A Ma-mama 3/10 ( Roman sentimental )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
Ma curiosité continua son enquête et
je demandais a Marguerite,
- Maman, te souviens tu le jour où ton
père ta emmené en Suisse ?
- Oui je me souvient.
- Peux tu me le raconter ?
- Bien sur je vais te le raconter.
préparé a manger et a boire dans les
sacoches en cuir du vélo, puis elles nous
accompagnent vers le départ et Ma-mama
nous dit,
- Faite attention et éviter les gardes
frontière ils sont cruelle. Donnez le
bonjour de ma part a ma sœur a ma belle
sœur ainsi que mes beau-frères et
nos enfants, je compte sur toi Marguerite.
- Oui Ma-mama.
- Les lettres sont dans la doublure des
sacoches ainsi que l'or que les familles
nous ont demandé de placer; j'ai fait
comme d'habitudes Charles.
- Oui compte sur moi.
Des embrassade suivent notre discutions
et a peine le soleil levé, nous parton en
vélos pour rejoindre la ville de Saint Louis.
On traversais Mulhouse, puis Dornach
gardé par des militaires, pour les éviter on
passaient par un guées situé en pleine
foret de Didenheim. Mon père ma dit d'
enlever mes sabots pour traverser car l'eau
de la rivière appelé l'Ill m'arriva jusqu'aux
cheville, j'ai même du relever ma robe.
Après le champs de blé, on arrive a
Brunstatt. On traverse ce village en
direction du cimetière. Une route nous
permit de pénétrer dans une foret très
dense. Je dus descendre du vélo car une
forte monté nous l'obligeait.
- Père on vas vers où ?
- Sur Bruebach c'est une petite trotte ne
t'en fait pas.
- oui Père
Durant notre monté, on entendaient des
sifflements provenant des avions qui
larguaient des bombes, tombent sur
Cela fait plus d'une heure que l'explosion des
bombes résonnaient. Son écot retentissent a
travers les haut arbres qui nous entour.
Une profonde peur me narguait, celle que la
maison de Ma-mama fut détruite.
Nous ne distinguons pas grand chose, la fumé
des habitations en feux brouillait notre vision.
l'on ne s'attarde pas, un courage intentionnelle
fait poursuivre notre programme. Mon père
me rassure,
- Tu sais Marguerite le toit des arbres nous
cache et nous protège, ne t'en fais on y
arrivera a St Louis.
On arrive a Bruebach, la, personne dans
les rues tout est vide seul les chiens et les
chats que l'on croisaient. Mon père me
dit,
- Les habitants ont fuit la région, pour
trouver une protection dans le sud de
Cette absence m'intriguait mais c'est la guerre et
il ne faut s'importuner sur des attentions qui n'ont
d’intérêt et continuer goûte que goutte vers son
objectif, Landser.
A travers champs, nous arrivons a Landser, là des
vaches en liberté meulaient, personne ne les avais
trait. Mon père prit une camelle et se mit a traire
l'une d'entre elles qui fut soulagé..
- On vas boire du lait frais Marguerite et se régaler,
pour la vache se sera aussi une bonne chose.
Le lait coule du pis sans problème .
Autour de nous, un vrais débâcle tous fut laissé en
abandons.
Par les sous bois nous continuons , mais parfois
les chemins de campagne nous mettais a découverts.
L'on approche de Geispitzen qui elle aussi est
abandonné, l'on ne rencontre personne.
Direction Uffheim, rien ne nous attarde, nous
car un abri militaire en béton, situé sur une bute, sert
de point d'observation par l'armée allemande .
L’observatoire est un abris qui domine les
alentours, ce passage fut dangereux, car mon père
me l'a fait comprendre par geste. Aucun mot juste
des gestes pour étouffer notre présence.
Nous continuons vers Brinckheim que l'on aperçois
de loin, nous le longeons par les chemins a travers la
campagne.
On continue sans faire d'arrêt vers Blotzheim, le
cloché de l'église est voyant car sa hauteur domine
les alentours, le fait d'observer un but c'est augmenter
l'intention d'y arriver au plus vite.
Nous traversons une plantation de noyers puis une
voie de chemin de fer. Nous voila dans une usine de
montre vide de toute traces de vie ouvrière pas un
chat, pas de vache non plus.
On traverse la rue centrale de Blotzheim en direction
de Hésingue, il fallait zigzaguer entre les petites
arrêter car des militaires placés dans de nombreux
observatoires en béton surveillaient la région.
Je trouve cette chevauché interminable et demande
a mon père,
- Combien reste t'il de km pour arriver père ?
- On y est est presque Marguerite.
Cette réponse me redonne du courage et de
l’ambition pour continuer. Je me suis dit que mes
sœurs ont réussi, pour qu'elle raison n'y arriverais
je pas ?
Nous continuons sur Saint -Louis a travers champs
a pieds car la roue arrière a grevé. J'ai préférer
marcher pour dégourdir mes jambes le confort du
porte baguage du vélos ne vérité aucune appréciation.
Arrivé a Saint Louis on retrouvais le frère de mon
père qui tenait un hôtel en face de la gare. L'on y est
reçu avec tous les honneurs de trouvaille familiale.
