A mama-ma 4/10 ( roman sentimental )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
A mama-ma 4/10
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Une infirmière de service m'appelle.
- marguerite, peux tu venir me rejoindre dans le bureau.
- oui madame.
Je suis ses paroles, comme une automate, sans trot
me demander le pourquoi ?
- prend place Marguerite .
- oui madame l'infirmière.
- je t'ai convoqué pour annoncer une bonne nouvelle,
l'infirmière de la croix rouge Suisse , Germaine, a eut
l'accord de la direction pour qu'elle puisse te prendre
en charge. Ci je t'ai convoqué dans ce bureau, c'est
pour éviter que les autres filles n'entendent notre
discutions.Tu vas préparer tes affaires sans faire
ébruiter notre conversation.
- oui madame l'infirmière, je suis heureuse que c'est
madame Germaine qui me prend en charge.
Je sens un espoir qui efface mon inquiétude. Cette
source devient bienfaisance, je me suis dit que j'ai
de la chance inouï.
j'évite de passer prêt de la pièce où son toutes les
autres filles car l'affection que l'on porte entre nous
malgré le peut de temps que l'on c'est vue, est une
manne riche en émotions.
Puis nous traversons les jardins de l'hôpital sur
des allées empierré qui nous mène jusqu'au portail
de l'entrée. Mon cœur vibre de joie.
Devant l'entrée stationne une voiture avec une
carrosserie en bois, une bâche grise ferme le plateau.
Le nom de l'entreprise est inscrite en couleur
( Glasse keller ) ce qui veut dire ( verre keller ) . Je
suppose que c'est une entreprise de verre ?
A l'avant 3 places, au volant, un monsieur en
salopette blanche, comme les couleurs des vêtements
des infirmière, me sourit. Tante Germaine dit,
- vient Marguerite, je te présente mon mari il s'appelle
Charles.
- bonjour monsieur Charles.
- bonjour Marguerite, appel moi ongle Charles.
Avec mon petit sac de toile, en bandoulière , contenant
quelques habits je me rapproche. l'ongle Charles me dit,
- donne ton sac je vais le placer avec les verres, on aura
plus de place dans l'habitacle a 3.
Je me place au centre sur la banquette en bois du
véhicule. Avec une manivelle, l'ongle Charles fait
plusieurs tour dans le sens d'une aiguille de montre.
Le véhicule a du mal a démarrer, enfin le clapotis
mécanique donne vie a cette mécanique qui laisse
s'échapper un nuage de fumée.
Nous traversons Bâle en direction d'Alchville. La
tante Germaine me dit,
- sur la droite il y a notre entreprise, tu la voix
Marguerite?
- oui, j'aperçois la même enseigne que sur la voiture.
- on a de la chance car le tram s'arrête juste devant,
et derrière le bâtiment il y a une partie de ta famille
qui habite dans la rue d'Alsace, tu vois, tu n'est pas
perdu. Pour retourner en France il faut prendre la
Je regarde avec attention et tient compte des
habitations pour que je puisse me repérer. Nous
poursuivons en suivant la direction d'Alchville.
Tante Germaine me dit,
- la sur ta droite il y a la gare, ensuite le zoo, on y ira
ensemble une jour.
- j'aime les animaux tante Germaine, on a aussi un zoo
a Mulhouse mais il n'y a plus beaucoup d'animaux vu
les bombardements.
Nous traversons Alchville vers un quartier sur les
hauteurs. Là, des maisons de maîtres sont construite.
Je suis toute ébloui par cette maison. Il y a une
grande différence, avec nous autre, car on habitait
au dessus de notre atelier où l'on fabriquait des
chaussures. la vue sur les alentour de la ville de
Bâle est magnifique. On arrête devant une porte de
garage qui s'ouvre en la soulevant. La tante Germaine
et moi on sorte de la voiture, puis nous poussons
la porte du garage. Je patiente jusqu'à ce que la
Tante germaine me dit,
- vient avec moi Marguerite, nous montons a l'étage
ou se trouve le restant de la famille.
Mon impatience fait vibrer mon cœur , comme une
horloge qui monte une cadence effréné. Je suis tante
Germaine dans les escaliers. J'arrive sur un palier et
fais une pose. Mes bagages sont lourde celui m'eut
fatigué. Tante Germaine eut atteint la porte de l'étage.
Une odeur de parfum de jasmin nargue mes narines.
Je suis enchanté par cette senteur.
Enfin, me voila devant la porte d'entrée. Je pose mon
baluchon a mes pieds et laisse naviguer mon regard
sur tous ce qui m'entoure.
