A Ma-mama 9/10 ( roman sentimental )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
La camionnette blanche de la Croix rouge
internationale Suisse arrive devant la maison de
la Tante Germaine ce matin là.
108
A Ma-mama 9/10La camionnette blanche de la Croix rouge
internationale Suisse arrive devant la maison de
la Tante Germaine ce matin là.
Frédie se trouve au volant du véhicule blanc de
la croix rouge international Suisse. Pour nous
avertirez il émet des sons qui ressemblent a celui
des vaches avec l'aide de son claque-son qu'il doit
manipuler avec une manivelle .
109
- Mou, mou, mou, mou ,
- Mou, mou, mou, mou,
- Mou, mou, mou , mou.
Cette appel nous provoque un sur seaux le quelle
nous réveille avec ardeur et joie. Nous somme toutes
prêtent a lui donner un coup de main pour charger ce
les objets de l'inventaire prévue.
Quel événement dans ce quartier de la ville de Bâle,
où le son du clackson a vaches change les habitudes .
Notre enthousiasme nous donne un air de fête. Cette
ferveur sur notre engagement, doit provenir de quelque
part, serais moi qui répartie ma joie se autour de moi ?
Le chargement se fait avec minutie et un contrôle de
l'inventaire se fait.
n 1 Un coupe pain en forme de hachoir de 20 cm de long.
n 2 Une boite en bois qui contient une machine a moudre
le café.
n 3 Une radio rectangulaire a ampoules et qui fonctionne.
n 4 Un grand fourneau noir en fonte pour bruler du
charbon
110
n 5 Un fourneau cuisinière qui brule du bois .
n 6 Deux casseroles en aluminium.
n 7 Deux draps d'un lit double, et deux couvertures de laine.
n 8 Deus lits de milieux avec des matelas.
n 9 Deux couettes bourrée de plumes.
n 10 Des couverts, verres, et assiettes pour 8 personnes.
n 11 8 boles en terre cuite émaillé .
n 12 Un hachoir a persil.
n 13 Deux moules a Kougelhopf en terre cuite.
n 14 Une machine a coudre Singer a pédale.
n 15 Une boite contenant le nécessaire pour la couture.
n 16 Une caisse de voyage en bois dans laquelle sont
rangé tous les ustensiles de cuisine.
Le chargement est terminé et ceux qui nous ont aidé
sont les donateurs, je les remercie et les invite a boire
une tasse de thé.
Nous projetons de livrer les meubles dans la mâtiné,
cette intention me réjouis plus que tout.
La camionnette blanche arrive a la frontière de
111
Saint Louis 68, qui se trouve a 6 km.
Ma joie est profonde de me réjoui de retrouver ma mama.
Nous arrivons a la frontière entre la Suisse et la France.
Mon cœur bat la chamade a t'elle point que je ne reste
pas tranquille sur mon siège a 3 places qui permet de placer
4 personnes avec le chauffeur. Il n'y a pas grand monde qui
demande a sortir de Bale , ce qui nous permet d'avancer
rapidement. Voila le panneau qui d'élimine le pays, Une
herse métallique au sol, traverse la route, et au dessue,
une barrière rouge, a hauteur d'homme, ferme le passage.
Les douaniers , habillé d'uniforme vert, et armé de fusils
observent la voiture en la contournant, puis , un d'entre eux
nous demande nos papiers en Suisse Alémanique.
- Vous papiers s'il vous plait.
Frédie les avait mis ensemble avec l'autorisation de sortir
de la Suisse. Un autre douanier nous questionne ,
- Pour quelle raison sortez vous de la Suisse ?
Je ne souffle le moindre mot et laisse Frédie s'exprimer.
- C'est pour une bonne action de la croix rouge international
Suisse que nous sortons monsieur le douanier.
112
- Dans se cas, vous pouvez circuler, allez et bon retour.
Nous avançons vers la douane Française, où le drapeau
Français flotte pardessus nos têtes. On marque l'arrêt sur
la ligne au milieux du parcoure en zigzag provoquer par des
piquets rond métallique en rouge. Le Douanier se rapproche
du conducteur et demande,
- Combien de litre de carburant dans votre réservoir monsieur ?
- On a le plein monsieur le douanier.
- Ou avez vous le réservoir d'essence ?