Il nous invite a manger puis nous repartons le soir
avec le vélos réparé.
pas confortable j'avais encore des douleurs du
parcoure.
Durant la journée l'oncle avait prit contacte avec la
sœur de Ma-mama a Bâle pour qu'elle puisse me
récupérer pas loin de la frontière.
De l'hôtel de l'oncle on pouvais
voir les douanier Suisse et les gardes frontière
Allemand mais il fut impossible de passer
officiellement par là .
Donc on se dirige vers Hégenheim pour passer
dans les sous bois en direction de Allschwil en
Suisse.
De la colline qui longe la route on peu apercevoir
le vas et vient des douaniers ou militaires Allemand.
La couleur de la douane Suisse se confondais
avec la verdure ce qui augmentait notre attention.
On arrive dans la clairière indiqué et qui sert
de repère pour retrouver la sœur de Ma-mama.
Nos retrouvailles me donne une grande satisfaction
ma tante, mais surtout d'arriver a destination et pouvoir
revoir le restant de ma famille.
L'échange doit se fait rapidement pour éviter tout
risque. Suite a cela mon père disparaît dans les sous
bois en direction de la France.
Avec ma tante nous rejoignons le centre de la croix
rouge international Suisse . Ma tante me dit,
- tu sais marguerite je n'ai pas le droit de te prendre
tout de suite avec moi, il faut respecter certaines
règles pour que tu puisses être admis en Suisse.
En premier tu passeras par un service médicale
qui jugera ton était de santé, puis ils décideront de
la suite a prendre. Tu seras répertorier a Bâle où tu
pourras y rester jusqu'à tes 18 ans, et ci la guerre
se termine avant tu pourras retournera chez toi.
- tante, quant vais je revoir mes sœurs et mon frère ?
- tu pourras les retrouver quant le service de la
croix rouge Suisse t as reconnu en bonne santé.
Je toi t'y emmener le plus vite possible car ils
- oui ma tante.
Avec ma tante j'ai pris la direction d'une station du
tramway de Bâle. On avant une bonne petite trotte a
pied, je tenais sa main avec ardeur, cette ville où il
n'y a pas de bombardement me parait sécurisante.
Autour de nous les personnes se déplaçaient
librement. Je compris a ce moment la que la liberté
d'être en paix c'est ça, respecter certaine règles.
Nous arrivons a la station du tramway, des
étincelles sur le file de cuivre du caténaire se
voyaient de loin. Sur le moment je pris peur de devoir
monter dans le moyen de transports aux milles
étincelles qu'une drôle d'odeur de friture
accompagnais. Par l'arrière, nous montions sur
les marches pour entrer dans le wagon. lorsque
tout le monde est en place, la personne qui
donne les billets tire sur une cloche qui retenti. Le
trame se met en route brusquement.
d'un barre verticale métallique car tous les bancs
en bois étaient occupé même ma tante dut rester
debout.
Quant un station arrivais et que personne ne se
trouvais a l'arrêt la personne responsable du wagon
disait,
- station n 10 y a t'il quelqu'un qui descend ?
Personne ne dit un mot, et cette responsable tire
sur la cloche pour que le tram ne fait un arrêt.
Quant il y a un arrêt le freinage produisait un
grincement de fer aiguë et grinçant , une odeur de
roussie, qui provenaient des caténaires, se faisait
sentir. Chaque fois que le caténaires vibrait selon
la platitude de la voie, et qu'il contactaient le
circuit, des étincelles s'en dégageaient.
Cela me faisait peur, bien entendu, j'eus
l'habitude d'entre les bombes, cela m'intriguait
plus que tout car les contacteurs en se frottant
produisaient un continuelle crépitement.
de Bâle. La, des infirmières et des médecins se sont
occupé de moi.
Un questionnaire fut donné a ma tante qui dut le
remplir. J'avais mes papiers mais le questionnaire
écrit reste la seule preuve de ma présence sur le
sol Helvétique.
Une infirmière, vêtu de blanc, me demande, en
allemand Suisse,
- quelle est ton prénom ?
- Marguerite.
- et quel âge a tu Marguerite ?
- j'ai 15 ans et demi madame l'infirmière
filles qui m'entourent, je n'ai pas faim ni soif. La
fatigue m'a littéralement enlacé.
Cette nuit la fut profonde surtout qu'aucun bruit
de bombes n'eut lieu. Je suis rassuré .
croix rouge vient aux chevets de celles qui dorment
encore. Les filles qui sont réveillé plus tôt, l'on aidé
pour préparer la table pour le petit déjeuné.
- Marguerite as tu bien dormi ?
- oui profondément car je suis rassuré.
- donc avant de se mettre a table, il faut que tu
te laves dans le réfectoire qui se trouve sur la
droite puis tu habites les vêtements qui sont a ta
disposition.
- oui madame l'infirmière.
Je suis les consignes a la lettre, en m’appliquant
le plus possible.
