l'appelé roman aventure 7/12
Mirage au dessus des nuages sage n 1
7/12
le roman est en cour de construction, des
changements peuvent suivre
auteur Mutz Jean Jacques
A ce jour, 22 09 2019, 115 450 lecteurs.
A ce jour, 20 03 2020, 120 142 lecteurs.
7/12
reste 6 mois
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A la fin de chaque deuxième mois
l'attribution des véhicules se fait. On nous attribut
deux véhicules différents qui sont sous notre
responsabilité. Je prends en charge un camion
Renaud 4x4 de 3,5 T et qui me sert a chercher
les victuailles tôt le matin sur le marcher de
Mulhouse. En plus on m'attribue le camion-citerne
qui s'utilise qu'en temps de manœuvre.
Je pars trois fois par semaine au marché de
Mulhouse avec un lieutenant responsable des achats
pour la messe des officiers et pour la cantine des soldats.
99
L'importance des achats, pour une cantine de
1000 soldats est volumineux. Cela me donne un plus
auprès des commerçants qui m'offrent des cartons
de yaourts, des coupes de fromages de toutes sorte, et
des noies de beurre. Je n'oublie pas ceux qui me font
part de cageots de pommes, de poires, d'oranges et de
bananes. Je ne suis pas le seul a faire des achats, d'autres
collègues partent sur le marchés d'Altkirch.
A notre retour, nous faisons la distribution entre les
occupant de la chambrées. Une bonne ambiance règne
dans notre chambre, notre coordination est
synchronisée comme une horloge, un pour tous et tous
pour un.
Le lieutenant responsable des achats est très
sympathique. Mon véhicule 4x4 Renauld a des fuites
d'eau sur le radiateur. Chaque matin, je suis obligé de
rajouter 3 litres d'eau. J'ai faut un rapport sur cette
anomalie au garage du premier échelon, mais ceux
qui ci trouvent ne trouvent rien ou ne veulent y
toucher. l'ambition de la réparation s'en est allé
même Alfred, non camarade n'a plus la pêche.
100
Un matin j'oublie de faire le rajout, une chaleur
matinal d'été, fait monter la température au retour
du marché de Mulhouse. La lumière rouge du
tableau de bord s'allume et une vapeur s'échappe du
capots. Me voilà dans de beaux draps. Je sais que l'on
risque une panne et je sais comment la réparer, mais
ce n'est plus ma fonction. Une station de carburant
se trouve sur notre route et le lieutenant part chercher
de l'eau pour la rajouter. L' histoire se termine sans
qu'un rapport fût établi. J'ai eu chaud
cela m'aurais coûte une blâme pour mon permis de
conduire et une série de piquets d'incendie.
Ce lieutenant est un amateur de champignon, je
lui indique un emplacement où on peut en trouver.
Je me suis pas connaisseur et les avais découverts en
se promenant dans la foret avec Mimi. Après avoir
décharger le véhicule, nous roulons dans les chemins
de la foret où se trouve les champignons.
Effectivement il y en a, mais ces champignons ne
sont pas comestibles. Au fond de moi, je me suis dit
que je viens de faire une gaffe. Je lui explique,
- Vous savez mon lieutenant je ne suis pas
connaisseur
101
Il ne m'en voulais pas heureusement pour moi.
On possède une télévision dans notre chambre,
mais elle ne fonctionne. Je n'y prête mon attention,
comme je pars a chaque possibilité cette distraction
m'importe peu. Les
appelés qui restent en fin de semaine me demande
ci je connais un réparateur dans la région. Pas de
problème, bien sûr que je sais où se trouve un
réparateur dans Altkirch il suffit de lui apporter la
télévision.
Je me suis renseigné auparavant chez le réparateur.
Je peux sortir avec mon 4x4 Renaud comme
bon me semble le piquet de garde me laisse passer
sans un contrôle, du moment qu'un chef de bord se
trouve à mes côtés.
Plusieurs volontaires se proposent. Toute la
chambrée veut prêter main forte. Après un trie,
4 personnes se trouvent dans le plateau fermé d'une
bâche et une autre comme chef de bord .
passer sans jeter un coup d’œil a l'arrière du plateau.