Sous la table de la salle a manger, un épais tapis,
plus grand qu'elle, l'entour. J'ai enlevé mes chaussures
comme la fait la tante Germaine et les ais placé sur
une étagère en bambou a coté d'autres chaussures.
Mes pieds nue, enregistre la température du sol en
chêne bien lisse.
dans leur chambre.
- oui tante Germaine je viens.
Une sueur froide envahis mon corps, j'ai l'impression
que la découverte, que je suis entrain de faire, est
contraire a mon espoir. Serais ce la peur qui me dirige
vers cette perte de repaire ?
Une femme, blonde au cheveux longue tressé, se
trouve dans le couloir, elle est entrain d'épousseter.
- je te présente Camille, c'est notre employer de
maison .
- bonjour Camille je m'appelle Marguerite.
- enchanté Marguerite.
Nous continuons vers la première chambre, mon
cœur bas la chamade. Sur la porte, figure le même
non que moi avec deux lettres de moins en bois
sculpté, et en majuscule, MARGRITE. Je suis freiné
par cette écriture mais enchanté quant je voix sa fille.
- bonjour Marguerite, tu es la bien venu dans notre
famille.
- bonjour Margrite je vous remercie pour votre
chaleureux accueille.
- on se tutoie Marguerite, je vais te présenter a ma
sœur Sonia.
Nous changeons de pièce et au même étage
sur une planche en bois sculpté le nom de Sonia
y figure. Margrite frappe un coup, puis ouvre .
- coucou Sonia notre invité est là.
- entré et bien venu, a toi Marguerite.
Sonia se rapproche de moi, me fait la vise , je
n'en revient pas. Je la redonne par deux fois et
dis d'un air enchanté,
- bonjour Sonia merci pour ton accueille.
Dans sa chambre Sonia a une table qui lui sert
de bureau. Une boite de crayons de couleurs de
marque Suisse. De nombreux dessins sont étalé
je me laisse tente,
- merci Marguerite, aimes tu dessiner ?
- oui, j'aime mais il nous manque du papier et
des belles couleurs comme dans cette boite.
- tu peux t'en servir quant bon te semble.
Cette accueille me redonne de l’espoir je
suis heureuse et enchanté.
- on vas te présenter la chambre que tu
pourras occuper.
Les deux filles me guide sur la quatrième
portes du même coté. Sur le morceau de bois
sculpté figure , Invite.
madame Germaine qui me prend en charge.
Je sens un espoir qui efface mon inquiétude. Cette
source devient bienfaisance, je me suis dit que j'ai
de la chance inouï.
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Madame Germaine vient me chercher a l'extérieur,j'évite de passer prêt de la pièce où son toutes les
autres filles car l'affection que l'on porte entre nous
malgré le peut de temps que l'on c'est vue, est une
manne riche en émotions.
Puis nous traversons les jardins de l'hôpital sur
des allées empierré qui nous mène jusqu'au portail
de l'entrée. Mon cœur vibre de joie.
Devant l'entrée stationne une voiture avec une
carrosserie en bois, une bâche grise ferme le plateau.
Le nom de l'entreprise est inscrite en couleur
( Glasse keller ) ce qui veut dire ( verre keller ) . Je
suppose que c'est une entreprise de verre ?
A l'avant 3 places, au volant, un monsieur en
salopette blanche, comme les couleurs des vêtements
des infirmière, me sourit. Tante Germaine dit,
- vient Marguerite, je te présente mon mari il s'appelle
Charles.
- bonjour monsieur Charles.
- bonjour Marguerite, appel moi ongle Charles.
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- oui ongle Charles.Avec mon petit sac de toile, en bandoulière , contenant
quelques habits je me rapproche. l'ongle Charles me dit,
- donne ton sac je vais le placer avec les verres, on aura
plus de place dans l'habitacle a 3.
Je me place au centre sur la banquette en bois du
véhicule. Avec une manivelle, l'ongle Charles fait
plusieurs tour dans le sens d'une aiguille de montre.
Le véhicule a du mal a démarrer, enfin le clapotis
mécanique donne vie a cette mécanique qui laisse
s'échapper un nuage de fumée.
Nous traversons Bâle en direction d'Alchville. La
tante Germaine me dit,
- sur la droite il y a notre entreprise, tu la voix
Marguerite?
- oui, j'aperçois la même enseigne que sur la voiture.