Nous somme a 16 personnes autour d'une grande
table de bois, recouverts d'une nappe grise.
a suivre au 4/10
La nuit porte conseille je raconterais la suite
au fur et a mesure. Un roman c'est une histoire
vécu mais imaginé d'après mes pensées qui se
rapprochent de la vérité.
Auteur amateur Jean Jacques Mutz
A ce jour, 26 09 2019, 115 606 lecteurs.
A ce jour, 22 02 2020, 119 584 lecteurs.
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A Ma-mamaMa curiosité continua son enquête et
je demandais a Marguerite,
- Maman, te souviens tu le jour où ton
père ta emmené en Suisse ?
- Oui je me souvient.
- Peux tu me le raconter ?
- Bien sur je vais te le raconter.
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Ma-mama et ma sœur aîné nous avaispréparé a manger et a boire dans les
sacoches en cuir du vélo, puis elles nous
accompagnent vers le départ et Ma-mama
nous dit,
- Faite attention et éviter les gardes
frontière ils sont cruelle. Donnez le
bonjour de ma part a ma sœur a ma belle
sœur ainsi que mes beau-frères et
nos enfants, je compte sur toi Marguerite.
- Oui Ma-mama.
- Les lettres sont dans la doublure des
sacoches ainsi que l'or que les familles
nous ont demandé de placer; j'ai fait
comme d'habitudes Charles.
- Oui compte sur moi.
Des embrassade suivent notre discutions
et a peine le soleil levé, nous parton en
vélos pour rejoindre la ville de Saint Louis.
On traversais Mulhouse, puis Dornach
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ensuite Didenheim. Comme il y a des pondsgardé par des militaires, pour les éviter on
passaient par un guées situé en pleine
foret de Didenheim. Mon père ma dit d'
enlever mes sabots pour traverser car l'eau
de la rivière appelé l'Ill m'arriva jusqu'aux
cheville, j'ai même du relever ma robe.
Après le champs de blé, on arrive a
Brunstatt. On traverse ce village en
direction du cimetière. Une route nous
permit de pénétrer dans une foret très
dense. Je dus descendre du vélo car une
forte monté nous l'obligeait.
- Père on vas vers où ?
- Sur Bruebach c'est une petite trotte ne
t'en fait pas.
- oui Père
Durant notre monté, on entendaient des
sifflements provenant des avions qui
larguaient des bombes, tombent sur
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Mulhouse .Cela fait plus d'une heure que l'explosion des
bombes résonnaient. Son écot retentissent a
travers les haut arbres qui nous entour.
Une profonde peur me narguait, celle que la
maison de Ma-mama fut détruite.
Nous ne distinguons pas grand chose, la fumé
des habitations en feux brouillait notre vision.
l'on ne s'attarde pas, un courage intentionnelle
fait poursuivre notre programme. Mon père
me rassure,
- Tu sais Marguerite le toit des arbres nous
cache et nous protège, ne t'en fais on y
arrivera a St Louis.
On arrive a Bruebach, la, personne dans
les rues tout est vide seul les chiens et les
chats que l'on croisaient. Mon père me
dit,
- Les habitants ont fuit la région, pour
trouver une protection dans le sud de
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la France.Cette absence m'intriguait mais c'est la guerre et
il ne faut s'importuner sur des attentions qui n'ont
d’intérêt et continuer goûte que goutte vers son
objectif, Landser.
A travers champs, nous arrivons a Landser, là des
vaches en liberté meulaient, personne ne les avais
trait. Mon père prit une camelle et se mit a traire
l'une d'entre elles qui fut soulagé..
- On vas boire du lait frais Marguerite et se régaler,
pour la vache se sera aussi une bonne chose.
Le lait coule du pis sans problème .
Autour de nous, un vrais débâcle tous fut laissé en
abandons.
Par les sous bois nous continuons , mais parfois
les chemins de campagne nous mettais a découverts.
L'on approche de Geispitzen qui elle aussi est
abandonné, l'on ne rencontre personne.
Direction Uffheim, rien ne nous attarde, nous
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continuons sans hésiter. Mais il fallut faire attentioncar un abri militaire en béton, situé sur une bute, sert
de point d'observation par l'armée allemande .
L’observatoire est un abris qui domine les
alentours, ce passage fut dangereux, car mon père
me l'a fait comprendre par geste. Aucun mot juste
des gestes pour étouffer notre présence.
Nous continuons vers Brinckheim que l'on aperçois
de loin, nous le longeons par les chemins a travers la
campagne.
On continue sans faire d'arrêt vers Blotzheim, le
cloché de l'église est voyant car sa hauteur domine
les alentours, le fait d'observer un but c'est augmenter
l'intention d'y arriver au plus vite.
Nous traversons une plantation de noyers puis une
voie de chemin de fer. Nous voila dans une usine de
montre vide de toute traces de vie ouvrière pas un
chat, pas de vache non plus.
On traverse la rue centrale de Blotzheim en direction
de Hésingue, il fallait zigzaguer entre les petites
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plantations de fruitiers pour éviter que l'on se faitarrêter car des militaires placés dans de nombreux
observatoires en béton surveillaient la région.
Je trouve cette chevauché interminable et demande
a mon père,
- Combien reste t'il de km pour arriver père ?