La barrière s'ouvre et en route sur Altkirch. Je
stationné le 4x4 devant le réparateur, 6 personnes en
sortent et entre dans le magasin avec la télévision. Le
petit local est remplit, il n'y a plus de place.
On demande l'avis au technicien et la somme a
débourser ? Le techniciens emporte la télévision dans
son atelier et nous dit de patienter. Il revient 10
minutes plus tard et dit qu'une somme de 160
francs est nécessaire. Une nouvelle télévision de
la même taille vaux 1000 francs. Nous concluons de
demander l'avis des autres camarade de la
chambrée. La télévision reste chez le réparateur
et nous retournons chez les hussards. Avec l'avis
de tous, nous concluons de partager les frais.
2 jours plus tard on recherche la télévision avec
d'autres camarades. Pour la décharger du 4x4
il faire le placer en marche arrière et
personne ne remarque notre manipulation
comme on la fait pour l'emmener.
Nous la plaçons et la mettons en fonction.
magnifique elle fonctionne. je dis,
- on c'en est bien sortie, il nous a demandé
que 50 francs, il a fait un geste pour nous les
appelés.
Une personne qui m'a accompagné, sort de sa
poche une poignée de piles pour la radio. En plus
il dit,
- avec des piles que j'ai embarquées on s'en sort
bien.
Je n'est rien remarqué lorsqu'il a pris les
piles, je ne suis pas fière.
Mes rencontres le soir avec Mimi renforce notre
union. Depuis qu'elle habite à 7 km je ne retourne
plus sur Mulhouse. Pendant les permissions je
dors dans la maison des parents de Mimi. Comme
il y a un couloir spacieux, je dore dans le couloir
lorsque la nuit est profonde et que les rêves
endorment ceux qui ont sommeille, l'amour
rassemble ceux qui s'aiment. Mimi me retrouve
dans le couloir. la promesse donné est de ne
consommer que lorsque l'on est marier. Ce ne
sont que nos caresses sages qui nous inondent
d'amour. A chaque retour dans le quartier des
hussards je fertilise ma fierté d'être aimé.
Dans la chambrée, un nouveau arrivé, un
chauffeur attitré au lieutenant-colonel est
parmi nous. Le lieutenant-colonel habite dans
un petit château de la région. Le chef de
chambré vient le trouver et lui dit devant nous,
- Le lieutenant-colonel à oublié son journal,
il faut le récupérer dans le château et le
demander à sa femme. Mais quand il
rencontre madame la colonel, il faut dire
en premier, mes hommages madame la
colonel, j'aimerai le journal que le lieutenant
colonel eut oublier.
Il hoche la tête en signe d'avoir bien comprit.
plus un fromage bien emballé. Au repas de
midi il nous explique son aventure,
- J'ai fait comme on me la dit, j'ai demandé
du fromage et le journal a madame la
lieutenant-colonel.
Toute la chambrée se met a rire.
Depuis que nous pouvons regarder des
programmes sur la télévision nos apprêt midi
change, on peu regarder des films sans l'avis
de nos supérieures. Pour passer inaperçu dans
la chambre, nous laissons la fenêtre entrouverte
pour que nous pouvons y entrer. Il n'y a plus
de grand effort a l'air de lavage, les programmes
nous on rendu dépendant.
Un après-midi une revue de chambre est faite.
Notre porte d'entrée est fermée à clé de
l'intérieur. Le sergent chef qui dois faire la visite
insiste sur la porte et remarque qu'elle est fermée
de l'intérieur la clé est resté dessus.
Sauve qui peut, toute la chambré saute par la
fenêtre et l'on se dirige vers notre aire de lavage
où se trouvent les véhicules. Notre peur nous
joue des tours, on a même oublié d'éteindre la
télévision et de prendre la clé de la porte. Sur
l'air de lavage on décide de désigner un
volontaire pour retourner dans la chambre et
éteindre la télévision en plus récupérer la clé.
On est deux, un camarade des deux Sèvres et moi
qui retournons dans la chambre par la fenêtre.
