LA RIZIÈRE a 3 ( COMÉDIE MUSICALE ACTE 3 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
.
LA RIZIÈRE (ACTE 3 )
(- Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne dans les airs,
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne dans le haut. )
Élise et Yang n'ont plus de secret, les enfants
les taquine et le vieille homme leur fait un clin
d'œil. Élise et Yang proclame leur fiançailles,
Yang se tourne vers les villageois,
- Je demande la main a Élise,
Pour fonder une famille ,
façonner notre bonheur,
Vieillir dans la gaieté,
Élise es tu d'accord,
Pour tous accepter ?
Réponse d' Élise
- Yang, Yang, quel bonheur d'accepter,
Yang, Yang, quelle joie ne plus se quitter,
Yang, Yang, je n'arrive a m'exprimer,
Yang, Yang, sers moi dans tes bras,
Je veux t’épouser.
Tous le monde s’exprime,
- J'aime la rizière et tous ses chants très beau,
J'aime la lumière et les rires très haut,
J'aime la récolte, de ce riz nouveau.
Comme cette lune qui brille très haut,
Comme cette lune qui brille très haut,
J'exprime la clarté de ce couple nouveau.
J'aime la rizière et tous ses chants très beau,
J'aime la lumière et les rires très haut,
J'aime la récolte , de ce riz nouveau.
Comme une hirondelle qui vole très haut,
Comme une hirondelle qui vole très haut,
J'exprime la liberté de ce renouveau.
J'aime la rizière et tous ses chants très haut,
J'aime la lumière et les rires très haut,
J'aime la récolte , de ce riz nouveau.
Les enfants apprennent la bonne tradition,
Les enfants apprennent la bonne tradition,
Ils chantent la sagesse de papillons.
J'aime la rizière et tous ses chants très haut,
J'aime la lumière et les rires très haut,
J'aime la récolte , de ce riz nouveau.
Le vieille homme fait une remarque au jeune
couple ,
- Mes enfants il faut le respect envers ceux qui
sont partie pour la guerre.
Leur gaîté se fane et une remarque naît,
- Il y a des gens qui pleurent leur sentiments,
Il y a des gens qui contournent les châtiments.
Il y a des enfants qui oublient le bonheur,
Et qui chassent en cœur tous leurs malheurs.
Il y a des gens qui pleurent leur sentiments,
Il y a des gens qui contournent les châtiments.
Il y a ceux qui deviennent des profiteurs,
Avec une profonde faim dans leur cœur.
Il y a des gens qui pleurent leur sentiments,
Il y a des gens qui contournent les châtiments.
Il y a ceux qui travaillent sans nuire,
Et d'autres qui chantent pour ne pas mourir.
Les rumeurs de la guerre sont triste car des
soldats disparaissent dans les tranchés. Des
pleurs forment un murmure mélancolique ou
tous les villageois s'expriment. Les amoureux
se tiennent fortement , au centre de cette foule,
en se regardant dans les yeux. Ils chantent
l'orage avec une tristesse peu commune,
- Ça tonne dans le soir, ça donnent des tentions,
Ça récolte la peur, ça sonne un air faux,
La tempête ne rapporte plus de chant nouveau,
Cette crainte, nous bouscule sans un seul mot,
Cette pleine soudaine n'est pas une illusion,
Car le silence cache la mort entre les joncs.
L'ensemble des femmes se mettent a chanter,
- Ça tonne dans la nuit, ça grogne au front,
Ça gronde la guerre, ça sonne le clairon,
Ça clame la misère, et manifeste haut,
Elles expriment prières qui ne sont pas sot,
Elles cultivent la haine qui guide les faux,
Elles cachent leur face derrière les buissons.
Le jeune couple sent que leur avenir risque
de basculer, une tristesse dans leur cœur, il se
mettent a chanter,
- Mais c'est le temps qui change,
La culture du malheur,
Qui nous prend l'enfance,
Et nous marque nos cœur.
Notre soucis a un rythme aveuglant,
Un avenir timide fait de sentiments,
Quant l'amour prend forme pour la vie,
Et que le malheur coupe nos envies.
