LA RIZIÈRE a 2 ( comédie musicale acte 2 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
LA RIZIÈRE ( 2 acte )
(- Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne dans les airs,
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne tout haut. )
Les enfants courent dans toutes les directions
en bousculade, certains tombent dans l'herbe
folle, d'autres terminent leur course joyeusement.
Enfin, les voila, les deux tourtereaux ils ne presse
pas leur pas, pour eux rien n'est plus important
que de se sentir l'un près de l'autre,
- Tu as faim Élise ?
- Non Yang, et toi ?
- Avec toi près de moi je n'ai ni soif ni faim,
- Restons a l’écart Yang, on est bien ensemble,
- Il ne faut pas se faire remarquer Élise.
Élise a soif d'expression, elle tente d'entourer
Yang avec le bras droit puis ils chantent
- Je voudrais te dire je t'aime,
J'aimerais, j'aimerais t'enlacer,
- Je voudrais t'emmener, et s'embrasser.
Elise
- Mon cœur exprime une faiblesse
Une marque remplit de sagesse
Que j'éprouve pour ta tendresse.
Ensemble
-Je voudrais te dire je t'aime,
J'aimerais, j'aimerais t'enlacer,
Je voudrais t'emmener, et s'embrasser.
Élise
- Je garde dans mes rêves
La marque de t'a qualité,
Une vision très très claire.
Ensemble
- Je voudrais te dire je t'aime,
J'aimerais, j'aimerais d'enlacer,
Je voudrais t'emmener, et s'embrasser.
Le jeune couple marque un arrêt, et les
amoureux s’enlace. Le vieille homme les appelle,
- Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne dans les airs,
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne tout haut.
- Venez vite les enfants ce n'est pas
le moment d'égarer le temps .
Les amoureux pressent le pas , les habitants
entourent un nouveau venu dans cette contrée,
leur visage dévoile une attention particulière.
Dans les arbres aucun oiseau ne siffle. Un chant
prend forme et se mélange a l'écot, toute la
foule chante,
- Ça tonne dans les airs, ça gronde au fonds,
Ça ton la clairière, il faut des chants nouveaux,
La pluie vient de naître et fait monter les flots,
La joie est notre prière et la venu de nouveau,
La vie accumule une prolifération,
Pour nous la peur est un fléau sans floraison.
Un orage gronde au loin, les gros nuages
recouvrent le plafond du ciel , la lumière du jour
diminue. Les enfants sont tous regroupé comme
les grandes personne qui écoutent avec attention
ce que ce nouveau venu explique. Un peur naît,
ils chantent ensemble,
- Ça tonne dans le soir, ça donnent des tentions,
Ça récolte la peur, ça sonne un air faux,
La tempête n'apporte plus de chant nouveau,
Cette crainte nous bouleverse tous sent un mot,
Cette guerre soudaine n'est pas une illusion,
Cette paix perdu cache la mort dans les joncs.
Yang chante son incapacité devant les
villageois ,
- Dans ma vie, je me sent tout petit,
Dans ma vie, j'ai un grand soucis,
Dans ma vie je rêve d'envie,
Des rêves qui comblent mes nuits.
Le bruit des gouttelettes se répercutent sur
les toits de feuilles, une musique naturelle
clapote. Le visiteur fait signe au villageois de
l'écouter, un garde qui l’accompagne tambourine
sur un rythme . La pluies augmente son clapotis
sur les feuilles ,
- Clip- clape-clip-clape-clip-clape
Le lendemain, le travail reprend, mais la
ferveur n'a plus le même charme, des doutes
persévèrent sur les valeurs qui épaulent certaines
présomptions. Les chants deviennent triste.
Nos deux amoureux ne prêtent attention. Les
villageois s'expriment,
- Ça tonne dans les airs, ça tonne dans le fond,
Çà tonne la guerre, ça gronde très très haut,
Toutes les femmes clament leur peine tout haut,
Elles expriment la peur par des prières pas sot,
En cultivant une haine vers ceux qui sont faux,
Elles accumulent la faiblesse d'un ruisseau.