Je cherche la clé pendant que mon camarade
éteint la télévision. J'ouvre la porte et par trouver
le sergent-chef. Celui-ci est a l'air de lavage pour
contrôler les personnes présente. Nous arrivons
juste a ce moment. Il regroupe la chambrée puis
demande,
- Les quels d'entre vous sont resté dans la
chambre?
l'occasion de rentrer régulièrement dans leur
foyer et me présent. Le collègue de deux Sèvres
en fait autant, un troisième se rajoute, c'est celui
qui eut vidé le rayon de piles. Tous les 3 on se
retrouvent dans le bureau de celui qui vient de
faire le rapport. Je me présente et lui remet la clé
et dis,
- Je l'avais oublié dans ma poche, chef
- Mais vous étiez pas mal de personnes d'apprêt
le bruit?
- On jouait aux cartes.
Il me regarde d'un air souriant et dit,
- Mais on ne joue pas aux cartes avec un raffut
pareil.
Il nous sourit,
- Je ne peux pas laisser passer cette négligence
pour tous les trois.
Le raffut provenait du film où les romanches
firent une bataille. je ne souffle un mot.
On possède une télévision dans notre chambre,
mais elle ne fonctionne. Je n'y prête mon attention,
comme je pars a chaque possibilité cette distraction
m'importe peu. Les
appelés qui restent en fin de semaine me demande
ci je connais un réparateur dans la région. Pas de
problème, bien sûr que je sais où se trouve un
réparateur dans Altkirch il suffit de lui apporter la
télévision.
Je me suis renseigné auparavant chez le réparateur.
Je peux sortir avec mon 4x4 Renaud comme
bon me semble le piquet de garde me laisse passer
sans un contrôle, du moment qu'un chef de bord se
trouve à mes côtés.
Plusieurs volontaires se proposent. Toute la
chambrée veut prêter main forte. Après un trie,
4 personnes se trouvent dans le plateau fermé d'une
bâche et une autre comme chef de bord .
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On arrive au poste de garde, comme de coutume jepasser sans jeter un coup d’œil a l'arrière du plateau.
La barrière s'ouvre et en route sur Altkirch. Je
stationné le 4x4 devant le réparateur, 6 personnes en
sortent et entre dans le magasin avec la télévision. Le
petit local est remplit, il n'y a plus de place.
On demande l'avis au technicien et la somme a
débourser ? Le techniciens emporte la télévision dans
son atelier et nous dit de patienter. Il revient 10
minutes plus tard et dit qu'une somme de 160
francs est nécessaire. Une nouvelle télévision de
la même taille vaux 1000 francs. Nous concluons de
demander l'avis des autres camarade de la
chambrée. La télévision reste chez le réparateur
et nous retournons chez les hussards. Avec l'avis
de tous, nous concluons de partager les frais.
2 jours plus tard on recherche la télévision avec
d'autres camarades. Pour la décharger du 4x4
il faire le placer en marche arrière et
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passer la télévision par la fenêtre pour quepersonne ne remarque notre manipulation
comme on la fait pour l'emmener.
Nous la plaçons et la mettons en fonction.
magnifique elle fonctionne. je dis,
- on c'en est bien sortie, il nous a demandé
que 50 francs, il a fait un geste pour nous les
appelés.
Une personne qui m'a accompagné, sort de sa
poche une poignée de piles pour la radio. En plus
il dit,
- avec des piles que j'ai embarquées on s'en sort
bien.
Je n'est rien remarqué lorsqu'il a pris les
piles, je ne suis pas fière.
Mes rencontres le soir avec Mimi renforce notre
union. Depuis qu'elle habite à 7 km je ne retourne
plus sur Mulhouse. Pendant les permissions je
dors dans la maison des parents de Mimi. Comme
il y a un couloir spacieux, je dore dans le couloir
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sur un canapé lit qui y est installé.lorsque la nuit est profonde et que les rêves
endorment ceux qui ont sommeille, l'amour
rassemble ceux qui s'aiment. Mimi me retrouve
dans le couloir. la promesse donné est de ne
consommer que lorsque l'on est marier. Ce ne
sont que nos caresses sages qui nous inondent
d'amour. A chaque retour dans le quartier des
hussards je fertilise ma fierté d'être aimé.
