MÉMÉ ( poésie n 204 )
mirage au dessus des nuages sage n 1
Mémé
Tu gardes un sourire,
D'une couleur nacrée,
Que plusieurs guerres,
Stupide, ont effleuré.
Tes yeux témoignent?
Cette honte apprivoisé,
Par les multiples rides,
Qui t'ont sigisbées.
Ta santé décline,
Au moindre subjonctif,
Que le vent malmène,
Dans ton impératif.
Tu vénères Dieu,
Dans le coeur de tes pensées,
Par des chants glorieux,Dans le coeur de tes pensées,
Pour ne pas t' endiabler.
Tu respectes ta vertu,
Qui est plus qu' exemplaire,
Par des tomes propre,
Qui sont de naguère.
Tu racontes des histoires,
De ton passé,
Qui sans tes paroles,
S'oublieront a jamais.
Tu honores majestueusement,
Les nouvelles saisons,
Qui pour nous rapportent?
une nouvelle floraison.
De ton dernier automne,
Par le mal et la fatigue,
Que tu nous fredonnes.
Mémé par conviction,
Je te donne mon respecte,
Pour ton coeur qui lui?
N'a partagé que du bien.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz
Ecrit le 16 04 2010, remis a jour le 04 04 2020.
A ce jour, 04 04 2020, 120 464 lecteurs.
Commentaires