Mais c'est le temps qui change,
La culture du malheur,
Qui nous prend l'enfance,
Et nous marque nos cœur.
Dans le village les hommes sont devenu
rare, beaucoup sont au front. Yang sait que
lui aussi devra partir prochainement. Élise en
est consciente et choqué, elle verse des larmes.
Yang tente de la consoler et lui chante,
- Ne pleure pas Élise, je suis rien qu'a toi,
Ne pleure pas , au retour nous nous marierons.
Mais ne tremble pas , l'amour lui est bien la,
Ne te retire pas, le monde nous observe la.
Yang fait de son mieux pour consoler Élise ; elle
essuie ses larmes et lui chante cette promesse,
- Je t'aimerais plus qu'une nuit,
Je t'aimerais toute la vie,
Je t'aimerais plus qu'aujourd'hui,
Je trouverais la clé qui nous suit.
Je te promet la joie et le bonheur,
Je récolterais du riz avec mon cœur,
Je construirais la maison de l'honneur,
Je chasserais le malheur avec rancœur,
Malgré la malchance qui nous poursuit,
Malgré le malheur qui nous meurtrie,
Malgré le mauvais sort et sans un abri,
Malgré tout cela , promis je penserais a toi.
Le départ de Yang est proche un recruteur
en uniforme rassemble les derniers homme valide
de la rizière. Des murmures de chagrins planent,
les femmes et les enfants chantent,
- Ça tonne dans le soir, ça donnent des tentions,
Ça récolte la peur, ça donne des frisons,
Ça ne rapporte plus de chant nouveau,
Notre crainte nous traîne sans un mot,
La guerre lointaine n'est pas une illusion,
Elle traîne les morts entre les joncs.
fin du tableau n 3
a suivre tableau n 4
JJM
écrit le 01 03 2011 mis a jour le 02 10 2019
Auteur amateur Jean Jacques Mutz
A ce jour, 08 12 2018, 107 322 lecteurs
A ce jour, 02 10 2019, 115 910 lecteurs.
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LA RIZIÈRE (ACTE 3 )
(- Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne dans les airs,
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne dans le haut. )
Élise et Yang n'ont plus de secret, les enfants
les taquine et le vieille homme leur fait un clin
d'œil. Élise et Yang proclame leur fiançailles,
Yang se tourne vers les villageois,
- Je demande la main a Élise,
Pour fonder une famille ,
façonner notre bonheur,
Vieillir dans la gaieté,
Élise es tu d'accord,
Pour tous accepter ?
Réponse d' Élise
- Yang, Yang, quel bonheur d'accepter,
Yang, Yang, quelle joie ne plus se quitter,
Yang, Yang, je n'arrive a m'exprimer,
Yang, Yang, sers moi dans tes bras,
Je veux t’épouser.
Tous le monde s’exprime,
- J'aime la rizière et tous ses chants très beau,
J'aime la lumière et les rires très haut,
J'aime la récolte, de ce riz nouveau.
Comme cette lune qui brille très haut,
Comme cette lune qui brille très haut,
J'exprime la clarté de ce couple nouveau.
J'aime la rizière et tous ses chants très beau,
J'aime la lumière et les rires très haut,
J'aime la récolte , de ce riz nouveau.
Comme une hirondelle qui vole très haut,
Comme une hirondelle qui vole très haut,
J'exprime la liberté de ce renouveau.
J'aime la rizière et tous ses chants très haut,
J'aime la lumière et les rires très haut,
J'aime la récolte , de ce riz nouveau.
Les enfants apprennent la bonne tradition,
Les enfants apprennent la bonne tradition,
Ils chantent la sagesse de papillons.
J'aime la rizière et tous ses chants très haut,
J'aime la lumière et les rires très haut,
J'aime la récolte , de ce riz nouveau.
Le vieille homme fait une remarque au jeune
couple ,
- Mes enfants il faut le respect envers ceux qui
sont partie pour la guerre.