Dans la chambrée, un nouveau arrivé, un
chauffeur attitré au lieutenant-colonel est
parmi nous. Le lieutenant-colonel habite dans
un petit château de la région. Le chef de
chambré vient le trouver et lui dit devant nous,
- Le lieutenant-colonel à oublié son journal,
il faut le récupérer dans le château et le
demander à sa femme. Mais quand il
rencontre madame la colonel, il faut dire
en premier, mes hommages madame la
colonel, j'aimerai le journal que le lieutenant
colonel eut oublier.
Il hoche la tête en signe d'avoir bien comprit.
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Il revient avec dans sa main, le journal et enplus un fromage bien emballé. Au repas de
midi il nous explique son aventure,
- J'ai fait comme on me la dit, j'ai demandé
du fromage et le journal a madame la
lieutenant-colonel.
Toute la chambrée se met a rire.
Depuis que nous pouvons regarder des
programmes sur la télévision nos apprêt midi
change, on peu regarder des films sans l'avis
de nos supérieures. Pour passer inaperçu dans
la chambre, nous laissons la fenêtre entrouverte
pour que nous pouvons y entrer. Il n'y a plus
de grand effort a l'air de lavage, les programmes
nous on rendu dépendant.
Un après-midi une revue de chambre est faite.
Notre porte d'entrée est fermée à clé de
l'intérieur. Le sergent chef qui dois faire la visite
insiste sur la porte et remarque qu'elle est fermée
de l'intérieur la clé est resté dessus.
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- Ouvrez la porte, c'est un contrôle.Sauve qui peut, toute la chambré saute par la
fenêtre et l'on se dirige vers notre aire de lavage
où se trouvent les véhicules. Notre peur nous
joue des tours, on a même oublié d'éteindre la
télévision et de prendre la clé de la porte. Sur
l'air de lavage on décide de désigner un
volontaire pour retourner dans la chambre et
éteindre la télévision en plus récupérer la clé.
On est deux, un camarade des deux Sèvres et moi
qui retournons dans la chambre par la fenêtre.
Je cherche la clé pendant que mon camarade
éteint la télévision. J'ouvre la porte et par trouver
le sergent-chef. Celui-ci est a l'air de lavage pour
contrôler les personnes présente. Nous arrivons
juste a ce moment. Il regroupe la chambrée puis
demande,
- Les quels d'entre vous sont resté dans la
chambre?
109
Dans ma tête je pense à ceux qui n'ont pasl'occasion de rentrer régulièrement dans leur
foyer et me présent. Le collègue de deux Sèvres
en fait autant, un troisième se rajoute, c'est celui
qui eut vidé le rayon de piles. Tous les 3 on se
retrouvent dans le bureau de celui qui vient de
faire le rapport. Je me présente et lui remet la clé
et dis,
- Je l'avais oublié dans ma poche, chef
- Mais vous étiez pas mal de personnes d'apprêt
le bruit?
- On jouait aux cartes.
Il me regarde d'un air souriant et dit,
- Mais on ne joue pas aux cartes avec un raffut
pareil.
Il nous sourit,
- Je ne peux pas laisser passer cette négligence
pour tous les trois.
Le raffut provenait du film où les romanches
firent une bataille. je ne souffle un mot.
110
- J'ai devant moi trois consignés pour une
semaine de garde aussi bien le samedi et le
dimanche.
En informant nos collègues, une résolution
est prise, un pour tous et tous pour les uns. Comme
les noms sont sur les treillis il est faciles de
changer la personne.
Je fais une garde de nuit, de 2 heures du matin
à 4 heures. Cette garde consiste de garder les
réserves de combustibles et les camions dans les
hangars. Je fais quelque pas entre l'air de lavage,
les réserves de carburants et les hangars des
véhicules. Quant la nuit est calme et que l'on
monte la garde, le moindre bruit me met a l’affût.
