Demie cochon ( nouvelle 114 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
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Demie cochon.
Cette histoire c'est passé dans mon village, et pour
que les acteurs ne se retournent dans leurs tombes, je
leur donnent a chacun un nom d'animal pour que
cette parodie deviennent une fiction.
La seconde guerre mondiale a entamé sa troisième année
ou l'occupation des corbeau ( allemande ) fait régler ses
obligations.
Certaines interdictions font que pour chaque production de
victuaille, il faut donner une part a la gendarmerie des
dominateurs occupants. Pour chaque cochon que l'on
passe en boucherie, la moitié leur est attribué.
Les agriculteurs sont des producteurs qui permettent a la
population de pouvoir se nourrir. Comme le pouvoir d'achat
s'amenuise, la population rectifier ce manque par l'entretient
d'un potager. Ils élèvent des poules et des lapins et récolte
au bord des bas-côté de la route le foin avec l'aide d'une
serpette ou d'une fau.
Les accoté de la route sont départagé entre les habitants qui
obligatoirement doivent les d'entretenir sous peine d'amende.
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Cette amende se concrétise par le manque de bon d'achat
Pour contrôler que tous les obligations sont suivie a la lettre
le garde champêtre fait un rapport, il doit le déposer chaque
jour a la gendarmerie Allemande qui ne manque pas de donner
des sanctions aux personnes qui ne respectent pas les
consignes.
La peine peut obliger les personnes a être déporté dans des
camps de travail, ou des camps de concentration d'où certain
n'en revienne plus, le gouvernement Français soutient cette
méthode même que les personnes a double nationalité sont
considéré comme d'éventuelle espions ?
Pour d'autres, qui ont l'âge de combattre, c'est le front ; la
aussi il y a des disparitions.. Cette doctrine provoque une
hantise telle que la peur devient le maitre de la domination.
Donc par ce biais, chacun a sa part de responsabilité pour
que les soldats Allemand ont de quoi manger.
Il y a une organisation de travail obligatoire pour chaque
habitant du village, de tout âges.
Chaque villageois travaille avec sa serpette sur un tronçon
déterminé qui mène au village voisin. Pour avoir une herbe
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bien grasse, il y a des endroits privilégier. Ils se trouvent
dans les virages la bonne qualité .
Pour pouvoir obtenir un de ces tronçon, il faut faire des
avances aux corbeaux Allemand. Certains donnent deux
lapins au lieux d'un et d'autres augmentent la douzaine œufs.
Certaines femmes les dragues les corbeaux a t'elle point
que quant une famille se voie muté dans un camps de travail
elles font que les armoires ou autre éléments de mobilier
leur revienne .
Ce printemps a les ingrédients pour faire pousser l'herbe
qui a une densité plus grasse que d'habitude. Le travaille pour
engranger le foin demande d'augmenter ses réserves et
surtout faire en sorte qu'il sera consommé. Cette abondance
met la puce a l oreille de monsieur la fouine qui engrange cette
valeur dans le grenier qui se trouve au-dessus de l'étable. Un
quarré de murs en bois , pas plus grand que 2 m sur 2 permet
d'élever un cochon clandestinement. Nis vus ni connu et la
réserve de viande pour l'hivers vas bon train.
Le cochon suit un rythme de croissance remarquable et
son poids voulu a atteint son sommet.
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L'automne n'est pas loin et le moment venu pour faire du
boudins doit se concrétiser. Cette pratique se fait a plusieurs
car par ci et par la, des cochons y sont élevé en cachette. Pour
cela chacun fait appelle a l'autre et cela en doute discrétion.
Monsieur la fouine fait appelle a ses voisins, il y a le renard,
le loup et la belette.
Le renard a comme particularité la méthode de donner de
la valeur a la viande du cochon. Pour cela il donne au cochon
des oignions et des pomme de terre cuitent dans du petit lait
durant les 4 semaines avant de le saucissonner. Cela permet
de rendre sa chair plus tendre.
Le renard sait aussi comment faire pour que le coup fatal
assomme le cochon du premier coup car ci l on rate son
coup, le cochon hurle si fort que le village entier sera tenu
au courant.