Les amoureux n'ont pas de présomption
douteuse, ils chantent ensemble,
- Je veux te dire je t'aime,
J'aimerais t'épouser,
Je veux t'emmener, et s'embrasser
Notre cœur suit la faiblesse,
Une marque de notre sagesse.
Un arrêt est marqué et les deux amoureux
s'enlacent, les regards étrange ne les importune
plus. Leur bonheur n'a pas de prix. Le vieille
homme leur fait signe de se rapprocher. Les
habitants de cette contrée sont choqué, leur
visage dévoile leur peine et leur peur. Un
chant prend forme .
- Ça tonne dans les airs, ça gronde dans le fond,
Ça sent la guerre, il faut des chants nouveaux,
La pluie pleure en fessant monter les flots,
La joie cache la peine et tout ceux qui est faux,
Prions pour nos hommes qui partent au front,
La peur devient le fléau de la chanson.
Yang et Élise ne prêtent aucune attention ,
la peur pour eux n'a de valeur , ils se tiennent
la main avec une chaleur digne du plus grand
bonheur. Personne ne retourne au travaille,
l'orage a tout bouleverser mais le personne qui
est venu pour recruter vient de tout casser.
Le rideau du deuxième acte se ferme.
A suivre au troisième acte
JJM
écrit le 28 02 2011 remis a jour le 02 10 2019
Auteur amateur Jean Jacques Mutz
A ce jour, 08 12 2018, 107 310 lecteurs
A ce jour, 02 10 2019, 115 910 lecteurs.
LA RIZIÈRE ( 2 acte )
(- Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne dans les airs,
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne tout haut. )
Les enfants courent dans toutes les directions
en bousculade, certains tombent dans l'herbe
folle, d'autres terminent leur course joyeusement.
Enfin, les voila, les deux tourtereaux ils ne presse
pas leur pas, pour eux rien n'est plus important
que de se sentir l'un près de l'autre,
- Tu as faim Élise ?
- Non Yang, et toi ?
- Avec toi près de moi je n'ai ni soif ni faim,
- Restons a l’écart Yang, on est bien ensemble,
- Il ne faut pas se faire remarquer Élise.
Élise a soif d'expression, elle tente d'entourer
Yang avec le bras droit puis ils chantent
- Je voudrais te dire je t'aime,
J'aimerais, j'aimerais t'enlacer,
- Je voudrais t'emmener, et s'embrasser.
Elise
- Mon cœur exprime une faiblesse
Une marque remplit de sagesse
Que j'éprouve pour ta tendresse.
Ensemble
-Je voudrais te dire je t'aime,
J'aimerais, j'aimerais t'enlacer,
Je voudrais t'emmener, et s'embrasser.
Élise
- Je garde dans mes rêves
La marque de t'a qualité,
Une vision très très claire.
Ensemble
- Je voudrais te dire je t'aime,
J'aimerais, j'aimerais d'enlacer,
Je voudrais t'emmener, et s'embrasser.
Le jeune couple marque un arrêt, et les
amoureux s’enlace. Le vieille homme les appelle,
- Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne dans les airs,
Dom, dom, dom, dom,
Ça tonne tout haut.
- Venez vite les enfants ce n'est pas
le moment d'égarer le temps .
Les amoureux pressent le pas , les habitants
entourent un nouveau venu dans cette contrée,
leur visage dévoile une attention particulière.
Dans les arbres aucun oiseau ne siffle. Un chant
prend forme et se mélange a l'écot, toute la
foule chante,
- Ça tonne dans les airs, ça gronde au fonds,
Ça ton la clairière, il faut des chants nouveaux,
La pluie vient de naître et fait monter les flots,
La joie est notre prière et la venu de nouveau,
La vie accumule une prolifération,
Pour nous la peur est un fléau sans floraison.