Sur le fusil une baïonnette est monté et on dispose
d'un chargeur de 5 balles, oui, mais ces cartouches
son enveloppé dans du tissus. Il est impossible de
tirer. 2 heures ce n'est pas long, mais dans la nuit
sans un bruit, on croit à l'infini. Sur mes oreilles
j'ai des écouteurs pour une petite radio qui émet
branché. A cet instant, un routier demande de
l'aide pour résoudre une panne sur son camion.
je lui aurai dit ce qu'il faut faire mais, je n'ai pas
de téléphone et les écoute patiemment.
Un bruit de frottement de cailloux me rappelle
celui des pas. Je reste en position de garde mais
fait comme si rien n'était. Une ombre tente de me
surprendre, je cris
- Halte là qui vas là?
Cette personne se rapproche de moi.
- halte là ou je fais feu ?
La personne en treillis me dit,
- Tu n'as pas de cartouche dans ton fusil, les
balles <sont cousues.
aussi sec je réponds,
- Approche encore un pas et tu verras, qui te
dit que je n'ai pas gradé des balles du stand de
tir ?
Le soldat reste au pas, je m'approche de lui la
- Le mot de passe,
- Compliment.
je lui réponds,
- parfait. Tu as eu de la chance car je ne
t'aurais pas loupé.
- Mais as tu des cartouches ?
- Pas du tout, en premier je t'assomme pour
que tu ne souffres pas, ensuite je te pointe
en plein coeur avec la baïonnette.
Au courant
fait les restant des consignes a moi et mes 2
autres collègues.
Dans notre chambre l'armurier occupe un lit
mais ce n'est pas souvent qu'il dort dans la
chambre. Il reste seul dans l'armurerie et y
dore. Quant c'est l'heure du repas nous le
remplaçons à tour de rôle. Il vient des Vosges
et nous raconte qu'il est triste car sa copine la
quitté. Son moral est bien bas, ce soir-là, il
On ne sait pas la suite, aucun signe sur sa
santé, tout est caché.
Il est remplacé par un nouveau, un peut
timide et qui passe son temps a faire de la
broderie. Un peut timide, il nous fait part qu'il
est malheureux car il ne trouve de femme.
Nous lui apportons un journal régional où
des rencontres sont possible. Sans tarder il
écrit au journal pour recevoir des informations
sur la jeune femme qui y figure en photo. Une
lettre arrive avec les coordonnées de la société
patrimoniale et une facture salée qui précise le
mondant de cette rencontre. La somme dépasse
celui des revenus d'un appelé. Il n'y répondit
et ne s'y engage pas. Quelques jours plus tard,
une lettre d'huissier vient l'intimider, l'huissier
lui impose cette somme d'une manière
agressive et décourageante. le voilà dans de
beau draps. Il faut trouver une solution pas
On décide de contacter le lieutenant-colonel
par l’intermédiaire du chauffeur qui se trouve
dans notre chambre.
Un autre appelé vient dans notre chambre.
Il est un peu plus aisé que nous tous et nous
demande,
- Y a-t-il une personne qui veut faire son lit
chaque jours, il sera payé ?
Tout le monde se regarde, notre étonnement est,
comme figée sur un acte qui n'est pas à notre
portée, être le plus riche des pauvres c'est obliger
le plus pauvre a accepter les ordres du plus riche.
Doit-on accepter cette offre ?
L'union fait avec la force son bon résonnement ,
ensemble on lui explique que toute la chambrée
doit faire son service sans passer par les avantages
financier.
Personne ne lui fait son lit comme convenu.
la fin du mois d’août est là.
semaine de garde aussi bien le samedi et le
dimanche.
En informant nos collègues, une résolution
est prise, un pour tous et tous pour les uns. Comme
les noms sont sur les treillis il est faciles de
changer la personne.
Je fais une garde de nuit, de 2 heures du matin
à 4 heures. Cette garde consiste de garder les
réserves de combustibles et les camions dans les
hangars. Je fais quelque pas entre l'air de lavage,
les réserves de carburants et les hangars des
véhicules. Quant la nuit est calme et que l'on
monte la garde, le moindre bruit me met a l’affût.