- A coté du moteur sous le capot
- Je vais vérifier, venez avec moi ci cela correspond a votre
déclaration ?
Frédie suit le douanier et ouvre le capot avant du véhicule
pour que nous apercevons le bouchons du réservoir d'essence
qui se trouve sur la gauche du moteur. Lorsque Frédie eut ouvert
le bouchon, le douanier sonde le réservoir avec une tige métallique
d'un parapluie . il tâte la tige du haut vers le bas avec sa main
droite jusqu'à ce qu'il sent que de l humidité travers son gant.
Il ressort la tige et nous dit,
- C'est bon vous pouvez circuler, et bonne route.
113
On se regarde stupéfié par se contrôle rapide mais inquiétant .
Il ne nous a pas demandé nos papier ?
Enfin, nous quittons le poste douanier et passons devant
l’hôtel des trois roi de mon ongle qui se trouve en face de la gare
de St Louis.
Je me souvient de son hébergé a St louis et l'accueille chaleureux
qu'il nous avait fait. J'aurais aimer lui donner de nos nouvelles, mais
nous n'avons pas le temps car on a traversé la frontière pour retrouver
ma maman c'est bien plus important .
Je me suis promise que plus tard quant je pourrais circuler plus
librement je lui rendrais visite pour le remercier.
La route chaotique fait vibrer les ustensiles dans la marionette.
Un tintamarre , du aux contacte des éléments que nous transportons
m' inquiète .
- Frédie, y a t'il des risques que nous cassons des ustensiles ?
- Ne t'inquiète pas Grèdie il n' y a rien de cassable.
Ma joie et mon impatience réveille des souvenirs quant nous
passons dans des villages que j'avais vue abandonné . Il reste des
maisons éventrées par les bombes et d'autres que les artisans
reconstruisent avec ardeur et enthousiasme.
114
Plus aucune vaches divaguent, elles sont dans les prés et les
agriculteurs se déplacent librement comme en Suisse. Cette
attention me rassure et ma joie s'en émeu. Sur la route nous
ne croisons que peu de véhicule a moteur. Ce sont charrettes
tiré par des bœufs ou des chevaux. Il arrive qu'un camion
nous croise, ont le vois venir de loin car un conduit qui remonte
au-dessus de la cabine laisse échapper une fumée épaisse. Nous
arrivons a un carrefour ou des charrettes ralentissent la
circulation . En ville il arrive que ce sont des hommes qui sont
attelé aux charrettes.
Nous traversons Habsheim, puis Rixheim, passons devant la
gare de Mulhouse, par l'avenu d'Altkirch, puis l'on se dirige sur
Dornach. La, des personnes se trouvent rassemblé un peut partout.
Elles papotant et toute quiétude, car depuis que la guerre est terminé
la liberté a tout son sens.
Frédie interrompe leur réunion et demande,
- Bonjour mes dames et messieurs pouvez vous me dire où se trouve
la croix bleu et où habite madame Leimacher ?
- Vous parlez de la suissesse qui est marier a George Ziswiller ?
- oui c'est cela merci
115
- la croix bleu se trouve sur le chemin vous emmène la où habite
la suisses a la dernière maison de la rue Albert Camus au premier
étage. Vous aller voir une personne âgée a la longue barbe grise
qui occupe une chaise devant l'entrée, vous ne pouvez pas vous
tromper.
- Merci beaucoup messieurs dames et bonne journée.
Nous arrivons dans un quartier fait d’immeubles avec des
facades en pierre de taille rouge et recouvert de tuiles plate .
A la droite de ces habitations il y en a d'autres fait en bois et
d'une hauteur de 3 mètres.
- Se sont des baraquements provisoire mis a dispositions de ceux qui
ont perdu leur habitations .
Nous fait comprendre Frédie.
Leur toit est presque plat et recouvert de tôles ondulé ou de bitume.
- Est on arrivé Frédie ?
- Je crois que oui car Jacqui ma donné rendezvous devant une
croix appelé croix bleu elle se trouve a ce croisement là .
Et dirige mon regard vers cette endroit avec son doigt.
Je regarde dans la direction indique' et aperçois Jacqui qui se
tient contre son vélos , lequel est adossé a la grande croix qui
116
départage la route en deux .
- Oui Frédie il est la Jacqui on est arrivé, je suis heureuse.