- on a de la chance car le tram s'arrête juste devant,
et derrière le bâtiment il y a une partie de ta famille
qui habite dans la rue d'Alsace, tu vois, tu n'est pas
perdu. Pour retourner en France il faut prendre la
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route suivante a droite.Je regarde avec attention et tient compte des
habitations pour que je puisse me repérer. Nous
poursuivons en suivant la direction d'Alchville.
Tante Germaine me dit,
- la sur ta droite il y a la gare, ensuite le zoo, on y ira
ensemble une jour.
- j'aime les animaux tante Germaine, on a aussi un zoo
a Mulhouse mais il n'y a plus beaucoup d'animaux vu
les bombardements.
Nous traversons Alchville vers un quartier sur les
hauteurs. Là, des maisons de maîtres sont construite.
Je suis toute ébloui par cette maison. Il y a une
grande différence, avec nous autre, car on habitait
au dessus de notre atelier où l'on fabriquait des
chaussures. la vue sur les alentour de la ville de
Bâle est magnifique. On arrête devant une porte de
garage qui s'ouvre en la soulevant. La tante Germaine
et moi on sorte de la voiture, puis nous poussons
la porte du garage. Je patiente jusqu'à ce que la
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voiture est rentré, je récupéré mon sac de vêtement.Tante germaine me dit,
- vient avec moi Marguerite, nous montons a l'étage
ou se trouve le restant de la famille.
Mon impatience fait vibrer mon cœur , comme une
horloge qui monte une cadence effréné. Je suis tante
Germaine dans les escaliers. J'arrive sur un palier et
fais une pose. Mes bagages sont lourde celui m'eut
fatigué. Tante Germaine eut atteint la porte de l'étage.
Une odeur de parfum de jasmin nargue mes narines.
Je suis enchanté par cette senteur.
Enfin, me voila devant la porte d'entrée. Je pose mon
baluchon a mes pieds et laisse naviguer mon regard
sur tous ce qui m'entoure.
Sous la table de la salle a manger, un épais tapis,
plus grand qu'elle, l'entour. J'ai enlevé mes chaussures
comme la fait la tante Germaine et les ais placé sur
une étagère en bambou a coté d'autres chaussures.
Mes pieds nue, enregistre la température du sol en
chêne bien lisse.
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- vient marguerite je te présente mes filles, elles sontdans leur chambre.
- oui tante Germaine je viens.
Une sueur froide envahis mon corps, j'ai l'impression
que la découverte, que je suis entrain de faire, est
contraire a mon espoir. Serais ce la peur qui me dirige
vers cette perte de repaire ?
Une femme, blonde au cheveux longue tressé, se
trouve dans le couloir, elle est entrain d'épousseter.
- je te présente Camille, c'est notre employer de
maison .
- bonjour Camille je m'appelle Marguerite.
- enchanté Marguerite.
Nous continuons vers la première chambre, mon
cœur bas la chamade. Sur la porte, figure le même
non que moi avec deux lettres de moins en bois
sculpté, et en majuscule, MARGRITE. Je suis freiné
par cette écriture mais enchanté quant je voix sa fille.
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Celle ci me dit ,- bonjour Marguerite, tu es la bien venu dans notre
famille.
- bonjour Margrite je vous remercie pour votre
chaleureux accueille.
- on se tutoie Marguerite, je vais te présenter a ma
sœur Sonia.
Nous changeons de pièce et au même étage
sur une planche en bois sculpté le nom de Sonia
y figure. Margrite frappe un coup, puis ouvre .
- coucou Sonia notre invité est là.
- entré et bien venu, a toi Marguerite.
Sonia se rapproche de moi, me fait la vise , je
n'en revient pas. Je la redonne par deux fois et
dis d'un air enchanté,
- bonjour Sonia merci pour ton accueille.
Dans sa chambre Sonia a une table qui lui sert
de bureau. Une boite de crayons de couleurs de
marque Suisse. De nombreux dessins sont étalé
je me laisse tente,
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- tu fais de beau dessins Sonia.- merci Marguerite, aimes tu dessiner ?
- oui, j'aime mais il nous manque du papier et
des belles couleurs comme dans cette boite.
- tu peux t'en servir quant bon te semble.
Cette accueille me redonne de l’espoir je
suis heureuse et enchanté.
- on vas te présenter la chambre que tu
pourras occuper.
Les deux filles me guide sur la quatrième
portes du même coté. Sur le morceau de bois
sculpté figure , Invite.
a suivre au 5/10
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz
A ce jour, 26 09 2019, 115 606 lecteurs.
A ce jour, 11 02 2020 119 584 lecteurs.
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