- On y est est presque Marguerite.
Cette réponse me redonne du courage et de
l’ambition pour continuer. Je me suis dit que mes
sœurs ont réussi, pour qu'elle raison n'y arriverais
je pas ?
Nous continuons sur Saint -Louis a travers champs
a pieds car la roue arrière a grevé. J'ai préférer
marcher pour dégourdir mes jambes le confort du
porte baguage du vélos ne vérité aucune appréciation.
Arrivé a Saint Louis on retrouvais le frère de mon
père qui tenait un hôtel en face de la gare. L'on y est
reçu avec tous les honneurs de trouvaille familiale.
Il nous invite a manger puis nous repartons le soir
avec le vélos réparé.
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Je reprenais ma place sur le porte bagage, ce n'étaitpas confortable j'avais encore des douleurs du
parcoure.
Durant la journée l'oncle avait prit contacte avec la
sœur de Ma-mama a Bâle pour qu'elle puisse me
récupérer pas loin de la frontière.
De l'hôtel de l'oncle on pouvais
voir les douanier Suisse et les gardes frontière
Allemand mais il fut impossible de passer
officiellement par là .
Donc on se dirige vers Hégenheim pour passer
dans les sous bois en direction de Allschwil en
Suisse.
De la colline qui longe la route on peu apercevoir
le vas et vient des douaniers ou militaires Allemand.
La couleur de la douane Suisse se confondais
avec la verdure ce qui augmentait notre attention.
On arrive dans la clairière indiqué et qui sert
de repère pour retrouver la sœur de Ma-mama.
Nos retrouvailles me donne une grande satisfaction
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car cela fait pas mal de temps que je ne n'ai plus revuema tante, mais surtout d'arriver a destination et pouvoir
revoir le restant de ma famille.
L'échange doit se fait rapidement pour éviter tout
risque. Suite a cela mon père disparaît dans les sous
bois en direction de la France.
Avec ma tante nous rejoignons le centre de la croix
rouge international Suisse . Ma tante me dit,
- tu sais marguerite je n'ai pas le droit de te prendre
tout de suite avec moi, il faut respecter certaines
règles pour que tu puisses être admis en Suisse.
En premier tu passeras par un service médicale
qui jugera ton était de santé, puis ils décideront de
la suite a prendre. Tu seras répertorier a Bâle où tu
pourras y rester jusqu'à tes 18 ans, et ci la guerre
se termine avant tu pourras retournera chez toi.
- tante, quant vais je revoir mes sœurs et mon frère ?
- tu pourras les retrouver quant le service de la
croix rouge Suisse t as reconnu en bonne santé.
Je toi t'y emmener le plus vite possible car ils
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sont au courant de ton arrivé.- oui ma tante.
Avec ma tante j'ai pris la direction d'une station du
tramway de Bâle. On avant une bonne petite trotte a
pied, je tenais sa main avec ardeur, cette ville où il
n'y a pas de bombardement me parait sécurisante.
Autour de nous les personnes se déplaçaient
librement. Je compris a ce moment la que la liberté
d'être en paix c'est ça, respecter certaine règles.
Nous arrivons a la station du tramway, des
étincelles sur le file de cuivre du caténaire se
voyaient de loin. Sur le moment je pris peur de devoir
monter dans le moyen de transports aux milles
étincelles qu'une drôle d'odeur de friture
accompagnais. Par l'arrière, nous montions sur
les marches pour entrer dans le wagon. lorsque
tout le monde est en place, la personne qui
donne les billets tire sur une cloche qui retenti. Le
trame se met en route brusquement.
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Au départ, un peut chahuté, je me tenais a uned'un barre verticale métallique car tous les bancs
en bois étaient occupé même ma tante dut rester
debout.
Quant un station arrivais et que personne ne se
trouvais a l'arrêt la personne responsable du wagon
disait,
- station n 10 y a t'il quelqu'un qui descend ?
Personne ne dit un mot, et cette responsable tire
sur la cloche pour que le tram ne fait un arrêt.
Quant il y a un arrêt le freinage produisait un
grincement de fer aiguë et grinçant , une odeur de
roussie, qui provenaient des caténaires, se faisait
sentir. Chaque fois que le caténaires vibrait selon
la platitude de la voie, et qu'il contactaient le
circuit, des étincelles s'en dégageaient.
Cela me faisait peur, bien entendu, j'eus
l'habitude d'entre les bombes, cela m'intriguait
plus que tout car les contacteurs en se frottant
produisaient un continuelle crépitement.
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Nous arrivons au poste principale de la policede Bâle. La, des infirmières et des médecins se sont
occupé de moi.
Un questionnaire fut donné a ma tante qui dut le
remplir. J'avais mes papiers mais le questionnaire
écrit reste la seule preuve de ma présence sur le
sol Helvétique.
Une infirmière, vêtu de blanc, me demande, en
allemand Suisse,
- quelle est ton prénom ?
- Marguerite.
- et quel âge a tu Marguerite ?
- j'ai 15 ans et demi madame l'infirmière
- as tu de la famille en Suisse Marguerite ?
