LA RIZIÈRE a 1 ( comédie musicale 1 acte )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
LA RIZIÈRE, premier acte
Quelle est belle cette rizière entourée
de roseaux élancés et d'arbre centenaires.
Au loin, les collines apparaissent avec leur
majestueux chapeaux qui ressemblent a des
mamelons.
A travers cette beauté de la nature le vent
prend plaisir a faire entrechoquer les joncs
pour qu'ils résonnent. Dans l'intimider de
cette liberté s'égaillent des enfants attirés
par le ruissellement d'une petite cascade
d'eau claire.
Les oiseaux expriment gaiement un
gazouillement réconfortant.
Les hommes et leurs bœufs travaillent avec
enthousiasme tandis que que les femmes
attisent leurs labeur en chantant de vive
voix tout en plantant le riz.
Voila un endroit béni par le seigneur,
protégé du malheur et comblé de bonheurs.
Il n'y a pas d'âge pour travailler, les plus
rudes s'occupent de porter les charges
lourdes, les moins musclé plantent le riz
a une vitesse inégalable.
Toute la coordination suit comme une
musique bien écrite. Même un vieille homme ,
tout courbé par la charge des années, occupe
une place sur une vieille souche d'arbre tout
prés de la berge ; devant lui, une grande
marmite de fonte permet de rappeler a
l'ordre les moments de poses.
- Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne dans les airs,
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne tout haut.
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne dans la rizière,
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne tout haut.
Dom, dom, dom, dom,
La joie est notre prière,
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne tout haut.
Dom, dom, dom, dom.
Son regard persan et observateur
conjugue le présent par la prévision du beau
ou mauvais temps. Il n'y a pas que cela qui
occupe son attention, la venue d'un éventuelle
visiteur fait parti de son répertoire car, il tonne
sur la grosse marmite pour rassembler les
villageois.
Quelle belle harmonie que de vivre dans cette
rizière, le travail devient agréable et les pousses
suivent le mouvement comme par enchantement.
La coordination de ce monde sans éducation vit
des instants glorieux devant une croyance noble.
Ce sont les remarques de certains sages qui
viennent de temps a autre marquent un arrêt
pour prêcher les bonnes paroles et des prières
signé par de bon croyant.
Toutes les histoires pieuse les guident sur le
droit chemin. La paix, l'égalité et le respect de
l'un envers l'autre, voila la juste valeur sur
laquelle s'hypnotise ce petit village planté au
milieu d'une rizière et d'un bois impénétrable.
Le vieillard frappe sur la grosse marmite de
fonte qui résonne alentour. Ce son se repend
dans la rizière , c'est l' ordre de prendre une
pause.
Certaines terminent de planter leur botte de
plants de riz, d'autre arrêtent la marche de
leurs bœufs sous l'ombre des arbres.
Puis toutes les personnes se mettent a chanter
tout en se rapprochant du vieillard,
1 J'aime cette rizière et les chants très beau,
R J'aime la lumière et les rires très haut,
J'aime la récolte et le riz nouveau.
Comme cette lune qui reflète très haut,
Comme cette lune qui reflète très haut,
J'exprime la clarté de ce brillant très beau.
J'aime cette rizière et les chants très beau,
J'aime la lumière et les rires très haut,
J'aime la récolte et le riz nouveau.
Comme une hirondelle qui vole très haut,
Comme une hirondelle qui vole très haut,
J'exprime la liberté de ce renouveau.
J'aime la rizière et les chants très beau,
J'aime la lumière et les rires très haut,
J'aime la récolte et le riz nouveau.
Tous les hommes se manifestent tout haut,
Tous les hommes se manifestent tout haut,
Ils dansent pour la récolte de riz nouveau.
J'aime la rizière et les chants très beau,
J'aime la lumière et les rires très haut,
J'aime la récolte et le riz nouveau.
Les enfants apprennent cette tradition,
Les enfants apprennent cette tradition,
Et chantent leur sagesse de papillon.
J'aime la rivière et les chants très beau,
J'aime la lumière et les rires très haut,
J'aime la récolte et le riz nouveau.