Sur le fusil une baïonnette est monté et on dispose
d'un chargeur de 5 balles, oui, mais ces cartouches
son enveloppé dans du tissus. Il est impossible de
tirer. 2 heures ce n'est pas long, mais dans la nuit
sans un bruit, on croit à l'infini. Sur mes oreilles
j'ai des écouteurs pour une petite radio qui émet
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de la musique route la nuit, les routiers y sontbranché. A cet instant, un routier demande de
l'aide pour résoudre une panne sur son camion.
je lui aurai dit ce qu'il faut faire mais, je n'ai pas
de téléphone et les écoute patiemment.
Un bruit de frottement de cailloux me rappelle
celui des pas. Je reste en position de garde mais
fait comme si rien n'était. Une ombre tente de me
surprendre, je cris
- Halte là qui vas là?
Cette personne se rapproche de moi.
- halte là ou je fais feu ?
La personne en treillis me dit,
- Tu n'as pas de cartouche dans ton fusil, les
balles <sont cousues.
aussi sec je réponds,
- Approche encore un pas et tu verras, qui te
dit que je n'ai pas gradé des balles du stand de
tir ?
Le soldat reste au pas, je m'approche de lui la
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baïonnette pointé vers lui.- Le mot de passe,
- Compliment.
je lui réponds,
- parfait. Tu as eu de la chance car je ne
t'aurais pas loupé.
- Mais as tu des cartouches ?
- Pas du tout, en premier je t'assomme pour
que tu ne souffres pas, ensuite je te pointe
en plein coeur avec la baïonnette.
Au courant
fait les restant des consignes a moi et mes 2
autres collègues.
Dans notre chambre l'armurier occupe un lit
mais ce n'est pas souvent qu'il dort dans la
chambre. Il reste seul dans l'armurerie et y
dore. Quant c'est l'heure du repas nous le
remplaçons à tour de rôle. Il vient des Vosges
et nous raconte qu'il est triste car sa copine la
quitté. Son moral est bien bas, ce soir-là, il
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tente de se suicider avec un pistolet.On ne sait pas la suite, aucun signe sur sa
santé, tout est caché.
Il est remplacé par un nouveau, un peut
timide et qui passe son temps a faire de la
broderie. Un peut timide, il nous fait part qu'il
est malheureux car il ne trouve de femme.
Nous lui apportons un journal régional où
des rencontres sont possible. Sans tarder il
écrit au journal pour recevoir des informations
sur la jeune femme qui y figure en photo. Une
lettre arrive avec les coordonnées de la société
patrimoniale et une facture salée qui précise le
mondant de cette rencontre. La somme dépasse
celui des revenus d'un appelé. Il n'y répondit
et ne s'y engage pas. Quelques jours plus tard,
une lettre d'huissier vient l'intimider, l'huissier
lui impose cette somme d'une manière
agressive et décourageante. le voilà dans de
beau draps. Il faut trouver une solution pas
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que lui aussi ne fait une tentative de suicide.On décide de contacter le lieutenant-colonel
par l’intermédiaire du chauffeur qui se trouve
dans notre chambre.
Un autre appelé vient dans notre chambre.
Il est un peu plus aisé que nous tous et nous
demande,
- Y a-t-il une personne qui veut faire son lit
chaque jours, il sera payé ?
Tout le monde se regarde, notre étonnement est,
comme figée sur un acte qui n'est pas à notre
portée, être le plus riche des pauvres c'est obliger
le plus pauvre a accepter les ordres du plus riche.
Doit-on accepter cette offre ?
L'union fait avec la force son bon résonnement ,
ensemble on lui explique que toute la chambrée
doit faire son service sans passer par les avantages
financier.
Personne ne lui fait son lit comme convenu.
la fin du mois d’août est là.
suite au 8/12
le roman est en cour de construction, des
changements peuvent suivre
auteur Mutz Jean Jacques
A ce jour, 22 09 2019, 115 450 lecteurs.
A ce jour, 20 03 2020, 120 142 lecteurs.
A ce jour, 16 10 2020, 132 411 lecteurs.
A ce jour, 31 05 2021, 152 838 lecteurs.
A ce jour, 04 01 2022, 164 707 lecteurs.
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