- oui madame
- tu parles bien l'allemand Suisse, sais tu l'écrire ?
- oui et le français aussi madame.
- donc nous pouvons t'orienter vers une famille
qui parle allemand ou français, je vais tenté de
trouver une adresse qui te conviendra.
41
- mais madame, quant pourrais je voir mes autres
sœurs et mon petit frère ?
- pour l'instant Marguerite tu dois rester quelques
jours ici pour régulariser ta présence, ensuite nous
te présenterons les autres familles qui ont accepte
le restant de ta famille.
- merci madame, puis je dire un au revoir a ma tante ?
- Elle est déjà partie, mais elle te retrouvera demain.
Je dois continuer mon parcours en passant par
un bain puis dans une chambre où je reçois de
nouveau vêtements. Une coiffeuse me coupe mes
cheveux pour me donner une figure distingué.
Je suis aussi passe chez l'oculiste qui me prescrit
une autre paire de lunette, il regarde dans son stock
et en sélectionne une qu'il me tend . Je me retrouve
différente comme si je me suis plonge dans un conte
de fées.
La nuit je dois la passer dans un réfectoire avec
d'autres filles de tous âge. Une infirmière, vêtu de
blanc, me questionne,
- oui madame .
- as tu de la famille en Suisse ?
- j'ai des tantes car ma maman est d'origine Suisse,
un petit frère et des sœurs que mes tantes ont
accueilli.
- je vais être franc avec toi Marguerite, ta famille n'a
pas le droit de recevoir des parents sous leur toit,
nous devons vous dispatcher entre des familles
qui veulent bénévolement vous recevoir.
- mais, quant vais je revoir mon frère et mes sœurs?
- tu pourras les revoir plus tard, pour l'instant tu
dois rester avec nous pendant un certain temps
juste le temps de faire les papier et surtout de
connaître ton état de santé.
- Merci Madame l'infirmière.
- Dis mois marguerite que sais tu faire ?
- je sais tricoter, coudre, laver le linge faire le
ménage.
- sais tu lire marguerite ?
l' Italien.
- Marguerite serais tu capable de l'apprendre a
d'autres personnes ?
- oui je suis capable de partager mon savoir.
- bon, il se fait tard, on doit éteindre les lumières
et tous le monde doit dormir, je dore a l'entrer avec
vous. Ci l'une d'entre vous a besoin de moi n'hésiter
pas pour me réveiller. Bonne nuit les filles.
- madame, où est je mon lit ?
- bien sur Marguerite je te montre le quel, tu as le
choix entre le bas ou le haut. En se moment il n'y
a pas beaucoup de personnes qui arrivent la
pièce n'est occupé qu'a moitie.
- merci madame l'infirmière et bonne nuit.
Je suis fatigué et ne prête attention a toutes les- merci madame, puis je dire un au revoir a ma tante ?
- Elle est déjà partie, mais elle te retrouvera demain.
Je dois continuer mon parcours en passant par
un bain puis dans une chambre où je reçois de
nouveau vêtements. Une coiffeuse me coupe mes
cheveux pour me donner une figure distingué.
Je suis aussi passe chez l'oculiste qui me prescrit
une autre paire de lunette, il regarde dans son stock
et en sélectionne une qu'il me tend . Je me retrouve
différente comme si je me suis plonge dans un conte
de fées.
La nuit je dois la passer dans un réfectoire avec
d'autres filles de tous âge. Une infirmière, vêtu de
blanc, me questionne,
42
- tu es Marguerite l'alsacienne ?- oui madame .
- as tu de la famille en Suisse ?
- j'ai des tantes car ma maman est d'origine Suisse,
un petit frère et des sœurs que mes tantes ont
accueilli.
- je vais être franc avec toi Marguerite, ta famille n'a
pas le droit de recevoir des parents sous leur toit,
nous devons vous dispatcher entre des familles
qui veulent bénévolement vous recevoir.
- mais, quant vais je revoir mon frère et mes sœurs?
- tu pourras les revoir plus tard, pour l'instant tu
dois rester avec nous pendant un certain temps
juste le temps de faire les papier et surtout de
connaître ton état de santé.
- Merci Madame l'infirmière.
- Dis mois marguerite que sais tu faire ?
- je sais tricoter, coudre, laver le linge faire le
ménage.
- sais tu lire marguerite ?
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- je sais écrire et lire le français, l'allemand etl' Italien.
- Marguerite serais tu capable de l'apprendre a
d'autres personnes ?
- oui je suis capable de partager mon savoir.
- bon, il se fait tard, on doit éteindre les lumières
et tous le monde doit dormir, je dore a l'entrer avec
vous. Ci l'une d'entre vous a besoin de moi n'hésiter
pas pour me réveiller. Bonne nuit les filles.
- madame, où est je mon lit ?
- bien sur Marguerite je te montre le quel, tu as le
choix entre le bas ou le haut. En se moment il n'y
a pas beaucoup de personnes qui arrivent la
pièce n'est occupé qu'a moitie.
- merci madame l'infirmière et bonne nuit.
filles qui m'entourent, je n'ai pas faim ni soif. La
fatigue m'a littéralement enlacé.