Un couple d'adolescent reste a l'écart ;
c'est Yang et Élise. Ils se fond les premiers
pas vers des sentiments affectueux qui se
propagent en eux . La joie de Yang et Élise
s'exprime en chantant,
1-2 -Dans ma vie je suis tout petit
Dans ma vie j'ai un grand soucis,
R Dans ma vie je rêve d'envie,
L'ennui qui rassemble mes nuits.
Ma vie est un paradis, ami,
Avis a ceux qui l'envient,
Mon coeur, lui ne bat que pour toi,
Un autre toit il n'en connaît pas.
Dans ma vie je suis tout petit,
Dans ma vie j'ai un grand soucis,
Dans ma vie je rêve d'envie,
L'ennui qui rassemble mes nuits.
R
Yang se tourne vers le publique et chante
1-3 - Les amoureux paressent triste,
Quant ils rêvent de compliments,
Seul des récompenses en sourires,
Cultivent l’espoir du plaisir,
Les amoureux paressent triste,
Quant ils rêvent de compliments,
Ils demandent de les entendre,
Pour vous exprimer la vérité,
Les amoureux paressent triste,
Quant ils rêvent de compliments,
A ce publique qu'ils prennent pour argent,
Témoin du oui pour la liberté de la vie.
Les amoureux paressent triste,
Quant ils rêvent de compliments.
Un attroupement se forme autour du
vieillard, qui, l'air additionnelle fait un rapide
inventaire de l'ensemble des villageois.
Il redonne du tons a son son instrument
(- Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne dans les airs,
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne tout haut. )
Yang
- Non Élise, je ne sais pas ce qui a retenu
mon attention ?
Un silence se fait, puis, les oiseaux sifflent a
nouveau et le jeune couple se tarde. Le vielle
homme les rappel de nouveau.
- Dom,dom, dom, dom,
Ça tonne dans les airs,
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne tout haut.
Élise dit,
- Donne moi ta main Yang nous allons
retrouver les autres.
Ils chantent en cœur,
1-4
- Chante mon amour chante notre joie,
Chantons notre vie, elle charme nos nuits,
Chantons le bonheur, exprimons le dans
nos cœur,
Chantons la gloire pour ce que Dieu nous
a donné.
Chante mon amour, chante notre joie,
Chante notre vie, elle charme nos nuits,
Chantons la liberté de pouvoir nous aimer,
Chantons notre fidélité pour pouvoir s'aider,
Chante non amour, chante notre joie,
Chante notre vie, elle charme nos nuits.
Il se regardent dans les yeux et d'un air
hypnotisé expriment les paroles suivante,
ensemble ils chantent,
1- 5
- Quant on se souris, on se réjoui,
Quant on se dit je t'aime,
C'est pour la vie.
Élise
- Quant ta tête trouve refuge,
Sur mon cœur près de ma poitrine
Et que ta main me caresse,
Une volonté divine s'exprime.
Ensemble
- Quant on se souris, on se réjoui,
Quant on se dit je t'aime,
C'est pour la vie.
Yang
- Mes sentiments ont une sensation,
De se laisser guider vers ta bondée,
Et ma passion suit cette conscience,
De s'unir pour semer la création.
Ensemble
- Quant on se souris, on se réjoui,
Quant on se dit je t'aime,
C'est pour la vie.
Le silence marque un pas, puis petit
a petit les oiseaux reprennent leurs sifflement
mélodique. Au loin résonne une voix centenaire,
Les grand père
- Alors les enfants vous ne venez pas avec nous ?
Ci grand père nous arrivons.
Les enfants jouent en courant dans toutes les
directions en une bousculade de jeux qui les
rend heureux. Yang chante en direction du
publique, sous une clarté diminuant, seul un
filet de lumière l'éclaire,
- Les ouvriers paressent bien triste,
Quant la journée ce termine,
Mais cumul des mots d'artiste,
Pour reprendre le sicle de la vie.
Au son de la marmite de fonte le premier
rideau se ferme.
- Dom, dom, dom, dom
Ça tonne dans les airs,
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne tout haut.
A suivre sous comédie musicale e acte.
JJM
écrit le 27 02 2011 repris le 02 10 2019
Auteur amateur Jean Jacques Mutz
A ce jour 08 12 2018, 107310 lecteurs.
