistrementelle eut reconnu ta voix Marc. Ce moment
fut grandiose pour elle comme pour moi.
Puis elle a craqué et me précise qu'elle eut
une enfant fille qu'elle dut placer sous X
suite aux pressions des bonnes sœurs qui
l'on baptisé et lui on donné un nom que Cécile
ne connaît pas. L'enfant fut placé dans une
famille de la région de Ferrette.
Je suis surpris par cette annonce et ressent
en moi un bonheur retrouvé et une peine en
même temps. Rien que de savoir que Cécile
se trouve en vie, réveille ce fluide amoureux de
jadis.
- Ma curiosité n'a de limite, j'aimerais savoir
ci Cécile ne ma pas oublié ?
- Ma mère Cécile ne t'a pas oublié Marc, au
contraire le fait de savoir que tu es en vie
l'encourage aussi.
- Je suis surprit par cette réponse, mais pour
105
quelle raison a telle pensé que je ne suisplus en vie ?
- Ton beau frère lui a fait croire cette histoire.
- Je n'en reviens pas Véronique, que lui a ton
dit au juste ? Serais se ça la raison qu'elle
disparue de ma vie ?
- Cécile explique dans l'enregistrement que
j'ai fait ce qui la obligé d’agir de la sorte,
Marc, qu'en penses-tu ci je te la fait écouter ?
- Véronique, le faire passer sur un téléphone
c'est le distribuer au grand jour, je
préférerais l’entendre avec toi ci tu le veux
et en même temps faire ta connaissance
car maintenant tu sais que ce fut notre
amour qui a permis de te crée.
- Je suis prête a faire ta connaissance Marc
et a réécouter l'enregistrement que ma
mère Cécile ma donné.
- Où pourrais je te trouver Véronique ?
- Tout simplement a l'endroit de la rue de
106
Lucelle a Ferrette au croisement duchemin qui mène au chalet anciennement
la maison des bonnes sœurs de la DDASS.
- Et quel jour Marc ?
- Un samedi après midi dans deux semaines
a 14 heures.
- Entendu Véronique, je serais a notre
rendez-vous.
Ce jour là je me suis trouvé a l'emplacement
convenu, ma joie est grande surtout de
retrouver cette fille que Cécile et moi avions
fait avec amour. Je connais Véronique par
sa photo qui se trouve en tête de ligne sur
chaque message.
Mais une photos reste inerte, pouvoir
dialoguer avec elle c'est vivre ce que l'on
aurait aimé dans le passé. Une question trouble
mes pensées, serait elle en rogne contre
moi et sa mère Cécile de l'avoir abandonné ?
107
Ou le fait elle pour combler un vide maternelledans son coeur ?
J'ai personnellement deux enfants, une fille
et un garçon devenu grand mais un peu plus
jeune que Véronique, je leur eut accordé toute
mon attention et affection ainsi que mes
loisirs pour qu'ils puissent suivre le droit
chemin.
Pour cette fille que je vais découvrir il me
manque l'envie de partager toute l'affection
que je n'ai su lui donner. Pourtant une autre
famille eut partager a ma place cette affection .
Certainement que cette famille , plus instruite
que moi, lui eut donné un savoir supérieur ?
Sur la route qui mène a Ferrette, je suis
passé dans la clairière où nos relations
trouvaient l'amour et les intentions de notre
union. Les sentiments reviennent et mon
coeur rajeunie. Un rayonnement embellie mon
visage je ne suis plus le même quelque chose
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a changé. C'est dans le rétroviseur de la 2chevaux bleu que je découvre se changement .
J'eus tiré la toile du toit pour en faire une
décapotable. Le peu de cheveux qu'il me
reste se sont emmêlé, je n'ai rien pour me
coiffer, je ne suis pas présentable.
109
Une voiture rouge stationne a mes cotés,des vacanciers la regarde pour la
photographier. Je suis un peu curieux et a
mon tour j'en fais le tour.
Véronique n'est pas au point de notre
rendez-vous, je doute qu'elle ne vienne
certainement qu'elle a renoncé ou un
empêchement la retenue ?
Je tourne autour de la voiture rouge et
cherche a oublier le rendez-vous. Je tente
de comparer l'heure de la voiture rouge et
de ma montre. La mienne retarde de 15
minutes, est ce possible ?
Donc Véronique fut la avant moi et
comme j'ai du retard elle eut douté de ma
venu et est repartie.
Je suis déçus de ma personne mais je
reste un petit moment, qui sais, elle va
revenir ?
Une jeune femme bien habillé au cheveux
110
long et châtain m'observe de loin. Je ne l'aipas remarqué sur le moment mais quant
elle m'appelle et me dit a haute voix,
- Marc je suis là c'est Véronique.
Je me rapproche d'elle et mon coeur
virevolte de mille bonheur. Véronique
avance en même temps que moi. Puis on se
fait la bisse comme de
vrais amis habitué. Des larmes inondent les
joues de Véronique, moi je reste sec et
laisse couler mon bonheur dans le fond de
mon coeur.
non pas de peine mais de joie.
