Noel de Paris a Lisbonne ( nouvelle n 87 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
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Noel de Paris a Lisbonne.
- Pamela il a neigé dans la nuit, vient voir, il
y a dix centimètres.
J'appelle ma sœur qui a 7 ans , et qui apprécie
autant que moi même qui a 10 ans cette féérie
recouvrant les pavées de la cour et tout ce qui
se trouve tout autour. Le blanc de la break 404
Peugeot se conjugue avec cette belle neige
immaculé.
- Je viens Paoli, de suite, je termine mon petit
déjeuné.
- Dépêche toi Pamela car papa José déneige la
voiture et la cour, ca ne sera plus pareille.
Nous somme le 23 décembre cette date a une
importance capital. Noel approche , la joie nous
entoure, plus que tout. Nous somme sous l'influence
d'une bénédiction qui vient de notre culture.
Pour partager ce bonheur, le faire en famille
devient une raison pour le rapprochement. Notre
grand mère et ma tante Câlina de Lisbonne, arrivent
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avec le train dans apprêt midi
Cette idée vient de la grand mère , une première pour
elle et un rêve qu'elle veut réaliser, vue son grand âge,
87 ans, elle nous l'eut fais savoir par écrit . Je ne l'ai
jamais rencontré, a part les photos, sa venue nous
émerveille tous.
Mon père, José, se ravie aussi de la venu de sa mère
comme pour ma maman Maria et ma sœur Pamela.
Les retrouvailles gonflent notre impatience, les
minutes ne prennent fin et notre curiosité devient une
source d'inspiration. Je descend jouer dans la cour
avec ma sœur pour une bataille de boule de neige.
Mon père a aussi le droit d'être pris en cible, ce qui
n'empêche pas que je réceptionner a mon tour de la
neige sur mes habits.
Tout le matin l'on se donne a cœur joie.
- Pamela, Paoli, montez le mangé est prêt, dite le a José
pour qu'il vous accompagne.
- Oui maman.
Je retrouve notre père dans son atelier de menuiserie.
- Papa, le repas est préparé tu montes ?
- Oui, Paoli, je viens.
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A table, personne ne parle, chacun mange rapidement
avec entrain. Il faut que nous décorons le sapin de Noel
comme prévue. Avec une équipe organisé, la décoration
ne trouve de contrainte et affiche une réalisation très
touchante. Nos invitées seront ravis. Le sapin occupe
le centre de la pièce, entre les deux fenêtres qui donnent
sur notre cour.
- C'est l'heure de chercher Nos invitées, vous venez les
enfants ?
- Oui maman.
6 heures trente, l'on se dirige vers la gare. Le moteur
de la 404 tourne, pour qu'elle chauffe. Pamela fait une
remarque,
- Nous resterons sur le quai terrière les butoirs, jusqu'à
ce que le train ouvre ses portes, restez avez nous les
enfants, il y a tellement de gens que l'on risque de
s'égarer.
- Oui maman.
Comme prévu, l'on se place derrière les buttoirs. La
locomotive a vapeur entre au pas.
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Le chef de la gare siffle et le train marque s'arrête.
La locomotive touche les butoirs.
Autours de nous une foule impatiente attend les
passagers.
Le conducteur du train tire sur une manette qui fait
réagir les freins pneumatique. Cette une manipulation
laisse s'échapper le surplus d'air qui bloc les wagons.
Etourdie par notre bonheur de retrouvaille, notre
impatience vas être récompensé.
Le chef de gare siffle une seconde fois pour que les
portes s'ouvrent. Une bousculade se produit et les
personnes se rapprochent des passagers qui sortent les mains chargées de paquets de toutes sortes.
Nous restons sur nos garde, et patientons que la
foule se disloque comme l'a évoqué notre mère.
Derrière les butoirs, la vapeur de la locomotive nous
enlace, une odeur de charbon brulé nous fait toussé.
la foule se disloque et, au loin, 2 femmes restent sur
le quais, entouré de leurs paquets et valises.
Nous procédons de cette sorte pour ne point s'égarer.
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La petitesse de ma grand mère Mamita, me surprend,
a ses coté , ma tante Câlina, plus grande qu'elle a 25
ans . Elle répond a tous les critères de demoiselle . Sa
vue me rend fière et chanceux
Nos embrassades sont interminable et chaleureux .
Nous transportons les valises dans la 404 Peugeot
blanche stationné pas loin de l'entrée de la gare.
La neige tombe et émerveille nos invitées a tel point
qu'elles marquent un temps d'arrêt pour voir tomber les
flocons.