Cette nuit la fut profonde surtout qu'aucun bruit
de bombes n'eut lieu. Je suis rassuré .
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Au petit matin, vers les 6 heures 30, l'infirmière de lacroix rouge vient aux chevets de celles qui dorment
encore. Les filles qui sont réveillé plus tôt, l'on aidé
pour préparer la table pour le petit déjeuné.
- Marguerite as tu bien dormi ?
- oui profondément car je suis rassuré.
- donc avant de se mettre a table, il faut que tu
te laves dans le réfectoire qui se trouve sur la
droite puis tu habites les vêtements qui sont a ta
disposition.
- oui madame l'infirmière.
Je suis les consignes a la lettre, en m’appliquant
le plus possible.
Nous somme a 16 personnes autour d'une grande
table de bois, recouverts d'une nappe grise.
L’infirmière dit alors,
- nous allons faire une prière pour que ce jour
épargne des pauvres personnes en France et
surtout que cette guerre prennent fin.
L'ensemble de la table écoute avec attention
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la première prière de jour. Cela ma donné de
l'espoir.
A la fin de ce petit déjeuné, l'infirmière nous fait
part du programme qui vas suivre.
- Les filles cette après midi des familles vont venir
pour vous prendre en charge. Ce sont de solvable
citoyenne Suisse qui se sont proposé. La croix
rouge Suisse a sélectionné ses personnes. Ils vous
ont sélectionné selon votre âge sans avoir vue
votre photo ni connaître votre passé.
Je suis un peut surprise par cette révélation
et demande a l'infirmière,
- madame l'infirmière quant pourrais je voir mes
sœurs et mon frère ?
- Marguerite , tu auras l’occasion de les rencontrer
plus tard, ne t'en fait pas, il faut avant tout, régler
les formalisées pour ta prise en charge. J'ai une
bonne nouvelle, pour toi, ta tente vient aussi
cette après midi pour avoir te tes nouvelles, tu
n'es pas abandonné.
Durant le matin, celles qui ont plus de 14 ans
travaillent dans la cuisine pour aider a faire le repas.
Les plus jeunes vont en classe.
Je remarque que les légumes et toutes les denrées
alimentaire sont en quantité et de qualité . Rien n'est
comparable a la France où il faut des cartes pour
s’approvisionner.
Ce jour là nous préparons des pommes de terre
râpé que nous mélangeons avec des œufs de la
farine, des lardons, des oignons, des orties puis
nous façonnons des boulettes a la main.
Cette préparation est plongé sur un bain d'huile
qui mijote dans une grande casserole en fonte noir.
Comme nous somme au nombre de 25 enfants
et deux infirmières qui nous guident une avance
de 80 tartelettes sont préparé dans un récipient
en terre cuite qui est placé dans le four pour qu'ils
gardent leur chaleur croustillante. La dorure de ses
galettes de pommes de terre nous donne envie de
Respectons l'ordre de marche pour les manger.
l'on se met a table et madame l’infirmière nous fait
faire une prière. Elle rajoute ces mots,
- Le repas est précieux, manger ce que bon vous
semble mais ne jetez rien car beaucoup de gens
n'ont rien a manger.
Nous suivons tous ses conseilles et plus rien ne
reste dans les plats pas même une feuille de salade.
Il est 15 heures, nous avions terminez la vaisselle
et le rangement de la pièce. Madame l'infirmière
fait un appelle.
- Marguerite tu peux venir, ta tente est arrivé.
- oui madame l'infirmière.
Me voila avec ma tente, cette rencontre me
soulage car je vais connaître la suite du mon
avenir.
- bonjour tente Albertine, vous allez bien ?
- merci et toi Marguerite comment tu vas ?
- je vais bien mais une question me trouble,
- tu pourra les rencontrer d'ici peut, mais l'ai une
mauvaise nouvelle au sujet de ton père et de ta
grande sœur qui n'a pas réussi a venir en
Suisse car un bombardement les a tué.
Cette réponse me frappe, pas une seule fois mais
bien 2 fois. Une tristesse réveille en moi des larmes
de peine, mes pensées canalisent une insécurité je
luis demande,
- tente Albertine maman est elle encore en vie ?
- oui Marguerite elle est encore en vie, le
bombardement a touché le sud de la ville de
Mulhouse, mais cette nouvelle la fragilisé car
elle a été transporté dans un centre de repos.
Mon inquiétude grandit, a telle point que je
cherche un repère pour l'étancher, je demande
a tente Albertine ?
- tente Albertine, quant pourrais je voir le restant
de notre famille, ils me manquent tous.
- bientôt Marguerite, vient dans mes bras je sais
l’affaiblira. Il faut que je te laisse Marguerite
reste fidèle a tes rêves et tu t'en sortiras. Nous
devons suivre les consignes de la croix rouge
international Suisse. Ne t’inquiète pas je suis
la pour toute ta famille.
- oui tente Albertine, je suis tes conseilles.