- Je suis enchanté de te rencontrer
Véronique, tu ressembles a ta mère
comme un reflet.
- Merci Marc, tu as toute les valeurs d'un
père et surtout d’être venu . Je ne
pensais pas que tu veux me rencontrer
car le retard m'a déstabilisé.
111
- Je suis émus et m'excuse pour monretard, mais reconnais que je suis
enchanté pour toutes les démarches que
tu as faite Véronique car je suis ravi
autant que ta mère Cécile.
- Marc, il y a trots de monde par ici,
allons sur le parking qui se trouve au
pied du château de Ferrette car le
chemin pour monter au sommet n'est
plus accessible en voiture.
Véronique prend sa voiture rouge et moi
je la suis. Nous stationnons sur le parking
prévu.
Avec son lecteur de CD Véronique et moi
nous empruntons le chemin qui mène
au Château. Devant nous la ville de Ferrette
étale ses maisons qui ont augmenté depuis
ma dernière visite. Sur le banc, du belvédère
Véronique me fait écouter l'enregistrement
du CD. Une voix connu réveille en moi
112
des pensées sentimentale. A peine queCécile commence a parler, des promeneurs
interrompent notre écoute.
- Bonjour madame Véronique.
- Bonjour messieurs dames .
- Pourrais ont avoir un rendez-vous dans
votre cabinet ?
- Appelez moi sur le téléphone lundi matin
pour enregistrer votre demande et
consulter mon argentas.
- Merci madame la notaire et bonne
journée.
Véronique me regarde d'un air un peu
intimidé, puis elle me dit,
- Je crois Marc que cet endroit ne convient
pas a l'écoute de l'enregistrement, allons
faire la connaissance de mes parents
adoptif , je n'habite pas loin on sera plus
tranquille car ici il y a trots de personnes
qui passent.
113
Nous redescendons du château etplusieurs personnes nous salut avec respect.
Nous leur rendons poliment. Nous en route
pour Sondersdorf.
On arrive devant l'entrée grande ouverte
de la cour qui donne sur une spacieuse
maison de maître. Un chien vient a notre
rencontre pendant que la troisième porte
de garage s'ouvre automatiquement. Je
suis épaté et gare ma voiture sur le coté.
Une dame au grand âge arrive,
- Bonjour monsieur, je suis enchanté de
faire votre connaissance, je suis
Marguerite la maman adoptif de
Véronique.
- Bonjour madame, je suis Marc , le père
de Véronique que j’aurais aimé connaître
depuis sa naissance. Connaissez
vous les raisons qui nous ont séparé ?
- Oui monsieur Marc, on a écouté
114
l'enregistrement. C'est mon mari et moiqui l'eurent soutenu et conseillé dans ses
démarches. En écoutant votre témoignage
et celui de sa maman l'on c'est rendu
compte que les pratiques de l'époque
étaient intentionnelle. Comme nous ne
pouvions avoir d'enfant, le médecin
monsieur Miller avec l’accord des bonnes
sœurs nous ont dirigé vers l’adoption de
Véronique. Par la suite on a fait que
Véronique hérite de notre bien et du
cabinet de Notaire. Pour qu'elle hérite
de tout le bien elle a dut prendre notre
nom de famille.
Marguerite m'explique cela sur le parcours en
se dirigeant vers l'habitation. Elle parle comme
pour se défendre d'une éventuelle accusation.
Véronique marche a coté de nous et le chien
frotte sa tête contre mes genoux pour me faire
comprendre que je suis le bien venu. Je suis
115
entrain de découvrir intolérance de l'époqueet dis ,
- Je suis étourdie par l'ensemble de ce que
vous m'apprenez madame Marguerite. Je
trouve dans votre initiative de bonne
intentions, je ne vous en veux pas au
contraire et je suis ravie de retrouver
Véronique vivante et en bonne mains. A
l’époque j'eus du mal a supporter la
disparition de Cécile et de notre enfant
durant tout mon service militaire dans la
région a Altkirch. Je n'en reviens pas et
suis tout ému. Ma curiosité et l'amour que
je porte pour Cécile renaît. Mon impatience
de pouvoir la retrouver .
- Rentrez monsieur Marc, je vous présente mon
mari qui se déplace dans une chaise roulante.
- Oui madame Marguerite je vous suit votre
invitation.
Me voilà dans une grande salle de réception où
116
une grande table en chêne occupe le centre. Huitchaises capitonnés l'entourent. Sur la table un
magnifique bouquet de fleurs occupe un vase
en verre coloré, certainement qu'il provient de
la cristallerie de Baccarat dans les Vosges ? Le
chien nous a suivit, il m'apporte sa balle pour
que je joue avec lui. Je reste debout, Véronique
me présente,
- Voila mon vrai père, il s'appelle Marc.