Ce première, contacte de neige les étonnement et les
enivre de découverte. Je façonne une boule de neige
que j'envoie a ma tante Câlina. Elle sourie malgré que
la boule de neige eut atterrie sur ses vêtements .
Nous démarrons de la gare pour s'engouffrer dans les
avenues de Paris et leur faire découvrir les décorations
de guirlandes de lumières de toutes couleurs qui nous
nous font honneur. Les magasins sont aussi de la fête
ils attirent le regard de nos invitées comme des enfants
émerveillé.
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Il est 17 heures, nous entrons dans notre cour pavé. Un
froid glaciale nous engourdie. Les 4 filles partent dans les
appartements situé au-dessus de l'atelier où travail mon
père. Nous, les hommes, on s'occupent de monter les
valises et les paquets venue de Lisbonne. Certaines
bouteilles s'entrechoquent et des bruits de verres , me
donne un aperçu de leur contenances ?
Mamita et Câlina ont prient place sur le divan, en face
du sapin illuminée. Nous déposons les valises sur la
table et plaçons les paquets aux pieds du sapin. Câlina
ouvre une valise pour en sortir de la morue séché, une
boule de fromage et une bouteille de vins du Portugal.
- C'est nous qui préparons le repas du soir, laissez nous
faire.
Avec ma sœur, je remplace la nappe de la table, et
prépare les couverts. Mon père ouvre les bouteilles et
ma mère prépare la salade. Notre coordination fait
comme avancer l'organisation comme sur des roulettes.
Je regarde le poisson bien préparé et demande a
Mamita,
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- Je ne connais pas cette manière de présenter la morue
séché , elle a tout pour plaire et déguster. Y a t'ils
d'autres recettes qui me sont inconnu ?
- Oui il y a 600 manière de préparer la morue, Paoli aimes
tu cette présentation ?
- J'apprécie Mamita tu es une bonne cuisinière.
Maman a fait une tarte au pommes, que tout le monde
aime. Il commence a se faire tard et la fatigue prend
possession de nos neurones. Mon père nous fait
comprendre,
- La journée fut chargée, nous reportons la distribution
a demain matin car il reste de la place sous les pieds
du satin certainement que cette nuit des paquets
gâteaux arriverons?
Avec ma sœur Paméla je ne trouve pas de contradiction
et accepte de rejoindre nos lits. Mais il y a une répartition
a faire car mes parents dorment dans leur chambre, quant
a ma sœur elle occupent le canapé du séjour en face du
sapin. Ma grand mère elle occupe ma chambre. Moi je
suis dans le couloir sur un matelas acheté pour cette
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occasion. J'ai eut du mal a m'endormir.
Au petit matin, je suis le premier a occuper la table de
la cuisine. Ma mère me suit, puis ma sœur et ma tante
et mon père . Quelle bonheur, nous voila le jour de Noel.
La grand mère doit certainement dormir elle a fait un
long voyage et la fatigue a cet âge la envoute les gens.
- Laissons la dormir encore un peu, la distribution des
paquets de cadeau se fera plus tard.
- Oui père tu as raison, sans Mamita cela ne se fait pas.
Cela fait plus d'une heure que nous nous somme levé.
ma tante Câlina, entre doucement dans la chambre de
Mamita. Elle tente de caresse ses joues , mais a peine
qu'elle se rapproche une froideur la repousse. Elle se
ressaisie et fait signe a mon père de venir. Puis elle dit,
- Mamita nous a quitté José.
- Es tu certaine Paméla ?
- Vient regarde, ses mains sont raide et elle ne respire
plus.
13 heures vient de sonner a l'horloge de l'église. Notre
joie s'envole, plus personne ne pense a ouvrir les
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cadeaux.
- Ne perdons pas la tête, il faut la rapatrier au plus vite
au Portugal.
Nous dit mon père.
- Nous allons l'enrouler dans le tapis et la placerons sur
la galerie de la 404, gardons notre sang froid toutes et
tous.
Personne ne dit un mot et chacun participe aux
préparation du déplacement. Apres avoir enroulé le
corps dans le tapis, nous l'enfilons dans le plastique du
matelas que l'on eu acheté. La grand mère, disparait
emmitouflé dans le tapis.
Nous attentons la tombe du jour et a17 heures quant
la nuit domine nous chargeons le tapis sur la galerie de
la 404 et l'attachons convenablement. Nous prenons le
départ via Lisbonne. Il y a 1700 km a parcourir mais notre
intention ne vois pas la limite et notre chance nous
protège de tous les tracas.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz.
Ecrit le 03 12 2011, 3579 lecteurs.
remis a jour le 01 12 2021.
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