Madame l'infirmière a suivie la scène et me dit,
- Marguerite, ton visage est bien triste, ce ne sont
pas de bonne nouvelles qui viennent d’être
annonce, je ne te demande pas de question
mais dit toi bien que je ferais tous pour que
les malheureux enfants sous notre protection
trouve un débouché heureux dans leur vie.
Sous patiente et tu gagneras.
- merci madame l'infirmière je vous suis très
reconnaissante pour tous ce que vous faite
pour moi.
- sais tu Marguerite que j'ai une fille d'une
année plus âgé que toi et qu'elle et quelle
persuadé que nous ferons bon ménage
ensemble. Je vais faire en sorte que j'obtiens
ta garde, qu'en penses tu Marguerite ?
- Je suis ravie de faire la connaissance de
votre fille madame l'infirmière.
- je termine mon service dans deux jours
je ferais le possible d'obtenir ta garde et
devenir ta tutrice. Il faut que je demande l’avis
du restant de la famille.
La journée se termine dans la cuisine pour la
préparation de repas du soir. Une soupe de
légume et une tranche de pain que l'on coupe
dans une grande miche doré qui a la senteur
du blé. Un morceau de fromage de Suisse aux
nombreux trous. Puis nous terminons de
rancher pour entamer la prière du soir.
Il manque 6 filles qu'on renquillent dans des
familles. Notre groupe se disloque mais, d'autres
filles attendent dans le réfectoire sanitaire.
- Marguerite je vient de recevoir de bonne
nouvelle, l'ensemble de la famille est prêt a
te recevoir.
Je la regarde d'un air enchanté et rencontre
dans ce partage la gomme qui efface le
désespoir en le remplaçant par la bonté .
- merci madame l'infirmière pour votre attention
je ferais mon possible pour respecter votre
bon cœur.
- passe une bonne nuit Marguerite, demain tu
pourra habiter avec nous avec mes deux filles
qui ton préparé une chambre dans la maison.
La plus âgé porte le même prénom que toi et
l'autre s'appelle Sonia et a deux ans de moi
que toi, vous allez faire un bon trios de filles
- merci madame je suis rassuré.
- Marguerite a partir de maintenant tu m'appelles
tente Germaine et l'on se tutoie.
- oui tente Germaine.
mon service c'est une autre infirmière qui
prend la relève.
- passe aussi une bonne nuit avec ta famille
tente Germaine.
Cette dernière nuit dans le réfectoire de
l'hôpital du cantons de Bâle me plonge dans
des rêves d'avenir mais n'efface pas les
points noir de cette guerre. Il faut que je me
ressaisi car des camarades de chambré sont
orpheline.
Au petit matin, nous préparons la table et
plaçons sur le cercles de fonte de la cuisinière
a bois une grande casserole en aluminium. Il
fallu faire attention que le lait ne surchauffe .
Lorsque toutes les filles furent attablé, une
petite prière matinale honore le petit déjeuné.
JJM
A la fin de ce petit déjeuné, l'infirmière nous fait
part du programme qui vas suivre.
- Les filles cette après midi des familles vont venir
pour vous prendre en charge. Ce sont de solvable
citoyenne Suisse qui se sont proposé. La croix
rouge Suisse a sélectionné ses personnes. Ils vous
ont sélectionné selon votre âge sans avoir vue
votre photo ni connaître votre passé.
Je suis un peut surprise par cette révélation
et demande a l'infirmière,
- madame l'infirmière quant pourrais je voir mes
sœurs et mon frère ?
- Marguerite , tu auras l’occasion de les rencontrer
plus tard, ne t'en fait pas, il faut avant tout, régler
les formalisées pour ta prise en charge. J'ai une
bonne nouvelle, pour toi, ta tente vient aussi
cette après midi pour avoir te tes nouvelles, tu
n'es pas abandonné.
46
- merci madame l'infirmière, cela me rassure.Durant le matin, celles qui ont plus de 14 ans
travaillent dans la cuisine pour aider a faire le repas.
Les plus jeunes vont en classe.
Je remarque que les légumes et toutes les denrées
alimentaire sont en quantité et de qualité . Rien n'est
comparable a la France où il faut des cartes pour
s’approvisionner.
Ce jour là nous préparons des pommes de terre
râpé que nous mélangeons avec des œufs de la
farine, des lardons, des oignons, des orties puis
nous façonnons des boulettes a la main.
Cette préparation est plongé sur un bain d'huile
qui mijote dans une grande casserole en fonte noir.
Comme nous somme au nombre de 25 enfants
et deux infirmières qui nous guident une avance
de 80 tartelettes sont préparé dans un récipient
en terre cuite qui est placé dans le four pour qu'ils
gardent leur chaleur croustillante. La dorure de ses
galettes de pommes de terre nous donne envie de
47
les déguster.Respectons l'ordre de marche pour les manger.
l'on se met a table et madame l’infirmière nous fait
faire une prière. Elle rajoute ces mots,
- Le repas est précieux, manger ce que bon vous
semble mais ne jetez rien car beaucoup de gens
n'ont rien a manger.
Nous suivons tous ses conseilles et plus rien ne
reste dans les plats pas même une feuille de salade.