Mon cœur s'emballe et ma joie active mes sentiments
d'amoureuse. J'ai des larmes qui humifient mes lunettes .
Le véhicule s'arrête ,
- Salue Grèdie, tu as facilement trouve cette adresse que l'on
appelle la croix bleu ?
- Salut Jacqui , on avait demandé aux personne qui occupent
des bancs .
l'on s'embrasse sans tarder et laissons Frédie patienter. Puis
Jacqui fait un signe a Frédie, et dit
- Venez suivez moi ce n'est pas loin , je prend Grèdie sur le
porte bagage du vélos.
Sur le trottoir , les grande personnes et les enfants y jouent .
Certaines hommes se recoupent sur de banc et jouent au
cartes et les femmes tricotent tout en papotant.
Sur le vélos de Jacqui ce n'est pas les confort comme dans la
voiture mais, je suis avec mon amoureux ce qui compte le plus
au monde.
Le vélo de Jacqui grince en se déplaisant et surtout lorsqu'il
117
pédale en arrière pour freiner. On s'arrêt devant une personne
au grand age, assis sur une chaise en bois devant le portail de
l'entré du chemin qui mène a la porte en chêne du bâtiment.
Cette personne a une logue barbe qui lui arrive jusque ses
genoux . Il nous observe minutieusement comme pour tenter
de trouver un indice ? Je descend du vélos et le salue poliment.
- Bonjour monsieur, c'est ici qu'habite madame Leimacher ?
- Oui mademoiselle, vous vous trouvez au bon endroit. Mais,
madame Leimacher c'est remarie et s'appelle maintenant
Ziswiller. Il me semble que je t'ai déjà vue, ta voix me dit
quelque chose, n'es tu sa fille ?
Me dit se personnage avec un accent Suisse Alémanique.
- Je suis sa fille Grèdie.
- Grèdie, mais, tu ne t'appelais pas Marguerite ?
- Ci grand père, tu as raison mais en Suisse les personnes qui
m'ont adopté mon m'appelle Grèdie.
Mon émotion me fait rougir et ma joie humifie mon visage et
mes épaisse lunette, mon cœur suit un roulement satisfaisant.
Serais lui qui provoque se changement de couleur de peau ?
Je fait la bise au grand père qui en est flatté.
118
Chacun d'entre nous salut mon grand père par une poigné de
mains. Mon grand père c'est levé , avec un déséquilibre qu'il
rattrape en se servant de sa cane tuteur. Puis, il nous indique
la porte d'entrée en chêne massif de droite pour arriver cher
ma maman.
- Prenez la porte de droite et montez aux 2 m étage . Sur la
porte est marqué Famille Ziswiller car ta maman c'est remarier.
- Merci grand père.
L'on se dirige vers cette fameuse porte et longeons les jardins
qui se trouvent sur chaque coté. Des rangées de divers légumes
sont plantée convenablement, dans des parcels au quarré. Dans
la rangé prêt du trottoir , des rosiers de toutes sorte de couleurs
égaille notre vue. Je suis émerveille par cette mis en place et me
sent fière de ma découverte. Le grand père nous suit lentement,
- Il est beau le jardin grand père , c'est du travail de spécialiste.
- Oui Grèdie, c'est ton nouveau père qui a mis sa main sur ce
jardin et moi je l'arrose de temps a autre.
119
Nous avançons jusqu'au palier, nous continuons notre ascension a l'étage suivant .
Le tournant de l'escalier nous fait passer devant une fenêtre qui
regarde sur le jardin vue auparavant.
Sur notre gauche une porte
JJM
A suivre ( A Ma-mama ) au 10/10 page 120
A ce jour, 13 11 2023, 185 750 lecteurs .
A ce jour, 06 05 2024, 194 188 lecteurs.
A ce jour, 21 11 2024 , 203 084 lecteurs.
.
1 les retrouvailles.
2 question sur les autres enfants
3 le retour chez Margrite et les remarques sur l' état de santé de Ma-mama
4 le retour au début du questionnaire.
5 J'ai 13 ans, c'est les vacances, et Margrite m'invite pour passer mes
vacances dans la ferme de son grand oncle en Suisse a 20 km de Bâle, Diegten.
Suite de petite aventures avec les habitants de mon age. Margrite a un chalet
sur les hauteurs où elle passe ses fin de semaine loin du bruits de la ville.
JJM
Commentaires