Leur gaîté se fane et une remarque naît,
- Il y a des gens qui pleurent leur sentiments,
Il y a des gens qui contournent les châtiments.
Il y a des enfants qui oublient le bonheur,
Et qui chassent en cœur tous leurs malheurs.
Il y a des gens qui pleurent leur sentiments,
Il y a des gens qui contournent les châtiments.
Il y a ceux qui deviennent des profiteurs,
Avec une profonde faim dans leur cœur.
Il y a des gens qui pleurent leur sentiments,
Il y a des gens qui contournent les châtiments.
Il y a ceux qui travaillent sans nuire,
Et d'autres qui chantent pour ne pas mourir.
Les rumeurs de la guerre sont triste car des
soldats disparaissent dans les tranchés. Des
pleurs forment un murmure mélancolique ou
tous les villageois s'expriment. Les amoureux
se tiennent fortement , au centre de cette foule,
en se regardant dans les yeux. Ils chantent
l'orage avec une tristesse peu commune,
- Ça tonne dans le soir, ça donnent des tentions,
Ça récolte la peur, ça sonne un air faux,
La tempête ne rapporte plus de chant nouveau,
Cette crainte, nous bouscule sans un seul mot,
Cette pleine soudaine n'est pas une illusion,
Car le silence cache la mort entre les joncs.
L'ensemble des femmes se mettent a chanter,
- Ça tonne dans la nuit, ça grogne au front,
Ça gronde la guerre, ça sonne le clairon,
Ça clame la misère, et manifeste haut,
Elles expriment prières qui ne sont pas sot,
Elles cultivent la haine qui guide les faux,
Elles cachent leur face derrière les buissons.
Le jeune couple sent que leur avenir risque
de basculer, une tristesse dans leur cœur, il se
mettent a chanter,
- Mais c'est le temps qui change,
La culture du malheur,
Qui nous prend l'enfance,
Et nous marque nos cœur.
Notre soucis a un rythme aveuglant,
Un avenir timide fait de sentiments,
Quant l'amour prend forme pour la vie,
Et que le malheur coupe nos envies.
Mais c'est le temps qui change,
La culture du malheur,
Qui nous prend l'enfance,
Et nous marque nos cœur.
Dans le village les hommes sont devenu
rare, beaucoup sont au front. Yang sait que
lui aussi devra partir prochainement. Élise en
est consciente et choqué, elle verse des larmes.
Yang tente de la consoler et lui chante,
- Ne pleure pas Élise, je suis rien qu'a toi,
Ne pleure pas , au retour nous nous marierons.
Mais ne tremble pas , l'amour lui est bien la,
Ne te retire pas, le monde nous observe la.
Yang fait de son mieux pour consoler Élise ; elle
essuie ses larmes et lui chante cette promesse,
- Je t'aimerais plus qu'une nuit,
Je t'aimerais toute la vie,
Je t'aimerais plus qu'aujourd'hui,
Je trouverais la clé qui nous suit.
Je te promet la joie et le bonheur,
Je récolterais du riz avec mon cœur,
Je construirais la maison de l'honneur,
Je chasserais le malheur avec rancœur,
Malgré la malchance qui nous poursuit,
Malgré le malheur qui nous meurtrie,
Malgré le mauvais sort et sans un abri,
Malgré tout cela , promis je penserais a toi.
Le départ de Yang est proche un recruteur
en uniforme rassemble les derniers homme valide
de la rizière. Des murmures de chagrins planent,
les femmes et les enfants chantent,
- Ça tonne dans le soir, ça donnent des tentions,
Ça récolte la peur, ça donne des frisons,
Ça ne rapporte plus de chant nouveau,
Notre crainte nous traîne sans un mot,
La guerre lointaine n'est pas une illusion,
Elle traîne les morts entre les joncs.
fin du tableau n 3
a suivre tableau n 4
JJM
écrit le 01 03 2011 mis a jour le 02 10 2019
Auteur amateur Jean Jacques Mutz
A ce jour, 08 12 2018, 107 322 lecteurs
A ce jour, 02 10 2019, 115 910 lecteurs.
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