A ce jour, 02 10 2019, 115 910 lecteurs.
LA RIZIÈRE, premier acte
Quelle est belle cette rizière entourée
de roseaux élancés et d'arbre centenaires.
Au loin, les collines apparaissent avec leur
majestueux chapeaux qui ressemblent a des
mamelons.
A travers cette beauté de la nature le vent
prend plaisir a faire entrechoquer les joncs
pour qu'ils résonnent. Dans l'intimider de
cette liberté s'égaillent des enfants attirés
par le ruissellement d'une petite cascade
d'eau claire.
Les oiseaux expriment gaiement un
gazouillement réconfortant.
Les hommes et leurs bœufs travaillent avec
enthousiasme tandis que que les femmes
attisent leurs labeur en chantant de vive
voix tout en plantant le riz.
Voila un endroit béni par le seigneur,
protégé du malheur et comblé de bonheurs.
Il n'y a pas d'âge pour travailler, les plus
rudes s'occupent de porter les charges
lourdes, les moins musclé plantent le riz
a une vitesse inégalable.
Toute la coordination suit comme une
musique bien écrite. Même un vieille homme ,
tout courbé par la charge des années, occupe
une place sur une vieille souche d'arbre tout
prés de la berge ; devant lui, une grande
marmite de fonte permet de rappeler a
l'ordre les moments de poses.
- Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne dans les airs,
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne tout haut.
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne dans la rizière,
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne tout haut.
Dom, dom, dom, dom,
La joie est notre prière,
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne tout haut.
Dom, dom, dom, dom.
Son regard persan et observateur
conjugue le présent par la prévision du beau
ou mauvais temps. Il n'y a pas que cela qui
occupe son attention, la venue d'un éventuelle
visiteur fait parti de son répertoire car, il tonne
sur la grosse marmite pour rassembler les
villageois.
Quelle belle harmonie que de vivre dans cette
rizière, le travail devient agréable et les pousses
suivent le mouvement comme par enchantement.
La coordination de ce monde sans éducation vit
des instants glorieux devant une croyance noble.
Ce sont les remarques de certains sages qui
viennent de temps a autre marquent un arrêt
pour prêcher les bonnes paroles et des prières
signé par de bon croyant.
Toutes les histoires pieuse les guident sur le
droit chemin. La paix, l'égalité et le respect de
l'un envers l'autre, voila la juste valeur sur
laquelle s'hypnotise ce petit village planté au
milieu d'une rizière et d'un bois impénétrable.
Le vieillard frappe sur la grosse marmite de
fonte qui résonne alentour. Ce son se repend
dans la rizière , c'est l' ordre de prendre une
pause.
Certaines terminent de planter leur botte de
plants de riz, d'autre arrêtent la marche de
leurs bœufs sous l'ombre des arbres.
Puis toutes les personnes se mettent a chanter
tout en se rapprochant du vieillard,
1 J'aime cette rizière et les chants très beau,
R J'aime la lumière et les rires très haut,
J'aime la récolte et le riz nouveau.
Comme cette lune qui reflète très haut,
Comme cette lune qui reflète très haut,
J'exprime la clarté de ce brillant très beau.
J'aime cette rizière et les chants très beau,
J'aime la lumière et les rires très haut,
J'aime la récolte et le riz nouveau.
Comme une hirondelle qui vole très haut,
Comme une hirondelle qui vole très haut,
J'exprime la liberté de ce renouveau.
J'aime la rizière et les chants très beau,
J'aime la lumière et les rires très haut,
J'aime la récolte et le riz nouveau.
Tous les hommes se manifestent tout haut,
Tous les hommes se manifestent tout haut,
Ils dansent pour la récolte de riz nouveau.
J'aime la rizière et les chants très beau,
J'aime la lumière et les rires très haut,
J'aime la récolte et le riz nouveau.
Les enfants apprennent cette tradition,
Les enfants apprennent cette tradition,
Et chantent leur sagesse de papillon.
J'aime la rivière et les chants très beau,
J'aime la lumière et les rires très haut,
J'aime la récolte et le riz nouveau.