Le père adoptif me regarde sympathiquement
puis me dit,
- Bonjour monsieur Marc, je suis enchante de
faire votre connaissance.
- Bonjour monsieur le notaire.
- Appelé moi Serge, Marc et prenez place où
bon vous semble. Je prend de l'âge et mes
réactions ne sont plus aussi réactif. Je vous
raconte pour quel raison nous décidions de
faire des recherches et le pourquoi. Un
jour de printemps une personne est venu se
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présenter dans notre cabinet de notaire audébut de l'année. Elle nous demanda ce
qu'est devenu la fille que l'on a adopté en 1971 ?
Je suis resté perplexe sur le coup et me suis
demandé ci c'était elle la maman de notre
fille, Véronique ? Je continuais de l'écouter
et une intrigue prit naissance en moi. Serais
ce la vraie maman de Véronique ? Je continua
de l'écouter. Elle me dit qu'elle eut séjourné
de 1960 a 1970 dans l'orphelinat des bonnes
sœurs de Ferrette et qu'elle recherche la mère
de cet enfant. Elle s'appelle Stéphanie et a fait
une fugue avec le pâtissier de la boulangerie
de Ferrette vers les USA. Sa copine lui est
très chère, comme elle est venu en vacance
dans la région elle aimerais avoir l'ADN de
notre fille adoptif ci elle veux bien car au USA
il est possible de retrouver les parents ce
qu'elle aimerait entreprendre. Ce qu'elle nous
eut révélé me parut étrange ? Je l'eus questionné
118
comment se fait il qu'elle sut que nous l’eûmesadopté ? Elle nous répondit qu'elle eut recopier
toutes les adresses des personnes qui se sont
proposé pour adopter un enfants d'une fille
mère. Les meneurs sont le docteur Miller maire
de Ferrette et la sœur responsable de la DDASS
qui géraient cela. Le docteur trouvais dans
cette combine des électeurs et la bonne sœur
fit d’après elle une bonne action. Les bonnes
sœurs n'avaient rien a se reprocher elles
montraient aux filles comment cacher une
grossesse le plus longtemps possible et avant
de mettre au monde elles les mutaient dans des
familles accueilles dispatcher autour de
l’orphelinat puis les filles mère accouchaient
dans les hôpitaux sous X sans donner de prénom.
Les bonnes sœurs avaient des relations avec
des familles maghrébine dans le sud de la France
là, elles les envoyaient pour que les filles mère
puissent marier un maghrébin, par cet action
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le maghrébin obtient la nationalité Française.Cette échange pouvais se faire par une sorte
de chantage car les bonnes sœurs faisaient
peur aux filles mère en les menaçant de les
envoyer dans des maisons de redressement.
Toutes les filles mère prévue pour un mariage
avec un maghrébin devaient mimé d’être vierge.
Pour cela elles eurent comme consigne d'avoir
des relations avec l'élu du mariage le jour où
des traces de leur règles font croire qu'elle
ont leur premier rapport. Cette explication
nous eut donné l'envie d'entamer des
recherches avec l'ADN de Véronique pour
retrouver ses vrais parents. C'est pratique
n'est pas reconnu en France.
Monsieur Serge a du mal a continuer ses
explications, il a besoin de souffler un peu car
après avoir déchargé se qu'il avait sur le cœur,
une fatigue le domina. Je lui dis ,
- Monsieur Serge, je vous remercie pour vos
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recherches, je suis enchanté se retrouver mafille qui m'était inconnue. Sans cette recherche
et votre accord a tous nous aurions retrouvé
nos trace.
- Oui Serge, repose toi monsieur Marc a raison
tu as libéré le poids qui se trouvait dans ton
cœur.
Après cette remarque Véronique se lève pour
chercher des verres sur un plateau. Marguerite
apporte un kouglof, une sorte de brioche ronde
qu'elle place sur la table. Il doit être frais car un
parfum d'amandes chauffé émet son odeur. Elles
sont bronzé et brillante car Marguerite vient de le
poudrer d'un filet de sucre. On dirais qu'un peu de
neige le caresse. Véronique demande,
- Que peut on te servir Marc ?
- Je prend un verre de Gewurztraminer.
- Et toi Serge ?
- Oui c'est une bonne idée, je prend aussi un verre
de Gewurztraminer.
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- Et toi Marguerite ?- Le vin blanc n'est pas ma boisson préféré, sert
moi un thé Véronique.
- Je fais comme toi Marguerite, je vais chercher de
l'eau chaude.
- Reste la Véronique, je m'occupe de la suite.
Plus personne ne parle, un vide se fait. Le chien
reste couché a mes pieds.
suite au 9/10
Le roman est en cour de construction, des changements
peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
La ville de Ferrette existe dans une région de l'Alsace
appelé Sundgau, l'histoire est prise sur des faits passés
sans vouloir toucher les habitants de Ferrette, ce
n'est que de l'imagination. Petite anecdote, ce sont les
lutins de la crotte de Ferrette qui mon raconté l'histoire.
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