Un orage gronde au loin, les gros nuages
recouvrent le plafond du ciel , la lumière du jour
diminue. Les enfants sont tous regroupé comme
les grandes personne qui écoutent avec attention
ce que ce nouveau venu explique. Un peur naît,
ils chantent ensemble,
- Ça tonne dans le soir, ça donnent des tentions,
Ça récolte la peur, ça sonne un air faux,
La tempête n'apporte plus de chant nouveau,
Cette crainte nous bouleverse tous sent un mot,
Cette guerre soudaine n'est pas une illusion,
Cette paix perdu cache la mort dans les joncs.
Yang chante son incapacité devant les
villageois ,
- Dans ma vie, je me sent tout petit,
Dans ma vie, j'ai un grand soucis,
Dans ma vie je rêve d'envie,
Des rêves qui comblent mes nuits.
Le bruit des gouttelettes se répercutent sur
les toits de feuilles, une musique naturelle
clapote. Le visiteur fait signe au villageois de
l'écouter, un garde qui l’accompagne tambourine
sur un rythme . La pluies augmente son clapotis
sur les feuilles ,
- Clip- clape-clip-clape-clip-clape
Le lendemain, le travail reprend, mais la
ferveur n'a plus le même charme, des doutes
persévèrent sur les valeurs qui épaulent certaines
présomptions. Les chants deviennent triste.
Nos deux amoureux ne prêtent attention. Les
villageois s'expriment,
- Ça tonne dans les airs, ça tonne dans le fond,
Çà tonne la guerre, ça gronde très très haut,
Toutes les femmes clament leur peine tout haut,
Elles expriment la peur par des prières pas sot,
En cultivant une haine vers ceux qui sont faux,
Elles accumulent la faiblesse d'un ruisseau.
Les amoureux n'ont pas de présomption
douteuse, ils chantent ensemble,
- Je veux te dire je t'aime,
J'aimerais t'épouser,
Je veux t'emmener, et s'embrasser
Notre cœur suit la faiblesse,
Une marque de notre sagesse.
Un arrêt est marqué et les deux amoureux
s'enlacent, les regards étrange ne les importune
plus. Leur bonheur n'a pas de prix. Le vieille
homme leur fait signe de se rapprocher. Les
habitants de cette contrée sont choqué, leur
visage dévoile leur peine et leur peur. Un
chant prend forme .
- Ça tonne dans les airs, ça gronde dans le fond,
Ça sent la guerre, il faut des chants nouveaux,
La pluie pleure en fessant monter les flots,
La joie cache la peine et tout ceux qui est faux,
Prions pour nos hommes qui partent au front,
La peur devient le fléau de la chanson.
Yang et Élise ne prêtent aucune attention ,
la peur pour eux n'a de valeur , ils se tiennent
la main avec une chaleur digne du plus grand
bonheur. Personne ne retourne au travaille,
l'orage a tout bouleverser mais le personne qui
est venu pour recruter vient de tout casser.
Le rideau du deuxième acte se ferme.
A suivre au troisième acte
JJM
écrit le 28 02 2011 remis a jour le 02 10 2019
Auteur amateur Jean Jacques Mutz
A ce jour, 08 12 2018, 107 310 lecteurs
A ce jour, 02 10 2019, 115 910 lecteurs.
A ce jour, 23 05 2020, 121 807 lecteurs.
A ce jour, 18 05 2021, 151 702 lecteurs.
A ce jour, 18 04 2022, 169 131 lecteurs.
A ce jour, 23 10 2022, 170 180 lecteurs.
A ce jour, 30 10 2023 185 662 lecteurs.
A ce jour, 03 01 2024, 191 163 lecteurs.
A ce jour, 21 04 2024, 193 390 lecteurs.
A ce jour, 03 07 2024, 199 100 lecteurs.
Commentaires