Un couple d'adolescent reste a l'écart ;
c'est Yang et Élise. Ils se fond les premiers
pas vers des sentiments affectueux qui se
propagent en eux . La joie de Yang et Élise
s'exprime en chantant,
1-2 -Dans ma vie je suis tout petit
Dans ma vie j'ai un grand soucis,
R Dans ma vie je rêve d'envie,
L'ennui qui rassemble mes nuits.
Ma vie est un paradis, ami,
Avis a ceux qui l'envient,
Mon coeur, lui ne bat que pour toi,
Un autre toit il n'en connaît pas.
Dans ma vie je suis tout petit,
Dans ma vie j'ai un grand soucis,
Dans ma vie je rêve d'envie,
L'ennui qui rassemble mes nuits.
R
Yang se tourne vers le publique et chante
1-3 - Les amoureux paressent triste,
Quant ils rêvent de compliments,
Seul des récompenses en sourires,
Cultivent l’espoir du plaisir,
Les amoureux paressent triste,
Quant ils rêvent de compliments,
Ils demandent de les entendre,
Pour vous exprimer la vérité,
Les amoureux paressent triste,
Quant ils rêvent de compliments,
A ce publique qu'ils prennent pour argent,
Témoin du oui pour la liberté de la vie.
Les amoureux paressent triste,
Quant ils rêvent de compliments.
Un attroupement se forme autour du
vieillard, qui, l'air additionnelle fait un rapide
inventaire de l'ensemble des villageois.
Il redonne du tons a son son instrument
(- Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne dans les airs,
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne tout haut. )
Yang
- Non Élise, je ne sais pas ce qui a retenu
mon attention ?
Un silence se fait, puis, les oiseaux sifflent a
nouveau et le jeune couple se tarde. Le vielle
homme les rappel de nouveau.
- Dom,dom, dom, dom,
Ça tonne dans les airs,
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne tout haut.
Élise dit,
- Donne moi ta main Yang nous allons
retrouver les autres.
Ils chantent en cœur,
1-4
- Chante mon amour chante notre joie,
Chantons notre vie, elle charme nos nuits,
Chantons le bonheur, exprimons le dans
nos cœur,
Chantons la gloire pour ce que Dieu nous
a donné.
Chante mon amour, chante notre joie,
Chante notre vie, elle charme nos nuits,
Chantons la liberté de pouvoir nous aimer,
Chantons notre fidélité pour pouvoir s'aider,
Chante non amour, chante notre joie,
Chante notre vie, elle charme nos nuits.
Il se regardent dans les yeux et d'un air
hypnotisé expriment les paroles suivante,
ensemble ils chantent,
1- 5
- Quant on se souris, on se réjoui,
Quant on se dit je t'aime,
C'est pour la vie.
Élise
- Quant ta tête trouve refuge,
Sur mon cœur près de ma poitrine
Et que ta main me caresse,
Une volonté divine s'exprime.
Ensemble
- Quant on se souris, on se réjoui,
Quant on se dit je t'aime,
C'est pour la vie.
Yang
- Mes sentiments ont une sensation,
De se laisser guider vers ta bondée,
Et ma passion suit cette conscience,
De s'unir pour semer la création.
Ensemble
- Quant on se souris, on se réjoui,
Quant on se dit je t'aime,
C'est pour la vie.
Le silence marque un pas, puis petit
a petit les oiseaux reprennent leurs sifflement
mélodique. Au loin résonne une voix centenaire,
Les grand père
- Alors les enfants vous ne venez pas avec nous ?
Ci grand père nous arrivons.
Les enfants jouent en courant dans toutes les
directions en une bousculade de jeux qui les
rend heureux. Yang chante en direction du
publique, sous une clarté diminuant, seul un
filet de lumière l'éclaire,
- Les ouvriers paressent bien triste,
Quant la journée ce termine,
Mais cumul des mots d'artiste,
Pour reprendre le sicle de la vie.
Au son de la marmite de fonte le premier
rideau se ferme.
- Dom, dom, dom, dom
Ça tonne dans les airs,
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne tout haut.
A suivre sous comédie musicale e acte.
JJM
écrit le 27 02 2011 repris le 02 10 2019
Auteur amateur Jean Jacques Mutz
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