Il est 15 heures, nous avions terminez la vaisselle
et le rangement de la pièce. Madame l'infirmière
fait un appelle.
- Marguerite tu peux venir, ta tente est arrivé.
- oui madame l'infirmière.
Me voila avec ma tente, cette rencontre me
soulage car je vais connaître la suite du mon
avenir.
- bonjour tente Albertine, vous allez bien ?
- merci et toi Marguerite comment tu vas ?
- je vais bien mais une question me trouble,
48
où sont mes sœurs et mon frère ?- tu pourra les rencontrer d'ici peut, mais l'ai une
mauvaise nouvelle au sujet de ton père et de ta
grande sœur qui n'a pas réussi a venir en
Suisse car un bombardement les a tué.
Cette réponse me frappe, pas une seule fois mais
bien 2 fois. Une tristesse réveille en moi des larmes
de peine, mes pensées canalisent une insécurité je
luis demande,
- tente Albertine maman est elle encore en vie ?
- oui Marguerite elle est encore en vie, le
bombardement a touché le sud de la ville de
Mulhouse, mais cette nouvelle la fragilisé car
elle a été transporté dans un centre de repos.
Mon inquiétude grandit, a telle point que je
cherche un repère pour l'étancher, je demande
a tente Albertine ?
- tente Albertine, quant pourrais je voir le restant
de notre famille, ils me manquent tous.
- bientôt Marguerite, vient dans mes bras je sais
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que ma sœur, ta maman, est résistante rien nel’affaiblira. Il faut que je te laisse Marguerite
reste fidèle a tes rêves et tu t'en sortiras. Nous
devons suivre les consignes de la croix rouge
international Suisse. Ne t’inquiète pas je suis
la pour toute ta famille.
- oui tente Albertine, je suis tes conseilles.
Madame l'infirmière a suivie la scène et me dit,
- Marguerite, ton visage est bien triste, ce ne sont
pas de bonne nouvelles qui viennent d’être
annonce, je ne te demande pas de question
mais dit toi bien que je ferais tous pour que
les malheureux enfants sous notre protection
trouve un débouché heureux dans leur vie.
Sous patiente et tu gagneras.
- merci madame l'infirmière je vous suis très
reconnaissante pour tous ce que vous faite
pour moi.
- sais tu Marguerite que j'ai une fille d'une
année plus âgé que toi et qu'elle et quelle
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porte le même prénom que toi, je suispersuadé que nous ferons bon ménage
ensemble. Je vais faire en sorte que j'obtiens
ta garde, qu'en penses tu Marguerite ?
- Je suis ravie de faire la connaissance de
votre fille madame l'infirmière.
- je termine mon service dans deux jours
je ferais le possible d'obtenir ta garde et
devenir ta tutrice. Il faut que je demande l’avis
du restant de la famille.
La journée se termine dans la cuisine pour la
préparation de repas du soir. Une soupe de
légume et une tranche de pain que l'on coupe
dans une grande miche doré qui a la senteur
du blé. Un morceau de fromage de Suisse aux
nombreux trous. Puis nous terminons de
rancher pour entamer la prière du soir.
Il manque 6 filles qu'on renquillent dans des
familles. Notre groupe se disloque mais, d'autres
filles attendent dans le réfectoire sanitaire.
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L’infirmière qui m'a prêté attention me dit,- Marguerite je vient de recevoir de bonne
nouvelle, l'ensemble de la famille est prêt a
te recevoir.
Je la regarde d'un air enchanté et rencontre
dans ce partage la gomme qui efface le
désespoir en le remplaçant par la bonté .
- merci madame l'infirmière pour votre attention
je ferais mon possible pour respecter votre
bon cœur.
- passe une bonne nuit Marguerite, demain tu
pourra habiter avec nous avec mes deux filles
qui ton préparé une chambre dans la maison.
La plus âgé porte le même prénom que toi et
l'autre s'appelle Sonia et a deux ans de moi
que toi, vous allez faire un bon trios de filles
- merci madame je suis rassuré.
- Marguerite a partir de maintenant tu m'appelles
tente Germaine et l'on se tutoie.
- oui tente Germaine.
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- passe une bonne nuit Marguerite, j'ai terminémon service c'est une autre infirmière qui
prend la relève.
- passe aussi une bonne nuit avec ta famille
tente Germaine.
Cette dernière nuit dans le réfectoire de
l'hôpital du cantons de Bâle me plonge dans
des rêves d'avenir mais n'efface pas les
points noir de cette guerre. Il faut que je me
ressaisi car des camarades de chambré sont
orpheline.
Au petit matin, nous préparons la table et
plaçons sur le cercles de fonte de la cuisinière
a bois une grande casserole en aluminium. Il
fallu faire attention que le lait ne surchauffe .
Lorsque toutes les filles furent attablé, une
petite prière matinale honore le petit déjeuné.
JJM
a suivre au 4/10
La nuit porte conseille je raconterais la suite
au fur et a mesure. Un roman c'est une histoire
vécu mais imaginé d'après mes pensées qui se
rapprochent de la vérité.
Auteur amateur Jean Jacques Mutz
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