Le loup, sait comment dépecer le cochon car il a une lame
qui coupe comme un rasoir. C'est le forgeront du village et
la qualité du tranchent de ses couteaux sont irréprochable.
Un passage et la chair se divise.
La belette sait comment faire du boudin, des saucisses
avec les entrailles du cochon. Il nous dit ceci,
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- Tout est bon dans le cochon.
Son savoir faire a tous les mérites d'un bouché charcutier.
La fouine suit les conseilles de cette équipe qui marche a
merveille, dire que c'est son premier cochon qu'il transforme
en saucissons.
La journée fatale sonne le glas du cochon . Les préparatifs
vont bon train et tous les ustensiles sont a porté de main. De
l'eau bouillante frémie dans la marmite et les bassines sont
prête pour assaisonner le sang pour le boudin.
Ca y est, nous dépeçons le cochon avec hâte et technique
comme des habituée de charcuterie. Une vapeur envahis
l'étable et nos femmes discute au bord de la route pour
observer l'éventuelle venu des corbeaux.
Les saucissons se pendent sur un fil en chanvre , ont
dirais que l'on se trouve dans une boucherie. Les femmes
continue de faire le gué .
Tous est terminé, le partage peut se faire ce qui permet de
boire notre schnaps comme prévue. Chacun a droit a une
quantité définie, il n'y a pas d'argent et les échanges sont
une Monnet courante.
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Renard et sa femme passe sur la gauche, avec dans la
corbeille a linge son boudin caché sous les draps blanc
humide.
Le loup se dirige vers la droite en direction du centre du
village. Lui aussi a une corbeille de linge blanc humide.
Il habite pas loin du bistros et dois traverser une bonne
partie du village. Comme il fait chaud, l'humidité du linge
permet de conserver les boudins.
La belette, l'éclusier, doit se diriger vers le canal car il
habite dans la maison de l'écluse. Sa femme porte aussi
la corbeille de linge replie de draps blanc humide.
Avant de partir, le loup a dit a ses compagnons,
- Je vous invite tous a boire un verre de vin d'hybride qui
vient de mon vergés de la colline dans le bistro du village.
La fouine a des empêchements,
- Je ne peux pas mes amis, il faut que je débite le cochon
et départage ce qui doit être fumée.
Tout départager demande de l'attention et du temps car ci
il y a une erreur, la viande risque de s abimer.
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La fouine sale son lard qu' il prépare pour être fumé.
D autres morceaux sont coupe pour être sèche. Bref tout
va bon train.
Le loup fait un arrêt au bistrot et rencontre une ribambelle
de camarades penché sur la boisson.
Le carde champêtre entre a son tour et se dirige vers la table
des privilégiés.
- alors le loup as tu oublié de couper le gui sur un de tes
pommier ?
- il faut que je regarde car je n est pas de gui sur
mon pommier.
Un clin d œil fait taire les attablés. La porte du Bistrot s ouvre
et 2 corbeaux prennent place dans le fond.
Le loup n a pas compris le mot clé qui avertie la venue des
corbeaux et dit aux garde champêtre,
- je te remercie pour avoir remarqué que du gui
pousse sur un de mes pommiers, comme tu
N a pas fait de rapport je te ferai par de boudin
noir et frais.
Les collègues attablés n en reviennent pas et se font signe
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d avertir au plus vite la fouine pour qu' il cache au plus vite
son cochon et ses saucisses.
Petit a petit le bistrot se vide et la belette et le renard retrouvé
la fouine pour lui annoncer que le loup a fait une gaffe au bistrot
en faisant illusion sur du Boutin frais et que 2 corbeaux les
avaient écoute.
Les 3 personnes emballent dans des draps la viande du
cochon et les saucisses aux plus vite et chacun les cache dans
les sous bois.
Effectivement, les corbeaux ont fouillé les fermes et les granges
de la région mais n ont pas trouvé le moindre signe de produit
provenant du cochon.
JJM
Auteur Mutz Jean Jacques .
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